Affaire Mistral France / Russie

Quand on voit le coût du démontage du matériel russe à bord, on se demande si la France est vraiment gagnante ...
 
Quand on voit le coût du démontage du matériel russe à bord, on se demande si la France est vraiment gagnante ...
Bonsoir Matt
Les russes sont en train de construire des nouveaux navires car ils ont les plans ( gratuits finalement ) , si les acheteurs sont patients on peut supposer que les navires construits en Russie seront d'un prix plus attractifs et neufs .
De toutes facons nos 2 exemplaires a nous sont prevus pour les mers froides voir conditions arctiques , on se demande vraiment a quoi ca peut servir pour des pays comme l'Inde ou l'Arabie Saoudite ? Mais bon ...
 
Les Egyptiens sont à Paris pour négocier l'achat des deux Mistral

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Une délégation égyptienne de haut niveau est à Paris actuellement pour négocier l'achat des deux BPC, de type Mistral, et de deux corvettes Gowind. Mais Bercy complique les négociations sur le Mistral.

Extrait : Selon plusieurs sources concordantes, une délégation égyptienne de haut niveau est actuellement à Paris pour négocier l'achat des deux Bâtiments de projection et de commandement (BPC), de type Mistral, initialement destinés à la marine russe. Elle a reçu des mains du président Abdel Fattah al-Sissi le mandat de négocier un contrat avec DCNS, chargé par Bercy de vendre les deux Mistral. La délégation égyptienne négocie aussi l'acquisition des deux corvettes Gowind supplémentaires, qui sont en option dans le contrat qui avait été signé en mai 2014 et qui portait sur la vente de quatre Gowind de 2.400 tonnes.

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Source : LA TRIBUNE
 
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que Sissi est en train de venir un très grand pote de la France.
En gros, les sous viennent de l'AS, l'Egypte achète et la France est contente. Billard à 3 bandes :)
 
Mistral : DCNS, STX, Thales indemnisés à 100% ?

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DCNS a reçu "des engagements" au plus haut niveau de l'État pour ne pas subir les conséquences économiques de la revente des deux BPC. Notamment du Président de la République qui fait la promesse de rembourser les industriels.


Extrait : Auditionné le 15 septembre par la commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale, le PDG de DCNS, Hervé Guillou, a assuré que la France a "réglé, et très bien réglé la transaction" dans le cadre de l'accord sur la non livraison à la Russie des deux Bâtiments de projection et de commandement (BPC), de type Mistral. "Nous avons ainsi pu négocier un contrat de résiliation dans des conditions qui nous paraissent tout à fait raisonnables", a-t-il expliqué aux députés. Car selon lui, "le risque d'absence d'accord avec la Russie était pour nous considérable, très supérieur aux 20% du montant du contrat", qui est évalué à 1,2 milliard d'euros.

"En cas de rupture du fait de la France, on s'orientait vers trois ou quatre ans de procédure d'arbitrage plus ou moins publique et, selon nos avocats, des pénalités de l'ordre du milliard d'euros, a précisé Hervé Guillou. Cette procédure amiable a évité ce risque, qui aurait incombé soit à l'État si les Russes l'avaient jugé fautif, soit à DCNS s'ils avaient considéré que nous n'avions pas exécuté notre contrat".

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Source : LA TRIBUNE
 
Airbus Helicopters : chronique d'une trahison de la Pologne annoncée

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La Pologne fait un pas de plus vers la rupture des négociations avec Airbus Helicopters pour la vente de 50 Caracal aux forces armées polonaises.


Extrait : Le nouveau gouvernement polonais prépare-t-il encore et encore les esprits à une rupture des négociations, ou est-ce une simple manœuvre de discussions pour obtenir un peu plus de la part d'Airbus Helicopters? Toujours est-il que les pourparlers sur l'acquisition par la Pologne de 50 hélicoptères multi-rôles européens Caracal risquent un échec "très probable", compte tenu des "grandes divergences" entre les négociateurs sur le programme d'investissements compensatoires (offset), a déclaré mardi un vice-ministre polonais de la Défense.
"Étant donné l'ampleur des divergences, il est très probable que l'accord n'aura pas lieu", a déclaré Bartosz Kownacki, cité par le quotidien Rzeczpospolita.

Selon lui, les positions d'Airbus Helicopters et du gouvernement ont toujours été "presque totalement divergentes" sur l'offset accompagnant le contrat estimé par la presse à environ 13 milliards de zlotys (2,9 milliards d'euros). Les négociations doivent s'achever d'ici au 10 février, précise Rzeczpospolita. Si d'aventure la Pologne remettait en question cette opération, cette rupture laisserait des traces profondes entre la Pologne et la France, qui a n'a pas livré les deux Bâtiments de projection et de commandement (BPC), de type Mistral, à la Russie en raison notamment du lobbying intense de Varsovie.


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Source : LA TRIBUNE