Notre dame de paris ravagée par le feu

Bonjour, Monsieur le Consul général de la France !

Votre grand président a dit que tous sont ensemble pour reconstruire ce bâtiment ?

C'est le destin de la France ?

Intéressant. Mais, comment ?

Est-ce que les musulmans pieux sont une partie de la France ?

Alors, voilà une méthode pour intégrer cette religion croissante dans la Grande Nation !


Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas
Tu te reposes jamais toi ! Un signe qui ne trompe pas...
 
je suis d'accord mais des dossiers viennent de ressurgir subitement ! Mais ca doit etre un malheureux hasard ! Apres un verdict en Avril 2019 ..
Comme toute personne instruite et raisonnable, je ne crois pas au hasard.
Par contre, l'aptitude d'une personne, d'une société, d'un système à sélectionner intentionnellement ou inconsciemment parmi des milliards de milliards la ou les quelques coïncidences qui soutiennent une thèse plus qu'une autre, ça par contre, j'y crois très fort et ça ne m'empêche pas de me faire piéger moi-même.

L'incendie accidentel est pour moi de loin le plus plausible puisque je ne vois pas quel incendie criminel aurait un sens.

Exit l'hypothèse terroriste, car aucune menace sur personnes (et pas de revendication).
L'escroquerie ? le détournement d'attention ? on est dans la théorie du complot inside job, scenario passionnant mais vide de sens réel, il faudrait carrément des preuves solides.
Reste l'anticlérical fanatique qui aurait une haine farouche contre les religieux parce qu'un évêque aurait abusé de lui quand il était petit... franchement qui y croirait, l’Église reste une institution modérée qui ne joue pas à attiser la haine. On peut reprocher ce qu'on voudra aux cathos, en France, c'est des gens plutôt cool qui ne cherchent pas la merde.

Je crois par contre volontiers que d'aucun chercheront à exploiter cet incendie pour monter qui contre qui. Ne donnons pas dans ce panneau.

Après, ça, c'est mes idées.
La vérité est ce qu'elle est et n'en a rien à faire.
Mais avant que j'imagine les choses autrement, il me faudra des billes.
 
Comme toute personne instruite et raisonnable, je ne crois pas au hasard.
Par contre, l'aptitude d'une personne, d'une société, d'un système à sélectionner intentionnellement ou inconsciemment parmi des milliards de milliards la ou les quelques coïncidences qui soutiennent une thèse plus qu'une autre, ça par contre, j'y crois très fort et ça ne m'empêche pas de me faire piéger moi-même.

L'incendie accidentel est pour moi de loin le plus plausible puisque je ne vois pas quel incendie criminel aurait un sens.

Exit l'hypothèse terroriste, car aucune menace sur personnes (et pas de revendication).
L'escroquerie ? le détournement d'attention ? on est dans la théorie du complot inside job, scenario passionnant mais vide de sens réel, il faudrait carrément des preuves solides.
Reste l'anticlérical fanatique qui aurait une haine farouche contre les religieux parce qu'un évêque aurait abusé de lui quand il était petit... franchement qui y croirait, l’Église reste une institution modérée qui ne joue pas à attiser la haine. On peut reprocher ce qu'on voudra aux cathos, en France, c'est des gens plutôt cool qui ne cherchent pas la merde.

Je crois par contre volontiers que d'aucun chercheront à exploiter cet incendie pour monter qui contre qui. Ne donnons pas dans ce panneau.

Après, ça, c'est mes idées.
La vérité est ce qu'elle est et n'en a rien à faire.
Mais avant que j'imagine les choses autrement, il me faudra des billes.

106316
 
Bonjour Toto,

Je suis éternellement vigilant pour maintenir la pureté de la langue française, oui. :)

Mais vous ?


Bien cordialement,

Stephen唐士明Thomas
Ben t'as encore des efforts à faire... Ridicule !
Capture.JPG
 
Notre-Dame: l'entreprise chargée de l'échafaudage «exclut toute responsabilité»

L'entreprise Le Bras Frères, qui montait l'échafaudage autour de la flèche de Notre-Dame de Paris, a «exclu» mercredi «toute responsabilité» dans l'incendie qui a ravagé l'édifice.

Article :
«Ils excluent de fait toute responsabilité», a déclaré un porte-parole de l'entreprise à l'AFP, assurant qu'après «le premier choc», elle envisageait la situation avec «sérénité» puisque «les procédures ont été respectées».
Selon lui, les douze salariés présents sur le site lundi, jour de l'incendie, ont été entendus par la police judiciaire à Paris et «collaborent parfaitement» avec les enquêteurs.

«Ils ont confirmé qu'il n'y avait pas de point chaud sur l'échafaudage» et n'avoir effectué «aucun travail de soudure», a-t-il poursuivi.
«Quand on quitte un chantier on doit couper toute l'électricité, le disjoncteur du chantier, fermer la porte à clef et remettre les clefs à la sacristie de la cathédrale, ce qui a été fait et dûment noté dans les cahiers», a assuré ce porte-parole.
«Le dernier a quitté les lieux à 17H50 (soit une heure avant le déclenchement de l'incendie, NDLR) et le premier à 17H20», descendant «par les deux ascenseurs qui desservaient l'échafaudage», a-t-il détaillé.


Toujours selon lui, une «mission d'expertise» est en cours «pour voir comment démonter l'échafaudage (...) fragilisé par l'incendie», l'idée étant de «mettre en place un autre échafaudage pour démonter le premier en toute sécurité».

L'échafaudage, a-t-il précisé, était en cours de construction, devant «être livré à la mi-juillet» et «aucun travail sur la charpente n'avait encore commencé».

L'entreprise Le Bras Frères, installée à Jarny (Meurthe-et-Moselle), avait remporté un appel d'offres portant sur trois lots, l'échafaudage mais aussi la rénovation de la charpente en bois de la flèche et sa couverture extérieure. Ces deux dernières opérations n'avaient pas encore été engagées.



En apparence aucun travaux a l'interieur , ils n'etaient meme pas commences !
 
Dernière édition:
Malaise sur le plateau, Mr Mouton, ex Architecte en chef de ND.
 
«Ils ont confirmé qu'il n'y avait pas de point chaud sur l'échafaudage» et n'avoir effectué «aucun travail de soudure», a-t-il poursuivi.
«Quand on quitte un chantier on doit couper toute l'électricité, le disjoncteur du chantier, fermer la porte à clef et remettre les clefs à la sacristie de la cathédrale, ce qui a été fait et dûment noté dans les cahiers», a assuré ce porte-parole.
«Le dernier a quitté les lieux à 17H50 (soit une heure avant le déclenchement de l'incendie, NDLR) et le premier à 17H20», descendant «par les deux ascenseurs qui desservaient l'échafaudage», a-t-il détaillé.


Toujours selon lui, une «mission d'expertise» est en cours «pour voir comment démonter l'échafaudage (...) fragilisé par l'incendie», l'idée étant de «mettre en place un autre échafaudage pour démonter le premier en toute sécurité».

L'échafaudage, a-t-il précisé, était en cours de construction, devant «être livré à la mi-juillet» et «aucun travail sur la charpente n'avait encore commencé».
...

En apparence aucun travaux a l'interieur , ils n'etaient meme pas commences !
Bien !
Et j'en suis heureux.
Il reste par exemple le feu électrique partant d'une installation pérenne vétuste.
Je ne sais pas, moi, un fil tosradé pris dans un mauvais sucre installé il y a 800 ans...;)
 
"Drame National", "touché au coeur" Des millions (ptet 1 milliard) vont être collectés pour rebâtir un toit, tout en demandant les français de contribuer plus, (mdr).

Par contre, pour les sdf, 0, pour les gens qui vivent au dépend des assos 0, les toits c'est mieux.

edit : Et si je suis un peu complotiste/mauvaise langue, pile au moment de la restitution du grand débat. Macron déjà désolé de ne pas pouvoir en parler, si désolé de devoir revoir "tout" son dispositif. Peut être qu'on aura pas le retour avant les européennes, comme c'est dommage.
 
Dernière édition:
Malaise sur le plateau, Mr Mouton, ex Architecte en chef de ND.
Il semblerait qu'il y ait eu au moins un raté au niveau du système incendie car la localisation a envoyé les deux surveillants à un point différent du départ.
Une messe avait d'ailleurs lieu au moment de l'alerte et la cathédrale évacuée très rapidement.
Selon leur témoignage, les premières flammes visibles sont apparues sur la flèche côté Seine.
Une petite perte de temps qui n'a probablement pas changé grand chose à l'ampleur du sinistre.
La réaction de l'architecte est étonnante. Certes les vieilles poutres ont certainement une resistance au feu supérieure mais des vieilles charpentes qui crament on en voit tous les ans, c'est pas impossible en soi.
En théorie dans bon nombre d'ERP, le principe de sécurité incendie repose sur le cloisonnement des volumes dans les combles pour éviter la propagation par des plaques de plâtre. Une option qui n'a visiblement pas été choisie je suppose du fait de la complexité du chantier
 
Ca donne a reflechir ce genre de video ! Voir inspirer certains ...

J'espère qu'ils ont un alibi pour la nuit de lundi à mardi...
Sinon, ils n'ont pas vraiment des gueules de terroristes, ce qui n'empêche pas qu'ils puissent faire des conneries !
 
New York: un homme arrêté avec des bidons d’essence dans la cathédrale

La police n’écarte aucune piste pour le moment. L’individu n’apporte aucune explication cohérente sur sa volonté de pénétrer dans l’édifice avec 8 litres d’essence, deux jours après l’incendie de Notre-Dame.

Article : La cathédrale Saint-Patrick de New York a-t-elle échappé à un incendie criminel? Deux jours après le terrible sinistre qui a emporté le toit de Notre-Dame à Paris, l’arrestation d’un homme, près de l’édifice new-yorkais, pose sérieusement question aux autorités. Pourquoi a-t-il voulu pénétrer dans la cathédrale avec deux bidons d’essence et des briquets? Les autorités restent prudentes mais la piste d’un possible acte criminel est sérieusement envisagée.
Un «raccourci»
C’est vers 20 heures, mercredi soir, qu’un homme de 37 ans s’est présenté à l’entrée du bâtiment érigé au XIXe siècle, transportant deux bidons de près de 4 litres chacun. Il se fait logiquement refouler par la sécurité, qui estime que ce type d’objets n’a rien à faire dans un lieu de culte. D’autant qu’en faisant demi-tour, l’individu éconduit renverse du liquide. Ce n’est pas de l’eau bénite qui s’écoule du jerrican, mais bien de l’essence. Les vigiles préviennent les policiers antiterroristes postés à l’extérieur, qui interpellent rapidement l’étrange visiteur.

La police n’écarte aucune piste pour le moment. L’individu n’apporte aucune explication cohérente sur sa volonté de pénétrer dans l’édifice avec 8 litres d’essence, deux jours après l’incendie de Notre-Dame.

La cathédrale Saint-Patrick de New York a-t-elle échappé à un incendie criminel? Deux jours après le terrible sinistre qui a emporté le toit de Notre-Dame à Paris, l’arrestation d’un homme, près de l’édifice new-yorkais, pose sérieusement question aux autorités. Pourquoi a-t-il voulu pénétrer dans la cathédrale avec deux bidons d’essence et des briquets? Les autorités restent prudentes mais la piste d’un possible acte criminel est sérieusement envisagée.

Outre les 8 litres d’essence qu’il transporte, l’homme avait sur lui deux bidons de liquide inflammable pour briquet, ainsi que des briquets de type allume-gaz. Pour s’expliquer, il dit être en panne sèche, et que sa voiture se trouve garée de l’autre côté de la cathédrale, qu’il comptait traverser comme un raccourci. Des explications pour le moins étrange. Il est bien plus rapide de passer hors de l’édifice pour aller de la Cinquième Avenue à Madison avenue qu’en entrant dans un bâtiment sécurisé. Selon les autorités, le reste des réponses fournies par l’individu sont incohérentes et évasives. Et surtout: après vérification, le réservoir du véhicule n’est pas vide.
Lieu touristique

Selon leNew York Post , un troisième bidon d’essence a été trouvé dans le coffre de la voiture de l’individu, qui s’est garé près de l’église vers 18h30. Après avoir fait un tour, il est revenu vers 19h30 et a commencé à préparer les objets qu’il a transporté jusqu’à la cathédrale une demi-heure plus tard. Le suspect, doctorant en philosophie, est connu de la justice pour agression et ivresse publique. Il est actuellement toujours interrogé par la police. Il n’aurait de lui-même fait aucun lien avec l’incendie de Notre-Dame.

Si la cathédrale Saint-Patrick semble petite à côté des gratte-ciel qui l’environnent, ses dimensions n’ont rien à envier à ses sœurs européennes: une centaine de mètres pour ses deux flèches de façade, contre 69 pour les tours de la façade de Notre-Dame de Paris, ce qui fait d’elle la plus grande d’Amérique du Nord et un objet touristique en plein cœur de Manhattan. Et donc un lieu particulièrement surveillé.


Ouf un incendie accidentel evite !
 
Saura-t-on un jour ce qui a causé l’incendie qui a ravagé en partie Notre-Dame ? Depuis lundi soir, une cinquantaine de policiers de la brigade criminelle tentent de répondre à la question. Pour cela, ils enchaînent les auditions d’ouvriers ayant travaillé sur le chantier se trouvant sur le toit de la cathédrale, ou d’agents de sécurité de l’édifice. Ce jeudi, ils ont interrogé de nouveaux témoins et en ont réentendu certains, indique à 20 Minutes le parquet de Paris. Les conditions de sécurité n’étant toujours pas réunies, les enquêteurs n’ont pas encore reçu le feu vert des autorités pour commencer les constatations et les fouilles dans les décombres. Un travail qui s’annonce très compliqué.


Selon nos informations, les policiers de la Crim ont néanmoins pu, mercredi, rentrer un court instant dans le monument. Les agents de l’identité judiciaire ont pu accéder à l’édifice afin notamment de faire voler un drone qui a pris des clichés. L’objectif était de « figer » la scène, confie à 20 Minutes une source proche du dossier. L’avantage du drone, c’est qu’il peut accéder à des endroits qui ne sont pas accessibles aux policiers scientifiques. Quand ils le pourront, ces agents réaliseront un plan des lieux, comme ils le feraient sur une scène de crime classique. Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police, eux, seront chargés de recueillir des indices dans les décombres et de les analyser.

« On ne sait pas ce qu’on va trouver »
« Le problème, c’est que la zone d’où le feu est parti a été détruite par le feu, s’est effondrée puis a été aspergée d’eau », relève Guillaume Groult, secrétaire national adjoint du Lien retiré, un syndicat des personnels scientifiques de la police. Les enquêteurs devront « faire des investigations sur une zone qui n’existe plus », résume-t-il. Selon lui, il ne faut donc pas « s’attendre à un miracle ». « On ne sait pas ce qu’on va trouver dans les décombres car tout a brûlé et a été aspergé par d’importants volumes d’eau », confirme à 20 Minutes une source policière. Les agents du laboratoire central espèrent pourtant trouver des traces du départ de l’incendie. Pour cela, ils vont étudier la direction prise par le feu pour se propager.

« Le foyer se trouve là où la chaleur a été la plus élevée », explique Xavier Depecker, secrétaire national du Snipat, en charge des policiers scientifiques. En effectuant des prélèvements sur le terrain, ils pourront également « essayer de chercher des traces d’hydrocarbure », ce qui indiquerait que la cause de l’incendie est criminelle. S’il n’exclut aucune hypothèse, le parquet de Paris indique qu’à ce stade, « les investigations n’ont pas mis en évidence d’éléments désignant une origine criminelle ». Selon nos informations, les enquêteurs de la Crim privilégient plusieurs hypothèses : un court-circuit ou un mégot de cigarette mal éteint qui aurait été jeté.

Des hypothèses « plus ou moins fortement appuyées »
Des scénarios qui doivent être « corroborés par des éléments techniques ou par les constatations », souffle un policier qui s’attend à une enquête « longue et complexe ». En attendant, les limiers de la Crim peuvent se pencher sur les images de l’incendie captées soit par les caméras de surveillance, soit par des particuliers. En observant les flammes, ils pourront peut-être découvrir « s’il y a eu un accélérateur, comme un hydrocarbure », complète Xavier Depecker. Les pompiers seront également interrogés sur la couleur des flammes et des fumées qu’ils ont observées. Une chose est sûre, il sera compliqué pour les enquêteurs de découvrir ce qui a réellement causé l’incendie. Selon Guillaume Groult, ils pourront au mieux formuler des hypothèses « plus ou moins fortement appuyées ».



Comme quoi, les enqueteurs sont super cons, meme eux penchent plutot pour un court circuit.
Tfacons si c'est d'origine criminelle ce sera a priori le plus facile a decouvrir.
 
Bonjour Jean

Surtout qu'il n'y a pas d'electricite dans la charpente !


Et comment crois tu que les systemes de detection incendie installes dans la toiture fonctionnaient?
L'energie du Saint esprit?
 
Saura-t-on un jour ce qui a causé l’incendie qui a ravagé en partie Notre-Dame ? Depuis lundi soir, une cinquantaine de policiers de la brigade criminelle tentent de répondre à la question. Pour cela, ils enchaînent les auditions d’ouvriers ayant travaillé sur le chantier se trouvant sur le toit de la cathédrale, ou d’agents de sécurité de l’édifice. Ce jeudi, ils ont interrogé de nouveaux témoins et en ont réentendu certains, indique à 20 Minutes le parquet de Paris. Les conditions de sécurité n’étant toujours pas réunies, les enquêteurs n’ont pas encore reçu le feu vert des autorités pour commencer les constatations et les fouilles dans les décombres. Un travail qui s’annonce très compliqué.


Selon nos informations, les policiers de la Crim ont néanmoins pu, mercredi, rentrer un court instant dans le monument. Les agents de l’identité judiciaire ont pu accéder à l’édifice afin notamment de faire voler un drone qui a pris des clichés. L’objectif était de « figer » la scène, confie à 20 Minutes une source proche du dossier. L’avantage du drone, c’est qu’il peut accéder à des endroits qui ne sont pas accessibles aux policiers scientifiques. Quand ils le pourront, ces agents réaliseront un plan des lieux, comme ils le feraient sur une scène de crime classique. Les techniciens du laboratoire central de la préfecture de police, eux, seront chargés de recueillir des indices dans les décombres et de les analyser.

« On ne sait pas ce qu’on va trouver »
« Le problème, c’est que la zone d’où le feu est parti a été détruite par le feu, s’est effondrée puis a été aspergée d’eau », relève Guillaume Groult, secrétaire national adjoint du Lien retiré, un syndicat des personnels scientifiques de la police. Les enquêteurs devront « faire des investigations sur une zone qui n’existe plus », résume-t-il. Selon lui, il ne faut donc pas « s’attendre à un miracle ». « On ne sait pas ce qu’on va trouver dans les décombres car tout a brûlé et a été aspergé par d’importants volumes d’eau », confirme à 20 Minutes une source policière. Les agents du laboratoire central espèrent pourtant trouver des traces du départ de l’incendie. Pour cela, ils vont étudier la direction prise par le feu pour se propager.

« Le foyer se trouve là où la chaleur a été la plus élevée », explique Xavier Depecker, secrétaire national du Snipat, en charge des policiers scientifiques. En effectuant des prélèvements sur le terrain, ils pourront également « essayer de chercher des traces d’hydrocarbure », ce qui indiquerait que la cause de l’incendie est criminelle. S’il n’exclut aucune hypothèse, le parquet de Paris indique qu’à ce stade, « les investigations n’ont pas mis en évidence d’éléments désignant une origine criminelle ». Selon nos informations, les enquêteurs de la Crim privilégient plusieurs hypothèses : un court-circuit ou un mégot de cigarette mal éteint qui aurait été jeté.

Des hypothèses « plus ou moins fortement appuyées »
Des scénarios qui doivent être « corroborés par des éléments techniques ou par les constatations », souffle un policier qui s’attend à une enquête « longue et complexe ». En attendant, les limiers de la Crim peuvent se pencher sur les images de l’incendie captées soit par les caméras de surveillance, soit par des particuliers. En observant les flammes, ils pourront peut-être découvrir « s’il y a eu un accélérateur, comme un hydrocarbure », complète Xavier Depecker. Les pompiers seront également interrogés sur la couleur des flammes et des fumées qu’ils ont observées. Une chose est sûre, il sera compliqué pour les enquêteurs de découvrir ce qui a réellement causé l’incendie. Selon Guillaume Groult, ils pourront au mieux formuler des hypothèses « plus ou moins fortement appuyées ».



Comme quoi, les enqueteurs sont super cons, meme eux penchent plutot pour un court circuit.
Tfacons si c'est d'origine criminelle ce sera a priori le plus facile a decouvrir.
Bonjour Dui
Il n'a a pas d'electricite dans l'espace de la charpente ! A
Il n'y avait pas de travaux a l'interieur ..
Un megot de cigarette emflamme un matelas ou du papier /carton mais pas de poutres en chene de 800 ans ou un plancher !

Mais bon on verra bien