Diplomatie & Commerce International après l'élection du President Trump ...

Bonjour Remi
Ca reste a voir car il y a actuellement une forte adhesion des pays d'Asie du Sud Est au profit de la Chine , et les Etats Unis exportent beaucoup egalement dans nos regions , la Chine est un gros client de Boeing et des stes de technologies US , sans oublier le marche automobile sous licence .

De plus quel entrepreneur americain va prendre le risque d'investir dans des unites de productions de produits de grande distribution qui coutent 3 francs 6 sous ?

La Chine possede des milliards de dette americaine de surcroit , et rien n'empeche le president Xi de jouer avec le Yuan pour compenser le cas echeant .

Comme pour le reste attendons la suite , et tout d'abord la confirmation ou tout du moins de son changement de statuts de la Chine ou non a l'omc sous peu ...

Le futur président des États-Unis veut mettre en place des droits de douane de 45% sur les produits importés de Chine afin de réindustrialiser son pays. Une décision qui ne plait guère à Pékin, qui l'a fait savoir par le biais d'un journal d'État.


"La Chine rendra coup pour coup. Un lot de commandes de Boeing sera remplacé par des Airbus. Les ventes de voitures américaines et d'iPhone souffriront d'un revers, et les importations de maïs et soja américains seront arrêtées. La Chine peut également limiter le nombre d'étudiants chinois aux États-Unis."

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Source : LA TRIBUNE


Pas besoin d'etre un grand devin pour le comprendre , demain le gouvernement chinois bloque les exportations de Foxconn pour un simple exemple , Apple est raye de la carte en 48 h avec les consequences que l'on peu imaginer sur WS ! ;)
 
Dernière édition:
La chine met déjà une taxe très élevé(certains sont de l'ordre de 100% en plus) sur la majorité des produits importés
 
Si la Chine ne la met pas, comme sur les voitures, l'intérieur de ce planète sera bientôt vide, il n'y aura plus de pétrole....
 
Face à Trump, la Chine veut imposer sa vision du libre-échange en Asie

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Pékin propose à ses partenaires d'Asie de nouveaux accords commerciaux pour remplacer le projet de Partenariat transpacifique (TPP), compromis par l'élection de Donald Trump.

Extrait : La Chine prépare le plan B pour contrer Donald Trump. Depuis le sommet de l'Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (Apec) qui se tient au Pérou, Pékin a fait savoir à ses partenaires commerciaux de la région Asie-Pacifique qu'elle était prête à assumer le leadership des négociations de libre-échange face aux projets protectionnistes du président américain élu. «Nous n'allons pas fermer la porte au monde extérieur mais l'ouvrir encore plus largement, a lancé le président chinois Xi Jinping. Nous allons nous assurer que les fruits du développement soient partagés».
Ce dernier a appelé les dirigeants de cette partie du monde à soutenir les initiatives chinoises de libre-échange en Asie-Pacifique, pour combler le vide laissé par le probable abandon de l'accord de libre-échange TPP par les États-Unis. Le TPP, signé en 2015 par 12 pays (États-Unis, Canada, Mexique, Chili, Pérou, Japon, Malaisie, Vietnam, Singapour, Brunei, Australie et Nouvelle-Zélande), sous l'impulsion de Barack Obama, exclut la Chine. Il vise à harmoniser les normes entre ces pays et supprimer des droits de douane. Aux États-Unis, le processus est compromis par l'arrivée au pouvoir de Donald Trump qui pendant toute sa campagne a fustigé ce «terrible» accord commercial et promis à son électorat un tour de vis protectionniste pour protéger les emplois américains contre la concurrence de la Chine ou du Mexique.

Le RCEP comme alternative
À Lima, la Chine a donc proposé à ses partenaires une autre solution portant le nom d'Accord de partenariat économique régional intégral (RCEP), accord de libre-échange entre les dix états membres de l'Association des nations du sud-est asiatique (Asean) et six autres États, dont la Chine et le Japon...mais pas les États-Unis. La signature de ce RCEP est présentée par Pékin comme une première étape essentielle dans la construction d'une Zone de libre-échange de l'Asie-Pacifique (FTAAP) qui rassemblerait tous les pays membres de l'Apec. «Nous allons pleinement nous investir dans la globalisation économique en soutenant le commerce multilatéral, en faisant avancer la FTAAP, en travaillant à la conclusion rapide des négociations sur le RCEP. La construction d'une Zone de libre-échange de l'Asie-Pacifique est une initiative stratégique vitale pour la prospérité à long terme de la région. Nous devons nous y atteler fermement», a déclaré Xi Jinping.

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Source : LE FIGARO

Bonne journee et semaine a toutes et a tous
 
La première mesure de Trump ? Retirer les Etats-Unis du traité transpacifique

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Dans une vidéo diffusée lundi par son équipe de transition, Donald Trump a détaillé les mesures envisagées pour les premiers jours de son mandat. Au programme, beaucoup d'énergies fossiles, moins d'immigration et le retrait des Etats-Unis du traité transpacifique.

Extrait : Le sujet avait occupé une place centrale dans sa campagne. Lundi, Donald Trump a confirmé qu'il engagerait le retrait des Etats-Unis du traité commercial transpacifique (TPP)... dès le premier jour de son mandat.
Ce partenariat commercial, signé par 12 pays en 2015 - à l'exclusion de la Chine - est "un désastre potentiel pour notre pays", a-t-il expliqué, qui entrera à la Maison Blanche le 20 janvier, dans une vidéo diffusée lundi par son équipe de transition et dans laquelle il détaille les mesures qu'il prendra dès sa prise de fonctions.
"A la place, nous négocierons des traités commerciaux bilatéraux et justes qui ramèneront les emplois et l'industrie sur le sol américain."
http://www.latribune.fr/economie/in...enterrer-le-traite-transpacifique-618615.html
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http://www.latribune.fr/economie/in...enterrer-le-traite-transpacifique-618615.html
Source : LA TRIBUNE
 
Trump aimerait voir Farage devenir ambassadeur britannique à Washington

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L'ancien leader de l'Ukip joue les trublions entre le président américain élu et la chef du gouvernement britannique, Theresa May.


Extrait : Entre le milliardaire populiste devenu président des Etats-Unis et le roi du Brexit, l'entente est au beau fixe. Au point d'embarrasser le gouvernement britannique de Theresa May. Donald Trump et Nigel Farage prennent un malin plaisir à afficher leur «relation spéciale», au détriment des liens diplomatiques traditionnels entre leurs deux pays.

Dans sa série de tweets iconoclastes depuis son élection, Trump a lancé ce mardi sur le réseau social un pavé dans la marre. «Beaucoup de monde aimerait voir Nigel Farage représenter la Grande-Bretagne comme ambassadeur aux Etats-Unis. Il ferait du bon boulot!» De quoi faire s'étrangler le Foreign Office.

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Source : LE FIGARO

Bonne fin de soiree a toutes et a tous
 
Le d-l veut rendre visite à Donald Trump

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Le dl, chef spirituel des Tibétains, a annoncé mercredi qu'il avait l'intention de rendre visite au prochain président des États-Unis, le républicain Donald Trump. Le geste du dl, qui vit en exil à Dharamsala en Inde depuis 1959, ne devrait pas manquer de susciter l'agacement de la Chine qui considère le moine bouddhiste et prix Nobel de la paix comme un dangereux séparatiste.

Article : Interrogé lors d'une visite dans la capitale mongolienne, Oulan-Bator, le dl a déclaré qu'il avait toujours considéré les Etats-Unis comme "le chef de file du monde libre". "Je crois qu'il y a quelques problèmes pour aller aux Etats-Unis, aussi irai-je voir le nouveau président", a dit TG aux journalistes, sans autre précision.

Le président sortant, le démocrate Barack Obama, a rencontré le dl à la Maison blanche en juin dernier malgré les mises en garde de la Chine qui a dit que ce geste nuirait aux relations diplomatiques entre la Chine et les Etats-Unis. Le dl a été vu quatre fois à la Maison-Blanche lors des huit années du mandat de Barack Obama.

Source : LE FIGARO flash info
 
Qui sont les premiers membres de la future administration Trump ?

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Le 45e président américain choisit au fur et à mesure ceux qui gouverneront les États-Unis à ses côtés. Le Figaro fait le point sur ces nominations, dont la dernière en date, ce mercredi, est celle de Steve Mnuchin, un banquier de Wall Street, appelé au Trésor.

Extrait : Le républicain Donald Trump est devenu, le 8 novembre dernier, le 45e président des États-Unis, devançant la démocrate Hillary Clinton. Le lendemain de l'élection a débuté la période de transition présidentielle, avant la prise de fonction du milliardaire le 20 janvier 2017. L'occasion pour le nouveau président élu de prendre connaissance des dossiers en cours et d'organiser son futur cabinet. Dans ce cadre, il a rencontré Barack Obama, le 10 novembre dernier. Pour mener à bien cette période, le magnat de l'immobilier a nommé avec lui une équipe de transition composée de Rudy Giuliani, ancien maire de New York, Newt Gingrich, ex-président de la Chambre des représentants, Reince Priebus, président du Comité national républicain et Jeff Sessions, sénateur de l'Alabama. Donald Trump, lui, dévoile progressivement les noms de ceux qui gouverneront le pays à ses côtés. Le Figaro fait un point sur ces nominations.

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Source : LE FIGARO
 
Donald Trump : « Les entreprises ne quitteront plus les Etats-Unis sans conséquences »

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Le président républicain a entamé jeudi un « tour d'honneur » dans l'Indiana et l'Ohio. Dans une usine d'Indianapolis, il a rappelé son intention de réduire les règlementations qui pèsent sur les entreprises et sa volonté de ne pas les laisser s'implanter hors du territoire américain.

Extrait : C'est un Donald Trump enjoué et visiblement heureux de retrouver les estrades de campagne qui a entamé jeudi un «tour d'honneur» dans l'Indiana et l'Ohio, trois semaines après sa victoire à la présidentielle. Sa première escale, dans une usine d'Indianapolis, lui a permis d'illustrer par l'exemple la façon dont il entend concrétiser ses promesses de candidat.

Le fabricant de conditionneurs d'air Carrier, filiale du groupe United Technologies (UTC), comptait transférer son centre de production au Mexique, mettant au chômage 2000 employés américains. Devant les ouvriers rassemblés pour l'applaudir, Trump a raconté avoir vu, à la télévision, un jeune salarié de l'entreprise certain qu'il ne perdrait pas son emploi «parce que Donald Trump l'a promis».

Avec faconde, le président élu a alors raconté comment il s'était saisi de l'affaire. «Je n'avais pas fait cette promesse pour Carrier, je l'avais faite pour tout le monde mais c'était un euphémisme», a-t-il dit. Il a pourtant téléphoné au patron du groupe, Greg Hayes, afin de le convaincre de renoncer à son projet de délocalisation. «Greg m'a dit: “Mais l'usine (du Mexique) est presqu'achevée”, a raconté Trump. Je lui ai répondu: “Ça m'est égal, faites-en ce que vous voulez”.» Il a souligné que six des huit fabricants américains de conditionneurs d'air et 80% de leurs fournisseurs sont déjà installés au Mexique.

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Source : LE FIGARO
 
Même si ça a été traité ailleurs, The Donald en remet une couche: http://www.lemonde.fr/elections-ame...onnaitre-une-chine-unique_5047146_829254.html

« Je ne sais pas pourquoi nous devons être liés à la politique de la Chine unique, à moins que nous ne passions un accord avec la Chine pour obtenir d’autres choses, y compris sur le commerce », a déclaré M. Trump sur la chaîne Fox.

Je pense que c'est la première fois qu'on voit quelqu'un oser ce genre de propos.
Je serais curieux de lire les réactions officielles chinoises. Car là, c'est un pas de plus franchi.
Vu que le statut d'économie de marché n'a pas été approuvé explicitement, on va dire que c'est un très mauvais weekend pour les autorités chinoises...
 
En VO et sans vpn:
https://www.yahoo.com/news/trump-says-u-not-necessarily-bound-one-china-010158687--business.html
"I fully understand the 'one China' policy, but I don't know why we have to be bound by a 'one China' policy unless we make a deal with China having to do with other things, including trade," Trump told Fox.

In the Fox interview, Trump criticized China over its currency policies, its activities in the South China Sea and its stance toward North Korea. He said it was not up to Beijing to decide whether he should take a call from Taiwan's leader.
"I don't want China dictating to me and this was a call put in to me," Trump said. "It was a very nice call. Short. And why should some other nation be able to say I can't take a call?"

Chinese officials had no immediate reaction to Trump's remarks.
 
En VO et sans V-P-N:
https://www.yahoo.com/news/trump-says-u-not-necessarily-bound-one-china-010158687--business.html
"I fully understand the 'one China' policy, but I don't know why we have to be bound by a 'one China' policy unless we make a deal with China having to do with other things, including trade," Trump told Fox.

In the Fox interview, Trump criticized China over its currency policies, its activities in the South China Sea and its stance toward North Korea. He said it was not up to Beijing to decide whether he should take a call from Taiwan's leader.
"I don't want China dictating to me and this was a call put in to me," Trump said. "It was a very nice call. Short. And why should some other nation be able to say I can't take a call?"

Chinese officials had no immediate reaction to Trump's remarks.

Mais du coup, il veut se desengager en Asie ou alors il veut rester et donner un coup de pied dans la fourmiliere ?
Il a pas l'air de suivre de direction bien definie le bonhomme, c'est bien dommage, parce qu'a l'horizon y'a la WWIII qui se profile.
 
Même si ça a été traité ailleurs, The Donald en remet une couche: http://www.lemonde.fr/elections-ame...onnaitre-une-chine-unique_5047146_829254.html

« Je ne sais pas pourquoi nous devons être liés à la politique de la Chine unique, à moins que nous ne passions un accord avec la Chine pour obtenir d’autres choses, y compris sur le commerce », a déclaré M. Trump sur la chaîne Fox.

Je pense que c'est la première fois qu'on voit quelqu'un oser ce genre de propos.
Je serais curieux de lire les réactions officielles chinoises. Car là, c'est un pas de plus franchi.
Vu que le statut d'économie de marché n'a pas été approuvé explicitement, on va dire que c'est un très mauvais weekend pour les autorités chinoises...

Bonjour Why

Le président des Etats-Unis a laissé entendre dans une interview à FoxNews qu'il pourrait bien nommer Rex Tillerson, patron d'ExxonMobil et proche de Vladimir Poutine, pour diriger sa diplomatie.*


Entre les declarations tonitruantes et la real politique il y a un univers ! Le president Poutine etant un allie du president Xi , si ce Monsieur Tillerson est charge de ce ministere la donne sera certainement differente des propos a l'emporte piece sous le coup de l'emotion !

Comme cite precedemment avec notre ami Orang " Wait and see "

* Source
 
Mais du coup, il veut se desengager en Asie ou alors il veut rester et donner un coup de pied dans la fourmiliere ?
Il a pas l'air de suivre de direction bien definie le bonhomme, c'est bien dommage, parce qu'a l'horizon y'a la WWIII qui se profile.
Bah aux dernières nouvelles, il veut rester et faire moins le paillason qu'Obama. Même s'il a dit durant la campagne qu'il se désengage.

Pour l'instant, je pense juste qu'il place ses pions. Faire monter la pression pour avoir une meilleure force de négociation. 2 pas en avant, 1 pas en arrière. Genre il va quand même mettre un pote de Xixi au poste d'ambassadeur. Tout en remplissant d'autres postes par des anti-Chine.
L'année prochaine sera intéressante pour sûr.
 
Trump a choisi l'ambassadeur en Chine

Donald Trump va désigner le gouverneur de l'Iowa, Terry Branstad, comme ambassadeur en Chine, selon plusieurs médias américains, un poste très exposé si on en croit le ton très dur adopté par le président élu envers Pékin.

Pékin a qualifié M. Branstad, 70 ans, de "vieil ami", lors du point de presse quotidien du ministère des Affaires étrangères. "Nous espérons qu'il pourra contribuer au développement des relations bilatérales", a déclaré le porte-parole, Lu Kang. "Nous sommes prêts à travailler à améliorer les relations bilatérales quelle que soit la personne qui prendra le poste", a-t-il ajouté.

Le gouverneur a rencontré M. Trump mardi, mais il a refusé d'indiquer si le président élu lui avait offert l'ambassade à Pékin. L'agence Bloomberg a annoncé la première la nomination hier soir citant des sources anonymes. Selon l'agence, M. Branstad, déjà gouverneur de l'Iowa de 1983 à 1999, a rencontré le président chinois Xi Jinping pour le première fois en 1985, quand celui qui n'était alors qu'un responsable provincial a visité l'Iowa.

La Chine est le deuxième marché d'exportation pour cet Etat du centre des Etats-Unis. Celles-ci (pour la très grande part des céréales) ont atteint environ 2,6 milliards de dollars en 2015. M. Branstad - qui est redevenu gouverneur en 2011 - s'est depuis rendu plusieurs fois en Chine et il a organisé un dîner en l'honneur de Xi Jinping dans la capitale de l'Iowa, Des Moines en 2012, peu avant que M. Xi ne devienne président.

Terry Branstad a soutenu Donald Trump très tôt dans la campagne pour la présidentielle et son fils a été le directeur de campagne de M. Trump dans cet État-clé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...229-trump-a-choisi-l-ambassadeur-en-chine.php
 
General Motors dans le collimateur de la Chine

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La Chine a ouvert une enquête contre le groupe américain pour antitrust, a indiqué mercredi une source proche du dossier sous couvert d'anonymat.

Extrait : Le journal officiel China Daily avait rapporté que Pékin s'apprêtait à infliger une amende anti-monopole à un constructeur automobile américain sans toutefois dévoiler l'identité du groupe. Ces menaces à peine voilées de Pékin s'apparentent à une réponse à la rhétorique incendiaire du président élu américain Donald Trump qui veut instaurer des tarifs douaniers sur des importations chinoises dans l'espoir de convaincre les grandes entreprises américaines de rapatrier aux Etats-Unis les emplois industriels délocalisés dans des pays à la main d'oeuvre bon marché.

La sanction contre GM sera infligée "bientôt", assure China Daily, citant une "interview exclusive" avec un responsable de l'agence de planification économique chinoise. Le géant de Detroit est accusé d'entente sur les prix avec des concessionnaires.

Interrogé sur le sujet, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Geng Shuang a indiqué mercredi n'avoir "aucun détail". Il a cependant assuré que les entreprises américaines étaient les bienvenues en Chine, du moment qu'elles respectent la loi.

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Source : LA TRIBUNE