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GB : Boris Johnson et sa compagne attendent leur premier enfant

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LONDRES (Reuters) - Le Premier ministre britannique Boris Johnson et sa compagne Carrie Symonds attendent leur premier enfant, a rapporté samedi la presse britannique.

Communique :
Boris Johnson, 55 ans, et Carrye Symonds, 31 ans, se sont également fiancés.
Le leader conservateur deviendrait ainsi le premier Premier ministre britannique à se marier lors de son passage au 10, Downing Street depuis 250 ans, selon le quotidien The Telegraph.

 
Londres fixe ses lignes rouges dans ses négociations commerciales avec Washington

Le Royaume-Uni a dit dimanche vouloir conclure un accord de libre-échange "ambitieux et complet" avec les Etats-Unis, tout en préservant son système public de santé et en maintenant des normes alimentaires "élevées".


Extrait : Un mois après sa sortie de l'Union européenne fin janvier, le gouvernement britannique doit détailler, ce lundi 2 mars, ses objectifs en vue de la conclusion d'un accord commercial avec Washington, dont les négociations devraient démarrer en mars. Le ministère du Commerce international a dit dans un communiqué s'attendre à un coup de fouet de 3,4 milliards de livres (près de 4 milliards d'euros) pour l'économie britannique s'il parvient à s'entendre avec son "plus grand partenaire commercial bilatéral".

Mais il fixe aussi ses lignes rouges: le système public de santé (NHS), gratuit et chéri des Britanniques, "n'est pas à vendre", et des normes élevées devront être maintenues en matière de sécurité alimentaire et de bien-être animal. Le gouvernement fait ainsi référence aux craintes de voir du poulet au chlore ou du boeuf aux hormones américains arriver au Royaume-Uni, ainsi qu'aux accusations de l'opposition travailliste qui lui reproche de vouloir privatiser le NHS.

 
Après le divorce, Bruxelles et Londres ouvrent de nouvelles négociations

BRUXELLES (Reuters) - L'Union européenne et la Grande-Bretagne ouvrent lundi à Bruxelles un premier cycle de discussions qui s'annoncent tendues sur les contours de leur relation post-Brexit, notamment en matière de commerce et de sécurité.


Extrait :
Les deux camps ont fait part de leur volonté de parvenir à un accord d'ici le 31 décembre prochain, date à laquelle s'achèvera la période de transition consécutive à la sortie formelle de la Grande-Bretagne du bloc communautaire le 31 janvier dernier.

Une centaine de représentants britanniques sont attendus à Bruxelles pour un premier cycle de discussions avec l'exécutif européen qui doit durer jusqu'à jeudi.
Est ensuite prévu à Londres dans le courant du mois un deuxième cycle de négociations, et des réunions régulières devraient ensuite avoir lieu à deux ou trois semaines d'intervalle.

L'Union est disposée à accorder à la Grande-Bretagne un accès privilégié à son marché unique de 450 millions de personnes, à condition que Londres offre des garanties quant au respect de certaines règles de concurrence - notamment en matière d'aides publiques.


Relation post-Brexit : discussions sous tension entre Londres et UE

Des discussions sur la future relation post-Brexit entre Londres et l'UE s'ouvrent ce lundi à Bruxelles dans un climat tendu et sous la pression du calendrier, imposant la prudence sur les chances d'aboutir à un accord.

Extrait : Le négociateur de l'UE, le Français Michel Barnier, et son homologue britannique, David Frost, se retrouvent ce lundi après-midi pour un entretien d'une heure. Puis est prévu un premier round de pourparlers de leurs équipes, jusqu'à jeudi. Après la publication la semaine dernière des mandats de négociation des deux camps, qui ont affiché avec vigueur leurs lignes rouges confirmant des divergences profondes, toute la question est de savoir si un terrain d'entente est possible.

En cas d'échec, c'est un "no deal" avec ses conséquences économiques brutales, pour le Royaume-Uni mais aussi pour le continent, qui s'imposera à la fin de la période de transition, le 31 décembre. D'un premier bilan des négociations prévu en juin, le gouvernement de Boris Johnson a fait une date-butoir : il a menacé jeudi de claquer la porte dès l'été si les discussions s'enlisent.

 
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Relation post-Brexit : discussions sous tension entre Londres et UE

Des discussions sur la future relation post-Brexit entre Londres et l'UE s'ouvrent ce lundi à Bruxelles dans un climat tendu et sous la pression du calendrier, imposant la prudence sur les chances d'aboutir à un accord.

Extrait : Le négociateur de l'UE, le Français Michel Barnier, et son homologue britannique, David Frost, se retrouvent ce lundi après-midi pour un entretien d'une heure. Puis est prévu un premier round de pourparlers de leurs équipes, jusqu'à jeudi. Après la publication la semaine dernière des mandats de négociation des deux camps, qui ont affiché avec vigueur leurs lignes rouges confirmant des divergences profondes, toute la question est de savoir si un terrain d'entente est possible.

En cas d'échec, c'est un "no deal" avec ses conséquences économiques brutales, pour le Royaume-Uni mais aussi pour le continent, qui s'imposera à la fin de la période de transition, le 31 décembre. D'un premier bilan des négociations prévu en juin, le gouvernement de Boris Johnson a fait une date-butoir : il a menacé jeudi de claquer la porte dès l'été si les discussions s'enlisent.

je note: juin. Mais bon avec BJ, on va dire début septembre.
 
Géographie du mécontentement et du mal-être dans l’UE par Lewis Dijkstra , Hugo Poelman , Andres Rodriguez-Pose

Le soutien aux partis eurosceptiques s’est accru parallèlement à la hausse de la vague populiste qui balaie actuellement l’Europe. Le mal-être et le mécontentement sont alimentés par une série de facteurs qui sont au cœur même du populisme : âge, richesse, éducation ou changement démographique et économique. Nous présentons ici les principales conclusions de notre étude sur la géographie du mécontentement en Europe.

Extrait :
Après avoir analysé le vote eurosceptique dans plus de 63 000 districts électoraux de toute l’Europe, les résultats se distinguent des points de vue qui jusqu’à présent prévalaient sur les causes de de la vague populiste. La croissance du vote antisystème est fortement corrélée au déclin économique et industriel à moyen et long terme du territoire combiné avec de maigres opportunités d’emploi et, dans une moindre mesure, à un faible niveau d’éducation. Beaucoup d’autres causes qui jusqu’à présent avaient été avancées pour expliquer ce mécontentement se révèlent moins importantes que prévu.

La croissance du vote eurosceptique

Le 24 juin 2016, les citoyens de l’Union européenne se sont réveillés avec le Brexit. Cependant, le vote en faveur du Brexit n’a pas été le premier signe du désenchantement croissant envers l’UE. Le vote pour les partis opposés à l’intégration européenne n’a cessé de croître depuis 15 ans. Celui pour les formations radicalement opposées à l’intégration est passé de 10 à 18% entre 2000 et 2018 et celui pour les formations plus modérément eurosceptiques est passé de 15% à 26%. L’euroscepticisme est répandu, plus ou moins largement, dans de nombreux pays de l’UE.

Suite de l'analyse >>>


Analyse qui preche pour la chapelle UE vu les fonctions des auteurs , mais neanmoins tres interessante ! En gros les eurosceptiques ne sont pas loin d'etre des cretins des Alpes , et des sans dents ! :)
 
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Le budget de l’Union européenne: non à l’obsession du taux de retour! par Cyrille Bret Maître deconférence à Sciences Po

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Le 20 février dernier, les chefs d’État et de gouvernement ont échoué à jeter les fondements du prochain budget de l’Union européenne. Réunis à Bruxelles en sommet européen extraordinaire, les 27 leaders des États-membres n’ont pas réussi converger sur les principaux paramètres du cadre financier pluriannuel (CFP) de la période 2021-2027.

Extrait :
Le principal écueil est l’obsession pour le « taux de retour » : chaque dirigeant européen est obnubilé par le calcul de la différence entre ce qu’il donne à l’Union et ce qu’il en retire en termes de crédit budgétaires. Comme si la contribution à l’Union se limitait à un investissement de court terme. Comme si les coûts et les bénéfices de l’Union pouvaient se limiter à des crédits budgétaires même calculés sur plusieurs années !

Les enjeux du prochain budget sont bien plus larges et bien plus graves. Pour lutter contre la méfiance des populations, l’Union doit avoir les moyens de répondre aux attentes que les Européens lui adressent, souvent sur un mode très critique. Pour contrecarrer les tendances centrifuges, elle doit assurer la cohésion entre l’est et l’ouest. Et pour réduire le scepticisme anti-européen, elle doit montrer qu’elle prépare l’avenir. Le CFP 2021-2027 doit être une opportunité plutôt qu’un pis-aller ou une figure imposée. Le CFP qui vient doit être ambitieux pour permettre à la construction européenne de sortir de ce paradoxe tragiquement eurosceptique : d’un côté, elle dispose de moyens budgétaires trop modestes (1% de la richesse annuelle produite en Europe) pour changer la vie des Européens et, de l’autre, elle est accusée d’être un gouffre financier pour les États membres.

Suite de l'analyse >>>


En gros continuez a subventionner les membres " argent pour bebe " de la CE , et taisez vous c'est pour le bien de l'humanite ! :dead:
 
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Analyse qui preche pour la chapelle UE vu les fonctions des auteurs , mais neanmoins tres interessante ! En gros les eurosceptiques ne sont pas loin d'etre des cretins des Alpes , et des sans dents ! :)
En gros continuez a subventionner les membres " argent pour bebe " de la CE , et taisez vous c'est pour le bien de l'humanite ! :dead:
Bonjour Maitre,

L'aveuglement, notamment de la classe dirigeante, fait partie de l'Histoire. Et cela est encore vrai de nos jours avec cette construction européenne.

Très intéressantes ces vidéos. Ce que j'en retiens:
- l'euroscepticisme vient de la base des deux partis (travailliste et conservateur) ainsi que quelque syndicats (grosse nuance par rapport à la France..)
- Si David Cameron a lancé le référendum c'est parce qu'il n'avait plus le choix, il est donc inutile de l'accuser d'être responsable du Brexit, la décision de faire un référedum a simplement été l'aboutissement des différentes élections au Royaume-uni
 
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Quelle est ta source ? Ou celle de Alplop qui a liké ton post ? Imagine juste si pour 100€ de CA il ne te reste que 27€ pour payer tes matières premières/cout de production, bureaux, accessoires, services, marketing/com, partenaires, et salaires...

Oui on a des charges lourdes mais heureusement pas à ce point... :)
Évidemment j'ai liké pour le passage sur les GJ et sur la gabégie de nos élites qui entraînent dans leur propre perte. Comme si le problème était les GJ, ce ne sont pas eux qui ont explosé la dette de la France et enlever les leviers de la politique monétaire et commerciale...

Au fait, tu ne m'as pas répondu sur le(s ?) pays qui va nous aider à mutualiser les dégats économiques dus au coronavirus. J'ai supposé que tu parlais de l'Allemagne mais ça à l'air d'être mal parti, ils ne veulent déjà même plus Lien retiré (on parle pourtant là de la première puissance industrielle d'europe qui a eu plus d'un mois pour se préparer..) Ça c'est de la solidarité européenne ^^
 
Au fait, tu ne m'as pas répondu sur le(s ?) pays qui va nous aider à mutualiser les dégats économiques dus au coronavirus.

On parlait de l'Euro et de la mutualisation du risque monétaire, donc par définition mutualisation de tous les pays ayant adopté l'euro.
 
On parlait de l'Euro et de la mutualisation du risque monétaire, donc par définition mutualisation de tous les pays ayant adopté l'euro.
Ok, donc principalement l'Allemagne (25,57%), la France (20,16%), l'Italie (17,50%) et l'Espagne (12,57%). En admettant que la France soit touchée, et vu que l'Italie et l'Espagne sont déjà ultra endettées, tout va bien se passer.... À moins que tu ne bases sur les balances Target 2 (qui sont ce qui remplace les taux de change entre les pays de l'euro system) dans ce cas notre salut viendrait toujours de l'Allemagne et du .... Luxembourg.

Lien retiré
 
Ok, donc principalement l'Allemagne (25,57%), la France (20,16%), l'Italie (17,50%) et l'Espagne (12,57%). En admettant que la France soit touchée, et vu que l'Italie et l'Espagne sont déjà ultra endettées, tout va bien se passer.... À moins que tu ne bases sur les balances Target 2 (qui sont ce qui remplace les taux de change entre les pays de l'euro system) dans ce cas notre salut viendrait toujours de l'Allemagne et du .... Luxembourg.

Oui la France est un tel modèle en matière d’endettement, c'est vraiment pas juste qu'on soit tiré vers le bas par les italiens...
 
Oui la France est un tel modèle en matière d’endettement, c'est vraiment pas juste qu'on soit tiré vers le bas par les italiens...
Je n'accuse pas les italiens d'être endettés (ils font ce qu'ils veulent). Et je ne leur souhaite que du bien, ce qui passe par une maîtrise de leur politique commerciale et monétaire.

J'accuse les élites françaises (et tous ceux qui les soutiennent) d'aveuglement(*) et de ne rien comprendre à ce qu'est une monnaie. Ce n'est pourtant pas compliqué il suffit juste de lire ce que disent les économistes dits monétaristes comme Milton Friedman sur l'euro.

Ou alors il faut lire Emmanuel Todd pour comprendre les différences anthropologiques fondamentales des différents pays. Et comme 1 monnaie = 1 peuple, cela éclaire beaucoup de chose.

(*) aveuglement d'autant total que nous avons l'expérience de la précédente crise de 2008: elle nous a coûté extrêmement cher (500 milliards d'euros en 5 ans, 25% du PIB, excusez du peu...) par rapport aux pays qui sont hors de l'euro-system... Il faut avoir une inversion de phase pour persister la voie de la mutualisation des risques/plus on est gros plus on est solides/etc...
 
On parlait de l'Euro et de la mutualisation du risque monétaire, donc par définition mutualisation de tous les pays ayant adopté l'euro.
il n'y aura pas de mutualisation des dettes. Les allemands ont dit "nein" après la crise des subprimes (eurobund). Ils changent un peu leur fusil d'épaule à cause justement de la balance target 2 qui si l'Euro saute, et bien ils l'auront dans le baba. Et puis il faut l'unanimité des pays et je vois mal les pays qui se gèrent bien payer pour les autres.
Bref encore une chimère de plus.
 
lire ce que disent les économistes dits monétaristes comme Milton Friedman sur l'euro.

Ou alors il faut lire Emmanuel Todd
ouh la la, tu cites des gens comme Charles Mystère, toi, tu vas avoir des problèmes.

Ces mecs ne comprennent rien à rien. Par contre Minc, Attali, oui, ça c'est du vrai économiste (qui se trompe depuis 40 ans mais bon. C'est comme le communisme, si ça n'a pas marché c'est parce qu'il y en avait pas assez, du coup il faut plus d'Europe pour que ça fonctionne, CQFD).
 
La première partie des négociations post-Brexit se conclut avec «beaucoup de divergences»

Le négociateur européen Michel Barnier a estimé jeudi qu'il y avait «beaucoup de divergences», «très sérieuses», avec les Britanniques sur la relation post-Brexit, à l'issue d'un premier round de discussions.

Communique :
Il a aussi averti qu'un accord post-Brexit «devra(it) inclure une solution équilibrée pour la pêche», jugeant «impraticable» la demande britannique de négocier chaque année un accès réciproque aux zones de pêche, lors d'une conférence de presse.

Au titre des divergences, le négociateur a également cité la question cruciale des conditions de concurrence loyale que Bruxelles exige de Londres, affirmant que les Britanniques assurent avoir «des ambitions de standards élevés» mais ne «veulent pas traduire ces engagements dans un accord commun». L'UE craint plus que tout d'avoir à sa porte une économie dérégulée qui ne respecterait plus les normes en matières sociale, environnementale ou d'aides d'État.
Autre pierre d'achoppement, selon Michel Barnier, la Cour de justice de l'UE: les Britanniques ne veulent pas qu'elle «joue un rôle» dans l'interprétation du droit européen en cas de différend entre les deux parties sur la mise en œuvre de la nouvelle relation. Malgré ces divergences, Michel Barnier veut «continuer de croire» qu'il est possible de conclure «un bon accord pour les deux parties».

Le deuxième round de négociations doit avoir lieu en mars à Londres. L'accord doit être négocié d'ici la fin de l'année, fin de la période de transition après le divorce entre Londres et l'UE intervenu le 31 janvier. Un échec des négociations aurait des conséquences potentiellement désastreuses pour l'économie britannique mais également des retombées dommageables pour l'UE.

 
Dernière édition:
La première partie des négociations post-Brexit se conclut avec «beaucoup de divergences»

Le négociateur européen Michel Barnier a estimé jeudi qu'il y avait «beaucoup de divergences», «très sérieuses», avec les Britanniques sur la relation post-Brexit, à l'issue d'un premier round de discussions.

Commnique :
Il a aussi averti qu'un accord post-Brexit «devra(it) inclure une solution équilibrée pour la pêche», jugeant «impraticable» la demande britannique de négocier chaque année un accès réciproque aux zones de pêche, lors d'une conférence de presse.

Au titre des divergences, le négociateur a également cité la question cruciale des conditions de concurrence loyale que Bruxelles exige de Londres, affirmant que les Britanniques assurent avoir «des ambitions de standards élevés» mais ne «veulent pas traduire ces engagements dans un accord commun». L'UE craint plus que tout d'avoir à sa porte une économie dérégulée qui ne respecterait plus les normes en matières sociale, environnementale ou d'aides d'État.
Autre pierre d'achoppement, selon Michel Barnier, la Cour de justice de l'UE: les Britanniques ne veulent pas qu'elle «joue un rôle» dans l'interprétation du droit européen en cas de différend entre les deux parties sur la mise en œuvre de la nouvelle relation. Malgré ces divergences, Michel Barnier veut «continuer de croire» qu'il est possible de conclure «un bon accord pour les deux parties».

Le deuxième round de négociations doit avoir lieu en mars à Londres. L'accord doit être négocié d'ici la fin de l'année, fin de la période de transition après le divorce entre Londres et l'UE intervenu le 31 janvier. Un échec des négociations aurait des conséquences potentiellement désastreuses pour l'économie britannique mais également des retombées dommageables pour l'UE.

C’est très diplomatiquement dit. Mais en gros c’est mal barré.
 
il n'y aura pas de mutualisation des dettes.
J'ai pas parlé de mutualisation des dettes mais de mutualisation de la situation monétaire. L'euro est une monnaie commune pas des finances communes.
Tu n'attaques pas l'euro de la même manière avec l’Allemagne et d'autres pays dedans comme tu attaquerais la monnaie italienne seule.
On voit d'ailleurs en l'espèce que pour le moment l'Euro s'est même plutôt renforcé du fait de la baisse des taux US et malgré la situation italienne qu'on peut déjà prévoir comme compliquée...