Les anciens présidents aux frais de la République. Depuis 1985, les anciens présidents bénéficient d’avantages, évalués entre 1,5 et 2 millions d’euros par an, pour services rendus au pays.
Au prix de longs efforts, un ancien élu écologiste s’est procuré la liste des frais de Nicolas Sarkozy entre mai 2012 et décembre 2014. Mediapart a publié samedi cette liste détaillée (article payant).
Ameublement d'un bureau évalué à près de 57.000 euros
Comme ancien chef d’Etat, Nicolas Sarkozy bénéficie d’une indemnité de 6.000 euros, de gardes du corps, de bureaux, d’une voiture et de la gratuité de ses déplacements avec la SNCF et Air France. Situé rue de Miromesnil (dans le très chic 8e arrondissement), le bureau de Nicolas Sarkozy est loué 16.431 euros par mois, soit 196.092 euros par an. Le déménagement a coûté 8.513 euros, et l’ameublement 56.724 euros, selon cette liste. Sur l’année 2014, les frais d’entretien et des dépenses diverses sont évalués à 215.392 euros.
La voiture utilisée par Nicolas Sarkozy une Citroën C6V6 HDI Exclusive, a été achetée 44.141 euros. A cela s’ajoute les frais d’essence et d’entretien, évalués à peu moins de 10.000 euros par an.
Une dizaine de collaborateurs
Les dépenses les plus importantes sont liées aux traitements des collaborateurs de Nicolas Sarkozy. Selon cette liste, les salaires des dix collaborateurs sont évalués à 660.000 euros nets par an, doit 1,76 million d’euros nets entre 2012 et fin 2014. Travaillent à plein temps pour l’ancien président cinq fonctionnaires (deux chauffeurs payés 4.000 et 5.339 euros mensuels, deux officiers de sécurité, un intendant) et cinq conseilleurs contractuels rémunérés de 5. 247 à 7.020 euros par mois. Figurent parmi ces conseillers Consuelo Remmert, la demi-sœur de Carla Bruni-Sarkozy, qui gère notamment les conférences internationales de Nicolas Sarkozy.
Mais depuis le 29 novembre 2014, date de l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP, tout a changé: «Depuis qu'il a été élu président de l'UMP, la question se pose de l'usage de cet argent public à des fins politiques».
Si chacun d'entre nous devait beneficier de memes avantages, il faudrait plus de 130 000 milliards d'euros.
De plus comment peut on continuer a accepter cette situation absurde alors que dans le meme temps ces politiques profitent de leurs anciennes fonctions pour se vendre entre 100 et 150 000 euros par onference. et tout ca pour raconter des conneries.
Sarko se déclare le fondateur du G20 lors d'une conference a Seoul!
"Quand j'ai créé le G20, M. Ban Ki-moon m'a demandé: “Pourquoi crées-tu une organisation concurrente aux Nations unies?“ Et je lui avais dit que ce n'était pas une concurrence, mais que les Nations unies, avec la règle de l'unanimité, ne pouvaient plus arbitrer les grandes questions du monde". Voici le récit livré par Nicolas Sarkozy
La création de cette institution date en réalité de 1999 , suite à l'initiative du ministre des Finances canadien d'alors, Paul Martin. Son objectif était, au lendemain de la crise économique des années 90, de favoriser les échanges entre les principales puissances économiques du monde, en incluant les puissances émergentes comme l'Afrique du Sud, le Brésil ou l'Inde.
Lien retiré : article supprime.
http://www.lefigaro.fr/politique/le...-millions-d-euros-grace-a-ses-conferences.php
Au prix de longs efforts, un ancien élu écologiste s’est procuré la liste des frais de Nicolas Sarkozy entre mai 2012 et décembre 2014. Mediapart a publié samedi cette liste détaillée (article payant).
Ameublement d'un bureau évalué à près de 57.000 euros
Comme ancien chef d’Etat, Nicolas Sarkozy bénéficie d’une indemnité de 6.000 euros, de gardes du corps, de bureaux, d’une voiture et de la gratuité de ses déplacements avec la SNCF et Air France. Situé rue de Miromesnil (dans le très chic 8e arrondissement), le bureau de Nicolas Sarkozy est loué 16.431 euros par mois, soit 196.092 euros par an. Le déménagement a coûté 8.513 euros, et l’ameublement 56.724 euros, selon cette liste. Sur l’année 2014, les frais d’entretien et des dépenses diverses sont évalués à 215.392 euros.
La voiture utilisée par Nicolas Sarkozy une Citroën C6V6 HDI Exclusive, a été achetée 44.141 euros. A cela s’ajoute les frais d’essence et d’entretien, évalués à peu moins de 10.000 euros par an.
Une dizaine de collaborateurs
Les dépenses les plus importantes sont liées aux traitements des collaborateurs de Nicolas Sarkozy. Selon cette liste, les salaires des dix collaborateurs sont évalués à 660.000 euros nets par an, doit 1,76 million d’euros nets entre 2012 et fin 2014. Travaillent à plein temps pour l’ancien président cinq fonctionnaires (deux chauffeurs payés 4.000 et 5.339 euros mensuels, deux officiers de sécurité, un intendant) et cinq conseilleurs contractuels rémunérés de 5. 247 à 7.020 euros par mois. Figurent parmi ces conseillers Consuelo Remmert, la demi-sœur de Carla Bruni-Sarkozy, qui gère notamment les conférences internationales de Nicolas Sarkozy.
Mais depuis le 29 novembre 2014, date de l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP, tout a changé: «Depuis qu'il a été élu président de l'UMP, la question se pose de l'usage de cet argent public à des fins politiques».
Si chacun d'entre nous devait beneficier de memes avantages, il faudrait plus de 130 000 milliards d'euros.
De plus comment peut on continuer a accepter cette situation absurde alors que dans le meme temps ces politiques profitent de leurs anciennes fonctions pour se vendre entre 100 et 150 000 euros par onference. et tout ca pour raconter des conneries.
Sarko se déclare le fondateur du G20 lors d'une conference a Seoul!
"Quand j'ai créé le G20, M. Ban Ki-moon m'a demandé: “Pourquoi crées-tu une organisation concurrente aux Nations unies?“ Et je lui avais dit que ce n'était pas une concurrence, mais que les Nations unies, avec la règle de l'unanimité, ne pouvaient plus arbitrer les grandes questions du monde". Voici le récit livré par Nicolas Sarkozy
La création de cette institution date en réalité de 1999 , suite à l'initiative du ministre des Finances canadien d'alors, Paul Martin. Son objectif était, au lendemain de la crise économique des années 90, de favoriser les échanges entre les principales puissances économiques du monde, en incluant les puissances émergentes comme l'Afrique du Sud, le Brésil ou l'Inde.
Lien retiré : article supprime.
http://www.lefigaro.fr/politique/le...-millions-d-euros-grace-a-ses-conferences.php