¥ - Coronavirus (covid-19) suivi et évolution en Chine & Asie (pas de débats ici, utiliser "Politique de gestion du covid en Chine assouplie")

Vos inquietudes a propos de la situation sanitaire due au coronavirus (2019-ncov)

  • Je ne suis pas inquiet !

    Votes: 56 37,6%
  • Je suis tres inquiet !

    Votes: 36 24,2%
  • Je n'envisage pas de quitter la Chine !

    Votes: 40 26,8%
  • A partir de 500 victimes je quitte la Chine !

    Votes: 6 4,0%
  • A partir de 1000 victimes je quitte la Chine !

    Votes: 4 2,7%
  • Au dessus de 2000 victimes je quitte la Chine !

    Votes: 4 2,7%
  • Pensez vous que le gouvernement va stabiliser la situation dans les jours a venir ? Oui

    Votes: 31 20,8%
  • Pensez vous que le gouvernement va stabiliser la situation dans les jours a venir ? Non

    Votes: 38 25,5%
  • J'envisage serieusement de quitter la Chine si les etudes de mes enfants sont compromises !

    Votes: 7 4,7%
  • J'envisage serieusement de quitter la Chine si cette situation dure trop longtemps !

    Votes: 49 32,9%

  • Nombre total d'électeurs
    149

Covid-19 : piégé en caméra cachée, le militant antivax anglais Piers Corbyn accepte 10.000 livres pour arrêter de critiquer AstraZeneca

Le frère de l'ex-leader du Labour Jeremy Corbyn s'est laissé berner par deux YouTubeurs qui, se faisant passer pour des hommes d'affaires, lui ont proposé une somme d'argent en échange d'un changement de discours.

Extrait : Tel est pris qui croyait prendre. Depuis le début de la crise du Covid-19, Piers Corbyn est devenu l'un des leaders du mouvement antivax au Royaume-Uni. Vif opposant aux mesures sanitaires, adepte des théories complotistes, le frère de l'ancien patron controversé du Labour Party Jeremy Corbyn a même lancé une campagne baptisée «Stop New Normal» pour faire entendre son combat. Mais récemment, il semble avoir renoncé un temps à ses convictions contre une belle somme d'argent… Dans une vidéo tournée en caméra cachée, deux humoristes expliquent en effet comment ils ont piégé le militant, en lui proposant 10.000 livres sterling (13.000 euros) et en lui faisant croire que cette somme provenait d'AstraZeneca.

Celui ci c'est Piers qui roule amasse le flouze ! :)
 
Même la réouverture de la frontière Mainland - Hong Kong (qui a pourtant la même politique de zéro cas) semble compromise.

Hier, le SCMP faisait état d'une conversation avec un officiel du Guangdong qui a déclaré (sous couvert d'anonymat) que :
- lorsque HK aura cumulé 60 jours avec 0 cas, on pourra "commencer à discuter". 60 jours pour seulement commencer à discuter, c'est de la folie. (Hier on était à 57 jours sans cas locaux, mais un cas potentiel s'est déclaré. S'il est confirmé, le compteur repart à zéro)
- qu'il faudra que HK mette en place une application de tracking sanitaire (comme au Mainland). Au motif de respect de la vie privée, une grande partie des Hongkongais y sont opposés, et il semblerait que cela pose aussi des problèmes de légalité vis-à-vis de la Basic Law (la miniconstitution de HK)
- que HK devra appliquer une politique de lockdown de 14 jours et tests de toute la population du district dès qu'un seul cas est confirmé (comme ils le font au Mainland). Cela semble absolument inapplicable à HK. Et si le gouvernement tentait de l'imposer, je pense que les HKais descendraient dans la rue.

Donc si les conditions de l'ouverture sont réellement 60 +++ jours sans cas local, et une App de tracking, et une politique de lockdown, les poules auront des dents avant que l'ouverture ne se fasse !

 
Même la réouverture de la frontière Mainland - Hong Kong (qui a pourtant la même politique de zéro cas) semble compromise.

Bonjour Chris
A Hong Kong le probleme est plutot du cote niveaux tensions politiques vis a vis de la populations mefiante et ce reciproquement vu les evenements recents , que purement sanitaire bien que ca joue egalement au niveau incrimination des mainlanders , les Hongkongais doivent manger leur pain noir au prealable avant la libre circulation comme en 2019 , il est absolument ridicule vu les moyens sanitaires de preventions mis en place depuis des mois et le nombre de cas inexistants durant ces memes mois a Hong Kong en dans le Mainland , que tout soit encore boucle ... C'est un echo que j'ai eu , mais bon libre a chacun de penser ou d'interpreter comme bon lui semble ! :)
 
Même la réouverture de la frontière Mainland - Hong Kong (qui a pourtant la même politique de zéro cas) semble compromise.

Hier, le SCMP faisait état d'une conversation avec un officiel du Guangdong qui a déclaré (sous couvert d'anonymat) que :
- lorsque HK aura cumulé 60 jours avec 0 cas, on pourra "commencer à discuter". 60 jours pour seulement commencer à discuter, c'est de la folie. (Hier on était à 57 jours sans cas locaux, mais un cas potentiel s'est déclaré. S'il est confirmé, le compteur repart à zéro)
- qu'il faudra que HK mette en place une application de tracking sanitaire (comme au Mainland). Au motif de respect de la vie privée, une grande partie des Hongkongais y sont opposés, et il semblerait que cela pose aussi des problèmes de légalité vis-à-vis de la Basic Law (la miniconstitution de HK)
- que HK devra appliquer une politique de lockdown de 14 jours et tests de toute la population du district dès qu'un seul cas est confirmé (comme ils le font au Mainland). Cela semble absolument inapplicable à HK. Et si le gouvernement tentait de l'imposer, je pense que les HKais descendraient dans la rue.

Donc si les conditions de l'ouverture sont réellement 60 +++ jours sans cas local, et une App de tracking, et une politique de lockdown, les poules auront des dents avant que l'ouverture ne se fasse !

Les hongkongais ne peuvent toujours pas se rendre dans le mainland ? moyennant une quarantaine ?
 
Bonjour Chris
A Hong Kong le probleme est plutot du cote niveaux tensions politiques vis a vis de la populations mefiante et ce reciproquement vu les evenements recents , que purement sanitaire bien que ca joue egalement au niveau incrimination des mainlanders , les Hongkongais doivent manger leur pain noir au prealable avant la libre circulation comme en 2019 , il est absolument ridicule vu les moyens sanitaires de preventions mis en place depuis des mois et le nombre de cas inexistants durant ces memes mois a Hong Kong en dans le Mainland , que tout soit encore boucle ... C'est un echo que j'ai eu , mais bon libre a chacun de penser ou d'interpreter comme bon lui semble ! :)
Bonjour Lafoy,

Il était dit au mois de mars-avril que la condition de la réouverture était 30 jours sans cas locaux. Les trente jours furent atteints, et rien ne s'est passé. Pas plus que quand les 40 jours furent passés. Même chose pour 50 jours ... Et maintenant ces conditions, totalement irréalisables.
Il est clair que le Mainland ne veut pas de cette ouverture. Ou, comme tu le sous-entends, si Pékin voulait punir les Hongkongais pour les événements de 2019, ils ne s'y prendraient pas autrement ... :siffle:

Ce qui est dramatique, c'est que Carie Lam et son gouvernement ne s'en rendent pas compte !!!
Au nom de la priorité donnée à l'ouverture vers le Mainland, ils refusent d'envisager l'ouverture vers d'autres pays (Singapour, US, Europe, ...) car effectivement les approches "vivre avec le virus" et "zéro cas" sont incompatibles.
Mais du coup, ils se retrouvent le cul entre deux chaises, en n'ayant ni l'ouverture vers le Mainland, ni l'ouverture vers le reste du monde. Si ce petit jeu dure trop longtemps, HK va en crever !
 
Bonjour Lafoy,

Il était dit au mois de mars-avril que la condition de la réouverture était 30 jours sans cas locaux. Les trente jours furent atteints, et rien ne s'est passé. Pas plus que quand les 40 jours furent passés. Même chose pour 50 jours ... Et maintenant ces conditions, totalement irréalisables.
Il est clair que le Mainland ne veut pas de cette ouverture. Ou, comme tu le sous-entends, si Pékin voulait punir les Hongkongais pour les événements de 2019, ils ne s'y prendraient pas autrement ... :siffle:

Ce qui est dramatique, c'est que Carie Lam et son gouvernement ne s'en rendent pas compte !!!
Au nom de la priorité donnée à l'ouverture vers le Mainland, ils refusent d'envisager l'ouverture vers d'autres pays (Singapour, US, Europe, ...) car effectivement les approches "vivre avec le virus" et "zéro cas" sont incompatibles.
Mais du coup, ils se retrouvent le cul entre deux chaises, en n'ayant ni l'ouverture vers le Mainland, ni l'ouverture vers le reste du monde. Si ce petit jeu dure trop longtemps, HK va en crever !
Madame Lam est parfaitement consciente quand son cheque ( pour faire fonctionner l'admistration et autres aides dans la SAR ) tous les mois arrive de Beijing afin de menager les fonds propres de son gouvernement , Hong Kong n'est qu'une ville moyenne en Chine . C'est goutte d'eau dans le budget chinois , rapport aux enjeux ...
 
Ils peuvent tout comme les mainlanders a Hong Kong , mais la on cause d'une ouverture sans contraintes specifiques , sinon un test au prealable ou etre vaccine , voir les 2 !
Et uniquement les Hongkongais qui ont une Return To Home Card (ie, les Hongkongais d'ascendance chinoise). Pour les autres résidents (même Résidents Permanents), non ; c'est le même régime que tous les étrangers ...
 
Une ambulance avec du personel en tenue NBC est venue le chercher.
Salut Jean, une remanaissance de la periode militaire ;), N définitivement pas adapter , B complètement sur, C j'y croit pas .

Mais on avait comprit l'image. cordialement
 
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La Chine restreint les voyages à l'étranger pour endiguer l'épidémie de COVID-19

2021-08-04

La Chine a renforcé mercredi les restrictions sur les voyages à l'étranger pour ses citoyens dans le cadre des efforts visant à contenir l'augmentation des cas de coronavirus, après avoir signalé son plus grand nombre d'infections depuis des mois.

Communique : La circulation des personnes fait l'objet de restrictions plus importantes à l'intérieur de la Chine - avec des fermetures de transports localisées et des ordres de rester à la maison dans certaines villes - et au-delà des frontières de la Chine.
Les autorités locales ont soumis des villes entières à des tests et ont interdit l'accès à des millions de personnes. Les chiffres officiels de mercredi ont révélé 71 nouvelles infections, soit le nombre le plus élevé depuis janvier, mais le nombre de cas reste faible malgré la propagation de l'épidémie à des dizaines de villes.

L'épidémie a débuté lorsqu'une infection parmi les passagers d'un vol en provenance de Moscou s'est propagée aux nettoyeurs de l'aéroport de Nanjing, dans la province de Jiangsu.

Mercredi, l'autorité chinoise chargée de l'immigration a annoncé qu'elle cesserait de délivrer des passeports ordinaires et d'autres documents nécessaires à la sortie du pays dans les cas "non essentiels et non urgents".

Cela ne signifie pas encore une interdiction générale des voyages à l'étranger pour le public chinois.


Liu Haitao, responsable de l'immigration, a déclaré lors d'un point de presse que les personnes qui "ont des besoins réels en matière d'études à l'étranger, d'emploi et d'affaires" pourront toujours obtenir leurs documents après vérification.
Les équipages étrangers de centaines de navires ont été empêchés de débarquer et de changer d'équipe dans les ports chinois.

* Le gouvernement central a également ordonné aux localités de couper les transports publics et les taxis dans et hors des zones touchées par l'épidémie, a déclaré le ministère des transports lors de la même conférence de presse.

Tests de masse

Wuhan a signalé cette semaine ses premières infections locales depuis plus d'un an et a déclaré mardi qu'elle lançait "rapidement" des tests de dépistage auprès de ses 11 millions d'habitants.

Mardi, de longues files d'attente aux stations de dépistage en plein air, dans la chaleur de l'été, se ventilant avec des formulaires en papier pendant que des travailleurs en combinaisons de sécurité prélevaient des échantillons de gorge.

À Pékin, où le gouvernement de la ville a signalé trois nouveaux cas de virus mercredi, les autorités ont bloqué les entrées d'un complexe où vivait l'un des patients, tandis que les résidents ont franchi les barrières pour recevoir les colis des livreurs.

Nanjing a testé ses 9,2 millions d'habitants à trois reprises, après avoir fermé les salles de sport et les cinémas ainsi que les quartiers résidentiels.
Et la destination touristique de Zhangjiajie, dans la province centrale du Hunan, où des voyageurs infectés qui avaient été à Nanjing ont assisté à une représentation théâtrale, a brusquement annoncé mardi que personne ne serait autorisé à quitter la ville après qu'elle soit devenue un foyer d'infection.

Pendant ce temps, Shanghai enquête sur un cas de Delta détecté chez un employé de l'aéroport cette semaine.

Les autorités ont déclaré mercredi que l'infection n'était pas liée à d'autres cas nationaux et qu'elles soupçonnaient l'employé d'avoir été exposé après avoir retiré son équipement de protection alors qu'il se trouvait dans une "zone contaminée".


Un conseil evitez de quitter la Chine , vous risquez de ne plus pouvoir revenir suivant l'evolution de la situation ! * Ca craint meme de se deplacer en Chine le risque de se retrouver bloque est important , et ce d'un jour a l'autre ! :hum:
 
Dernière édition:
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La Chine continentale rapporte 85 nouveaux cas de COVID-19

2021-08-05

La Chine continentale a signalé mercredi 62 nouveaux cas de COVID-19 transmis localement, a indiqué la Commission nationale de la santé dans son rapport quotidien de jeudi.

Communique : Parmi les cas transmis localement, 40 ont été signalés dans le Jiangsu, neuf dans le Hunan, trois à Pékin, Shandong, Henan et Yunnan, et un dans le Hubei, selon la commission.

23 nouveaux cas importés ont également été signalés, dont neuf à Shanghai, huit au Yunnan, trois au Fujian, deux au Guangdong et un au Shandong.

Deux cas suspects en provenance de l'extérieur du continent ont été nouvellement signalés à Shanghai mercredi.

Aucun décès lié au COVID-19 n'a été nouvellement signalé, a ajouté la commission.


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Dernière édition:
Hm a mon avis, ils vont etre capables de maitriser l'epidemie cette fois ci vu qu'on est en ete. Mais j'ai de gros doute pour l'hiver 2021-2022.
 
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La Chine enregistre la première baisse des nouveaux cas locaux de COVID-19 cette semaine

2021-08-06

La Chine a signalé jeudi une baisse des cas de COVID-19 transmis localement pour la première fois cette semaine, et un responsable de la santé a déclaré qu'il s'attendait à ce que la dernière épidémie du pays, causée principalement par la variante Delta, soit largement sous contrôle d'ici quelques semaines.

Communique : Au total, 85 nouveaux cas confirmés de COVID-19 ont été détectés mercredi, contre 96 un jour plus tôt, selon les données de la Commission nationale de la santé jeudi. Parmi ces nouveaux cas, 62 ont été transmis localement, contre 71 le jour précédent.

Le vice-premier ministre chinois, Sun Chunlan, a déclaré mercredi que l'évolution des différents groupes de cas restait incertaine et que les efforts des autorités pour enrayer la propagation du virus devaient surmonter "un relâchement de l'esprit", a rapporté l'agence de presse Xinhua.
Certaines autorités locales ont été interpellées pour avoir baissé leur garde, ce qui a conduit à la propagation de la variante Delta à partir de sources multiples. Pourtant, He Qinghua, responsable du NHC, a déclaré que la situation du virus était largement contrôlable.

"Tant que les autorités locales appliquent strictement les diverses mesures (de lutte contre le virus), l'épidémie peut être largement contrôlée en deux ou trois périodes d'incubation", a-t-il déclaré jeudi.

Les dernières directives du NHC publiées en avril indiquaient que la période d'incubation du COVID-19 pouvait atteindre 14 jours, mais qu'elle était généralement de trois à sept jours.

"À l'échelle nationale, il est possible que de nouveaux foyers apparaissent dans d'autres régions, et les différentes autorités locales doivent renforcer leur surveillance", a averti M. He.

Des dizaines de villes chinoises, dont Wuhan, Pékin et Shanghai, ont signalé de nouveaux cas depuis la fin juillet, y compris des personnes présentant des symptômes et d'autres qui n'en présentent pas, dans ce que les autorités considèrent comme l'épidémie la plus grave depuis le pic de l'épidémie en Chine au printemps de l'année dernière.
Pour faire face à ces infections, certaines villes ont lancé plusieurs séries de tests de masse pour identifier les porteurs. Des restrictions ont été imposées aux déplacements interurbains et les lieux de rassemblement publics, y compris les lieux de divertissement, ont été fermés ou restreints.

Pékin, qui fait partie de la douzaine de villes ayant signalé des cas de transmission locale de la variante Delta, a réduit le nombre de passagers dans plusieurs stations de métro à l'heure de pointe du matin afin de prévenir la propagation du virus.
Elle mettra en place jusqu'à 21 jours d'observation et de surveillance de la santé pour les personnes provenant de zones à haut risque et à risque moyen pour le COVID-19, et renforcera le dépistage des personnes entrant dans la ville pour un traitement médical en provenance de zones où des cas de COVID-19 ont été signalés.

Elle mettra un terme à l'approbation de nouveaux spectacles commerciaux à grande échelle, notamment ceux qui se déroulent dans des stades et des gymnases. Les représentations approuvées qui n'ont pas encore eu lieu seront reportées.
À Zhengzhou, dans la province du Henan, les autorités ont déclaré jeudi que les cas récents étaient hautement homologues à un cas importé en cours de traitement dans un hôpital local.

Les patients de la capitale provinciale, bien qu'également infectés par la variante Delta, n'étaient pas liés à la récente résurgence à Nanjing.

Par ailleurs, les écoles situées dans des zones à risque moyen ou élevé pourraient retarder le début du semestre d'automne, a déclaré jeudi Liu Peijun, un responsable du ministère de l'éducation.
La prévention et le contrôle du COVID-19 est la priorité absolue pour le travail du nouveau semestre, a déclaré le fonctionnaire. Les autorités éducatives, ainsi que les institutions médicales, organiseront correctement les vaccinations pour les étudiants âgés de 12 à 17 ans.

Le responsable du NHC a déclaré que les mesures de confinement actuelles de la Chine sont efficaces contre la variante Delta. Les vaccins COVID-19 administrés dans tout le pays, qui ont dépassé 1,72 milliard de doses à la date de mercredi, présentent également de bons effets préventifs et protecteurs contre la variante.

La Chine a réussi à stopper la propagation de la variante Delta dans plusieurs régions densément peuplées et à forte mobilité de la population dans la province de Guangdong, ce qui suggère que la vaccination, le port de masques, le lavage des mains, la distance sociale et l'évitement des lieux bondés sont efficaces.

 
Ces trois derniers jours dans le Jiangsu, on a eu plusieurs audits pour le contrôle de virus en entreprise, et aussi des rappels avec demande sur le nombre de vaccinés dans l'entreprise.
 
Image 001.png
15,9% complètement vaccinées( 2 doses) je trouve que c’est peu.
L’objectif officiel consistant à vacciner complètement 70 % de la population chinoise avant fin octobre .:hum:

Le 9 juillet dernier, le ministère chinois de l’Industrie (Miao Wei)annonçait que son pays disposait d’une capacité de production globale de cinq milliards de doses de vaccins contre le Covid-19 pour 2021. Ce qui est suffisant pour fournir à la fois la population chinoise et la quarantaine de pays avec lesquels la Chine a signé des accords de distribution.
 
Voir la pièce jointe 118446
15,9% complètement vaccinées( 2 doses) je trouve que c’est peu.
L’objectif officiel consistant à vacciner complètement 70 % de la population chinoise avant fin octobre .:hum:
Mais c'est parceque tu te bases sur le chiffre de droite que la Chine ne communique pas/rarement alors que le chiffre de gauche du nombre de doses administrées est lui communiqué régulièrement et il indique de facto qu'on doit avoir autour de 50% de complètement vacciné
Car si le chiffre de droite était à jour ca voudrait dire que tu aurais 16% de complètement vacciné et 100% de primo vacciné...

A noter que à Pékin et Shanghai on est à 85+% de fully vacciné
 
La Chine enregistre la première baisse des nouveaux cas locaux de COVID-19 cette semaine

2021-08-06

La Chine a signalé jeudi une baisse des cas de COVID-19 transmis localement pour la première fois cette semaine, et un responsable de la santé a déclaré qu'il s'attendait à ce que la dernière épidémie du pays, causée principalement par la variante Delta, soit largement sous contrôle d'ici quelques semaines.

Communique : Au total, 85 nouveaux cas confirmés de COVID-19 ont été détectés mercredi, contre 96 un jour plus tôt, selon les données de la Commission nationale de la santé jeudi. Parmi ces nouveaux cas, 62 ont été transmis localement, contre 71 le jour précédent.

Le vice-premier ministre chinois, Sun Chunlan, a déclaré mercredi que l'évolution des différents groupes de cas restait incertaine et que les efforts des autorités pour enrayer la propagation du virus devaient surmonter "un relâchement de l'esprit", a rapporté l'agence de presse Xinhua.
Certaines autorités locales ont été interpellées pour avoir baissé leur garde, ce qui a conduit à la propagation de la variante Delta à partir de sources multiples. Pourtant, He Qinghua, responsable du NHC, a déclaré que la situation du virus était largement contrôlable.

"Tant que les autorités locales appliquent strictement les diverses mesures (de lutte contre le virus), l'épidémie peut être largement contrôlée en deux ou trois périodes d'incubation", a-t-il déclaré jeudi.

Les dernières directives du NHC publiées en avril indiquaient que la période d'incubation du COVID-19 pouvait atteindre 14 jours, mais qu'elle était généralement de trois à sept jours.

"À l'échelle nationale, il est possible que de nouveaux foyers apparaissent dans d'autres régions, et les différentes autorités locales doivent renforcer leur surveillance", a averti M. He.

Des dizaines de villes chinoises, dont Wuhan, Pékin et Shanghai, ont signalé de nouveaux cas depuis la fin juillet, y compris des personnes présentant des symptômes et d'autres qui n'en présentent pas, dans ce que les autorités considèrent comme l'épidémie la plus grave depuis le pic de l'épidémie en Chine au printemps de l'année dernière.
Pour faire face à ces infections, certaines villes ont lancé plusieurs séries de tests de masse pour identifier les porteurs. Des restrictions ont été imposées aux déplacements interurbains et les lieux de rassemblement publics, y compris les lieux de divertissement, ont été fermés ou restreints.

Pékin, qui fait partie de la douzaine de villes ayant signalé des cas de transmission locale de la variante Delta, a réduit le nombre de passagers dans plusieurs stations de métro à l'heure de pointe du matin afin de prévenir la propagation du virus.
Elle mettra en place jusqu'à 21 jours d'observation et de surveillance de la santé pour les personnes provenant de zones à haut risque et à risque moyen pour le COVID-19, et renforcera le dépistage des personnes entrant dans la ville pour un traitement médical en provenance de zones où des cas de COVID-19 ont été signalés.

Elle mettra un terme à l'approbation de nouveaux spectacles commerciaux à grande échelle, notamment ceux qui se déroulent dans des stades et des gymnases. Les représentations approuvées qui n'ont pas encore eu lieu seront reportées.
À Zhengzhou, dans la province du Henan, les autorités ont déclaré jeudi que les cas récents étaient hautement homologues à un cas importé en cours de traitement dans un hôpital local.

Les patients de la capitale provinciale, bien qu'également infectés par la variante Delta, n'étaient pas liés à la récente résurgence à Nanjing.

Par ailleurs, les écoles situées dans des zones à risque moyen ou élevé pourraient retarder le début du semestre d'automne, a déclaré jeudi Liu Peijun, un responsable du ministère de l'éducation.
La prévention et le contrôle du COVID-19 est la priorité absolue pour le travail du nouveau semestre, a déclaré le fonctionnaire. Les autorités éducatives, ainsi que les institutions médicales, organiseront correctement les vaccinations pour les étudiants âgés de 12 à 17 ans.

Le responsable du NHC a déclaré que les mesures de confinement actuelles de la Chine sont efficaces contre la variante Delta. Les vaccins COVID-19 administrés dans tout le pays, qui ont dépassé 1,72 milliard de doses à la date de mercredi, présentent également de bons effets préventifs et protecteurs contre la variante.

La Chine a réussi à stopper la propagation de la variante Delta dans plusieurs régions densément peuplées et à forte mobilité de la population dans la province de Guangdong, ce qui suggère que la vaccination, le port de masques, le lavage des mains, la distance sociale et l'évitement des lieux bondés sont efficaces.


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80 cas mais ils ne comptent pas les autres ? la faute au stagiaire ?

August 5, 0-24 hours
-124 new confirmed cases, including
-44 imported cases
-13 in Guangdong
-10 in Yunnan
-8 in Shanghai,
-8 in Shandong
-2 in Sichuan
-2 in Shaanxi
-1 in Tianjin
-80 local cases
-61 in Jiangsu province
-9 in Hunan province
-6 in Hubei province
-1 case in Inner Mongolia
-1 case in Henan
-1 case in Hainan
-1 case in Yunnan
no new fatal cases; 3 new suspected cases, all of which were imported from abroad (all in Shanghai)