Voilà ma contribution pour cette année 2010 passée en votre compagnie.
A ceux qui sauront l'apprécier...
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Ne dites pas à ma mère… que je suis en Corée du Nord
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Pour entrer en Corée du Nord, Diego Buñuel a profité d’un visa touristique attribué à titre exceptionnel pour les fêtes anniversaires célébrant 60 ans de dictature communiste. Oh ! pardon de la République Démocratique. Du parc d’attraction de la capitale Pyongyang, aux fermes collectives des campagnes encore marquées par les 3 millions de morts de la grande famine de 1997 en passant le grand bal de filles à marier du parti unique, un voyage étonnant ou la langue de bois et les tabous tombent petit à petit au fil des kilomètres.
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Ne dites pas à ma mère… que je suis au Venezuela
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Trop jeune pour avoir connu celle de Cuba en 1959, Diego vous fait découvrir celle du Venezuela en pleine mutation. Avec un groupe de paysans sans terre, par exemple, à qui le gouvernement a promis de prendre aux riches pour donner aux pauvres. Avec Carlos aussi, qui lui, a senti la bonne affaire et offre des visites guidées aux touristes de gauche. Sans oublier les villages perdus des Andes où la culture n’arrive qu’à dos de mule, la frontière colombienne où l’essence « révolutionnaire » se trafique... Bref, le Venezuela comme vous ne l’avez jamais vu.
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Ne dites pas à ma mère… que je suis en Iran
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Bienvenue dans un pays cinq fois grand comme la France. Rencontre par exemple avec Mike Jones, un basketteur noir américain recruté pour jouer dans l’ équipe d’ Isfahan. A Qom, la ville sainte, c’est Mollah Hajara qui nous accueille pour nous présenter son fils: rappeur de son état. Autre surprise les réserves du Musée d’Art Contemporain de Téhéran où sont enfermées, depuis 1979, 1500 oeuvres de l’époque du Shah, jugées décadentes par le régime: Pollock, Picasso, Warhol, Bacon, Motherwell, Indiana... Diego nous embarque aussi dans les coulisses de la « Coran Academy » une compétition internationale de lecture du livre saint Alors laissez tomber vos idées toutes faites et bienvenue dans l’Iran que vous n’imaginiez pas…
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Ne dites pas à ma mère… que je suis en Irak
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Depuis son occupation par l’armée américaine en 2003, l’Irak fait la une de tous les journaux du monde. En Décembre 2008, juste après l’élection de Barack Obama, qui promet le retrait des troupes d’ici à 2011, Diego Bunuel, s’est rendu en Irak. Il vous emmène de Bagdad à Nadjaf, la plus grande nécropole du monde, en passant par le Kurdistan. Voyage dans un pays groggy par des années de guerre.
A ceux qui sauront l'apprécier...
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Ne dites pas à ma mère… que je suis en Corée du Nord
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Pour entrer en Corée du Nord, Diego Buñuel a profité d’un visa touristique attribué à titre exceptionnel pour les fêtes anniversaires célébrant 60 ans de dictature communiste. Oh ! pardon de la République Démocratique. Du parc d’attraction de la capitale Pyongyang, aux fermes collectives des campagnes encore marquées par les 3 millions de morts de la grande famine de 1997 en passant le grand bal de filles à marier du parti unique, un voyage étonnant ou la langue de bois et les tabous tombent petit à petit au fil des kilomètres.
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Ne dites pas à ma mère… que je suis au Venezuela
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Trop jeune pour avoir connu celle de Cuba en 1959, Diego vous fait découvrir celle du Venezuela en pleine mutation. Avec un groupe de paysans sans terre, par exemple, à qui le gouvernement a promis de prendre aux riches pour donner aux pauvres. Avec Carlos aussi, qui lui, a senti la bonne affaire et offre des visites guidées aux touristes de gauche. Sans oublier les villages perdus des Andes où la culture n’arrive qu’à dos de mule, la frontière colombienne où l’essence « révolutionnaire » se trafique... Bref, le Venezuela comme vous ne l’avez jamais vu.
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Ne dites pas à ma mère… que je suis en Iran
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Bienvenue dans un pays cinq fois grand comme la France. Rencontre par exemple avec Mike Jones, un basketteur noir américain recruté pour jouer dans l’ équipe d’ Isfahan. A Qom, la ville sainte, c’est Mollah Hajara qui nous accueille pour nous présenter son fils: rappeur de son état. Autre surprise les réserves du Musée d’Art Contemporain de Téhéran où sont enfermées, depuis 1979, 1500 oeuvres de l’époque du Shah, jugées décadentes par le régime: Pollock, Picasso, Warhol, Bacon, Motherwell, Indiana... Diego nous embarque aussi dans les coulisses de la « Coran Academy » une compétition internationale de lecture du livre saint Alors laissez tomber vos idées toutes faites et bienvenue dans l’Iran que vous n’imaginiez pas…
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Ne dites pas à ma mère… que je suis en Irak
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Depuis son occupation par l’armée américaine en 2003, l’Irak fait la une de tous les journaux du monde. En Décembre 2008, juste après l’élection de Barack Obama, qui promet le retrait des troupes d’ici à 2011, Diego Bunuel, s’est rendu en Irak. Il vous emmène de Bagdad à Nadjaf, la plus grande nécropole du monde, en passant par le Kurdistan. Voyage dans un pays groggy par des années de guerre.