Performances Economiques Françaises à l'etranger - Aeronautique - Industries - Luxe - Strategies

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Arf les boulets...

https://www.yahoo.com/news/china-fueling-submarine-arms-race-001757472.html
So when the Australian Lien retiré this week that detailed technical plans — totaling some 20,000 pages — for a French-made submarine had leaked from the manufacturer, the reaction was one of widespread panic. The leaked plans outlined in minute detail the capabilities of a Scorpene-class vessel purchased by India, and New Delhi immediately demanded that French authorities investigate how the respected DCNS shipbuilder had lost control of the plans. In Australia, where DCNS has been tapped to build the country’s next-generation submarine, officials warned the contractor needed to step up security.

Cocorico...
 
Arf les boulets...

https://www.yahoo.com/news/china-fueling-submarine-arms-race-001757472.html
So when the Australian Lien retiré this week that detailed technical plans — totaling some 20,000 pages — for a French-made submarine had leaked from the manufacturer, the reaction was one of widespread panic. The leaked plans outlined in minute detail the capabilities of a Scorpene-class vessel purchased by India, and New Delhi immediately demanded that French authorities investigate how the respected DCNS shipbuilder had lost control of the plans. In Australia, where DCNS has been tapped to build the country’s next-generation submarine, officials warned the contractor needed to step up security.

Cocorico...

J'aimerai bien connaître les sociétés (et donc pays concurrents) ...

Comme ils se tiennent tous par la barbichette en récupérant des documents sur les uns et les autres, il n'est jamais étonnant qu'un, vexé de s'être fait éjecté, se "venge" d'une manière quelque peu disgracieuse ...
 
Chanel rattrapé par le retournement du marché du luxe en 2015

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PARIS (Reuters) - Chanel n'a pas été épargné par les vents contraires qui soufflent sur le marché mondial du luxe et a vu ses résultats décrocher en 2015, selon des chiffres déposés auprès de la chambre de commerce d'Amsterdam et consultés par Reuters.


Extrait : Après des années de progression continue, l'emblématique marque aux deux "C", qui compte parmi les premières griffes mondiales du luxe, accuse un brutal ralentissement dans un marché plombé par la chute du tourisme en Europe après les attentats qui ont frappé la France et la Belgique, le décrochage du marché de Hong Kong ou les récessions russe et brésilienne.

Les ventes de Chanel International BV - dont le périmètre n'apparaît pas précisément - ont chuté de 17% à 6,24 milliards de dollars l'an dernier et le résultat opérationnel a plongé de 23% à 1,60 milliard, pour une marge en baisse à 25,7%, contre 27,6% un an plus tôt, selon le document déposé par la holding aux Pays-Bas.

Le résultat net a quant à lui reculé de 7% à 1,34 milliard de dollars.

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Source : LA TRIBUNE Reuters
 
TGV : un contrat historique pour Alstom aux Etats-Unis

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Le groupe va fournir 28 trains pour la ligne TGV entre Boston et Washington.

Extrait
: Le groupe de transport français Alstom a annoncé vendredi soir avoir décroché un contrat historique d'1,8 milliard d'euros pour vendre ses trains à grande vitesse de dernière génération (Avelia Liberty) à la compagnie ferroviaire américaine Amtrak.

Cette commande de 28 trains pouvant transporter jusqu'à 400 passagers viendra en remplacement des anciennes rames à grande vitesse Acela en service depuis 2000 et fabriquées par le consortium Bombardier- Alstom. Ce dernier ne détenait toutefois que 25% de la coentreprise.

35% de passagers en plus, bientôt à 300 km/h
Ces "TGV" nouvelle génération vont relier Boston et Washington, la capitale fédérale, via New York et Philadelphie, couvrant une distance de 730 kilomètres (km). L'objectif affiché d'Amtrak est d'"augmenter la capacité de transport des voyageurs, de diminuer les temps de trajet et optimiser les frais d'exploitation".

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Source : LA TRIBUNE
 
La mer, trésor français : la plaisance, une industrie majeure mais convalescente

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Axée sur la construction de voiliers, l'industrie nautique est l'un des fleurons français de l'exportation. Mais elle a du mal à se remettre de la crise, notamment parce qu'elle reste peu présente sur le créneau porteur des méga yachts de luxe. Les chantiers allemand et italien trustent ce marché confidentiel mais hautement lucratif

Extrait : Annette Roux savait-elle, quand elle a repris la petite activité de construction de chalutiers de son père, qu'elle allait créer le leader mondial de la fabrication de voiliers ? Bien évidemment, non. Aujourd'hui, le groupe Bénéteau (marques Bénéteau, Jeanneau, CNB...) est la fierté de l'industrie nautique française, dominant le marché mondial des voiliers, avec une part de marché supérieure à 20%. Plus de 800 millions d'euros de chiffre d'affaires dans la plaisance, voilà qui est unique.

Fort recul de la France pendant les années 2000

Mais ces bons résultats ne peuvent masquer une réalité moins riante: les parts de marché françaises ont fortement reculé au cours des années 2000. Principalement avec la crise de 2008-2009. La crise financière, qui a secoué la planète, a eu de fortes répercussions sur les achats de bateaux: quand on doit faire face à une baisse de ses revenus, c'est évidemment la première dépense à laquelle on renonce!

Beaucoup de petits chantiers connus des « voileux » ont alors coulé (Bi-Loup, Archambault, Ovni...). Pas Bénéteau, bien sûr, mais le groupe a dû tailler dans ses effectifs, qui, avec 3.400 salariés en France aujourd'hui, n'ont toujours pas retrouvé, leurs niveaux d'avant-crise, près de 4.000 en 2008.

Les millionnaires ont souffert, mais pas les milliardaires ?

Les autres constructeurs européens n'ont-ils pas dû, eux aussi, faire face à la crise ? Bien sûr, mais ils ont moins reculé, grâce à leur spécialisation dans les grands bateaux à moteur, y compris les méga-yachts de luxe. La crise a aussi frappé les millionnaires... épargnant peut-être les milliardaires, qui achètent les immenses yachts peuplant les baies méditerranéennes. Ce secteur des méga-yachts à moteur s'en est donc mieux sorti.

« Les chantiers italiens, tels que Ferreti, Benetti ou encore Arcadia, et allemands, comme Blum & Voss et Lürssen, dominent en effet très largement ce marché assez confidentiel, mais dynamique et très lucratif grâce à des prix très élevés », souligne une étude réalisée par le cabinet Xerfi(*).

Ils vendent beaucoup moins de bateaux que Bénéteau, mais bien plus grands et plus chers...

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Source : LA TRIBUNE

 
Pernod-Ricard : la politique d'innovation commence à porter ses fruits

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Le deuxième groupe mondial de spiritueux a redressé la barre en 2015/2016 grâce notamment au succès de nouvelles marques, mais prévoit un deuxième plan d'économie sur les achats, après la suppression de 900 emplois sur 18.000.


Extrait : Le deuxième groupe mondial de spiritueux Pernod-Ricard a annoncé lundi un bénéfice net part du groupe annuel en hausse de 43% à 1,235 milliard d'euros sur l'exercice 2015/16, principalement grâce à des charges exceptionnelles et des impôts moins élevés.

Le résultat opérationnel courant a pour sa part augmenté de 2% à 2,277 milliards d'euros, et le groupe français s'est fixé pour objectif de le faire progresser de 2 à 4% au cours de l'exercice 2016/17, a indiqué le Président-directeur général, Alexandre Ricard, dans un communiqué.

Un plan d'économies
Pour la période 2016-2020, le groupe a annoncé la mise en place d'un plan d'économies, baptisé "feuille de route d'efficacité opérationnelle" pour améliorer "la marge opérationnelle à moyen terme" qui devrait permettre d'économiser au total 400 millions d'euros, dont la moitié sera réinvestie en frais de publicité et promotions.

200 millions d'euros doivent être économisés sur les investissements publi-promotionnels et la marge brute et, "dans une moindre mesure, sur les coûts de structure", indique le communiqué. Des économies de liquidités d'environ 200 millions d'euros sont également attendues sur la même période.

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Source : LA TRIBUNE
 
Expofrance 2025 désormais sur les rails !

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Le soutien de l'Etat à la candidature de la France pour l'exposition universelle de 2025 sera bientôt officialisé. Dans un communiqué de presse, Expofrance 2025 a annoncé son rapprochement en cours avec l'Etat, les collectivités de Paris, du Grand Paris et de l'Ile-de-France dans un groupement d'Intérêt public (GIP). Selon nos informations, c'est Pascal Lamy, le délégué interministériel à la candidature de la France pour l'organisation de l'exposition universelle en 2025, qui devrait présider ce GIP.

Extrait : La polémique devrait s'arrêter. Dans un communiqué de presse, les responsables d'Expofrance 2025 ont annoncé son rapprochement en cours avec l'Etat, les collectivités de Paris, du Grand Paris et de l'Ile-de-France. La naissance officielle de cette nouvelle structure devrait être annoncée le 8 septembre par Manuel Valls, le Premier ministre. Elle devrait prendre la forme d'un Groupement d'Intérêt public (GIP) dont l'Etat assumera la présidence, compte-tenu du processus inter-gouvernemental qui régit l'organisation des Expositions Universelles. La désignation de la ville organisatrice est prévue pour la mi-2018.

Pascal Lamy, un choix logique
Selon nos informations, c'est Pascal Lamy, le délégué interministériel à la candidature de la France pour l'organisation de l'exposition universelle en 2025, qui devrait présider ce GIP en tant que représentant de l'Etat.Il est à l'œuvre sur ce dossier depuis le 14 avril 2015 et a su établir une relation de confiance avec les acteurs du projet tricolore.

Peut-on en déduire que l'Etat prend la main sur les préparatifs de la candidature française ? Jean-Christophe Fromantin, le président d'Expofrance 2025 balaie cette hypothèse.

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Source : LA TRIBUNE
 
Quand Smac séduit SpaceX

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Si le chiffre d’affaires de la spécialiste des pièces techniques en élastomères, basée près de Toulon, est en grande partie réalisé grâce à son activité aéronautique, elle n’en gagne pas moins du terrain dans le domaine du spatial où elle pourrait enregistrer cette année de nouvelles commandes.


Extrait : 2016 est incontestablement l'année du spatial pour Smac, filiale du groupe Mont Blanc Technologies. L'entreprise, spécialisée dans la conception et la réalisation de pièces techniques en élastomères innovants, s'est en effet acquitté au premier semestre 2016 de la livraison d'équipements dans le cadre de programmes internationaux, portant sur des expéditions sur les planètes Mars et Mercure. Ainsi, peu à peu, l'entreprise, qui réalise encore l'essentiel de son activité dans l'aéronautique (il représente 60 % du chiffre d'affaires) met le turbo dans le spatial. "Pour la deuxième année, nous avons participé au Space Symposium de Colorado Springs. Nous y avions un stand. Un de nos ingénieurs s'est exprimé sur nos performances, ce qui marque une certaine reconnaissance de notre activité", se réjouit Philippe Robert, le PDG. L'occasion également de rencontrer un certain nombre d'acteurs venu des USA, du Japon... et de nouer des liens. "Ils ont marqué un certain intérêt. A l'issue du Space Symposium, nous avons fait un tour aux Etats-Unis et au Canada auprès de ces industriels. Des entrevues couronnées de succès, même s'il reste maintenant à transformer l'essai". Cela semble toutefois être le cas, puisque les commandes continuent à affluer. "Nous avons reçu notre première commande de pièces de la part de SpaceX, fabricant de fusées pour le gouvernement américain détenu par le milliardaire Elon Musk". Sans compter que SMAC poursuit également ses invectives à l'Est... Par le biais du Gifas, organisation dont elle est membre, elle a effectué une mission exploratoire en Russie. "Nous avons donc rencontré également des industriels du spatial russe, eux-aussi intéressés par nos produits", explique Philippe Robert, qui annonce d'ores et déjà "de nouvelles opportunités pour l'automne". Peut-être de quoi lisser une activité qui jusque là, était considérée par le dirigeant comme cyclique. "Le spatial se stabilise et a tendance à se lisser en croissant".

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Source : LA TRIBUNE
 
Philippine, 17 ans, représentera la France au G20 des entrepreneurs à Pékin

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Philippine Dolbeau, élève en terminale littéraire, fait partie de la délégation française du G20 des entrepreneurs, le YEA ("Young Entrepreneurs's Alliance"), qui se réunira à Pékin du 8 au 10 septembre, en marge du G20 des chefs d'Etat. Il y a deux ans, elle a créé New School, un cahier d'appel électronique qui permet aux enseignants de faire automatiquement l’appel à chaque début de cours.

Entretien.

LA TRIBUNE : Pour ce 8e sommet international, 400 jeunes entrepreneurs, dont 32 Français, représentatifs de l'écosystème entrepreneurial, vont plancher sur les recommandations à remettre aux chefs d'Etat des vingt puissances mondiales. A Pékin, vous serez la plus jeune entrepreneure de toutes les délégations confondues. Quel est le message que vous souhaiteriez faire passer ?

PHILIPPINE DOLBEAU :
Changer les mentalités ! Ma mère a vécu la moitié de sa vie en Angleterre, mon père en France. J'ai eu la chance, de par mon éducation, d'observer deux mentalités différentes. Outre-Manche, on vous pousse dès votre plus jeune âge à faire plein de choses. L'important, c'est d'essayer. En France, le discours est très différent, on vous dit sans cesse "attention, c'est risqué", ou "passe ton bac d'abord". C'est exactement ce que j'ai entendu quand j'ai démarré mon projet. La France accuse un vrai retard à ce niveau là. Pour ma part, ce sont des créateurs d'entreprise eux-mêmes, qui, au regard de mon jeune âge, ont émis quelques doutes.

A ma connaissance, aucune autre délégation du G20 des entrepreneurs ne compte dans ses rangs une aussi jeune entrepreneuse. De plus, il est encore très rare qu'une fille -de surcroît en filière littéraire au lycée- monte sa boîte. En toute modestie, je suis la preuve que à 16 ans, on peut avoir des projets et les mener à bien.

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Source : LA TRIBUNE
 
Manitou lance sa première usine en Amérique latine

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Le français Manitou Group, leader mondial des chariots de manutention tout-terrain finalise sa première filiale en Amérique du Sud avec la création d'une unité de production de 7.000 m² au Brésil. Un moyen d'être plus compétitif sur un marché malmené par la conjoncture économique et politique.


Extrait : « Ça fait six trimestres d'affilée que le Brésil enregistre une baisse de son PIB... Alors il faudra bien attendre 2018 pour que l'économie brésilienne retrouve les points qu'elle a perdus et le niveau d'avant-crise. Cela prendra sans doute plus longtemps que ça, même si certains sont plus optimistes, je suis extrêmement prudent. Quand la destitution [de Dilma Roussef, Ndlr] sera effective, elle devrait donner un petit peu de souffle économique sur 2017. Ensuite, tout dépendra des clients et du rythme de la reprise », observe Michel Denis, CEO de Manitou Group.

Le groupe vient de finaliser la construction d'une unité de production chariots élévateurs de 7.000 m², à Vinhedo, dans l'Etat de São Paolo. La première en Amérique du Sud. Voulue pour être la tête de pont sur l'Uruguay, le Paraguay, le Chili, le Mexique, l'Argentine, le Venezuela et le Brésil où le groupe français réalise un chiffre d'affaires de 25 millions d'euros.

Une misère au regard des 299 millions d'euros affichés pour l'ensemble des Amériques (Nord et centrale), troisième des quatre piliers du leader mondial des chariots de manutention tout-terrain. Pour mémoire, les trois autres piliers sont l'Europe du Nord avec 489 millions d'euros de chiffre d'affaires, l'Europe du Sud avec 370 millions d'euros, et l'Asie Pacifique Afrique Moyen-Orient (APAM), avec 130 millions d'euros Lien retiré. En 2015, son chiffre d'affaires global s'établissait à 1,287 milliards d'euros, contre 1,246 milliards en 2014.

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Source : LA TRIBUNE
 
L'Angola s'offre 17 navires de guerre du chantier naval de Cherbourg CMN

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Luanda passe une commande au chantier naval de Cherbourg, Constructions Mécaniques de Normandie (CMN), portant sur la vente de 17 patrouilleurs courts et longs ainsi que des intercepteurs pour un montant de 495 millions d'euros.


Extrait : C'est un nouveau très joli coup commercial réussi par CMN en Afrique, et plus précisément en Angola après celui signé en 2013 avec le Mozambique. Luanda a signé une commande au chantier naval de Cherbourg, Constructions Mécaniques de Normandie, portant sur la vente de 17 patrouilleurs courts et longs ainsi que des intercepteurs pour un montant de 495 millions d'euros. Un contrat signé au moment où le pays traverse une grave crise économique en raison de la chute des cours du pétrole.

Dans un décret signé par le président José Eduardo dos Santos en date du 29 août, les autorités angolaises ont annoncé que le contrat a été attribué à Privinvest Shipbuilding Investments LCC, présidée par l'homme d'affaires français d'origine libanaise Iskandar Safa et propriétaire de CMN.Dans un communiqué, Privinvest a confirmé au nez et à la barbe de l'italien Leornardo (ex-Finmeccanica), la "fourniture d'une série de bâtiments pour la marine angolaise". Reste encore à financer ce contrat par les banques, toujours très prudentes.

Des navires destinés à protéger les plateformes pétrolières
Ces navires, dont le type n'a pas été précisé, auront pour mission "l'interception et la dissuasion, ainsi que la surveillance permanente des côtes" du pays, a précisé le décret. Ils auront pour mission de protéger les plateformes pétrolières de l'Angola. La société d'Etat en charge des hydrocarbures Sonangol a d'ailleurs annoncé mi-août son intention de mettre sur le marché 18 blocs pétrolifères, tous situés en offshore, dont douze seraient extrêmement prometteurs.

Pour CMN, ce contrat s'il est confirmé, est une bonne nouvelle pour la pérennité du site de Cherbourg. Il est dans la droite ligne de celui signé par le président du Mozambique, Armando Guebuza, venu à Cherbourg en septembre 2013 avec François Hollande. CMN avaient alors vendu à ce pays 24 bateaux de pêche (dont 21 palangriers), trois intercepteurs de 32 mètres de type HSI pouvant atteindre la vitesse de 45 nœuds, et enfin, trois patrouilleurs trimarans de 42 mètres de la classe Ocean Eagle. Trois autres intercepteurs avaient été commandés par la suite par Maputo.

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Source : LA TRIBUNE
 
La fiabilité d'Ariane 5 est l'atout numéro un d'Arianespace pour rester le leader mondial

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Profitant des déboires de ses concurrents, Arianespace garde son leadership mondial sur le marché des lancements de satellites.


Extrait : Face à ses deux concurrents les plus féroces SpaceX et le russe ILS, mais actuellement tous les deux moribonds, Arianespace va faire une belle année 2016. Elle le doit en grande partie à la fiabilité d'Ariane 5 ainsi qu'aux deux autres lanceurs basés au centre spatial de Guyane (CSG), Soyuz et Vega. Car Arianespace délivre à l'heure les satellites sur orbite. Ce qui est très appréciable pour les opérateurs, qui doivent rendre pour les importants des comptes aux marchés financiers... même si cela a un coût.

"Nous avons eu un record de performance sur Ariane, un record de fiabilité", a expliqué le PDG d'Arianespace, Stéphane Israël. "L'une des qualités d'Arianespace est le niveau de fiabilité" de son lanceur.

Pourvu que ça dure pour Arianespace d'autant qu'Ariane 5 va battre probablement le record de succès d'affilée de vols réussis détenu jusqu'ici par Ariane 4 (74 lancements). Pourtant très mal parti dans sa prime jeunesse (échecs en 1996 puis en 2011 et surtout en 2002), Ariane 5 a acquis une maturité qui devrait lui permettre d'égaler d'abord le record d'Ariane 4 le 4 octobre prochain, puis le battre en principe le 17 novembre avec à bord de la version Ariane 5 ES quatre satellites Galileo de l'Union européenne. Si tout va bien, l'année sera certainement historique pour Arianespace - croisons les doigts.

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Source : LA TRIBUNE
 
Veolia décroche un contrat de plus d'un milliard d'euros en Grande-Bretagne

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Le groupe français va construire et exploiter sur une durée de 30 ans un site de valorisation des déchets au nord de Londres. L'unité traitera 350.000 tonnes par an.


Extrait : Veolia a annoncé mardi avoir remporté un contrat de 1 milliard de livres sterling (environ 1,18 milliard d'euros) pour construire et exploiter pendant trente ans une installation de valorisation des déchets du comté d'Hertfordshire, au nord de Londres.

Cette unité traitera 350.000 tonnes par an de déchets dits résiduels, c'est-à-dire qui ne peuvent pas être recyclés ou compostés, pour produire de l'énergie capable d'approvisionner l'équivalent de 69.000 foyers, détaille Veolia dans un communiqué. Ce nouveau contrat enregistré au Royaume-Uni illustre le dynamisme de Veolia dans ce pays. Le leader mondial de la gestion de l'eau et des déchets a engrangé plusieurs contrats ces derniers mois.

De précédents contrats signés déjà en juillet et en août
Il a signé fin août un contrat d'environ 395 millions d'euros sur huit ans pour la gestion de services environnementaux (déchets, nettoyage) pour l'arrondissement londonien de Camden. Fin juillet, il remportait trois contrats pour 84 millions d'euros dans les déchets à Londres. Un peu plus tôt, Veolia avait acquis dans l'est de Londres des moyens de production dans le recyclage de bouteilles en plastique.

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Source : LA TRIBUNE
 
Les Airbus A380 d'occasion vont-ils fragiliser davantage les ventes d'A380 neufs ?

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Singapore Airlines ne prolongera pas la location de son premier Airbus A380 lorsqu'elle arrivera à terme l'an prochain, un nouveau coup dur pour l'avionneur européen qui veut augmenter les ventes de son très gros porteur.

Extrait : Nouveau coup dur pour l'Airbus A380. Déjà fragilisé par des ventes au compte-gouttes depuis de nombreuses années qui l'ont poussé à réduire la cadence de production à un appareil par mois, le géant des airs européen va être prochainement confronté à un autre problème : le retour de lease des premiers appareils mis en service il y a moins d'une dizaine d'années. Autrement dit, le non renouvellement des compagnies clientes de leur contrat de location et la nécessité pour les sociétés de leasing qui en sont propriétaires de retrouver des clients en seconde main.

Singapore Airlines se prononcera l'an prochain sur 4 autres appareils
Ces A380 d'occasion vont de facto concurrencer les ventes d'A380 neufs. D'autant plus que leur prix risque d'être très avantageux en raison d'une demande limitée pour ce type d'avions. Récemment, Willie Walsh le PDG d'IAG, la maison-mère de British Airways, Iberia, Aer Lingus et Vueling, a d'ailleurs indiqué qu'il pourrait acheter à l'avenir des A380 d'occasion, moins chers.

Ce processus vient de commencer. Ce mercredi, Singapore Airlines a annoncé qu'elle ne prolongera pas la location de son premier A380 lorsqu'elle arrivera à terme l'an prochain. Pour rappel, la compagnie singapourienne fut la première à exploiter le super jumbo européen, à l'automne 2007.

"Nos cinq premiers A380 ont une location de 10 ans, prorogeable. La première expirera en octobre 2017 et nous avons décidé de ne pas la prolonger", a dit un porte-parole de la compagnie aérienne singapourienne. "Pour les quatre autres, les décisions seront prises ultérieurement".

La compagnie singapourienne doit par ailleurs prendre livraison de cinq nouveaux A380 au premier semestre 2017.

Le phénomène pourrait également concerner Emirates qui fut le deuxième opérateur de l'appareil en 2008, et bien sûr d'autres compagnies clientes.

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Source : LA TRIBUNE
 
Cartier signe la fin de la sobriété pour oublier la Chine

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Il y a plus d'un an et demi, Cartier lançait un modèle de montre dont le prix dépassait le demi-million d'euros. Le site américain Bloomberg est revenu sur la genèse de cette folie et sur les raisons qui ont poussé Cartier a se lancer dans le très haut-de-gamme.


Extrait : Une montre au prix d'un trois pièces à Paris, voici ce que propose le célèbre horloger Cartier depuis janvier 2015. La Grande Complication Squelette, déclinaison hyper haut-de-gamme de la Rotonde de Cartier, est facturée plus de 500.000 euros. Dotée, comme son nom l'indique, d'une mécanique de haute précision, le fleuron de la marque est également doté d'un dos en verre, permettant d'apprécier cette mécanique en détail d'un côté comme de l'autre.

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Source : LA TRIBUNE

Pas de tres bon gout de presenter une montre de ce prix avec un boitier dans un etat pareil de salete voir de rayures ! :hum:
 
Et si l'Arabie Saoudite était le premier client du blindé Titus de Nexter

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Ryad souhaite équiper deux brigades de l'armée de Terre de Titus ainsi que de canons tractés de 155 mm, selon des sources concordantes. Soit un contrat d'environ 300 millions d'euros.

Extrait : L'Arabie Saoudite pourrait devenir très rapidement le premier client du blindé 6x6 polyvalent Titus tant à l'export qu'en France. Ryad souhaite équiper deux brigades de l'armée de Terre de Titus ainsi que de canons tractés de 155 mm, selon des sources concordantes. Soit un contrat d'environ 300 millions d'euros. Un contrat ficelé lors de la venue il y a environ trois semaines à Paris d'une délégation saoudienne de haut niveau. Ce contrat serait une très bonne nouvelle pour Nexter, qui n'a pas signé de contrat export d'importance (hors munitions) depuis très longtemps. Interrogé, le groupe d'armements terrestres n'a pas souhaité faire de commentaires.

En France, Nexter a passé deux partenariats avec la police nationale, l'un avec le RAID, l'autre avec la BRI (Brigade de recherche et d'intervention) pour des prêts de véhicules en vue de mettre à niveau ce programme. Enfin, Nexter est en discussions avancées depuis de longs mois avec la Tchéquie qui souhaite acquérir 42 véhicules pour un montant évalué à peu moins de 100 millions d'euros.

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Source : LA TRIBUNE
 
Aéronautique : le sauvetage des souffleries de Modane de l'Onera a réussi

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Les travaux d'urgence se sont achevés la semaine dernière. Ils ont empêché un nouvel affaissement de la soufflerie S1 de Modane (Savoie) cet été qui aurait pu être fatal à cet outil unique pour la recherche aérospatiale. Une deuxième phase va débuter en octobre. Elle visera à pérenniser la consolidation de la structure.

Extrait : Les souffleries aéronautiques de Modane (Savoie) de l'Onera, ce joyau stratégique pour l'industrie aérospatiale française que nous envie le monde entier, sont bel et bien sauvées.

"Modane va bien", s'est félicité ce jeudi Bruno Sainjon, le directeur de l'Onera, lors de la cérémonie des 70 ans du centre de recherche aérospatiale français.

20 millions d'euros d'aide exceptionnelle
Menacée d'effondrement, dès cet été, en raison d'un enfoncement continu depuis sa création après la deuxième guerre mondiale qui s'est accéléré en 2014, la soufflerie S1 de Modane, la plus grande du monde, restera debout. Cela semblait une évidence quand le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a donné son feu vert en mars à une aide exceptionnelle de 20 millions d'euros pour réaliser les travaux nécessaires à leur consolidation. Encore fallait-il les mener à temps et les réussir. Il y avait urgence.

"Un enfoncement supplémentaire de 10 millimètres et la soufflerie pouvait s'écrouler", a rappelé Patrick Wagner, le directeur des grands moyens techniques à l'Onera.

Ce qui signifiait leur arrêt de mort. Personne n'aurait en effet déboursé les 700 à 850 millions d'euros nécessaires à sa reconstruction.

"Au printemps dernier, nous étions très inquiets. Si nous ne faisions rien cet été, la soufflerie risquait de s'effondrer", a expliqué Patrick Wagner.

Avec la fonte des neiges dans les Alpes, l'écoulement des eaux pouvait en effet accentuer la détérioration des sols et l'enfoncement de ces derniers.

"La soufflerie et son bâtiment tiennent par 1.000 pieux de 70 mètres de haut, lesquels tiennent uniquement par frottements sur les alluvions. Des pieux s'enfonçaient et, à certains endroits, les murs de la soufflerie n'étaient plus soutenus. Il y avait des fissures et une menace d'effondrement total de ce bâtiment de 45 m de haut qui aurait rendu la soufflerie inutilisable", a précisé Patrick Wagner.

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Source : LA TRIBUNE
 
Trophées de l'Aéronautique 2016 : 13 entreprises et 3 managers en compétition

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La 4e édition des Trophées de l'Aéronautique, organisée par La Tribune Toulouse, se déroulera le 13 octobre prochain à l'aéroport Toulouse-Blagnac. Cet événement, qui met en lumière les entreprises de la supply chain aéronautique française, accueillera comme "grand témoin" le directeur de l'innovation chez Airbus, Yann Barbaux.


Extrait : Plus de 400 personnes, personnalités et décideurs du secteur aéronautique et spatial, sont attendues pour les Trophées de l'Aéronautique, un événement d'envergure nationale qui se tient à Toulouse depuis 4 ans. Organisé par La Tribune Toulouse à la Cité de l'Espace en 2013, au Airbus Delivery Center en 2014 et à l'Espace Cobalt en 2015, la cérémonie se déroulera cette année dans un autre lieu intimement lié à l'industrie aéronautique : l'aéroport Toulouse-Blagnac, dont une partie du Hall A sera privatisée pour l'occasion.

Des entreprises vivant dans l'ombre des constructeurs aéronautiques
Ce rendez-vous consacré aux PME et ETI de la supply chain aéronautique, a plusieurs objectifs : valoriser les performances d'entreprises vivant dans l'ombre des constructeurs aéronautiques, corriger une sous-exposition médiatique de sociétés qui sont les moteurs de la croissance de l'aéronautique, découvrir de nouveaux métiers et de nouvelles spécialités qui font l'aéronautique d'aujourd'hui et dessinent l'avion de demain, mettre en avant des entreprises sur l'ensemble de la France en démontrant que les talents ne sont pas concentrés uniquement à Toulouse et dans sa proche périphérie.

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Source : LA TRIBUNE
 
Rafale en Inde : New Delhi approuve l'acquisition

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Dassault Aviation engrange la plus grosse commande de Rafale à l'export. Le gouvernement indien a approuvé mercredi soir l'achat de 36 avions de combat français.

Extrait :C'était un secret de polichinelle. Le gouvernement indien a approuvé mercredi soir l'achat à la France de 36 avions de combat Rafale de Dassault Aviation, plus grosse commande à l'exportation pour l'avion de combat français. Au terme de presque un an et demi de rudes négociations entre Paris et New Delhi, le gouvernement de Narendra Modi a donc ouvert la voie à la fin d'un feuilleton commercial au centre des relations entre les deux pays. Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian devrait se rendre en Inde en compagnie d'une délégation d'industriels du Team Rafale dès jeudi.

"Le contrat a été approuvé au cours d'une réunion ce soir. Il sera formellement signé par le ministre français de la Défense et son homologue indien le 23 septembre à New Delhi", a déclaré un responsable du ministère de la Défense indien à l'AFP. Le prix exact de la transaction n'a pas été officiellement dévoilé mais selon la presse indienne ces derniers jours, ce chiffre se situerait à 7,87 milliards d'euros.

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Source : LA TRIBUNE