Au pays de la politique de l'enfant unique, l'enseignement de l'éducation sexuelle des jeunes enfants fait polémique. Ainsi, selon le « China Daily », des parents d'élèves du primaire ont très mal réagi à la publication d'un manuel scolaire qui parle en termes trop crus à leur goût de la reproduction. « Pour permettre au sperme de trouver l'ovule, papa introduit son pénis dans le vagin de maman... », selon un extrait du texte présenté avec des illustrations. « C'est de la pornographie », s'écrie une maman interrogée par le quotidien chinois.
Et elle se fait l'écho de nombreuses mères de famille. Beaucoup de parents préféreraient que l'on utilise un vocabulaire plus romantique. Le manuel en cause, qui a été réalisé par des experts de l'Association de recherche sur l'éducation sexuelle et la santé de Pékin, s'adresse aux enfants de six à douze ans et est divisé en trois grandes sections, dont la dernière porte notamment sur le prévention du sida. Il ne s'agit encore que d'un manuel expérimental.
Selon des experts, la Chine est en retard en matière d'éducation sexuelle. D'après une enquête menée dans 14 écoles auprès de 450 élèves de CM1 et de CM2, moins de 20 % d'entre eux avaient acquis des connaissances en la matière à l'école. Au point où, selon la directrice d'un centre de recherche Zhang Meimei, certaines filles pensaient que le développement de leur poitrine était le début d'un cancer...
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Et elle se fait l'écho de nombreuses mères de famille. Beaucoup de parents préféreraient que l'on utilise un vocabulaire plus romantique. Le manuel en cause, qui a été réalisé par des experts de l'Association de recherche sur l'éducation sexuelle et la santé de Pékin, s'adresse aux enfants de six à douze ans et est divisé en trois grandes sections, dont la dernière porte notamment sur le prévention du sida. Il ne s'agit encore que d'un manuel expérimental.
Selon des experts, la Chine est en retard en matière d'éducation sexuelle. D'après une enquête menée dans 14 écoles auprès de 450 élèves de CM1 et de CM2, moins de 20 % d'entre eux avaient acquis des connaissances en la matière à l'école. Au point où, selon la directrice d'un centre de recherche Zhang Meimei, certaines filles pensaient que le développement de leur poitrine était le début d'un cancer...
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