Benoît XVI a estimé lundi que le mariage entre homosexuels était l'une des menaces à la famille traditionnelle susceptibles d'ébranler «l'avenir même de l'humanité».
Cette condamnation sans appel des unions gay a été faite par le pape lors de la cérémonie traditionnelle des vœux au corps diplomatique accrédité au Saint-Siège. Pour le prélat bavarois, «l'éducation des enfants a besoin de lieux. Parmi ceux-ci figure en premier lieu la famille, fondée sur le mariage d'un homme avec une femme».
«Il ne s'agit pas d'une simple convention sociale, mais bien de la cellule fondamentale de toute société. Par conséquent, les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l'avenir même de l'humanité», a-t-il expliqué.
Le Vatican et les responsables de l’Église catholique, qui compte 1,3 milliard de fidèles à travers le monde, sont hostiles à la légalisation du mariage gay intervenue dans plusieurs pays européens et ailleurs.
La liberté d'aimer est un des points communs entre les "gouvernants" de l’Église catholique et ceux de la Chine.
Au 21éme siècle, ces deux entités n'ont toujours pas compris que les êtres humains ne sont pas monolithiques. Ils veulent toujours que leurs sujets (leurs serfs même) rentrent sagement dans leur format pré-établi.
Cette condamnation sans appel des unions gay a été faite par le pape lors de la cérémonie traditionnelle des vœux au corps diplomatique accrédité au Saint-Siège. Pour le prélat bavarois, «l'éducation des enfants a besoin de lieux. Parmi ceux-ci figure en premier lieu la famille, fondée sur le mariage d'un homme avec une femme».
«Il ne s'agit pas d'une simple convention sociale, mais bien de la cellule fondamentale de toute société. Par conséquent, les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l'avenir même de l'humanité», a-t-il expliqué.
Le Vatican et les responsables de l’Église catholique, qui compte 1,3 milliard de fidèles à travers le monde, sont hostiles à la légalisation du mariage gay intervenue dans plusieurs pays européens et ailleurs.
La liberté d'aimer est un des points communs entre les "gouvernants" de l’Église catholique et ceux de la Chine.
Au 21éme siècle, ces deux entités n'ont toujours pas compris que les êtres humains ne sont pas monolithiques. Ils veulent toujours que leurs sujets (leurs serfs même) rentrent sagement dans leur format pré-établi.