Renault - la piste chinoise

" la direction de Renault en roue libre "
" la roue tourne pour Renault "
" la Renault s'enlisse "
" affaire Renault : un moteur à explosions "
" Casse toi tu pues, et roule à l'ombre"
 
http://www.lefigaro.fr/societes/201...los-ghosn-aurait-impose-la-loi-du-silence.php

Et ça continue encore et encore....

qui sait vraiment la realite de l'affaire ?
vol de donnees, peut que oui peut etre que non ?
espion, peut etre que oui peut etre que non ?
simulation de renault pour faire du tapage autour de ses competences et ses avancees, peut etre que oui peut etre que non ?
accord et dessous de table conclus entre renault et le voleur, changement de com de renault, peut etre que oui peut etre que non ?

affaire de normand, comme tous les affaires mediatiques. on n'en saura au final que des suppositions (assimiles a des suppositoires), et dans deux semaines tout est oublie, et dans un an, personne ne s'en souviendra.
Comme quoi en 3 semaines, qd le boulot est bien fait, sans compter les reglements de compte interne qui vont enfoncer Carlos et sa bande qui vont alimenter les enquêteurs , encore encore...

Dommage que les médias chinois n'en parlent pas, ça serait un bon coup de pub pour Renault et vive Citroen !!
 
Un petit up

Trois cadres d'une filiale au Luxembourg se sont portés partie civile Lien retiré, estimant avoir aussi été victimes d'accusations en 2009. Un des trois a accusé la filiale d'émettre des fausses factures pour faire baisser les impôts de chaque succursale Renault dans son pays d'implantation.EscroquerieL'enquête sur une escroquerie ayant poussé Renault à licencier à tort trois cadres en 2011 après de fausses accusations d'espionnage au profit de la Chine a été étendue à une affaire similaire survenue en 2009 dans une filiale du Luxembourg, a-t-on appris de source judiciaire.Ces nouvelles poursuites ont été accordées par le parquet le 13 février sous forme d'un réquisitoire dit supplétif pour «escroquerie, association de malfaiteurs et faux». Il est apparu dans ce dossier que la direction se faisait berner par un de ses employés de sécurité qui avait empoché de fortes rémunérations après de fausses accusations sur les cadres de 2011. L'affaire a conduit à la Lien retiré, n°2 de Renault.La Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) a découvert lors de perquisitions le 5 juillet dernier au siège de la société des éléments ayant motivé le licenciement en 2009 de trois cadres travaillant au Luxembourg pour RRG, la filiale distribution de Renault, révéle mardi France Info. Me Alexandre Varaut, leur avocat, a confirmé que ses clients avaient été entendus par la DCRI. Les enquêteurs ont découvert chez Renault des fiches sur leur vie privée et des documents fabriqués, de prétendus relevés de comptes dans des banques où il n'étaient pas clients.Accusations imaginaires«Deux des trois cadres du Luxembourg avaient été licenciés sur le fondement d'accusations de fraude qu'ils disent totalement imaginaires», a expliqué Me Varaut. Le troisième adémissionné sous la pression. «Je suis en droit d'attendre des explications dès maintenant de la société Renault. Qu'ils en soient responsables ou victimes, ils doivent expliquer pourquoi on trouve dans les murs de la société des éléments faux et des éléments sur leur vie privée», a dit Me Varaut.«Le magistrat poursuit son instruction sur les conditions de départ, en 2009, de trois salariés de RRG Luxembourg, filiale de distribution de Renault, déjà entendus au cours de cetteinstruction. Deux d'entre eux ont souhaité récemment se constituer partie civile», a déclaré Renault dans un communiqué. «En sa qualité de partie civile, Renault continue à coopérer pleinement avec le magistrat instructeur», ajoute la société.Fausses facturesEtienne Mars, directeur financier de Renault Retail Group (RRG) licencié en 2009, fait partie des trois cadres de cette filiale luxembourgeoise qui se sont portés partie civile. Lors d'une audition les 27 et 28 septembre dernier, il a affirmé que RRG «émettait de fausses factures à l'adresse des filiales européennes d'un montant déterminé», selon un rapport d'enquête de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), rapporte Libération mercredi.Ces sommes, payées selon lui par des filiales à une société du groupe Renault, avaient pour but de «fausser à la baisse le bilan financier et baisser les impôts de chaque succursale Renault dans son pays d'implantation», toujours selon ce rapport au juge d'instruction. Le système aurait ainsi perduré jusqu'en 2007, avant l'arrivée d'un nouveau directeur financier chez RRG qui aurait progressivement fait le ménage, selon l'ancien cadre. «Etienne Mars a apporté par la suite aux enquêteurs les documents appuyant ses dires», selon une source proche du dossier citée par Libération.


Renault ton univers impitoya aaaa bbblllleeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!