Diplomatie & Commerce International après l'élection du President Trump ...

2017 : à partir de quand faudra-t-il commencer à avoir peur ?

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En 2017, un monde imprévisible s'annonce, marqué par des incertitudes politiques, géopolitiques et économiques inédites. La façon dont les banques centrales sauront ou pas gérer la sortie de la déflation et normaliser leurs politiques monétaires sera l'une des clefs pour éviter le pire.


Extrait : L'an dernier, le magazine américain Bloomberg, dans son "Guide pessimiste pour 2016", avait annoncé le Brexit et la victoire de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Deux projections qui se sont réalisées. Même si le travail auquel se livre Bloomberg est avant tout un exercice de fiction, prévoir le pire permet de s'y préparer. Même si l'on espère et préfère le meilleur. Pour son Guide pessimiste de 2017, Bloomberg se risque donc à prédire la victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle française et un référendum sur une sortie de la France de l'Union européenne. Ce « Frexit » sonnerait la fin de l'Europe telle que nous l'avons connue. En Allemagne, Angela Merkel perdrait les élections générales de l'automne tandis qu'en Italie, le leader du Mouvement 5 Étoiles, Beppe Grillo, se hisserait au pouvoir et lancerait, lui aussi, un référendum pour rétablir la lire italienne. Au Royaume-Uni, Theresa May serait remplacée par un candidat de la ligne dure du Brexit, après l'échec des négociations avec l'UE. La Grèce chuterait à nouveau, mais, cette fois, l'Europe cesserait de la renflouer...

Aux États-Unis, Bloomberg voit monter la protestation contre Donald Trump avec la fusion des mouvements étudiants, des activistes de Black Lives Matter et d'Occupy Wall Street. La Californie prendrait le leadership de l'opposition et lancerait un référendum sur le « Calexit » pour prendre son indépendance. Face à l'isolement croissant des Etats-Unis, la Chine de Xi Jin Ping et la Russie de Poutine prendraient de l'assurance sur la scène mondiale sur fond d'extension de l'Etat islamique en Asie centrale et de montée de la menace nucléaire nord-coréenne.

Suite de l'article >>>

Source : LA TRIBUNE
 
2017 : à partir de quand faudra-t-il commencer à avoir peur ?


En 2017, un monde imprévisible s'annonce, marqué par des incertitudes politiques, géopolitiques et économiques inédites. La façon dont les banques centrales sauront ou pas gérer la sortie de la déflation et normaliser leurs politiques monétaires sera l'une des clefs pour éviter le pire.


Extrait : L'an dernier, le magazine américain Bloomberg, dans son "Guide pessimiste pour 2016", avait annoncé le Brexit et la victoire de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Deux projections qui se sont réalisées. Même si le travail auquel se livre Bloomberg est avant tout un exercice de fiction, prévoir le pire permet de s'y préparer. Même si l'on espère et préfère le meilleur. Pour son Guide pessimiste de 2017, Bloomberg se risque donc à prédire la victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle française et un référendum sur une sortie de la France de l'Union européenne. Ce « Frexit » sonnerait la fin de l'Europe telle que nous l'avons connue. En Allemagne, Angela Merkel perdrait les élections générales de l'automne tandis qu'en Italie, le leader du Mouvement 5 Étoiles, Beppe Grillo, se hisserait au pouvoir et lancerait, lui aussi, un référendum pour rétablir la lire italienne. Au Royaume-Uni, Theresa May serait remplacée par un candidat de la ligne dure du Brexit, après l'échec des négociations avec l'UE. La Grèce chuterait à nouveau, mais, cette fois, l'Europe cesserait de la renflouer...

Aux États-Unis, Bloomberg voit monter la protestation contre Donald Trump avec la fusion des mouvements étudiants, des activistes de Black Lives Matter et d'Occupy Wall Street. La Californie prendrait le leadership de l'opposition et lancerait un référendum sur le « Calexit » pour prendre son indépendance. Face à l'isolement croissant des Etats-Unis, la Chine de Xi Jin Ping et la Russie de Poutine prendraient de l'assurance sur la scène mondiale sur fond d'extension de l'Etat islamique en Asie centrale et de montée de la menace nucléaire nord-coréenne.

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Source : LA TRIBUNE

C'est rejouissant tout ca...
 
Plus apte à parler diplomatie, défense et sécurité qu'économie concernant le monde demain. Un point très inquiétant ( mentionné dans l'article ci dessus de "La Tribune") concerne l'avance "silencieuse" de l'Etat Islamique en Asie centrale.

Visiblement l'EI est en déroute en Libye mais pourrait s'étendre vers les zones frontalières poreuses telles que le Tadjikistan,Turkménistan et l'Ouzbékistan. Ajouté à cela, le recul de l'EI en Syrie et en Irak poussera inévitablement les djihadistes à retourner dans leurs pays d'origines. Faut il rappeler que le 3eme plus gros contingent de l'EI provient de jeunes d'Asie centrale. La situation est au stade de la séduction donc en Asie centrale, mais le retour des combattants pourrait être désastreux. Le seul espoir provient de leurs gouvernements autoritaires et leurs engagements contre l'islamisme ( contrairement aux Européens ).

D'ailleurs, expérience personnelle à partager. Lorsque j'officiais dans le Gansu et sa capitale provincial Lanzhou ( ville à grande communauté musulmane HUI), de nombreux étudiants ont été rappelés à l'ordre pour possession d'images de l'EI. Sans compter les prières dans les couloirs de la faculté entre les cours. Tout ceci symbolisé par un attrait des étudiants tadjiks, ouzbeks et kirghiz pour leurs camarades venant d'Arabie Saoudite...Ils préféraient pour les plus mauvais d'entre eux apprendre l'écriture arabe alors qu'ils venaient en Chine pour le mandarin.

L'Etat Islamique est une création de l'Arabie Saoudite. Il faut cesser de se complaire dans cette situation de dépendance vis à vis de l'Arabie Saoudite. Indirectement c'est eux qui tuent dans nos rues.

Si ce thème vous intéresse, lisez notre collègue Bayram Balci qui a officié à Tackhent pendant 5 ans.
 
2017 : à partir de quand faudra-t-il commencer à avoir peur ?


En 2017, un monde imprévisible s'annonce, marqué par des incertitudes politiques, géopolitiques et économiques inédites. La façon dont les banques centrales sauront ou pas gérer la sortie de la déflation et normaliser leurs politiques monétaires sera l'une des clefs pour éviter le pire.


Extrait : L'an dernier, le magazine américain Bloomberg, dans son "Guide pessimiste pour 2016", avait annoncé le Brexit et la victoire de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Deux projections qui se sont réalisées. Même si le travail auquel se livre Bloomberg est avant tout un exercice de fiction, prévoir le pire permet de s'y préparer. Même si l'on espère et préfère le meilleur. Pour son Guide pessimiste de 2017, Bloomberg se risque donc à prédire la victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle française et un référendum sur une sortie de la France de l'Union européenne. Ce « Frexit » sonnerait la fin de l'Europe telle que nous l'avons connue. En Allemagne, Angela Merkel perdrait les élections générales de l'automne tandis qu'en Italie, le leader du Mouvement 5 Étoiles, Beppe Grillo, se hisserait au pouvoir et lancerait, lui aussi, un référendum pour rétablir la lire italienne. Au Royaume-Uni, Theresa May serait remplacée par un candidat de la ligne dure du Brexit, après l'échec des négociations avec l'UE. La Grèce chuterait à nouveau, mais, cette fois, l'Europe cesserait de la renflouer...

Aux États-Unis, Bloomberg voit monter la protestation contre Donald Trump avec la fusion des mouvements étudiants, des activistes de Black Lives Matter et d'Occupy Wall Street. La Californie prendrait le leadership de l'opposition et lancerait un référendum sur le « Calexit » pour prendre son indépendance. Face à l'isolement croissant des Etats-Unis, la Chine de Xi Jin Ping et la Russie de Poutine prendraient de l'assurance sur la scène mondiale sur fond d'extension de l'Etat islamique en Asie centrale et de montée de la menace nucléaire nord-coréenne.

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Source : LA TRIBUNE

En tout cas, la bourse à Wall Street se porte très bien. Pas loin du record des 20000 points :rolleyes:
 
Trump veut relancer la "guerre des étoiles"

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Répondant à Vladimir Poutine, Donald Trump veut renforcer l'arsenal nucléaire des Etats-Unis pour rééquilibrer les rapports de force à travers le monde, renouant avec une politique de la dissuasion nucléaire qui tourne le dos à l'approche de Barak Obama.

Extrait : A la veille de Noël, le futur président des Etats-Unis, Donald Trump, a publié le message suivant sur Twitter : « Les Etats-Unis doivent fortement renforcer et développer leur potentiel nucléaire jusqu'au moment où le monde reviendra à la raison pour ce qui concerne l'armement nucléaire ». Trump marche-t-il dans les pas de l'un de ses prédécesseurs, Ronald Reagan, qui avait annoncé en 1983 une coûteuse course aux armements, avec son Initiative de défense stratégique (IDS), plus connue sous le nom de « guerre des étoiles », pour abattre « l'Empire du mal », c'est-à-dire l'Union soviétique.

Comme Reagan, Trump pense qu'il faut dépasser l'équilibre de la terreur, en se dotant de nouvelles armes qui puissent anéantir l'ennemi, ou du moins son arsenal de missiles, avant qu'il n'atteigne les Etats-Unis.

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Source : LA TRIBUNE
 
[...]avec une politique de la dissuasion nucléaire qui tourne le dos à l'approche de Barak Obama.[...]
Mais c'est faux.
En installant le système d'interception THAAD en Corée du Sud et son équivalant en Roumanie
https://en.wikipedia.org/wiki/Terminal_High_Altitude_Area_Defense

Barack Obama n'a pas du tout abandonné la guerre des étoiles.

Et comme déjà écrit il a soutenu la révolution en Ukraine et les brigades terroristes en Syrie.
Nous présenter Obama comme Saint Michel et Trump comme le Diable est malhonnête.

Ton Figaro est une recueil de propagande et mensonge, pour 2017, tu peux le conserver pour le W.C. (Water Closed, yes)

Les THAAD et autres systèmes d'interception sont développés et mis en place pour rendre les arsenaux nucléaires Russes et Chinois obsolètes et pouvoir lancer des opérations offensives sans risque de réponse nucléaire.
La Russie craint cette approche car en conflit conventionnel elle ne pourra pas résister aux USA.
 
Dernière édition:
Guterres veut rencontrer Trump

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Article : Le prochain secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, qui s'est réuni fin novembre avec le président russe Vladimir Poutine, a exprimé aujourd'hui le souhait de rencontrer désormais "dès que possible" Donald Trump. "J'ai eu une excellente réunion de travail avec le président Poutine et j'espère que ce sera aussi le cas avec Donald Trump. J'ai certainement tout intérêt à lui rendre visite dès que possible", a-t-il indiqué dans un entretien exclusif à la chaîne de télévision portugaise SIC. "Les Etats-Unis sont non seulement le principal bailleur de fonds de l'ONU, mais aussi un élément fondamental dans toutes ses actions", a-t-il poursuivi, avant de se déclarer "déterminé à établir un dialogue constructif avec la future administration américaine".

De l'avis de nombreux diplomates à l'ONU, l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis risque de compliquer la tâche de M. Guterres, qui succèdera le 1er janvier au Sud-Coréen Ban Ki-moon. M. Trump avait ainsi prévenu vendredi que "les choses seront différentes à l'ONU" après son arrivée à la Maison Blanche le 20 janvier, réagissant à l'adoption d'une résolution au Conseil de sécurité contre les colonies israéliennes dans les Territoires palestiniens.

En outre, le prochain président des Etats-Unis n'a pas caché son scepticisme sur la lutte contre le réchauffement climatique, cheval de bataille de Ban Ki-moon, laissant entendre qu'il allait remettre en question l'accord conclu il y a un an à Paris. Interrogé sur ce point, M. Guterres a estimé que "le nouveau gouvernement adoptera certainement une position différente" de la politique menée jusqu'ici par Barack Obama, mais qu'il ne fallait pas s'attendre à une "évolution radicale" de la société américaine en matière d'environnement.

Source : LE FIGARO & AFP
 
Ton Figaro est une recueil de propagande et mensonge, pour 2017, tu peux le conserver pour le W.C. (Water Closed, yes)

Non, c'est "Water Closet", monsieur l'Americain.
Cabinet d'eau et non pas eau fermee... Si tu fermes l'eau dans un cabinet d'eau ca va vite finir par schlinguer.
 
Trump et le Brexit, aiguillons des marchés, points d’interrogation en 2017

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Après un premier semestre en dents de scie, les Bourses européennes ont bien encaissé le Brexit : c’est même la Bourse de Londres qui a le mieux performé cette année. L’élection de Donald Trump a fait s’envoler le Dow Jones ces deux derniers mois. Pourtant les incertitudes sur sa politique économique et surtout commerciale pourraient peser sur les marchés actions en 2017.


Extrait : Le Dow Jones flirtant avec le seuil jamais atteint des 20.000 points, le FTSE 100 londonien à un nouveau record historique de clôture : qui, en janvier dernier, eut cru que l'année allait terminer sur une telle note quasi euphorique ? A la City, où le Footsie caracole au-dessus des 7.100 points et gagne plus de 13% sur douze mois, on évoque un traditionnel (mais pas systématique) « rally de fin d'année » ou « du Père-Noël » (« Santa Claus rally »), dans un marché sans tendance aux faibles volumes d'échanges. A Wall Street, il pourrait encore s'écouler plusieurs dizaines de séances avant de voir le cap symbolique des « 20K » franchi par le Dow : les investisseurs, peu nombreux, prennent leurs bénéfices après six semaines d'effet Trump. Le S&P 500 cote également à ses plus hauts niveaux historiques, tout comme le Nasdaq. Les marchés actions américains sont redevenus « great again ».

Suite de l'analyse >>>

Source : LA TRIBUNE
 
Trump salue l'«intelligence» de Poutine

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Le président élu des États-Unis Donald Trump a salué dans un tweet aujourd'hui "l'intelligence" du président russe Vladimir Poutine moins de 24 heures après les sanctions prises contre Moscou par le président Barack Obama.

Article : "Bien joué (de la part de V. Poutine) sur le report - J'ai toujours su qu'il était très intelligent!", a écrit le futur président américain. Donald Trump fait référence à la décision du président russe de ne pas répondre pour l'instant aux sanctions prises par Washington contre Moscou pour l'ingérence présumée de la Russie dans la campagne présidentielle américaine.

Donald Trump faisait référence à la décision du président russe de ne pas répondre pour l'instant aux sanctions prises par Washington, qui accuse Moscou d'ingérence dans la campagne présidentielle américaine. Le président Vladimir Poutine a créé la surprise aujourd'hui en décidant de "n'expulser personne", ne répondant ainsi pas à l'expulsion par Washington de 35 agents russes, contrairement à ce que proposait son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

Donald Trump, qui a salué les qualités du président russe Vladimir Poutine et a nommé à son cabinet des responsables ayant des liens étroits avec le Kremlin, n'a cessé de répéter qu'il ne croyait pas aux accusations d'ingérence russe.
Il s'est abstenu toutefois jeudi de critiquer les sanctions de M. Obama, jugeant qu'il était "temps de passer à d'autres choses plus importantes". Il a précisé qu'il rencontrerait les chefs du renseignement américain "la semaine prochaine" pour faire le point sur cette affaire.
LIRE AUSSI:

»Poutine tourne en dérision les sanctions d'Obama

Source : LE FIGARO & AFP
 
.... bien encaissé le Brexit : c’est même la Bourse de Londres qui a le mieux performé cette année.....
L’élection de Donald Trump a fait s’envoler le Dow Jones ....

Vivement que Marine soit élue pour faire décoller le CAC 40 !!! :grin::grin::grin:

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Du «Brexit» à «l'erreur» de Merkel: Donald Trump étrille l'Union européenne

Lien retiré

VIDÉO - À quelques jours de sa prise de fonction, le président américain élu critique vertement certaines institutions internationales telles que l'UE ou l'Otan. Il tend, au contraire, la main à la Russie.


Extrait :Donald Trump ne réserve plus ses déclarations fracassantes à ses désormais célèbres tweets nocturnes. À quelques jours de sa prise de fonction, le président américain élu a multiplié les prises de positions atypiques dans une interview donnée au Times et à Bild, journaux respectivement britannique et allemand. L'homme à la mèche blonde n'a pas mâché ses mots, notamment sur l'Union européenne, pour laquelle il montre bien peu de considération. Résumé de ses principales prises de position.

• Union européenne et «Brexit»
«Quand vous jetez un coup d'œil à l'Europe, vous voyez en réalité l'Allemagne, estime Donald Trump. [L'UE] est en réalité un instrument au service de l'Allemagne. C'est pourquoi je pense que le Royaume-Uni a bien fait d'en sortir.» Pour Donald Trump, le «Brexit» est incontestablement un succès pour le Royaume-Uni. Il assure qu'il va «travailler dur» pour qu'un nouvel accord commercial soit conclu «très rapidement» entre Londres et Washington. Il répond aussi favorablement à la requête de la première ministre Theresa May: «Nous nous verrons dès que je serai entré à la Maison-Blanche.» L'annonce de cet accord a en tous cas déjà réjouit le ministre des Affaires étrangères britannique, Boris Johnson, qui a jugé que c'était «une bonne nouvelle [...] dans l'intérêt des deux parties».

Le président élu est persuadé que la crise des réfugiés a été mal gérée et qu'elle est à l'origine du départ du Royaume-Uni de l'UE. «Les peuples, les pays veulent conserver leur identité. Le Royaume-Uni veut sa propre identité. Mais je crois que si on ne l'avait pas forcé à accepter tout ces réfugiés avec tous les problèmes qui vont avec… Je pense qu'il n'y aurait jamais eu de “Brexit” […] Je pense que d'autres pays vont quitter l'UE à leur tour.» L'Allemagne et sa chancelière, Angela Merkel, qui ont été en pointe dans l'accueil des réfugiés, qualifié par Trump «d'illégaux», ont commis «une erreur catastrophique». Il assure cependant avoir «un profond respect» pour Angela Merkel.

«Je pense que nous, les Européens, avons notre destin dans nos propres mains. Je vais continuer de m'engager pour que les 27 États membres travaillent ensemble vers l'avenir(...) face aux défis du XXIe siècle», a riposté Angela Merkel lundi. «La meilleure réponse à l'interview du président américain, c'est l'unité des Européens», c'est de «faire bloc», a réagi de son côté le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Marc Ayrault.

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Source : LE FIGARO


Un commentaire plein de bon sens j'approuve sans reserve ....:bravo:

Alexandre Marigny


Trump est tout simplement le John Adams de notre temps. Il a un esprit de négociateur, il est pragmatique et considère les autres nations comme des concurrentes. John Adams avait plutôt choisi de signer des traités commerciaux avec le Royaume-Uni qu'avec la France contrairement à ce que Jefferson aurait voulu. Trump essaye de défendre la première place des USA dans le monde face à l'avancée frénétique de la Chine qui se verrait bien en haut du piédestal.
Quand à Poutine, il ne s'est jamais caché de l'importance que les états voisins représentent pour la Russie qui servaient d'avant-garde à l'époque soviétique sur la partie Est de l'Europe. Si Trump voit en Poutine une chance de mettre l'Europe à l'épreuve, il ne se gênera pas et ce sera à nous l'Europe de montrer que nous valons encore quelque chose. Les moments que nous vivons aujourd'hui marquent clairement la fin de l'hégémonie des USA dans le monde, une Russie qui désire reprendre sa place sur la scène internationale, une Chine qui souhaite incarner l'Etat-stable des marchés et une Europe qui a toujours du mal à décider de son cap alors qu'elle pourrait donner le "la" mais Merkel aura rappelé à ses partenaires que l'intérêt national prévalait sur tout le reste. Les cartes changent de main et j'espère que nous serons suffisamment intelligent pour faire partie du jeu.


Le 16/01/2017 à 14:57

 
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2017 : à partir de quand faudra-t-il commencer à avoir peur ?


En 2017, un monde imprévisible s'annonce, marqué par des incertitudes politiques, géopolitiques et économiques inédites. La façon dont les banques centrales sauront ou pas gérer la sortie de la déflation et normaliser leurs politiques monétaires sera l'une des clefs pour éviter le pire.


Extrait : L'an dernier, le magazine américain Bloomberg, dans son "Guide pessimiste pour 2016", avait annoncé le Brexit et la victoire de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Deux projections qui se sont réalisées. Même si le travail auquel se livre Bloomberg est avant tout un exercice de fiction, prévoir le pire permet de s'y préparer. Même si l'on espère et préfère le meilleur. Pour son Guide pessimiste de 2017, Bloomberg se risque donc à prédire la victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle française et un référendum sur une sortie de la France de l'Union européenne. Ce « Frexit » sonnerait la fin de l'Europe telle que nous l'avons connue. En Allemagne, Angela Merkel perdrait les élections générales de l'automne tandis qu'en Italie, le leader du Mouvement 5 Étoiles, Beppe Grillo, se hisserait au pouvoir et lancerait, lui aussi, un référendum pour rétablir la lire italienne. Au Royaume-Uni, Theresa May serait remplacée par un candidat de la ligne dure du Brexit, après l'échec des négociations avec l'UE. La Grèce chuterait à nouveau, mais, cette fois, l'Europe cesserait de la renflouer...

Aux États-Unis, Bloomberg voit monter la protestation contre Donald Trump avec la fusion des mouvements étudiants, des activistes de Black Lives Matter et d'Occupy Wall Street. La Californie prendrait le leadership de l'opposition et lancerait un référendum sur le « Calexit » pour prendre son indépendance. Face à l'isolement croissant des Etats-Unis, la Chine de Xi Jin Ping et la Russie de Poutine prendraient de l'assurance sur la scène mondiale sur fond d'extension de l'Etat islamique en Asie centrale et de montée de la menace nucléaire nord-coréenne.

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Source : LA TRIBUNE

c'est de la connerie cet article.
c'était pas imprévisible avant, genre tout était bien , et les soit-disantes crises n'étaient que tromperies ?
une crise c'est mieux quand y a personne qui donne des coups de pieds dans la fourmilière.
brexit - cop 21 rpz
pris pour des jambons de baleine
 
c'est de la connerie cet article.
c'était pas imprévisible avant, genre tout était bien , et les soit-disantes crises n'étaient que tromperies ?
une crise c'est mieux quand y a personne qui donne des coups de pieds dans la fourmilière.
brexit - cop 21 rpz
pris pour des jambons de baleine
A-B-S-O-L-U-T-E-L-Y
 
Je viens de voir un reportage sur son entrée en fonction :

Pas de vip pour la cérémonie

Popularité la plus basse de l'histoire us pour une investiture (40%) seulement

Sa base électorale qui se réveille (enfin) et qui réalise qu'ils se sont fait avoir !

Bref sa promet 4 année de rêves et de félicité

Peace for everyone
 
Je viens de voir un reportage sur son entrée en fonction :

Pas de vip pour la cérémonie

Popularité la plus basse de l'histoire us pour une investiture (40%) seulement

Sa base électorale qui se réveille (enfin) et qui réalise qu'ils se sont fait avoir !

Bref sa promet 4 année de rêves et de félicité

Peace for everyone
Ça s'appel du gros foutage de gueule.

Parce que TRUMP n'a pas juste remporté la présidentielle, mais il a aussi récupéré le Congress, le sénat et la chambre des représentants.
Donc, la population lui a donné le pouvoir + les clefs du Congrès.

Et contrairement à médiocre pour tous, les usines commencent à rentrer aux USA.
C'est ça l'efficiency.

Dur dur pour les Français de sortir de la tchatche pour fournir du concret, des résultats tangibles et pas de la comm' à 2 balles.
 
Dernière édition:
Le gros du mécontentement est concernant entre autres la fin de l'Obamacare, qui va en laisser certains culs nuls au prochain pépin de santé.

Un site qui compile les commentaires de personnes atteintes du syndrome du "buyer's remorse", avant et après le vote.
http://www.areyousorryyet.com/
L'obamacare n'était pas tenable.
D'ailleurs, Bill Clinton a déclaré, il y a peu de temps, que c'était une folie.
 
Ça s'appel du gros foutage de gueule.

Parce que TRUMP n'a pas juste remporté la présidentielle, mais il a aussi récupéré le Congress, le sénat et la chambre des représentants.
Donc, la population lui a donné le pouvoir + les clefs du Congrès.

Et contrairement à médiocre pour tous, les usines commencent à rentrer aux USA.
C'est ça l'efficiency.

Dur dur pour les Français de sortir de la tchatche pour fournir du concret, des résultats tangibles et pas de la comm' à 2 balles.
Je ne fais que relayer une information certe de la télé française mais basée sur un sondage US et qui est aussi relayé par les média US.
Après tu as l'air d'être un supporter de Trump et tant mieux pour toi, moi je ne sais pas quoi penser de cet personne pour le moment.
Oui le sénat et la chambre des représentants sont en majorité REPUBLICAIN mais Trump est TRÈS TRÈS TRÈS loin de faire l'unanimité dans son propre parti.
De plus son efficacité est, pour ma part , relative car pour l'instant c'est des annonces et beaucoup de bruit (sur les réseaux sociaux principalement ) et dans ce style on a connu Sarkozy qui annonçait beaucoup mais à fait énormément moins.

Donc je pense plutôt :wait and see.
Il ne faut pas oublier que le président Us est beaucoup moins puissant que le congrès. Ce n'est pas ma France avec un président omnipotent (49.3 et autre)
 
Avalouer,
Les même sondages qui donnaient Clinton Gagnante, le Brexit perdant??
Tu fais encore confiance aux grands médias Français et aux instituts de sondages?

Le président des USA dispose d'un pouvoir considérable, particulièrement quand le Congrès est tenu par son parti.
Il tient la présidence, le sénat et la chambre des représentants.

C'est assez énorme.

Maintenant, il va lui rester à démontrer que le peuple Américain a fait le bon choix.

ET, pas juste des annonces, des constructeurs automobiles rapatrient leurs usines aux USA!!
C'est beaucoup dans un pays avec tant de chômeurs.

Dans ta France, ton président, Médiocre Pour Tous, combien d'usine a t il rapatrié?:bravo: