que faire ?

que faire ?


  • Nombre total d'électeurs
    26
Fa Lice, tu parles de l 'Europe comme si tu en avais déjà discuter avec les allemands, norvégiens, suédois, polonais, espagnols...
Pour moi, c est comme si tu commençais a construire une maison par le toit...
Comment veux tu faire une Europe forte. Une Europe unie. Une Europe solide... Si toi, France tu ne l es pas? Si toi Pologne, tu ne l es pas?...

Tu sais a quoi ça me fait penser... Un couple qui a des problèmes, Et qui met en route un deuxième enfant pensant que tout sera résolu.

L 'Europe n est pas une roue de secours, l'Europe devrait être l'avenir. (Avec la Russie :) )
 
Dernière édition:
On pourrait commencer par aller voter, histoire d'arrêter que plus de 50% des votants soient des plus de 60 ans qui ne demandent qu'une chose:
Mettre au pouvoir d'autres baby-boomers qui les laisseront partir en retraite le plus vite possible en s'assurant que nous, les actifs, leur paieront une retraite au soleil sans avoir à vendre les 80% du parc immobilier français qu'ils se sont payés à 2% d'intérêts durant les années 70, ni à dépenser leur pognon dans autre chose que des vacances au soleil (rappelons qu'en France non seulement le revenu médian des retraités est supérieur à celui des travailleurs, mais il augmente plus vite aussi)

Grain de sel ,
" dans les années 70, je travaillais , le taux de crédit pour une automobile était de 20% , mes parents ont payé 3 fois le prix de leur maison ...... la seule différence avec maintenant c' est l' inflation , mon salaire a presque doublé en 5 ans ( approximation) , ne tirons pas sur l' ambulance .....
 
Fa Lice, tu parles de l 'Europe comme si tu en avais déjà discuter avec les allemands, norvégiens, suédois, polonais, espagnols...
Pour moi, c est comme si tu commençais a construire une maison par le toit...
Comment veux tu faire une Europe forte. Une Europe unie. Une Europe solide... Si toi, France tu ne l es pas? Si toi Pologne, tu ne l es pas?...

Tu sais a quoi ça me fait penser... Un couple qui a des problèmes, Et qui met en route un deuxième enfant pensant que tout sera résolu.

L 'Europe n est pas une roue de secours, l'Europe devrait être l'avenir. (Avec la Russie :) )

Ne t'inquiète pas pour moi, je n'ai pas de problème de couple et si nous voulons mettre en route le troisième ce ne sera pas pour résoudre des problèmes qui n'existent pas :okjesors:.

Je n'ai jamais pris l'Europe comme une roue de secours... Je crois en une Europe fort et unie et je préfère nous voir dans l'Union Européenne que en dehors (Avec ou sans la Russie :)). Je dis simplement qu'il est difficile de gouverner un pays de l'Union Europeenne avec le fonctionnement actuelle de l'Europe. Je pense que l'Europe a accueillie trop rapidement les autres pays alors que nous devrions encore fonctionner à 12 voir à 6 mais de manière plus efficace.
 
Une Europe grande et forte n'est possible qu'en ayant la Mediterrannée comme mer intérieure !
:trollpas::okjesors: mes idées sont de toute façon trop visionnaires pour certains ou pour l'heure. Comme Robert Schuman en 1946 ou Victor Schoelcher en 1846, je ne suis qu'un Alsaco...
 
Peut etre une idee concrete:

Faire une liste complete des personnes notoirement corrompues/indesirables/contre productives a la tete de l'etat et des institutions.
Mettre en place un mot cle simple que les gens devraient ecrire sur leur bulletin de vote afin de montrer leur volonte a voir ces personnes partir, du stlye "Dehors!"

Promouvoir largement ce mot cle ainsi que l'idee qui lui est associee au sein de la population avant le scrutin presidentiel.

Les gens votent, evidemment ce vote comptera pour blanc mais s'il est significatif il n'est pas impossible qu'il soit tout de meme comptabilise separement, au minimum par les instituts de sondage friands de scoops et de sujets insolites.
Si le pourcentage de gens ayant choisi de voter pour "dehors!" est suffisamment significatif, les personnes mentionnees dans la liste doivent se retirer definitivement et immediatement de la vie politique et laisser leur place a d'autres.

Tres simple dans le principe, pas forcement tres complique a mettre en place a priori et potentiellement ca pourrait marcher.
La seule difficulte serait de s'accorder sur les personnes faisant partie de la liste, de ne pas en oublier et de ne pas accuser d'innocents a tort.
Leur signifier à quel point on est mécontent de leur travail, je trouve ça pas mal.
Mais les virer un à un, je ne vois pas l'intérêt.
On devrait plutôt les condamner à faire leur job.
 
Ca y est, je déprime...

Tu n'as pas tord hélas.

Mais comme ça, du tac au tac, il me semble que les mettre à la porte ne nous avance pas trop.
Il faut surtout les remplacer.

Et comme je suis plutôt pour les remplacer par un système que par d'autres dans le même système, hé bien je dirais que peu importe qui il faudra supporter pendant le chantier. De toutes façon, même si on en trouve un de pas pourri, il sera incompétent et en totale réaction avec la mise en place d'un truc qui le rendra inutile en tant que chef...
Donc il faut que le nouveau système émerge et surclasse l'ancien sans lui laisser le choix.

Un peu de la même façon qu'internet a remplacé le mintel. Il était parfaitement inutile de se préoccuper du minitel pendant la transition.
 
L'Histoire est un cyclique mais l’être humain n'apprend rien de ses erreurs.
Faites la révolution, détruisez tout pour reconstruire, le résultat au fond restera le même. Problème de fond: l’être humain.
Oui je de bonne humeur aujourd’hui.
 
Ca y est, je déprime...

Tu n'as pas tord hélas.

Mais comme ça, du tac au tac, il me semble que les mettre à la porte ne nous avance pas trop.
Il faut surtout les remplacer.

Et comme je suis plutôt pour les remplacer par un système que par d'autres dans le même système, hé bien je dirais que peu importe qui il faudra supporter pendant le chantier. De toutes façon, même si on en trouve un de pas pourri, il sera incompétent et en totale réaction avec la mise en place d'un truc qui le rendra inutile en tant que chef...
Donc il faut que le nouveau système émerge et surclasse l'ancien sans lui laisser le choix.

Un peu de la même façon qu'internet a remplacé le mintel. Il était parfaitement inutile de se préoccuper du minitel pendant la transition.

Il est la le problème... D ou un changement de système, d institutions. Revoir notre mode électoral, l accessibilité en politique, la façon d accomplir leur mission, les moyens utilises... Revoir dans son ensemble, le fonctionnement de la vie politique.
Mais ça, qui peut le faire a ce jour? Ceux qui sont en place... Sont pas masos... En tout cas pas pour ça :)
 
Sinon un truc relativement simple à faire et qui pourrait changer beaucoup de choses: changer le système de vote pour toutes les élections. Au lieu d'avoir un vote pour une seule personne, on met une liste de préférence N° 1,2,3, ce qui permettrait à des petits partis à gagner progressivement de l'influence, à faire rentrer de nouvelles idées dans le débat politique.

Le deuxième point important est de réinstaurer un débat d'idée. Le débat politique en France est inexistant et il n'y a pas/peu de plate-forme permettant de réels débats constructifs. Le politique n'est plus une question d'idéaux mais de problèmes à résoudre. La seule chose qui change entre les différentes personnes c'est la manière dont il faut s'y prendre ; cela finit inévitablement en bataille de chiffres et en attaques personnelles. Il serait nécessaire d'avoir un espace de discussion, sans trolls, accessible à tous et permettant un débat intellectuel (hou le gros mot! ça fait peur hein?! bah ça devrait pas) de fond.

Parce que bon clairement, ce rôle qu'aurait du avoir les médias ne marche pas. Un exemple qui m'avait interpellé, c'est la diabolisation de Mélenchon en grand méchant nazi, pour la simple raison que ses idées sont un peu disruptives ; qu'elles soient bonne ou non, là n'est pas la question. Le problème c'est que le système est bien rodé et rejette toute idée chamboulant l'ordre établi.

En gros, il faut :
  • De (nouvelles) idées (impliquant un débat préalable)
  • Des gens pour les formuler (nécessite une implication de la population dans le débat politique)
  • Un moyen de les insérer dans la vie politique (ce qui implique un changement d'institution pour favoriser l'influence des plus petits partis).
 
Il faut dabord prendre en compte de la place de l'Europe et de la France dans l'Europe.
Pour améliorer la situation il y a pour moi 2 grandes alternatives :
Soit on établie une vraie République Européenne :
[...]
Soit on sort de l'union Européenne car l'Europe actuelle de Bruxelles bloque la gouvernance des états membres.
Dans les deux cas, tu prônes du changement et une re-répartition des richesses, ce qui n'est pas l'intérêt de la majorité des votants actuels. D'où mon post initial. Ce n'est pas les petits partis innovants et alternatifs qui manquent (cherchez un peu vous verrez) mais par pitié, quel que soit votre bord: votez.

(Rappel: près de 90% d'abstention aux dernières élections françaises à Hong Kong)
 
Grain de sel ,
" dans les années 70, je travaillais , le taux de crédit pour une automobile était de 20% , mes parents ont payé 3 fois le prix de leur maison ...... la seule différence avec maintenant c' est l' inflation , mon salaire a presque doublé en 5 ans ( approximation) , ne tirons pas sur l' ambulance .....
C'est précisément l'inflation et l'augmentation continue des salaires sur la période qui fait que le taux réel - et je parlais du taux immobilier, pas du taux général à la conso comme pour le cas de ton achat auto - était de l'ordre de 2%.
 
Dernière édition:
En gros, il faut :
  • De (nouvelles) idées (impliquant un débat préalable)
  • Des gens pour les formuler (nécessite une implication de la population dans le débat politique)
  • Un moyen de les insérer dans la vie politique (ce qui implique un changement d'institution pour favoriser l'influence des plus petits partis).
Ou bien simplement juste un peu de patience et de persévérance.
 
Il est la le problème... D ou un changement de système, d institutions. Revoir notre mode électoral, l accessibilité en politique, la façon d accomplir leur mission, les moyens utilises... Revoir dans son ensemble, le fonctionnement de la vie politique.
Mais ça, qui peut le faire a ce jour? Ceux qui sont en place... Sont pas masos... En tout cas pas pour ça
Je ne crois pas qu'il faille s'attacher à ces "détails".

Si on part sur l'idée de mettre déjà en place un système permettant de révéler les priorités partagées par une majorité des français qui soit clair et indiscutable. Aujourd'hui, on a des sondages qui sont commandés, puis sélectionnés et interprétés et nous sons retournés dans la g... pour nous dire "vous pensez ceci et vous voulez cela".

Cette partie du système ne demande pas de moyens considérables et, sans être capable moi-même de le concevoir, je suis à peu près certain que c'est un jeu d'enfant à une époque où d'autres ont inventé une monnaie virtuelle (bitcoin).
Il lui faut par contre acquérir une réputation puis une légitimité.

Quand les besoins et les priorités seront claires et ré-évaluées en temps réel, on verra bien si les institutions s'en emparent ou persistent dans l'autisme en étant gentil (à nous prendre pour ces cons en langage populaire). Nous pourrons alors avancer les solutions et réclamer efficacement les solutions que nous avons choisis.
On entend parler de "think tanks", si j'ai bien compris, ce sont des associations avides de travail sur les problèmes politiques pour se faire mousser et montrer qu'ils sont plus malins que les autres? Ce sont des ressources qui devraient naturellement vouloir s'imposer sur le "marché aux solutions". Je ne sais pas comment ils rouvrent. Mais il faudra croiser les sources et les mettre en concurrence.

A ce niveau, un point me semble important : la fin des partis. Si notre système n'est pas assez mur pour anonymiser totalement une voie de travail, il appartient à l'ancien monde. Le multipartisme a montré son imposture. Il faut passer à l'apartisme.
Que nous apportent nos partis multiples ? Ils encombrent l'espace de réflexion et d'information que devrait être l'espace médiatique pour en faire un théâtre où des guignols se balancent des tartes à la crème et se poignardent confraternellement dans le dos. Et nous encouragent à faire de même et nous tombons volontiers dans le panneau nous-même.
A la poubelle tout ça...

Mais ce n'est pas non plus un préalable. Si on bosse bien, si on sait ce qu'on veut, ce qui est inutile, inefficace et donc nuisible tombera naturellement. Il ne faut en aucun cas en faire une cible...
 
Tu risques d'être déçu des résultats...
Pas vraiment.
Car j'ai depuis longtemps intégré que mes idées n'ont pas à prendre le pas sur celles des autres qui sont sans doute différentes et tout aussi légitimes.
Donc ce qui compte, c'est bien l'ensemble, pas ce que je pense moi.
Si l'opinion générale est "nous voulons rester un peuple de moutons sans que rien ne change, qu'on nous tonde et qu'on nous laisse baver les uns sur les autres pendant que les bons maîtres font leurs affaires sur notre dos", ça ne m'empêchera pas de dormir.
Qui serions-nous pour décider de ce qui est bon et ne l'est pas ?
 
Comme Robert Schuman en 1946 ou Victor Schoelcher en 1846, je ne suis qu'un Alsaco...
Robert Schuman était Luxembourgeois, Lorrain (Allemand sous l'occupation).... mais pas Alsaco.... Gott ferdom!!!
 
On devrait déjà couper quelques têtes pour commencer, ensuite il faudrait un système pour nommer aléatoirement des représentants du peuple à l'assemblée nationale.