Europe, brexit, ...

Que va-t-il se passer après les élections générales du 12/12 au RU

  • BJ obtient une majorité, fait voter son deal, et le Brexit a lieu avant le 31 janvier 2020

    Votes: 6 28,6%
  • BJ n'obtient pas de majorité suffisante pour son deal, et tente une re-renégociation du deal

    Votes: 3 14,3%
  • Pas de majorité pour BJ, mais une majorité (travaillistes + ...) vote pour un nouveau référendum

    Votes: 0 0,0%
  • Pas de majorité pour BJ, mais une majorité (Lib-Dem + ...) vote pour l'annulation du Brexit

    Votes: 1 4,8%
  • Pas de majorité pour BJ, mais une majorité (Brexit Party + ...) vote pour une sortie sans deal

    Votes: 1 4,8%
  • Personne n'obtient de majorité pour quoi que ce soit , c'est le bordel, et un hard-Brexit au 31/1/20

    Votes: 1 4,8%
  • Personne n'obtient de majorité pour quoi que ce soit , c'est le bordel, et un nouveau report ....

    Votes: 9 42,9%

  • Nombre total d'électeurs
    21
  • Sondage fermé .
Statut
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BJ a augmenté le SMIC, privatisé une ligne ferroviaire et d'autres sont prévues, va mettre du blé dans les hôpitaux. C'est déjà des trucs que tu ne peux pas faire si tu es dans l'UE parce qu'il faut respecter les GOPEs.
Mais bon si tu crois que BJ va rien faire pendant un an, à mon avis tu te trompe.

Aucun traité ou directive européenne n'interdit d'augmenter le SMIC. Dieu sait qu'on ne s'en est pas privé en France par le passé...

La privatisation des lignes de chemin de fer en Angleterre ne s'est pas fait à la demande de l'UE.

Je vivais aux UK fin des années 80 bien avant Maastrich et autres traités qui vous indisposent et déjà à l'époque les hôpitaux public anglais étaient à fuir, il fallait prendre rdv des mois à l'avance ci bien que nombreux se rendaient en France pour se faire soigner. Ou alors se faire soigner en hôpital privé à coût exorbitant comme le cromwell hospital. Donc dire que l'état des hôpitaux anglais serait de la faute de l'UE c'est même pas se mentir, c'est juste ignorer totalement le fonctionnement du système de santé anglais :)
 
Aucun traité ou directive européenne n'interdit d'augmenter le SMIC. Dieu sait qu'on ne s'en est pas privé en France par le passé...
c'est vrai mais comme il faut être compétitif et que l'on n'a plus de souveraineté monétaire, le seul moyen est de baisser le coût du travail et le meilleur moyen est de geler les salaires. C'est le cas des fonctionnaires depuis un bon moment.

La privatisation des lignes de chemin de fer en Angleterre ne s'est pas fait à la demande de l'UE.
c'est vrai encore une fois, c'est Margaret qui était à fond dans l'ultra libérarisme mais au prix d'une casse sociale énorme.

Je vivais aux UK fin des années 80 bien avant Maastrich et autres traités qui vous indisposent et déjà à l'époque les hôpitaux public anglais étaient à fuir, il fallait prendre rdv des mois à l'avance ci bien que nombreux se rendaient en France pour se faire soigner. Ou alors se faire soigner en hôpital privé à coût exorbitant comme le cromwell hospital. Donc dire que l'état des hôpitaux anglais serait de la faute de l'UE c'est même pas se mentir, c'est juste ignorer totalement le fonctionnement du système de santé anglais :)
tu auras bientôt la même chose en France et ce serait drôle de devoir aller au RU pour se faire soigner.
Relis les GOPEs, ça précise bien qu'il faut privatiser les services publics comme l'a fait le RU autrefois. On voit le résultat :bravo:

Ils ont toujours eu de l'avance sur les autres les anglais :)
 
Avec le Brexit, un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'Union européenne

Douze milliards d'euros par an à partir de 2021, c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni qui complique encore les négociations entre les 27 sur le prochain budget à long terme de l'Union européenne.

Extrait :
Un chiffre colossal. Douze milliards d'euros : c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne. Une difficulté supplémentaire pour établir le casse-tête du prochain cadre financier pluriannuel (CFP, 2021-2027). Pour résoudre ce problème, la Commission Juncker avait mis sur la table une proposition dès mai 2018, avant de passer le relais à la nouvelle équipe d'Ursula von der Leyen.
Le dossier est désormais dans les mains du président du Conseil européen Charles Michel, qui a convoqué un sommet extraordinaire pour tenter de mettre d'accord les 27. Cette réunion au sommet "commencera" le jeudi 20 février et devrait jouer les prolongations. Le Royaume-Uni est un "contributeur net" au budget européen, c'est-à-dire qu'il donne plus d'argent qu'il n'en reçoit. Selon les comptes de la Commission, la perte de 12 milliards d'euros en 2021 s'élèvera à 84 milliards sur 7 ans.

 
Aucun traité ou directive européenne n'interdit d'augmenter le SMIC. Dieu sait qu'on ne s'en est pas privé en France par le passé...

La privatisation des lignes de chemin de fer en Angleterre ne s'est pas fait à la demande de l'UE.

Je vivais aux UK fin des années 80 bien avant Maastrich et autres traités qui vous indisposent et déjà à l'époque les hôpitaux public anglais étaient à fuir, il fallait prendre rdv des mois à l'avance ci bien que nombreux se rendaient en France pour se faire soigner. Ou alors se faire soigner en hôpital privé à coût exorbitant comme le cromwell hospital. Donc dire que l'état des hôpitaux anglais serait de la faute de l'UE c'est même pas se mentir, c'est juste ignorer totalement le fonctionnement du système de santé anglais :)
1. les GOPEs (et donc le PNR) parlent du SMIC

2. Oui la privatisation de leurs lignes de chemin de fer n'était pas à la demande de l'UE, mais l'UE s'est inspiré de ce model pour l'imposer aux autres pays

3. Idem pour les hopitaux et systèmes de santé.

A noter que les points 2 et 3 ont bien évidemment été couverts par les GOPÉs (ce dont tu ne parles jamais, tu parles uniquement des Directives, mais il n'y a pas que les Directives dans l'UE hein..., surtout depuis depuis la crise de l'euro avec le TSCG, les Six pack, Two pack, etc...).

Voilà ce que jai écrit hier matin:
Ce n'est pas étonnant que l'UE soit un naufrage tant économique, monétaire et militaire quand on voit qu'au fond elle ne suit aucune règle des grands penseurs économiques, pour la plupart britanniques et américains, et finalement ce qui fait sourire (ou plutôt pleurer) c'est de voir les européistes continentaux se croire plus malins sur ce terrain là, alors qu'à l'évidence ces 2 pays qui y ont toujours été en avance, et qu'encore une fois on est à la ramasse.

On s'est efforcé de les copier avec les traités européens, mais voilà qu'ils changent de direction car ils voient bien que l'ultra libéralisme des 80's est dépassé, et nous on nous explique qu'il faut absolument appliquer ce modèle has-been.


Avec le Brexit, un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'Union européenne

Douze milliards d'euros par an à partir de 2021, c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni qui complique encore les négociations entre les 27 sur le prochain budget à long terme de l'Union européenne.

Extrait :
Un chiffre colossal. Douze milliards d'euros : c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne. Une difficulté supplémentaire pour établir le casse-tête du prochain cadre financier pluriannuel (CFP, 2021-2027). Pour résoudre ce problème, la Commission Juncker avait mis sur la table une proposition dès mai 2018, avant de passer le relais à la nouvelle équipe d'Ursula von der Leyen.
Le dossier est désormais dans les mains du président du Conseil européen Charles Michel, qui a convoqué un sommet extraordinaire pour tenter de mettre d'accord les 27. Cette réunion au sommet "commencera" le jeudi 20 février et devrait jouer les prolongations. Le Royaume-Uni est un "contributeur net" au budget européen, c'est-à-dire qu'il donne plus d'argent qu'il n'en reçoit. Selon les comptes de la Commission, la perte de 12 milliards d'euros en 2021 s'élèvera à 84 milliards sur 7 ans.

Pas de problème, en France on adore donner des milliards d'euros dans le vent sans contrepartie. (les mêmes milliards d'euros dont on fait la chasse aux dépenses publiques en France...).
 
Avec le Brexit, un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'Union européenne

Douze milliards d'euros par an à partir de 2021, c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni qui complique encore les négociations entre les 27 sur le prochain budget à long terme de l'Union européenne.

Extrait :
Un chiffre colossal. Douze milliards d'euros : c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne. Une difficulté supplémentaire pour établir le casse-tête du prochain cadre financier pluriannuel (CFP, 2021-2027). Pour résoudre ce problème, la Commission Juncker avait mis sur la table une proposition dès mai 2018, avant de passer le relais à la nouvelle équipe d'Ursula von der Leyen.
Le dossier est désormais dans les mains du président du Conseil européen Charles Michel, qui a convoqué un sommet extraordinaire pour tenter de mettre d'accord les 27. Cette réunion au sommet "commencera" le jeudi 20 février et devrait jouer les prolongations. Le Royaume-Uni est un "contributeur net" au budget européen, c'est-à-dire qu'il donne plus d'argent qu'il n'en reçoit. Selon les comptes de la Commission, la perte de 12 milliards d'euros en 2021 s'élèvera à 84 milliards sur 7 ans.


avec les portiques de Royal, on a déjà1 milliard. 12, c’est pas si colossal. Et puis ça coûte rien puisque c’est l’état qui paie
 
Brexit: le Royaume-Uni prend le large

Ce 31 janvier marque la fin d’une relation de 47 ans. Boris Johnson, l’artisan du divorce, fait mine d’être déjà passé à autre chose.

Extrait :
Dans l’adresse qu’il fera à la nation, juste avant la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne vendredi à 23 heures, Boris Johnson citera peut-être son idole politique. «Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement», avait dit Winston Churchill à propos de la victoire d’el-Alamein, en novembre 1942. Certains diront qu’avec le Brexit, on est peut-être au début du commencement, tant les négociations qui vont suivre s’annoncent rudes et complexes. De l’aveu même d’un brexiter convaincu, Iain Duncan Smith, va commencer «la phase la plus difficile de toute.

Ce jour historique revêt d’étranges atours. Ce n’est pas tant le silence de la cloche de Big Ben pour marquer l’événement, qui laisse une impression étrange. Car malgré les efforts des plus fervents partisans du Brexit, la tour en travaux restera muette. Non, c’est l’impression étonnante d’un non-événement, ou presque, alors que ce 31 janvier marque la fin d’une relation, certes tumultueuse, mais longue de 47 ans. Certes, Whitehall est pavoisé de drapeaux britanniques et une horloge lumineuse projetée sur la façade de Downing Street égrènera le compte à rebours avant le grand saut hors d’Europe. Certes, une pièce de 50 pence, promettant «paix, prospérité et amitié avec toutes les nations» a été frappée pour l’occasion. Mais à la veille du «D-Day», la presse en parle peu et le pays ne semble guère fébrile. Comme si un événement maintes fois reporté, depuis si longtemps annoncé, était déjà entré dans les têtes et avait perdu en solennité. La lassitude profonde de l’opinion sur un sujet qui paralysait le pays, qui a joué en faveur de Boris Johnson, n’est sans doute pas étrangère à cet état d’esprit.


Dommage l'article est payant mais le titre en dit long !
 
Dernière édition:
Nathalie Loiseau regrette la «bêtise» du Brexit : «Le peuple peut se tromper»

Invitée de France Inter, l’eurodéputée LREM a déploré une «erreur» et «une mauvaise décision» pour le Royaume-Uni et pour l’Europe.

Communique :
Le compte à rebours est enclenché. Alors que le Royaume-Uni va entamer ce vendredi 31 janvier, à minuit, la «période transitoire» durant laquelle le pays ne prendra plus part à la vie des institutions européennes - avant une sortie définitive le 31 décembre 2020 -, la concrétisation du «Brexit» occupe les esprits de la plupart des responsables politiques. Notamment celui de Nathalie Loiseau, qui était invitée de France Inter.

Interrogée sur cette sortie, l’eurodéputée LREM a considéré que «le Brexit est une erreur». «Il n’y a pas de bon Brexit. C’est une mauvaise décision, qui sera mauvaise pour le Royaume-Uni (et) qui sera mauvaise pour l’Europe aussi», a-t-elle affirmé. «On peut tous faire une bêtise, même en étant souverain», a-t-elle poursuivi, en critiquant le vote des britanniques : «Le peuple peut se tromper».

L’ancienne ministre des Affaires européennes a toutefois apporté une nuance à son propos, estimant que les britanniques avaient, en l’occurrence, été «trompés». Et qu’on leur avait «menti». «On (leur) a dit, par exemple, que le Brexit c’était pour reprendre le contrôle», a-t-elle déploré. Une position qui contraste avec toute la frange souverainiste de la droite, ainsi qu’avec l’extrême droite et l’extrême gauche, qui se réjouissent de la matérialisation de cette rupture votée en 2016.


Madame Loiseau ne manque pas de toupet nous ne sommes pas en dictature ! C'est une honte pour nos institutions ...
C'est quand meme incroyable ce deni de democratie dans la classe dirigeante francaise , si le peuple en a decide ainsi pourquoi contester et commenter ? Le peuple Britannique est souverain !

A coup sur si il y avait un referendum sur le Frexit et que le oui l'emporte , il passerait a la trappe comme les autres !
 
Dernière édition:
Madame Loiseau ne manque pas de toupet nous ne sommes pas en dictature !
C'est quand meme incroyable ce deni de democratie dans la classe dirigeante francaise , si le peuple en a decide ainsi pourquoi contester ? Le peuple est souverain !
A coup sur si il y avait in referendum sur le Frexit et que le oui l'emporte , il passerait a la trappe comme les autres !
pas mieux.
Mais il n'aura de référendum sur le Frexit, l'oligarchie connait la réponse: OUI!!!
 
Brexit : Londres ne marchandera pas ses eaux, prévient Michael Gove

LONDRES (Reuters) - La Grande-Bretagne ne mettra pas dans la balance la question des droits de pêche dans ses négociations commerciales avec l'Union européenne, a prévenu vendredi Michael Gove, le chancelier du duché de Lancastre.

Communique : "Si certains veulent pêcher dans nos eaux, eh bien nous en déciderons", a-t-il déclaré sur Sky News.

La Norvège, les îles Feroë et l'Islande contrôlent l'accès à leurs eaux "et nous en ferons autant", a-t-il dit.
Après un long feuilleton, Le Royaume-Uni quitte l'Union européenne ce vendredi une heure avant minuit (23h00 GMT), entrant dans une période de transition durant laquelle il restera soumis aux règles et obligations communautaires et ce, jusqu'à la fin de l'année, le temps de négocier les termes de la future relation avec les Européens.
Londres a prévenu que le Royaume-Uni entendait mettre fin à l'issue de la période de transition à l'accès automatique dont disposent les bateaux des pays de l'Union européenne aux eaux poissonneuses du Royaume-Uni.

Les Britanniques ont dit par le passé vouloir séparer, dans leurs négociations avec l'UE, la question de l'accès à leurs eaux territoriales et celle des quantités de poisson britannique exportées vers le bloc.
La politique actuelle de l'Union permet à tous les bateaux européens d'accéder aux eaux et aux zones de pêche des pays membres, provoquant des frictions régulières entre marins.

 
Brexit: le Royaume-Uni choisit la sobriété pour ses adieux à l’Europe

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Boris Johnson, qui fut l’un des principaux artisans du Brexit, a souligné vendredi soir que le divorce entre son pays et l’UE ne marque «pas une fin mais un début».


Extrait :
C’est «l’aube d’une ère nouvelle» qui doit se lever ce samedi sur le royaume. Ce sont les mots de Boris Johnson, ceux qu’il a prononcé lors de son adresse solennelle à la nation, une heure avant la sortie de Londres de l’Union européenne, à 23 heures.

Pour célébrer ce Brexit dont il fut le champion, le premier ministre a choisi la sobriété. Pas de triomphalisme, il veut célébrer «respectueusement» la plus importante décision du pays en matière de géopolitique depuis la Seconde Guerre mondiale. Boris Johnson entend ne pas fouiller les plaies et réconcilier les Britanniques. Alors que les plus fervents Brexiters - avec en tête Nigel Farage - ont choisi de faire la fête devant Westminster, BoJo a préféré savourer le moment avec ses conseillers et proches au 10, Downing Street. En buvant du mousseux anglais, préféré au champagne continental… Sur la façade, une horloge lumineuse a égrené le compte à rebours une heure avant le grand saut hors d’Europe.

Dans son allocution, Boris Johnson a insisté sur le fait que ce jour ne marquait «pas une fin mais un début». Le rideau va juste s’ouvrir sur «un nouvel acte» qui va «permettre de libérer tout le potentiel du pays». «Nous n’accepterons plus que vos chances dans la vie - celles de votre famille - dépendent de l’endroit du pays dans lequel vous grandissez», assure le premier ministre. Une référence explicite à ses promesses de campagne de faire des régions défavorisées du nord et du centre du pays une priorité.

 
Brexit : Macron ira à Londres «au mois de juin»

Emmanuel Macron se rendra à Londres en juin, annonce-t-il dans une «lettre» adressée au peuple britannique, parue dans le Times samedi 1er février, quelques heures après le Brexit.

Communique :
Dans cette adresse en anglais à ses «chers amis britanniques», et plus particulièrement «aux millions de Britanniques (...) qui conservent un attachement profond à l'Union européenne», Emmanuel Macron fait part de sa «profonde tristesse» face au départ du Royaume-Uni de l'Union européenne, se défendant que la France ait été «dure» dans les négociations du Brexit. «J'ai tenu à défendre les principes existentiels du fonctionnement de l'Union européenne», affirme Emmanuel Macron. «Mais jamais un esprit de revanche ou de punition n'a animé la France et le peuple français ni, je crois pouvoir le dire, aucun peuple d'Europe».

S'agissant de la «relation future» entre l'UE et le Royaume-Uni, Emmanuel Macron prévient que «nous ne pourrons pas laisser une compétition néfaste s'établir». «Entre nos deux pays, plus directement, je souhaite ouvrir un nouveau chapitre, fondé sur la force de nos liens inégalés», poursuit le président.

Rappelant que la France célébrera cette année le 80e anniversaire de l'Appel du 18 juin par le Général de Gaulle, il souligne que «les Français savent ce qu'ils doivent aux Britanniques, qui ont permis à la République de vivre».
«Je viendrai à Londres, au mois de juin, pour remettre à cette ville la Légion d'honneur, en hommage à l'immense courage de tout un pays, de tout un peuple», poursuit-il, souhaitant que les deux pays approfondissent leur «coopération en matière de défense, de sécurité, de renseignement».


Cette lettre est deplacee le president Macron outrepasse ses fonctions de reserve en s'adressant directement au peuple du Royaume Uni , avec pour but de creer une sedition notamment en ce qui concerne l'Ecosse et autres concernes , sa fonction est de s'adresser a ses homologues !

C'est de l' ingerence deguisee , aromatisee de concupiscence , ni plus ni moins !
...
 
Dernière édition:
Brexit : l'accès des pêcheurs français aux eaux de Guernesey suspendu

Communique : Les pêcheurs français ne peuvent plus accéder aux eaux de l'île anglo-normande de Guernesey depuis vendredi à minuit en raison de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne mais cet accès leur restera garanti jusqu'à la fin de l'année sur la base d'autorisations individuelles, annonce le ministère de l'Agriculture.

Le ministère de l'Agriculture dit s'être entendu avec les autorités de Guernesey sur le fait que les pêcheurs français pourront conserver l'accès aux eaux côtières de l'île anglo-normande pendant cette période de transition qui doit s'achever le 31 décembre 2020. «Néanmoins, les modalités de cet accès doivent être renouvelées», indique-t-il.

 
avec pour but de creer une sedition
comme en France. Il fout le bordel partout. C'est un crétin qui doit être viré et vite avant qu'il nous mette l'état d'urgence et se faire voter les pleins pouvoirs via l'article 16 de la constitution.
On verra si je suis un oiseau de mauvaise augure :cool: . Si vous croyez qu'il va quitter le pouvoir, vous vous foutez le doigt dans l’œil ;)
 
L’UE post-Brexit : de l’effacement accéléré au rebond espéré ? Par Pierre VERLUISE, Docteur en géopolitique (Sorbonne), fondateur du Diploweb.com, directeur de Lien retiré Auteur, co-auteur ou directeur d’une trentaine d’ouvrages. le 2 février 2020

Jusqu’ici l’UE a surtout fait preuve de son incapacité à enrayer son effacement démographique, économique et stratégique, désormais accentué par le départ effectif du Royaume-Uni. Quelles pourraient être les conditions du rebond ?

Extrait : POUR DES RAISONS démographiques, économiques et stratégiques, l’Union européenne s’efface progressivement du rang des puissances de ce monde. Dans une indifférence généralisée et un silence assourdissant, cette dynamique de déclin relatif était déjà vraie à 28, le Brexit l’accélère. En effet, le départ du Royaume-Uni réduit la superficie, la population, la production et la culture stratégique de l’UE.

Alors que l’espace UE-28 représentait 13,3 % de la population de la planète en 1960, l’UE 28 représente à peine 6,9 % de la population de la planète. La sortie du Royaume-Uni se solde par une diminution de 12,91% de sa population. Celle-ci passe de 513 millions d’habitants à 446,8 millions, soit d’environ 6,9 % de la population mondiale à environ 5,9 %. Autrement dit, l’UE sans le Royaume-Uni devient moins peuplée que l’UE à 25 au 1er mai 2004 (450 millions d’habitants). Compte tenu de sa faible fécondité, en 2050, l’UE dans sa configuration UE-27 du 1er février 2020 pèserait entre 4 et 4,5 % de la population mondiale. Réduite à un asile de vieux, l’UE aura bien du mal à défendre ses intérêts.

Suite de l'analyse >>>


a y est ca recommence
Les gars ne s’arrêtent jamais
 
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