Crise économique mondiale / conséquences éco & sociales du covid

Il y avait de gilets jaune en Chine ? et pourtant, beaucoup ont déjà ferme boutique...
Depuis nov.2018, je n ai pas vu l économie française perturbée. Au contraire, en fin 2019, le gouvernement affichait un grand optimiste et pleins de succès.

Au final, c est tout benef' pour l emploi précaire tant désiré par nos gouvernants !

Il y a des boites fragiles partout. Est ce que les commerces des centre ville de France ne sont pas déjà particulièrement fragilisés par les événements gilet jaune et du mois et demi de grève notamment à paris selon toi ?
 
Il y a des boites fragiles partout. Est ce que les commerces des centre ville de France ne sont pas déjà particulièrement fragilisés par les événements gilet jaune et du mois et demi de grève notamment à paris selon toi ?
c'est sûr qu'avant ces événements tout était au mieux. Le business était florissant mais voilà, les méchants GJ ont tout foutu en l'air, mais quand même le chômage baisse grâce à notre guide suprême et ses fabuleuses réformes.
 
Coronavirus: les aéroports d’Italie se vident peu à peu

Les compagnies aériennes ont multiplié ces derniers jours les suspensions de lignes ou les réductions de fréquences vers l’Italie, pays européen le plus affecté par l’épidémie du nouveau coronavirus. Brussels Airlines le groupe Lufthansa, British Airways, Wizz Air et Delta Air Lines sont entre autres concernées.

Communique :
Alors que le bilan en Italie est passé le 1er mars 2020 à 35 morts et 1576 personnes contaminées, les aéroports de Lombardie, Emilie-Romagne et Vénétie continuent de perdre des vols. A Milan par exemple, où American Airlines a suspendu les vols en provenance de New York et Miami et la low cost easyJet a réduit la voilure, Brussels Airlines réduit de 30% son offre de vol durant les deux prochaines semaines (du 2 au 14 mars) entre Bruxelles et les aéroports Linate et Malpensa, ainsi que vers Rome, Venise et Bologne. La compagnie aérienne belge « constate une tendance générale négative en matière de réservations sur presque tous les marchés européens, mais c’est le nord de l’Italie qui est le plus touché ». Les passagers dont le vol est annulé « sont contactés et réservés sur d’autres vols ou peuvent choisir de se faire rembourser intégralement s’ils ne souhaitent plus voyager ». Brussels Airlines étudie en outre « des mesures économiques, tel que le chômage technique temporaire », et a décidé d’étendre son gel des embauches à l’ensemble de la compagnie. « Il n’est pas encore possible d’estimer l’impact attendu des développements actuels sur les résultats financiers de la compagnie aérienne », précise son communiqué, de plus amples informations devant être dévoilées le 19 mars lors de la présentation des résultats annuels de 2019.

Le groupe Lufthansa, dont Brussels Airlines est membre et qui avait déjà annoncé un serrage de ceinture, a plus généralement annoncé samedi de nouvelles mesures pour contrer les conséquences économiques de l’épidémie : « dans les semaines à venir », le nombre de vols court et moyen-courriers sera réduit jusqu’à 25%, en fonction de l’évolution de la propagation du coronavirus. Les compagnies aériennes du groupe Lufthansa continuent également de réduire leurs horaires de vol sur les liaisons long-courriers, le nombre d’avions gros porteurs actuellement hors service passant de 13 à 23. Le Groupe « étudie également la possibilité de réduire les heures de travail dans divers domaines ». On notera par ailleurs que Lufthansa et Austrian Airlines ont prolongé jusqu’à la fin avril la suspension des vols vers Téhéran.

Au Royaume-Uni, British Airways a également revu son programme de vols à la baisse, vers l’Italie mais aussi vers la Chine et la Corée du Sud. La liaison entre Londres-City et Milan-Linate est limitée pendant la première quinzaine de mars à un vol quotidien contre plus de trois habituellement, et celle entre Gatwick et Bergame est progressivement réduite avant d’être suspendue le 13 mars prochain (celles reliant Gatwick à Turin, Venise ou Vérone ne perdent que quelques vols par semaine. L’aéroport Heathrow est relativement moins affecté, avec quelques rotations hebdomadaires suspendues en mars vers Bologne, Linate ou Malpensa. Sur le long-courrier, la compagnie nationale britannique a reporté au 27 mars au plus tôt son retour à Séoul, et au 18 avril au plus tôt la reprise des vols vers Pékin et Shanghai. Dans tous les cas, les mesures commerciales habituelles sont en place pour les passagers affectés.

En Europe centrale et de l’est, la low cost Wizz Air a réduit de 60% son programme de vols vers l’Italie du nord entre le 11 mars et le 2 avril, suspendant les routes entre Londres-Luton et Bari, entre Varsovie et Bologne, Vérone ou Turin, entre Craiova et Bologne, Suceava et Bologne et Timisoara et Bergame, ainsi qu’entre Tirana et Bergame ou Pise.

En Turquie, Turkish Airlines a annoncé dimanche la suspension de tous les vols vers l’Italie jusqu’au 10 mars au plus tôt (7 destinations), ainsi que ceux vers la Corée du Sud (Séoul) et l’Irak (5 aéroports desservis). Ses vols vers l’Iran sont eux suspendus jusqu’au 14 mars au plus tôt. En Israël, El Al a également suspendu tous ses vols entre Tel Aviv et l’Italie pour deux semaines.

Aux Etats-Unis, Delta Air Lines a elle aussi décidé de suspendre les vols entre New York-JFK et Milan-Malpensa (le dernier vol décolle ce lundi), et ce jusqu’au 1er mai prochain (2 mai au départ de la ville italienne). La rotation quotidienne entre JFK et Rome n’est pas affectée. United Airlines de son côté n’opèrera pas entre Newark et Malpensa jusqu’au 14 mars au plus tôt.

 
Dernière édition:
J'ai pas entendu d'expert assurer qu'elle s’arrêtera au printemps. Certains ont dit que c'est une possibilité mais sont incapables de dire si ce sera le printemps, ou l'été ni si elle reviendra ensuite. Le SRAS c'était juillet par exemple.

Selon la date et selon le niveau de contamination ca peut se comprendre que les impacts économiques seront majeurs. L'économie ce sont des société, des employés et des consommateurs.

Vu la fragilité de certains petits commerces et restaurants suite aux gilets jaunes et à la greve de décembre, il va y avoir des faillites et pertes d'emploi dans ce secteur à coup sur... Idem dans plein de petites structures qui n'ont pas la trésor pour durer des mois sans activité. Ça veut dire que les salariés au chômage ne vont pas consommer pareil que lorsqu'ils avaient un taff, etc... tu crées une spirale dont on ne se relèvera pas forcément tout de suite, surtout si ça dure.

La fragilité, c’est que sur 100€ de CA, y a en moyenne 73€ qui partent dans popoches de l’état pour les PME. Si les boîtes ont pas de tréso ou de reins solides, c’est du aux gabegies des élites, pas des GJ.

En Chine si les boîtes ont pas de tréso, c’est parce qu’elles sont gérées à la wanegain.
 
SAUVE QUI PEUT
La Banque centrale américaine a décidé de baisser ses taux de 0.5%.
La Fed ne prend que rarement des décisions sur les taux en dehors de ses réunions officielles.
La dernière fois qu'elle l'a fait, c'était en 2008.
Après une réaction immédiate positive, les indices boursiers américains ont rechuté.
Le patron de la FED, Jay Powell, a donc cédé à la pression des investisseurs et à la pression de Donald Trump qui réclame déjà de nouvelles baisses de taux.

LE PRÉTEXTE
Le coronavirus va servir de prétexte à tous les pays, comme la France, qui veulent faire de la relance budgétaire alors qu'ils ont déjà un déficit budgétaire et une dette élevés.
Certes, le coronavirus a des conséquences immédiates très négatives pour l'économie, mais on va assister dans les jours qui viennent à un déferlement de mesures de relance extraordinaires dans le monde.
Les banques centrales vont évidemment encore ouvrir les vannes de la liquidité.
Et les gouvernements vont rivaliser avec des relances budgétaires massives.

LE PANIQUISME
Quand l'épidémie sera passée, j'imagine que de nombreux sociologues se pencheront sur la façon dont nous réagissons au coronavirus.
Et à la façon dont les gouvernements, de peur d'une réaction populaire, s'accrochent au principe de précaution pour stopper totalement ou partiellement la machine économique.
Comme je le répète depuis plusieurs jours, la crise du coronavirus est un incroyable révélateur du "dark side" du monde dans lequel nous vivons.
Fascinant.
 
La fragilité, c’est que sur 100€ de CA, y a en moyenne 73€ qui partent dans popoches de l’état pour les PME. Si les boîtes ont pas de tréso ou de reins solides, c’est du aux gabegies des élites, pas des GJ.

Quelle est ta source ? Ou celle de Alplop qui a liké ton post ? Imagine juste si pour 100€ de CA il ne te reste que 27€ pour payer tes matières premières/cout de production, bureaux, accessoires, services, marketing/com, partenaires, et salaires...

Oui on a des charges lourdes mais heureusement pas à ce point... :)
 
Quelle est ta source ? Ou celle de Alplop qui a liké ton post ? Imagine juste si pour 100€ de CA il ne te reste que 27€ pour payer tes matières premières/cout de production, bureaux, accessoires, services, marketing/com, partenaires, et salaires...

Oui on a des charges lourdes mais heureusement pas à ce point... :)

j'évoque les cotisations sociales-patronales + tva sur tout service/produit + taxes diverses + impôts divers + cotisations diverses + nouvelles taxes sorties du chapeau...

https://business.lesechos.fr/direct...a-62-7-de-leur-resultat-commercial-205554.php
un truc rapide que je te trouve, mais faut compter plutot 73% pour les PME en France

résultat commercial, pas CA (ma faute)
 
Hallucinant ! Lufthansa cloue au sol 150 avions à cause du coronavirus

En raison de l'impact sur les ventes du coronavirus, le groupe allemand va clouer au sol 25 gros-porteurs et 125 avions court et moyen-courriers.

Communique:
Les annonces récentes de Lufthansa d'immobiliser au sol 13 gros porteurs avec la possibilité de monter à 23 appareils impressionnent au plus haut niveau au sein d'Air France-KLM. Avec l'annonce de ce jour, nombreux sont ceux, au sein de toute la communauté du transport aérien, qui vont tomber de leur chaise.

Du jamais vu en Europe. Le groupe allemand, qui, outre Lufthansa, compte aussi Eurowings, Swiss et Austrian, va immobiliser 150 appareils en raison de la baisse de trafic aérien générée par l'épidémie de nouveau coronavirus : 25 long-courriers et 125 appareils court et moyen-courriers. Lufthansa passe donc à l'acte. La semaine dernière, la compagnie, avait indiqué qu'elle pourrait réduire près de 25 % de ses vols court et moyen-courriers. Exploitant au total 750 avions, le groupe réduit donc sa flotte de 20%.

Mesure coûteuse

Sauf si les avions sont amortis, clouer au sol les avions est une décision onéreuse. Les conséquences pour l'emploi est également important. Le groupe va donc également geler ses embauches et proposer des congés sans solde à ses employés. L'application d'autres mesures plus lourdes ne seraient pas surprenantes.
Les annonces du groupe allemand traduisent l'impact du Covid-19 sur le transport aérien. Les annulations de vols pleuvent sur les pays touchés fortement par le coronavirus comme la Chine ou l'Italie, mais aussi vers d'autres parties du réseau. Au-delà de ces destinations, les entreprises ont suspendu ou ont freiné fortement les déplacements de leurs collaborateurs, tandis que sur le marché loisirs, les passagers qui n'avaient pas encore réservé leur voyage pour les vacances estivales attendent avant d'acheter de voir l'évolution de l'épidémie. En Allemagne, le groupe de tourisme TUI est même obligé de proposer la possibilité d'annuler sans frais à 15 jours du départ.

Si en Asie, Cathay Pacific * a cloué au sol 120 avions (la moitié de sa flotte), Lufthansa fait office d'exception en Europe. Air France-KLM a, pour l'heure, décidé de redéployer une très grande partie de son offre long-courrier prévue sur la Chine vers d'autres zones, comme l'Amérique du Nord, l'Afrique ou les Antilles, où la situation était qualifiée ce mardi de « stable » par son directeur général, Ben Smith. Mais ce redéploiement n'est pas sans risque sur des marchés déjà peu dynamiques puisqu'il peut engendrer une surcapacité et une baisse des prix pour remplir les avions

Pendant les trois années de crise en 2008, 2009 et 2010, Lufthansa avait été la seule à clouer au sol des avions, mais l'ampleur était sans commune mesure avec la décision prise aujourd'hui. C'était, il est vrai, plus facile pour le groupe allemand, dans la mesure où il détenait l'essentiel de sa flotte en propre et disposait de vieux avions déjà amortis. Cette particularité est toujours d'actualité aujourd'hui.


* Hong Kong 75 % des vols Cathay Pacific annules ....:(
 
j'ai vu un copain pilote de ligne chez AF hier, les compagnies vont réduire d'environ 30% leurs vols car plus assez de client. Chômage partiel voir licenciement si ça dure un peu trop.

Bref ça pue.
 
UN BON TEST POUR L'ÉCOLOGIE
Avec le coronavirus, le monde est entré dans une phase de test de la décroissance.
Pendant plusieurs mois, on va moins se déplacer, les produits vont moins voyager de Chine et d'ailleurs, un test grandeur nature.
Les mesures de pollution en Chine sont déjà spectaculaires, la chute de la pollution est massive.
La preuve que la seule croissance qui est compatible avec l'écologie, c'est la décroissance.
 
Plus de 3.000 agences de voyage et tour-opérateurs risquent de disparaître à cause du coronavirus

Menacés par l'impact du coronavirus, les agences de voyage et les tour-opérateurs demandent à l'Etat une suspension du paiement des charges patronales pendant la crise. 3.000 entreprises et 35.000 salariés sont menacés, affirment-Ils.

Extrait :
Les agences de voyage et les tour-opérateurs français tirent la sonnette d'alarme. Avec la crise du coronavirus, les réservations de voyages et de déplacements professionnels sont à l'arrêt.

"Les entreprises les plus saines et solides n'ont que six mois de trésorerie devant elles, et les plus fragiles à peine un mois au rythme actuel où évoluent les choses", a déclaré le président des Entreprises du Voyage (agences de voyage), Jean-Pierre Mas à l'AFP

"Depuis le début du mois de février, les professionnels du voyage font face à une baisse significative de leurs activités", déplorent Jean-Pierre Mas, et René-Marc Chikli, président du Seto (tour-opérateurs), dans un texte commun.

"Les tour-opérateurs constatent une baisse de l'activité en février de près de 25%, avec une décroissance accrue lors de la dernière semaine (-60%) et un risque majeur d'annulations et de reports sur les commandes enregistrées. Le voyages d'affaires est lourdement impacté, avec un retrait, en termes de prises de commande de -40%", est-il précisé.


Il est clair que il ne va pas y avoir grand monde sur les plages en Espagne , Maroc , Tunisie , Grece etc.. Durant la saison touristique proche , d'ou des problemes economiques qui risquent d'entrainer des troubles sociaux importants dans certaines destinations ...
 
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Coronavirus: les autocaristes demandent un fonds de garantie contre les faillites

La Fédération nationale des transports de voyageurs est reçue ce vendredi à Bercy.

Extrait : La Fédération nationale des transports de voyageurs (FNTV), qui regroupe les autocaristes, craint «des défaillances brutales» d'entreprises «dans les jours qui viennent», et réclame la mise en place d'un fonds de garantie pour prévenir les faillites, dans un communiqué publié mercredi. La FNTV sera ainsi reçue vendredi à 11h30 à Bercy.
«Toutes les entreprises sont touchées, l'activité des transporteurs est à l'arrêt et de nombreuses entreprises anticipent des difficultés économiques et de trésorerie qui leur font craindre des défaillances brutales dans les jours qui viennent», explique la Fédération, évoquant des pertes de chiffre d'affaires pouvant aller de 50 à 80% pour certaines PME. «52% des entreprises sont inquiètes pour leur survie, le risque est imminent», regrette Jean-Sébastien Barrault, président de la FNTV, contacté par Le Figaro. La Fédération, qui réalise actuellement un sondage auprès des entreprises, rapporte que 95% d'entre elles ont subi des annulations. Des annulations qui s'accumulent «depuis lundi de la semaine dernière», indique le président. «En 24h, tout le carnet de commandes de certaines entreprises a disparu», poursuit-il.

 
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Coronavirus : « Nous sommes dans une situation d'urgence économique » (DG d'Air France)

Dans un courrier envoyé aux salariés que La Tribune s'est procuré, Anne Rigail explique que l'impact économique du coronavirus dans les comptes sera plus significatif que les 200 millions d'euros indiqués le 20 février.

Extrait : Troisième annonce de baisse de capacités en une semaine pour Lufthansa. Comme si la situation du groupe allemand s'écroulait chaque jour davantage avec la baisse de la demande provoquée par la crise du coronavirus. Après avoir annoncé le 27 février qu'il clouait au sol 13 gros-porteurs, puis 150 avions il y a deux jours (25 gros-porteurs, et 125 monocouloirs pour réduire la moitié de ses vols court et moyen-courriers, le groupe Lufthansa (composé également de Swiss, Eurowings et Austrian) a annoncé ce vendredi qu'il allait réduire de 50% ses capacités au cours des prochaines semaines, en raison de la baisse de la demande. Jusque-là, le groupe exploitait 750 avions.

Cette stratégie est à la fois une première dans l'histoire du transport aérien mondial, et un cas unique aujourd'hui en Europe. Disposant d'un grand nombre d'avions en pleine propriété et amortis, Lufthansa a plus de facilités que d'autres pour mener cette politique. L'objectif est de réduire les coûts et maintenir les recettes sur les vols restants. Cette politique n'est pas sans risque. Déjà, il crée de facto un énorme sureffectif qu'il faut gérer, sachant que toute suppression de postes pourra devenir un handicap quand les marchés repartiront. Le groupe va geler ses embauches et proposer des congés sans solde à ses employés. Lufthansa étudie l'option du chômage partiel, a expliqué un porte-parole à l'AFP. Sa filiale Austrian Airlines a déposé vendredi - pour la première fois depuis 2008 - une demande en ce sens à Pôle Emploi, avec un début souhaité le 1er avril, a annoncé à l'agence autrichienne APA un porte-parole.

Lufthansa "évalue" aussi l'immobilisation de "toute sa flotte d'Airbus A380", soit 14 avions basés à Francfort et Munich.


Le journaliste aurait pu commencer par la situation a Air France vu la manchette de l'article ? :hum:
 
Dernière édition:
Le journaliste aurait pu commencer par la situation a Air France vu la manchette de l'article ? :hum:
Bonjour Lafoy,

En général, le journaliste écrit son article d’abord, puis c’est le rédac. chef qui pond la manchette.... d’où ce genre d’incohérences.
 
Cathay Pacific ferme aussi sa base de Vancouver

La compagnie de Hong Kong qui souffre face à la contraction de son planning de vols suite à l’épidémie du Covid 19 et des troubles politiques sur son territoire, a annoncé vendredi la fermeture de sa base d’équipage de cabine à Vancouver, mettant à pied 147 membres d’équipage.

Communique :
Les suppressions d’emplois sont les premières annoncées par la compagnie aérienne depuis qu’elle a réduit de 40% sa capacité mondiale en raison de la baisse de la demande due au coronavirus et a demandé à l’ensemble des 27 000 membres de son personnel de prendre trois semaines de congé sans solde. « Dans le cadre de l’examen continu de nos activités, nous avons pris la décision de fermer notre base d’équipage de cabine à Vancouver », a déclaré Cathay dans un communiqué. Cathay avait déjà fermé sa base d’équipage de cabine à Toronto l’année dernière, affectant 120 postes dans le cadre de son plan de transformation plus large conçu pour l’aider à retrouver sa rentabilité. Cathay Pacific Group a aussi immobilisé 120 avions sur le tarmac, représentant environ la moitié de sa flotte et a supprimé plus des trois quarts de ses vols hebdomadaires .

La compagnie aérienne devrait publier ses résultats financiers annuels le 11 mars, après avoir été durement touchée au deuxième semestre 2019 par une baisse de la demande liée à des manifestations antigouvernementales parfois violentes à Hong Kong et qui ont découragé les visiteurs.