Les patrons déçus

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lafoy-china

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08 Mar 2009
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Les chefs d'entreprise attendent de la considération et des mesures à la hauteur des enjeux de la crise.

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L'ambiance est loin d'être au beau fixe entre le gouvernement et les chefs d'entreprise. Malgré la présence exceptionnelle de Jean-Marc Ayrault et d'une poignée de ministres à l'ouverture de l'université d'été du Medef, les patrons n'ont jamais eu autant le sentiment d'être incompris et mal aimés. Et les amabilités prononcées à leur endroit par le premier ministre n'ont pas suffi à apaiser leur malaise. «Jean-Marc Ayrault a prononcé un discours de politique générale. C'est une occasion manquée. Aucune incertitude a été levée. Le gouvernement apporte peu de réponses aux questions que se posent les entrepreneurs, alors que la crise s'intensifie. Les réponses ne sont pas à la hauteur des problèmes», déplore Jean-Luc Chauvin, président du Medef Bouches-du-Rhône et PDG d'Otim Immobilier.


La liste des difficultés qui minent les entrepreneurs est connue. Le coût du travail, la rigidité de la réglementation sociale, ou encore une fiscalité excessive et instable sont unanimement dénoncés et il existe une forte attente à l'égard d'un gouvernement qui assure vouloir restaurer la compétitivité de la France. Pour l'heure, c'est l'inquiétude qui prévaut: les mesures fiscales déjà décidées ou envisagées les consternent, tandis que les réformes qu'ils réclament tardent à venir. «Il faut comprendre l'état d'anxiété des chefs d'entreprise qui ne datent pas de l'élection présidentielle mais de mars, explique la présidente du Medef, Laurence Parisot. Ils sont inquiets parce que cela va mal et que les premiers actes et orientations du gouvernement ont été anxiogènes. On n'a jamais connu cela. La crise est plus profonde qu'en 2008 car on n'en voit pas la sortie. L'heure de vérité est proche. En octobre, nous saurons dans quelle direction va le gouvernement et si on est capable de travailler ensemble sur la sortie de crise.»
Son diagnostic est partagé par les chefs d'entreprise, dont beaucoup regrettent le manque de considération à leur égard. Gilles Rebibo, PDG de la société Mister Gold et président de la chambre syndicale des négociants d'or et du bijou d'occasion, en fait partie. Il dénonce «la chasse aux entreprises et aux riches» menée par le gouvernement. À ses yeux, «il existe un harcèlement fiscal, douanier, administratif et policier. La pression fiscale est un handicap pour la trésorerie des entreprises qui sont ainsi fragilisées».

Une instabilité devenue insupportable

Tous considèrent que, pour rétablir la confiance, il faut commencer par bannir ce discours anti-patrons. Mais aussi s'attaquer sérieusement aux problèmes qu'ils rencontrent pour gérer leur entreprise au quotidien et la développer. «Les entreprises n'ont pas de visibilité. Les marges baissent, les prix des matières premières montent, les charges sont de plus en plus lourdes.

L'instabilité fiscale fait qu'il est impossible de prendre des engagements à court terme. Certains chefs d'entreprise s'interrogent sur les choix à faire. Doivent-ils continuer à développer leur société en France ou la vendre? Doivent-ils s'installer en France ou ailleurs?», résume Marie Christine Oghly, présidente du Medef Ile-de-France.


Cette instabilité fiscale, sociale, réglementaire fait partie des problèmes dont se plaignent le plus les chefs d'entreprise. «Il ne sert par exemple à rien de remplacer la taxe professionnelle par d'autres taxes qui coûtent aussi cher à la société», s'emporte Jacques Massieux, PDG de Dron (20 millions d'euros de chiffre d'affaires, 90 salariés), une entreprise présente sur le marché de la location de matériels pour l'industrie, le BTP et les événements, jetant cette fois une pierre dans le jardin de l'ancienne majorité. «Le gouvernement n'a pas défini de cadre, alors que les entrepreneurs ont besoin de cadre.
Ce qui ne pousse pas les entreprises à lui faire confiance», commente de son côté Jean-Luc Maurange, président d'ArcelorMittal Méditerranée, déçu par la prestation du premier ministre.


En fin de journée, dans les allées du campus de Jouy-en-Josas, où se tient la grande réunion patronale, l'opération de reconquête des chefs d'entreprise était loin d'avoir convaincu. Après les discours bienveillants, les patrons attendent désormais des gages concrets du gouvernement.

Source:http://www.lefigaro.fr/conjoncture/...581-les-patrons-decus-par-le-gouvernement.php
 
En fait en France on est persuadé de 3 choses:
- Les patrons sont tous des voleurs et exploiteurs d'employés
- Les riches le sont parce qu'ils ont exploité la misère des autres
- Que l'état prélève à la source plus de 50% de notre salaire pour la retraite / sécu est normal

Sans aller vers l'hypercapitalisme exacerbé, il est quand même temps de nous remettre à la page!
 
De l'autre cote quand tu vois le MEDEF et les apparitions publiques des "patrons" a la tele il y a de quoi les detestes.

Le jour ou les patrons auront le reflexe de soigner leurs images a ce moment la vision des Francais va changer.
 
La vérité est qu'il y a un univers entier entre un patron du MEDEF et un créateur d'entreprise comme nous.
Tous ces gens sortent de grandes écoles et sont tout de suite salariés avec de gros revenus dans des entreprises établies qui ont déjà de la notoriété, de la trésorerie, des clients de longue date, une structure, des collaborateurs... tout ce qu'il faut quoi...

Si on leur demandait de faire comme nous : de créer une entreprise à l'autre bout du globe, en partant de zéro, avec zéro client, pas de trésorerie, aucun collaborateur et un revenu incertain, réduit au minimum pour commencer.... et de développer à partir de là un business, je ne suis pas certain que tous s'en sortiraient...

Comment expliquer que certains de ces "grand" patrons passent chaque jour 2 ou 3 heures dans des émissions de radio à refaire le monde, comme sur RMC par exemple chaque matin... Et bien tout simplement parce que ce sont d'autres qui font le boulot à leur place ! ne voyez en mon propos aucune jalousie... juste je partage mon point de vue sur la question "pourquoi il y a un monde entre l'élite des patrons du MEDEF, salariés de grosses entreprises, et les entrepreneurs investisseurs que nous sommes..."
 
Entierement d'accords avec toi Sillage, le probleme est que justement en France la seule vision du patron est celle qu'impose le Medef...
 
Lamentable.

Et durant la présidence de Sarkozy, l'ambiance était au beau fixe, réduction d'impôt pour les plus fortunés, bâton pour les plus faibles?

L'instabilité, l'insécurité, ce sont justement ces patrons qui pleurent qui:
  • ont poussé à la roue pour des grandes vagues d'immigration à la seule fin de casser les salaires en France.
  • ont organisé la désindustrialisation du pays, & la délocalisation.
  • ont leurs argents dans des banques en Belgique, Suisse, Royaume Uni, Monaco, Lichenstein, Luxembourg, Hong Kong, iles Caimans.

Qu'ils fassent une liste de propositions claires sur leur site internet, & dans leur journal le Figaro, au lieu de larmes de crocos.

Enfin, bien d'accord avec sillage.

Lafoy, ces chers patrons de grandes boîtes sont issus de l'establishment, si tu n'es pas issu de leur milieu, tu es un <<râté>>.

Tu n'es pas des leurs, tu es plutôt un petit artisan à ma connaissance.

Ces Messieurs, Dames, sont <<supérieurs>>, tu comprends.

Ils ne vont pas se salir dans des pays << scabreux >>

Comme dirait des amis de milieux aisés : <<On ne mélange pas les torchons & les serviettes>>.

Pour ces Seigneurs, l'ouvrier qui courre derrière des camions à 45 degrés chez les Chinois, c'est un esclave, pas un patron.

2 de mes patrons ont des villas à Chypre, as tu une villa à Chypre?

Un yacht à Chypre?
 
Dernière édition par un modérateur:
Je vois strictement pas le rapport avec les présidents, que ce soit la gauche ou la droite au pouvoir, lorsque je vois le medef et autres "grands" patrons je ne ressens qu'une gonorrhée auditive.
 
Tous considèrent que, pour rétablir la confiance, il faut commencer par bannir ce discours anti-patrons.
Comment rétablir la confiance avec des merdes comme Denis Gauthier-Sauvagnac...

Que l'on donne le pouvoir aux grands patrons, ils sont les seuls à savoir comment marche un pays...
 
Cours de lecture.

Manitou, t'as pas compris, que les patrons l'ont mauvaise d'avoir un pouvoir de gauche?

T'as pas lu le premier paragraphe???

Pour info, tu sais que le figaro est au service du patronat et de la doite, comme l'observateur est la voix du PS??

Je te fais découvrir ton pays d'origine, fantastique, non!?

Tiens, je t'aide

Les chefs d'entreprise attendent de la considération et des mesures à la hauteur des enjeux de la crise.

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L'ambiance est loin d'être au beau fixe entre le gouvernement et les chefs d'entreprise. Malgré la présence exceptionnelle de Jean-Marc Ayrault et d'une poignée de ministres à l'ouverture de l'université d'été du Medef, les patrons n'ont jamais eu autant le sentiment d'être incompris et mal aimés. Et les amabilités prononcées à leur endroit par le premier ministre n'ont pas suffi à apaiser leur malaise. «Jean-Marc Ayrault a prononcé un discours de politique générale. C'est une occasion manquée. Aucune incertitude a été levée. Le gouvernement apporte peu de réponses aux questions que se posent les entrepreneurs, alors que la crise s'intensifie. Les réponses ne sont pas à la hauteur des problèmes», déplore Jean-Luc Chauvin, président du Medef Bouches-du-Rhône et PDG d'Otim Immobilier.
 
Les mesures des gouvernements précédents de droite, Sarko Chirac Lien retiré1995 -> 2012, ça était quoi?


A part le chômage & l'insécurité , qu'est ce qu'ils ont fait les héros du Medef au pouvoir???
 
Je vois strictement pas le rapport avec les présidents, que ce soit la gauche ou la droite au pouvoir, lorsque je vois le medef et autres "grands" patrons je ne ressens qu'une gonorrhée auditive.

Jusqu'à preuve du contraire c'est la CAC 40 qui donne à bouffer aux français, et c'est dommage, car contrairement à l'Allemagne nous n'avons de PME compétitives et internationales. (certes l'artisanat est le premier employeur, mais si t'as plus de boulot je ne vois pas comment tu peux encore avoir les moyens de faire appel à un artisant)
Je pense qu'il faut donner plus de flexibilité pour permettre aux petits patrons et aux entrepreneurs d'étendre le business.
Il ne faut pas non plus casser le CAC 40, car la France, comme les Etats Unis, dépend énormément de ses grosses multinationales!

Ensuite les grands patrons et les politiques sortent du même moul élitiste français... mais ça c'est tout le paradoxe français, on a fait la révolution en 1789 pour virer les nobles, mais on s'est empressé de créer un "élite" dans les affaires et la politiques pour qu'ils puissent les remplacer!
 
De quelle flexibilité parles tu?

On a pas assez d'intérimaires & de précaires?

T'as pas compris que c'est un problème de monnaie forte, et de compétition avec les pays du Tiers Monde, qui sapent la France?

Il faut faire chuter l'euro au niveau du dollar.

Puis il faut soit fermer les frontières, soit casser les acquis sociaux.

---

De facto, en Europe, nous sommes en train de liquider les acquis sociaux, progressivement.

Se mettre au niveau du Cameroun ou du Bengladesh, n'est pas un honneur, mais une régression au 19ième siècle.

---

Attendez la cerise sur le gâteau.

Il nous faut de l'immigration!!!

Oui, 3 millions de chômeurs , ce n'est pas suffisant.

!

Génial.

Sans boulot, sans avenir, sans réseau, ces braves gens vont se tourner vers la criminalité, vive l'insécurité!

Lien retiré
 
Dernière édition par un modérateur:
Jusqu'à preuve du contraire c'est la CAC 40 qui donne à bouffer aux français

Je parle pas vraiment de leur poids dans l’économie, c'est eux qui font bouffer les Français, oui, mais c'est pas les seuls patron Français et faire de leur image un stéréotype du patron fut une grande erreur.
 
De quelle flexibilité parles tu?

Bah de pouvoir travailler plus pour gagner plus comme disait notre ami Sarko.
Et puis aussi, le report des charges sociales sur la TVA (la fameuse TVA sociale), en core un truc de Sarko.
Bref, je trouvais que c'était des très bonnes idées. L'une permettait de faire travailler plus, et les gens en travaillant créent du travail.
La deuxième permettait de nous rendre plus compétitifs (sans modifier les acquis sociaux ou les contrats de travail).
Enfin ce qu'il faudrait c'est une vrai politique d'internationalisation de nos entreprises (et surtout les PME) car ça n'est pas la conso locale seulement qui crée de l'emploi, et il faudrait notamment profiter un max de l'enrichissement des pays du Sud (Apple, GM, ou Louis Vuiton se font pleins de thunes et créent des emplois dans leurs pays respectifs, notamment grâce au marché chinois par ex)... c'est ce que font les PME allemandes.
 
Pour clore le sujet (rapport avec la Chine ?)

Au Medef, Sarkozy assure le show avec trois fois rien

31 août 2007 à 09:26

Le Président a eu l'annonce modeste, hier, devant une assemblée de patrons conquis.

Par AUFFRAY AlainWENZ-DUMAS François
Jouy-en-Josas envoyés spéciaux


Ce devait être la «seconde étape» du programme économique du président de la République. C'est en tout cas ainsi que le discours tenu hier par Nicolas Sarkozy, devant plus de 3 000 participants de l'université d'été du Medef à Jouy-en-Josas (Yvelines), avait été annoncé par l'entourage présidentiel. A la place, on a eu droit a un bel exercice de campagne, le chef de l'Etat ne résistant pas au plaisir de tenir meeting devant un auditoire déjà conquis.

Gloussements. Car côté annonces, le résultat est maigre. Hormis celles sur le crédit d'impôt recherche, le droit des affaires et l'ouverture des magasins le dimanche, (lire ci-contre) le chef de l'Etat n'avait pas grand-chose à proposer de plus.

«Comment réformer si l'on ne veut pas prendre le risque de la rupture ?» a-t-il lancé, dissertant sur cette notion de rupture «avec le malthusianisme, avec le conservatisme, avec l'immobilisme, parce qu'il n'y a pas de révolution économique qui ne commence par une révolution des esprits. Nos blocages sont d'abord dans nos têtes !»«Il nous manque un point de croissance», a-t-il aussi répété assurant qu'il «comptait beaucoup sur les travaux de la commission» présidée par Jacques Attali pour trouver des solutions. Et d'ajouter &shy;devant les gloussements de la salle à l'évocation du nom de l'ancien conseiller de François Mitterrand : «Eh oui ! Je dois être celui qui sait le mieux utiliser les richesses humaines du Parti socialiste ! Dans une autre vie, j'aurai dû faire directeur des ressources humaines au PS..» Commentaire de l'ancienne ministre socialiste Elisabeth Guigou, invitée à participer à une table ronde : «Il est très bon. Mais tout cela cache son embarras sur la croissance et le pouvoir d'achat.»

Sur cette dernière question, le président de la République a surtout renvoyé la balle à la présidente du Medef, qui lui reprochait (Libération d'hier), de mener davantage une politique économique cherchant à booster la consommation plutôt qu'à améliorer la compétitivité des entreprises. «Qui peut dire qu'inciter à travailler davantage pour gagner davantage ce n'est pas une politique de l'offre ?» s'est défendu Nicolas Sarkozy. «Le mot salaire n'est pas un gros mot !» a-t-il ajouté, suscitant des réactions mitigées de son auditoire.

Petit lait. Comme pour se faire pardonner de cette audace, il rappelle «à quel point [il] est favorable à ce que soit ouverte la possibilité d'une séparation à l'amiable dont les conditions pourraient être fixées à l'avance». Une revendication récurrente de Laurence Parisot. Mais la question étant soumise à la négociation entre patronat et syndicat, Nicolas Sarkozy s'est gardé d'en dire plus ou d'évoquer la notion de contrat de travail unique.

Même prudence sur la question de la TVA &shy;sociale, bottée en touche par une affirmation générale : «La question de la taxe professionnelle, la question de la taxe sur les salaires, la question de l'assiette des cotisations sociales : elles doivent être posée.» Quand ? Comment ? Dans quel cadre ? Le chef de l'Etat n'en dira pas plus.

Finalement, le seul point sur lequel il s'est montré précis est celui de l'élargissement du crédit d'impôt recherche. A la plus grande satisfaction de Charles Beigbeder, PDG de Poewo et chargé des questions d'innovation au Medef. «C'est un dispositif puissant, qui va permettre aux PME d'investir dans la recherche», estime-t-il.

Dans leur majorité, les patrons ont bu du petit lait. «Il est vraiment très très bon», commentait à chaud un chef d'entreprise breton, ne cachant pas que ses sympathies politiques allaient «à droite». D'autres, comme Regis Bello, PDG de De Dietrich, jugeaient sa prestation «enthousiasmante». Quant à la présidente du Medef, Laurence Parisot, elle n'hésitait pas à parler de moment «historique».

Dans la majorité, même le &shy;député UMP Pierre Méhaignerie, l'un des rares à oser parfois douter de la pertinence de certaines inspirations sarkozystes, est enthousiaste : «J'applaudis ce discours, les entreprises ont besoin d'être aimé et Nicolas Sarkozy a raison de laisser à la négociation des marges de manoeuvres.» L'ex-directeur de cabinet de Dominique de Villepin, Bruno Le Maire (UMP), estime lui aussi qu'il est «très sage» de se donner le temps de la concertation, «sur des sujets aussi sensibles que la fiscalité des entreprises et le droit du travail». Une façon de reconnaître que du «grand discours de politique économique» annoncé, il ne restait finalement pas grand chose.

Source : Lien retiré

[NB : ne vous laissez pas distraire par les copier-coller militants et puérils de M. Lafoy]
 
Je passe juste par ici et je vois qu'il y a une super ambiance. Ca fait plaisir à voir!
Enfin je suis sûr qu'un jour viendra vous vous prendrez tous par la main pour chanter l'internationale.content2

Et n'oubliez pas: FRA-TER-NI-TE !
 
Je passe juste par ici et je vois qu'il y a une super ambiance. Ca fait plaisir à voir!

Oui, il ne manque plus que le retour de Minh pour plomber l'ambiance encore plus ...
 
Bah de pouvoir travailler plus pour gagner plus comme disait notre ami Sarko.Et puis aussi, le report des charges sociales sur la TVA (la fameuse TVA sociale), en core un truc de Sarko.Bref, je trouvais que c'était des très bonnes idées. L'une permettait de faire travailler plus, et les gens en travaillant créent du travail.La deuxième permettait de nous rendre plus compétitifs (sans modifier les acquis sociaux ou les contrats de travail).
Travailler plus pour gagner plus, une grande reussite:http://lexpansion.lexpress.fr/economie/le-vrai-bilan-du-travailler-plus-pour-gagner-plus_258061.html

TVA
sociale, dommage qu'on a pas vu...
Question: que font les entreprises, aux marges toujours trop faibles, asphyxiees par un peu tout, avec la mise en place de la TVA sociale?
a) elles maintiennent leur marge trop faible, du coup le prix HT de leurs produits baissent (TTC aussi malgre la hausse de la TVA) et elles sont plus competitives: mission accomplie!!
b) elles retablissent leurs marges, qui etaient trop faibles: la mesure perd son sens
Un indice pour vous au bas de votre ecran:(TVA reduite pour la restauration, une grande reussite aussi)
 
Dernière édition:
Jusqu'à preuve du contraire c'est la CAC 40 qui donne à bouffer aux français
Les PME représentent 60% à 70% de l'emploi en France, la fonction publique plus de20%, il reste pas grand chose pour le CAC40 surtout qu'il est loin de payer autant de charges et d'impôts m'enfin... on en a déjà parlé des milliards de fois sur ce fofo...
 
Toutes mes excuses, je sais que les internautes n'aiment pas qu'on les reprenne, et ce spécialement sur bonjour chine, mais là...
C' est beau la droite la gauche le centre, chacun reste campé, hypocrisie, déni de la réalité, etc... et au final la droite l'emporte.
Bref, c'est fort interessant.
Dans 99% des cas , je n'aurais pas posté... SAUF quand on défigure la langue française à ce point.
Les 's' en-veux-tu-en-voilà passent encore, les 'je c'est pas' ou 'sait pas comme ça' sont, à mon avis, irrécupèrables, mais Manitou, stp, sais-tu ce qu'est une 'gonorrhée'?
Désolé c'est plus fort que moi.
 
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