R-I-P: Personnalités disparues

Si c'est à moi que tu penses, j'en profite pour te dire qu'il faut un "s" à "des plus maniaques" .... :langue:
non non tu n es pas le centre du forum. (reponse qui allait au dela du forum du reste)
 
R.I.P. George Martin (1926-2016), producteur légendaire des Beatles

Voir la pièce jointe 81583

L'homme derrière le son de "Penny Lane", "I am the Walrus", "Tomorrow never knows" ou "Eleonor Rigby"
Bien triste nouvelle... Producteur surdoué, un vrai gentleman! le cinquieme Beatles et le deuxieme George s'en est alle.. R.I.P
 
Bon, juste pour emm... phitheb : la paille, la poutre, tout ça... Ca te dirait de relire attentivement le titre de ton thread sur les exportations ?:langue:
wah, l'aut comme elle est méchante:cry:
 
petite compilation-hommage (certaines actions sont proprement incroyables):

Le but à 0:34s est, à mon humble avis, le plus beau but jamais marqué.
 
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Jean-Pierre Coffe est mort à l’âge de 78 ans

jean pierre.jpg

Critique culinaire, homme de télévision et de radio, Jean-Pierre Coffe est décédé aujourd'hui à l'âge de 78 ans, selon RTL.
Figure de l'émission "Les Grosses Têtes" de RTL dans les années 1990 et 2000, il était devenu le chroniqueur culinaire de l'émission "Vivement dimanche prochain" à partir de 2003. Connu pour son humour et sa verve parfois assassine, il a marqué l'histoire du petit écran en jetant des morceaux de charcuterie et en criant "C'est honteux, c'est de la merde !" sur TF1.

Il avait été fait chevalier de la légion d'honneur en 2014 et avait publié son autobiographie, "Une vie de Coffe", en 2015.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...ierre-coffe-est-mort-a-l8217age-de-78-ans.php

:cry:
 
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Un peu plus d'informations sur le personage... On ne donne pas la raison de son deces, mais il etait encore sur une emission des grosses tetes la semaine derniere, en pleine forme.

Né à Luneville en 1938, Jean-Pierre Coffe avait évoqué ses premières années, celles tenaillées par la faim, dans Paris Match. En voici un long extrait: "J’ai tout juste 2 ans, en 1940, lorsque mon père est tué à Pont-Remy par les Allemands. Je suis ce qu’on appelle un pupille de la nation. Pendant la débâcle, tous les Alsaciens, les Lorrains s’en vont. Nous aussi. Avec ma mère, comme tant d’autres, on trouve refuge dans une champignonnière au bord de la Loire, non loin de Saumur. Un cauchemar. La nuit, les rats passent entre mes jambes de gamin de 5 ans. C’est la misère, la faim. Ma grand-mère maternelle est cuisinière dans un château non loin de là. Mais on y est très mal reçu et on refuse de nous donner même les miettes. De retour à Lunéville, où je suis né, ma mère reprend le salon de coiffure familial. Je cueille des pissenlits sur le terrain de football à côté de la maison pour avoir un semblant de salade verte. Ma mère fait du savon avec les marrons qu’on ramasse dans la forêt. Pour Noël, ma grand-mère m’offre une orange, enveloppée dans du papier d’aluminium qu’elle a repassé comme s’il s’agissait de la soie la plus précieuse. Mon unique cadeau est ensuite déposé dans une vieille crèche. Pendant ces années de guerre, je mène une vie atroce, qu’un petit Français d’aujourd’hui ne peut même pas imaginer."

La suite, il la racontera dans "Une vie de Coffe", aux éditions Stock. A 13 ans, il entame une carrière sur les planches puis s'inscrit au Cours Simon. La guerre à nouveau le rattrape, lui l'antimilitariste. Après trois années de caserne, il multiplie les petits boulots, décroche un job de directeur de publicité chez Robert Laffont, fonde sa propre agence de relations publiques. Echec. En 1976, il se lance dans la restauration en ouvrant la Ciboulette et Le Modeste. Les adresses deviennent prisées des stars. Jean-Pierre Coffe en devient une. En 1984, il débute à Canal +, transformant le métier de chroniqueur culinaire. « Un soir, Lescure et sa bande de Canal+ dînaient Chez Modeste. Ils m’ont proposé d’animer une rubrique culinaire. J’ai refusé. Trop de boulot. En plus de mon restaurant, j’approvisionnais ceux des théâtres de Patrice Chéreau et d’Antoine Vitez. Mais Jean Carmet a appelé en douce Michel Denisot et lui a assuré que je viendrais au casting. La veille, la soirée s’est éternisée jusqu’à 4 heures du matin avec Jean Poiret, Caroline Cellier, Jean Carmet, Miou-Miou et Dominique Lavanant. A 5 heures, Carmet me fait une proposition : “Va te doucher, on part au marché acheter des saint-jacques.” C’était le thème de l’audition. Arrivé dans les coulisses de la télé, je dis à Denisot : “J’en ai marre que les gens dévalisent les plages avec leur récolte sauvage de saint-jacques.” Séduit par mon coup de gueule, il m’a choisi. Mon engagement pour la bonne bouffe est venu de là. »
 
vraiment triste, j'aimais bien ce personnage, l'ambassadeur de la bonne bouffe, le bon vivant par excellence...
j'en ai une petite larmichette qui me vient :cry:
 
Et pendant ce temps la, Michel Drucker est toujours vivant et fait toujours de la television
Il n'y a pas de justice.
;)

Et il se trouve même que quand on a parlé de le remplacer, il s'est plaint de jeunisme, de racisme anti-vieux...
En même temps, Druker, Leymergie, JP Pernaut iront peut-être rejoindre bientôt Julien Lepers même si ce dernier je l'aimais bien :)
 
Et il se trouve même que quand on a parlé de le remplacer, il s'est plaint de jeunisme, de racisme anti-vieux...
L'exemple parfait du type qui lorsqu'il etait "jeune" disait "il faut faire de la place aux jeunes" dans les annees 60 et qui ensuite souhaite quasiment finir en mourant sur scene comme Moliere... Il a mon plus profond mepris.

En même temps, Druker, Leymergie, JP Pernaut iront peut-être rejoindre bientôt Julien Lepers même si ce dernier je l'aimais bien :)
Vivement qu'ils partent tous, eux aussi. J'ajouterai JP Foucault et Denisot a cette liste.
 
Et pendant ce temps la, Michel Drucker est toujours vivant et fait toujours de la television
Il n'y a pas de justice.
;)
S il n y avait que lui...:rolleyes: dans un autre domaine, on a toujours dassault elu avec des casseroles ripoublicaines... on s egare du sujet.