Utilité de l'école



Non. C'est une deduction logique. Pourquoi on charge l'Etat de reprimer les delis s'il n'a pas son mot a dire dans l'education de ses citioyens? Comment est-ce qu'un gamin eleve par un couple de refugies Afghans par exemple peut assimiler les codes de la Republique Francaise si ses propres parents ont d'autres codes? Il y a un bug dans le systeme la...
 
Comme quoi on peut s'appeler Victor Hugo et dire ces conneries... Si l'Etat n'a pas son mot a dire dans l'education pourquoi est-ce qu'on lui demande de reprimer les delis??? A ce moment la il suffit de dire "c'est pas ma faute, j'ai ete mal eduque par mes parents".

Voir la pièce jointe 113277
L'avantage dans le fait que tu oses tout, c'est que cela te rends aisément reconnaissable ! :chinois:
 
Non. C'est une deduction logique. Pourquoi on charge l'Etat de reprimer les delis s'il n'a pas son mot a dire dans l'education de ses citioyens? Comment est-ce qu'un gamin eleve par un couple de refugies Afghans par exemple peut assimiler les codes de la Republique Francaise si ses propres parents ont d'autres codes? Il y a un bug dans le systeme la...

Reflechis sur cette analyse qui est fort a propos ,et essaye de comprendre et de faire la part des choses avec plus de discernement comme chacun d'entre nous tente de le faire ! Quand aux refugies Afghans ce n'est pas a l'ecole d'eduquer leurs progenitures ni a l'etat , on peut tout au plus leur inculquer les valeurs de la republique francaise rien de plus , c'est le role des parents d'apprendre a leurs enfants a dire bonjour , merci , excusez moi , s'il vous plait , etudie al'ecole , fait tes devoirs , ne frequente pas des racailles , respecte les personnes etc .... Afghans ou non !

Les jeunes face à l’emploi: méritocratie scolaire ou débrouillardise? par Monique Dagnaud Directrice de recherches à l'EHESS
2 septembre 2020

Le joker de la méritocratie scolaire

Extraits choisis : Depuis cinquante ans, l’éducation universitaire s’est imposée comme le nerf de la guerre des positions sociales. Son élan démarre en flèche aux États-Unis dans les années 1970 et est suivi quelques années plus tard dans les pays européens, puis asiatiques.
Aujourd’hui, cette course en faveur de l’enseignement supérieur se poursuit – nombre d’établissements et nombre d’étudiants continuent d’augmenter et surtout de se diversifier partout – mais elle a atteint un certain palier. Dans les pays de l’OCDE, 44% des millenials (25-34 ans) sont diplômés du supérieur en 2017, alors que les baby boomers (55-64 ans) ne le sont que pour 26% d’entre eux[1]. Ce qui conduit les chercheurs du Pew Research Center à titrer avec emphase : « Les millenials sont en train de devenir la génération la plus éduquée que l’on ait connue ». La césure entre les diplômés du supérieur, certains à terme de trouver un emploi, et les autres dotés de moindre parchemin, qui peineront bien davantage à s’insérer dans un travail stable, est régulièrement désignée comme la matrice organisatrice des inégalités de destin dans les sociétés modernes.

Un point de clivage essentiel a émergé dans ce marathon aux diplômes : entre les étudiants qui chassent dans les hautes sphères du système, qui poussent le plus loin leurs études, qui fréquentent les établissements prestigieux, et qui souvent multiplient les parchemins grâce aux passerelles édifiées entre les filières, d’une part, et tous les autres, d’autre part. Les bacs + 5 (et souvent davantage), les détenteurs d’un doctorat ou du titre d’une profession d’expertise fermée statutairement (avocat, médecin, journaliste, architecte) et plus largement les diplômés des grandes écoles d’ingénieur ou de management, forment un monde en soi assez éloigné des autres étudiants (des filières professionnelles, ou dans des secteurs moins porteurs) qui vont occuper des positions moyennes. La montée en gamme du niveau de diplôme a abouti à créer une « élite de masse » (le terme est d’Emmanuel Todd), ces premiers de cordée englobant environ 20-25 % des nouvelles générations. Cette élite de masse se distingue du reste de la société par une constellation de critères : une concentration résidentielle dans les grandes agglomérations, avec un espace qui se conforme à un imaginaire romantique de mode de vie – multiplication de services éducatifs et culturels, espaces de coworking, ateliers réhabilités, artisanat et nouveaux créateurs, essor de marques et services qui promettent une expérience humaine, alliance du luxe et du cheap, floraison de terrasses, d’espaces arborés et/ou dédié à l’agriculture urbaine, lieux événementiels, pistes cyclables, friches rénovées, etc. Chez elle prospère un ethos : la qualité de la vie dans sa dimension existentielle, voire spirituelle, se faire du bien à soi-même, s’améliorer. La célébration de l’individu électron libre dans tous ses choix de vie cohabite avec une vision enchantée du bonheur privé, un retour à un idéal familial new look qui concilie tradition et futurisme. Au fil du temps, les premiers de la classe ont embrassé avec enthousiasme le thème de la liberté et sont moins réceptifs à celui de l’égalité. Ces catégories bien diplômées forment l’aspirational class, une classe mue par une ambition éthique et esthétique pour elle-même, selon l’expression de la sociologue Elizabeth Currid-Halkett qui se fonde sur le modèle américain* (voir mon article sur Telos du 6 avril 2018).

2/ Les vulnérabilités de la méritocratie scolaire

Alors que la méritocratie scolaire s’impose objectivement comme le cyclotron des positions sociales, elle a perdu de son éclat, de sa force d’exemplarité tant, dans la psyché contemporaine, elle est confondue avec l’idée de détermination par le milieu social d’origine. Elle est vue et dénoncée comme un faux semblant, une notion hypocrite, puisqu’elle ne devrait presque rien à l’effort réel et tout à la chance de naitre dans un univers culturellement privilégié . Des décennies d’analyses bourdieusiennes ont donc abouti à éroder le prestige du bon élève. Dans la doxa journalistique, et plus largement dans les représentations, la méritocratie scolaire est souvent associée à l’image de l’élite, à celle de la domination sociale, et donc à tout de ce qui, dans le monde d’aujourd’hui, soulève bruits et fureur.

Suite de l'analyse >>>

 
Dernière édition:
c'est le role des parents d'apprendre a leurs enfants a dire bonjour , merci , excusez moi , s'il vous plait , etudie al'ecole , fait tes devoirs , ne frequente pas des racailles , respecte les personnes etc .... Afghans ou non !


Ah bon. Ca semble couler de source pour toi? Un refugie Afghan qui pose le pied en France va instantanement integrer les codes de la Republique et les apprendre a ses gamins? Par quel miracle? C'est une coincidence tu crois si les femmes en mini-jupe se font cracher dessus porte de la Chapelle? Ou c'est justement un manque d'education?
 
Ah bon. Ca semble couler de source pour toi? Un refugie Afghan qui pose le pied en France va instantanement integrer les codes de la Republique et les apprendre a ses gamins? Par quel miracle?

Éduquer ses enfants ce n'est pas "intégrer les codes de la république", à te lire on croirais presque que pour toi les parents Afghans, par défaut, n'éduquent pas leurs enfants...
 
Ah bon. Ca semble couler de source pour toi? Un refugie Afghan qui pose le pied en France va instantanement integrer les codes de la Republique et les apprendre a ses gamins? Par quel miracle? C'est une coincidence tu crois si les femmes en mini-jupe se font cracher dessus porte de la Chapelle? Ou c'est justement un manque d'education?

On supposera que c'est donc aussi le role de l'etat "d'eduquer" les parents? Ben putain.. Quand on parle d'infantilisation...

Quand on ne dispose pas des moyens, ou des codes a transmettre a ses gosses, pour leur assurer un bon developement dans un environnement donne (que ce soit la France, la foret amazonienne, ou Mars) alors soit:
- On acquiere ses moyens et codes,
- On change d'environnement,
- On y amene pas, ou n'y fait, ses gosses.

Que l'etat reste a sa place qui est la protection des personnes et des biens, et la gestion des infrastratctures, pas de la pensee. Ce n'est pas l'ecole de t'expliquer que savater son camarade ou cracher sur les gens, c'est pas bien. Ca se sont a la rigueur les services sociaux, si les parents en sont des cas averes, ie: sociaux. Et ce type de service de support n'a pas a etre dispandieusement prodiquer a tous les residents independemment de leur statut.

Il y a des tonneaux de refugies/immigres/minorites/asociaux/illetres/deficients mentaux/ex taulards/etc..., probablement la majorite, qui arrivent tres bien a s'auto eduquer/reguler/adapter, et a gerer leurs gosses; malgres le fait de ne pas y etre pre dispose a la base.
Par contre, on ne laisse pas les mauvaises herbes pourrir un jardin, qui de facto, vont en effet direction la taule, qui est la pour les isoler de la societe.
 
Dernière édition:
Éduquer ses enfants ce n'est pas "intégrer les codes de la république", à te lire on croirais presque que pour toi les parents Afghans, par défaut, n'éduquent pas leurs enfants...


Tu crois qu'on enseigne Voltaire et le siecle des lumieres dans les madrassas d'Afghanistan? Reveille-toi!
 
Il y a des tonneaux de refugies/immigres/minorites/asociaux/illetres/deficients mentaux/ex taulards/etc..., probablement la majorite, qui arrivent tres bien a s'auto eduquer/reguler/adapter, et a gerer leurs gosses; malgres le fait de ne pas y etre pre dispose a la base.


T'iras dire ca aux allemandes qui se sont fait aggresser a Cologne en 2016 par des centaines d'immigres qui sans doute n'avaient pas les codes. Si ca avait ete 1 immigre on aurait pu penser qu'il n'avait pas d'education. Mais quand il y en a des centaines c'est bien un probleme culturel. On leur apprend pas dans leurs pays de m. qu'il faut pas tripoter les femmes sans leur consentement?
 
T'iras dire ca aux allemandes qui se sont fait aggresser a Cologne en 2016 par des centaines d'immigres qui sans doute n'avaient pas les codes. Si ca avait ete 1 immigre on aurait pu penser qu'il n'avait pas d'education. Mais quand il y en a des centaines c'est bien un probleme culturel. On leur apprend pas dans leurs pays de m. qu'il faut pas tripoter les femmes sans leur consentement?

Et toi tu les enverrais a l'ecole? lol. Perso , pour moi c'est le charter ou la sterilisation, voire les deux. Ce ne sont pas des citoyens europeens, ce n'est pas l'Europe de s'occuper de leur "formation".
 
Dernière édition:
Et toi tu les enverrais a l'ecole? lol. Perso , pour moi c'est le charter ou la sterilisation, voire les deux. Ce ne sont pas des citoyens europeens, ce n'est pas l'Europe de s'occuper de leur "formation".


La Chine qui est plus pragmatique que nous les envoi en camps de re-education. Bon evidement dans ce cas de figure, les chinois ne font pas vraiment le tri entre les bons et les mechants mais au moins ils ont compris que c'etait un probleme d'education a la base.
 
Est ce qu'il faut connaître Voltaire pour être bien éduqué ? Spoiler : non


Ca fait partie d'un tout. C'est toi qui comprend rien. La France d'aujourd'hui est le resultat des changements qui sont apparus au moment des lumieres. La revolution, les droits de l'homme, la liberte de la presse, etc. Comment tu veux qu'un Afghan qui debarque en France integre ces concepts et les apprene a ses gamins si personne ne les lui inculque?

Apres on se retrouve avec les freres Kouachi (c'est d'actualite). Instruits en France mais sans aucune education parceque des soixante-huitards dans ton genre ont decides que c'etait pas a l'Etat d'eduquer la jeunesse.
 
Non mais il faut dire ce qu'y est : on les infantilise, on les manipules, on leur demande de rentrer dans une case sociale.... qu'ils acceptent une fois sorti d'étude.
la plupart des personnes sur bjc sont des rebelles, sinon ils ne seraient pas en Chine. (A part les profs... et ouais encore eux... o_O)
 
Non mais il faut dire ce qu'y est : on les infantilise, on les manipules, on leur demande de rentrer dans une case sociale.... qu'ils acceptent une fois sorti d'étude.
la plupart des personnes sur bjc sont des rebelles, sinon ils ne seraient pas en Chine. (A part les profs... et ouais encore eux... o_O)


Un des problemes concernant l'education par l'Etat effectivement c'est que l'Etat n'est pas la pour dire le bien et le mal. La justice en France ne marche pas sur ce principe. C'est soit legal, soit illegal. Certaines personnes considerent que crever les pneus d'un 4x4 est "bien" mais ca n'en reste pas moins illegal. Donc au final, j'ai l'impression en effet que l'Etat a abandonne ce role et qu'il a ete remplace par: les eglises, les mosques, les clubs de sport (rugby ecole de la vie blablabla), etc. D'ou la montee du communautarisme que l'on observe en ce moment.
 
L'illettrisme, "facteur aggravant" en pleine crise du Covid-19, met en garde un spécialiste

Être illettré représente "un facteur aggravant" en pleine crise du Covid-19, notamment pour retrouver un emploi, souligne Christian Janin, président de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI) à l'occasion des 7e Journées nationales d'action contre ce fléau.


AFP - Quelles formes prend l'illettrisme au quotidien?

CHRISTIAN JANIN -
L'illettrisme est soit le résultat d'un déficit de l'apprentissage de la lecture et de l'écriture, soit pour d'autres et notamment les plus de 40 ans en activité professionnelle, un effritement des compétences de base du fait qu'ils ont perdu l'habitude d'écrire ou de lire. Le quotidien d'un illettré est de ne pas savoir lire des consignes, se repérer dans le métro, utiliser un guichet automatique ou bien choisir un plat au menu d'un restaurant.
Tant que vous ne savez pas lire, dès que vous êtes dans un milieu que vous ne connaissez pas, vous êtes perdu. C'est pourquoi les personnes en situation d'illettrisme mettent en place des stratégies de détournement pour ne pas faire connaître leur handicap caché. Massivement, c'est ressenti comme une honte.

Une difficulté principale à laquelle nous sommes confrontés est donc, après avoir identifié un demandeur d'emploi ou un apprenti concerné par l'illettrisme, de lui faire accepter qu'il a un problème de cette nature. Nous accompagnons des personnes de plus de 18 ans. Il s'agit principalement de demandeurs d'emploi pour lesquels on construit un parcours adapté avec Pôle Emploi ou d'apprentis que nous accompagnons avec les CFA.

Suite >>>


 
L'école (l'université principalement) m'a toujours paru comme obligatoire si l'on voulait étudier un domaine un peu plus scientifique, au delà de l'étude, je viens d'un milieu ouvrier, premier de la famille qui reçoit un diplôme universitaire, et je dois dire que j'ai ressenti cette différence de classe en m'inscrivant à l'université.

Mais ce n'était que pour le mieux, au delà de l'apprentissage d'une rigueur de travail que je n'avais pas au lycée (car trop fainéant, cours pas super intéressant), j'y ai aussi haussé mon niveau intellectuel, cela m'a aussi permis d'avoir une vision plus globalisante de la société ainsi que du marché du travail, enfin, ça m'a permis d'aborder le marché du travail plus sereinement en connaissant les tenants et les aboutissants.

De plus, en Europe on ne voit les candidats qu'aux travers de leurs diplômes, j'étais obligé de le faire pour pouvoir sortir un salaire confortable. Au final, durant ma période à l'université, j'étais un étudiant moyen, je me débrouillais bien en anglais, après ma première année j'avais appris à étudier correctement et être pro-actif. C'est surtout pour ces compétences là que je suis content d'avoir été à l'université.
 
L'utilite de l'ecole sans filtre: faire de nous de bons petits soldats du capitalisme...




«Les écoles ne devraient en aucun cas utiliser les ressources produites par des organisations qui adoptent des positions politiques extrêmes sur des questions. C'est le cas même si le matériel lui-même n'est pas extrême, car son utilisation pourrait impliquer l'approbation ou le soutien de l'organisation. »

Il a énuméré des exemples de ce qui a été décrit comme des «positions politiques extrêmes», telles que «un désir déclaré publiquement d'abolir ou de renverser la démocratie, le capitalisme ou de mettre fin à des élections libres et équitables»; opposition à la liberté d'expression; l'utilisation d'un langage raciste, y compris antisémite; l'approbation d'une activité illégale; et le fait de ne pas condamner les activités illégales menées à l'appui de leur cause.

Comme d'habitude tu fais de sacrés raccourcis et je ne vois pas ce qu'il y a de choquant de demander aux profs de ne pas reprendre des thèses d'extrême gauche ou d'extrême droite à l'école.

C'est déjà scandaleux la manière dont des universités même françaises sont noyautées par l'extrême gauche... et si c'était juste de l'anti capitalisme de base ca ne serait pas très grave mais on tombe de plus en plus dans un racialisme haineux envers les blancs, et plus particulièrement l'homme blanc... puisqu'au racialisme s'ajoute des discriminations dans certaines universités contre ceux qui se refusent a utiliser l'écriture inclusive...

Alors j'espère en effet qu'on arrivera à préserver l'école des minorités actives en tout genre qui souhaitent imposer à la majorité leur point de vue sur tout un tas de sujets y compris en faisant du prosélytisme auprès des enfants.
 
Dernière édition: