Chrysalis, la machine qui transforme le plastique en carburant, passe à la vitesse supérieure

ou acheter le brevet pour le remettre aux calanques grecque.
Il y en a peut-être aussi en Grèce ? Mais moins connues que celles de Marseille ou Cassis...
 
Cette machine me laisse perplexe. Le rendement ne peut pas être aussi bon en traitement par batch qu'il peut l'être en traitement continu. Or les usines qui traitent le plastique pour en faire du carburant suivant ce procédé, ben il n'y en a pas. C'est louche. Si c'était rentable, il y aurait déjà des usines de traitement.

La raison qui me semble etre la plus probable est que la collecte est compliquee et doit couter assez cher puisqu'elle implique un tri, l'enlevement des etiquettes, etc. Du coup c'est probablement difficile d'etre rentable.
Par contre, ca se fait industriellement pour le recyclage des huiles usagees, qui sont elles aussi transformees en diesel/essence/gaz avec un principe de distillation similaire.

Dans le cas present, leur business model est semble t il de vendre la machine en Afrique, la ou la collecte de bouteilles ne sera surement pas un gros souci niveau cout, sachant que la machine en elle meme sera vraisemblablement financee par des organismes caritatifs ou bien des aides d'Etat. En gros comme les utilisateurs finaux n'auront pas eu a payer la machine au depart leur seul veritable cout sera du temps, celui de collecter et trier, en contrepartie de quoi ils disposeront d'une ressource tres facilement convertissable en argent. Facilement rentable pour eux donc.
 
Dans le cas present, leur business model est semble t il de vendre la machine en Afrique, la ou la collecte de bouteilles ne sera surement pas un gros souci niveau cout, sachant que la machine en elle meme sera vraisemblablement financee par des organismes caritatifs ou bien des aides d'Etat. En gros comme les utilisateurs finaux n'auront pas eu a payer la machine au depart leur seul veritable cout sera du temps, celui de collecter et trier, en contrepartie de quoi ils disposeront d'une ressource tres facilement convertissable en argent. Facilement rentable pour eux donc.
Bonsoir Dui
Le seul probleme en Afrique c'est que le materiel n'est pas entretenu , tant que ca marche ca va des qu'il y a un souci le materiel fini dans un coin , quand il n'est pas tout simplement utilise pour une autre fonction !

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Bonsoir Dui
Le seul probleme en Afrique c'est que le materiel n'est pas entretenu , tant que ca marche ca va des qu'il y a un souci le materiel fini dans un coin , quand il n'est pas tout simplement utilise pour une autre fonction !

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C'est vrai oui, c'est assez souvent le cas.
Mais bon ca j'ai envie de dire que c'est leur probleme, s'ils detruisent ce qui leur est fourni gratuitement on peut pas faire grand chose de plus.
 
La raison qui me semble etre la plus probable est que la collecte est compliquee et doit couter assez cher puisqu'elle implique un tri, l'enlevement des etiquettes, etc. Du coup c'est probablement difficile d'etre rentable.

Le plastique recyclé actuellement est obligatoirement préalablement trié. Il est impossible de recycler le PE, le PP, le PET et le PVC en même temps (le PVC n'est d'ailleurs quasiment pas recyclé, trop de merdes dedans).
Le PE est un véritable poison pour les extrudeuses PP, donc les industries équipées de bennes pour le recyclage des plastiques ont interdiction d'y mettre du PE (les fameux films étirables).
Il est donc visiblement plus intéressant financièrement de refaire des granulés de plastiques (qui serviront à refaire des objets) que d'en faire du carburant, même en se tapant le tri PE/PP. C'est ce qui me fait dire que la rentabilité de ce process de pyrolyse ne doit pas être aussi fameuse que l'article le laisse penser.
 

Les suédois sont des fadas du vélo.
Il faisait -23 degrés, je marchais lentement sur le trottoir couvert de 15cm de glace (dans le noir, forcément, en hiver il n'y a que 3 heures de simili grisaille...) en faisant gaffe de ne pas me gameller, et les petites vieux et les petites vieilles foncaient sur la glace avec leur vélos à pneus cloutés. Des tarés j'te dis.
J'ai oublié aussi les gars à vélo torse nu... Par -23... :rolleyes:
 
Les suédois sont des fadas du vélo.
Il faisait -23 degrés, je marchais lentement sur le trottoir couvert de 15cm de glace (dans le noir, forcément, en hiver il n'y a que 3 heures de simili grisaille...) en faisant gaffe de ne pas me gameller, et les petites vieux et les petites vieilles foncaient sur la glace avec leur vélos à pneus cloutés. Des tarés j'te dis.
J'ai oublié aussi les gars à vélo torse nu... Par -23... :rolleyes:
Petit joueur....
 
Il y en a peut-être aussi en Grèce ? Mais moins connues que celles de Marseille ou Cassis...
Pourquoi ils veulent le remettre au « calanques grecques » ?
Tout le monde sait bien qu’il « ne faut pas remettre à deux mains ce qu’on peut faire à deux pieds » ....
Enfin, c’est les grosses multinationales, elles ne changeront jamais : « chassez le naturiste, il revient un bungalow » !

:grin:
 
Le plastique recyclé actuellement est obligatoirement préalablement trié. Il est impossible de recycler le PE, le PP, le PET et le PVC en même temps (le PVC n'est d'ailleurs quasiment pas recyclé, trop de merdes dedans).
Le PE est un véritable poison pour les extrudeuses PP, donc les industries équipées de bennes pour le recyclage des plastiques ont interdiction d'y mettre du PE (les fameux films étirables).
Il est donc visiblement plus intéressant financièrement de refaire des granulés de plastiques (qui serviront à refaire des objets) que d'en faire du carburant, même en se tapant le tri PE/PP. C'est ce qui me fait dire que la rentabilité de ce process de pyrolyse ne doit pas être aussi fameuse que l'article le laisse penser.
Surtout le PE et le PP sont coupés avec d'autres matières pour augmenter les propriétés de flexion etc.. donc cette partie non recyclée fini ou?

Tout ca c'est fabriqué à base de prétrole à la base.
Donc on rajoute un polluant pour dépolluer?
C'est aussi con que l'invention du blue-hdi (consommer plus pour polluer moins)

Les gens ont vraiment l'esprit tordu de nos jours...