petit à petit la Chine fait son nid

马马虎虎

10 ans de galéjade
10 Avr 2010
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Chine: l'excédent commercial triple en juillet et atteint un record
8/8/14 - 07 H 07 - Mis à jour le 8/8/14 - 12 H 00



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AFP/Archives

Le quartier des affaires de Lujiazui, à Shanghai
Avec cet article
La Chine veut promouvoir sa propre « théologie chrétienne »
Deux chrétiens canadiens soupçonnés d’espionnage en Chine
La Chine veut sanctionner des constructeurs automobiles étrangers
Comment Pékin gère les séismes les plus meurtriers du monde

La Chine a enregistré en juillet un excédent commercial record, à plus de 47 milliards de dollars --un signe de vigueur de l'activité sur fond d'accélération des exportations, et qui pourrait alimenter le mouvement d'appréciation du yuan.

L'excédent commercial de la deuxième puissance économique mondiale s'est établi le mois dernier à 47,3 milliards de dollars, selon des chiffres des douanes publiés vendredi - très au-delà des 17,8 milliards de juillet 2013, et à un niveau historique selon les experts.

Le bond spectaculaire s'explique avant tout par une nette augmentation des exportations, qui ont gonflé de 14,5% sur un an, à 212,9 milliards de dollars, selon les douanes.

C'est une accélération très marquée par rapport à la progression de 7,2% en juin, et bien davantage que ce que prévoyaient les experts interrogés par le Wall Street Journal (+8%).

"Les chiffres suggèrent que la demande des pays développés s'est améliorée", ont observé les analystes de la banque australo-néozélandaise ANZ.

Les exportations vers l'Union européenne ont grimpé de 17% sur un an en juillet (contre une hausse de 12,5% le mois précédent), et celles vers les Etats-Unis de 12,3% (contre 7,5% en juin). Celles vers le Japon ont rebondi.

La Chine est le numéro un mondial des échanges de produits manufacturés.

"Ces chiffres extrêmement vigoureux pointent un renforcement de la demande extérieure" sur fond d'embellie de la conjoncture internationale, mais cette soudaine croissance à deux chiffres des exportations "ne sera pas durable", a averti Lu Ting, analyste de Bank of America Merrill-Lynch.

- Effets des mesures de relance -

De leur côté, les importations chinoises se sont repliées de 1,6% sur un an, à 165,6 milliards de dollars.

Cet accès de faiblesse contrastait avec le rebond de 5,5% en juin, mais aussi avec les prévisions des analystes, qui prédisaient un gain de 3%.

Selon les experts d'ANZ, cette baisse peut s'expliquer en partie par le durcissement des autorités à l'égard des opérations financières adossées à des stocks de matières premières importées, après la mise au jour d'une vaste fraude dans le port de Qingdao (est).

Les importations (en volume) de minerai de fer ont ralenti en juillet (à +12,8%), celles de pétrole et de cuivre ont diminué (de respectivement 9% et 17,2% sur un an).

Mais la demande chinoise de matières premières reste malgré tout aidée par la récente "accélération des dépenses publiques" dans les infrastructures, a tempéré ANZ.

Les importations "devraient se renforcer sous peu", "à mesure que les mini-mesures de relance porteront leurs fruits", a abondé Lu Ting.

Après avoir vu sa croissance économique descendre à 7,4% au premier trimestre, la Chine avait adopté à partir d'avril des réductions fiscales ainsi que des assouplissements monétaires très ciblés, et des facilités destinées à doper les investissements dans les infrastructures.

- Le yuan poussé à s'apprécier -

L'amélioration des indicateurs macroéconomiques, notamment dans le secteur manufacturier, avait permis une légère accélération de la croissance à 7,5% au deuxième trimestre.

Et le commerce extérieur avait repris des couleurs --après le déficit commercial surprise de près de 23 milliards de dollars enregistré en février.

De l'avis des experts, l'excédent record de juillet pourrait accroître la pression sur les autorités chinoises pour laisser le yuan s'apprécier de façon plus sensible.

Des partenaires commerciaux de la Chine, Etats-Unis en tête, accusent volontiers Pékin --qui contrôle étroitement sa devise-- d'entretenir délibérément une sous-évaluation du renminbi (autre nom du yuan) pour doper ses exportations.

La monnaie chinoise s'était renchérie de quelque 3% face au dollar en 2013, mais avait inversé la tendance en 2014: le yuan s'est déprécié de plus de 1,5% depuis le début de l'année.

A moyen terme, "l'excédent commercial va probablement rester élevé", les exportations restant soutenues par la reprise de la demande mondiale, "ce qui devrait accroître la dynamique poussant le renminbi à la hausse", a cependant observé Wang Qinwei, analyste du cabinet Capital Economics.

La banque centrale chinoise (PBOC) a déjà commencé à relever le taux médian déterminant la marge de fluctuation du yuan.

"Alors que l'activité en Chine se revigore" et que la confiance des investisseurs étrangers se raffermit, "le yuan a le potentiel pour s'apprécier encore davantage" sous l'effet du marché, ont abondé les analystes de ANZ.

AFP

http://www.la-croix.com/Actualite/E...illet-et-atteint-un-record-2014-08-08-1189543
 
Pourquoi les Etats-Unis sont devancés par la Chine en Afrique
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FIGAROVOX/TRIBUNE - Alors qu'un sommet Etats-Unis/Afrique vient de s'achever à Washington, Laurence Daziano considère que l'Amérique est en retard, par rapport à une Chine conquérante et déjà installée en Afrique.

Laurence Daziano, maître de conférences en économie à Sciences Po Paris, est également membre du conseil scientifique de la Fondation pour l'innovation politique.

Barack Obama a réuni, entre le 4 et le 8 août, son premier sommet entre l'Afrique et les États-Unis. Durant quatre jours, une cinquantaine de chefs d'État se sont retrouvés à Washington pour évoquer les questions sécuritaires, la lutte contre le virus Ebola en Afrique de l'Ouest, mais, surtout, les questions économiques, commerciales et énergétiques. La législation Agoa (African Growth and Opportunity Act, loi américaine votée en l'an 2000 visant à faciliter le commerce avec l'Afrique) et le programme Power Africa ont ainsi largement monopolisé les discussions. Barack Obama aura attendu son second mandat pour entamer une tournée africaine, puis réunir le sommet américano-africain.

Le sommet de Washington arrive trop tard. L'Afrique a désormais les yeux tournés vers les grandes puissances émergentes, notamment la Chine, l'Inde et le Brésil.

Or, le sommet de Washington arrive trop tard. L'Afrique a désormais les yeux tournés vers les grandes puissances émergentes, notamment la Chine, l'Inde et le Brésil. Dans ce nouveau monde qui se dessine, comme le premier ministre chinois, Li Keqiang, l'avait indiqué dans une longue tournée africaine en mai 2014, qui l'avait successivement conduit en Éthiopie, au Nigeria, en Angola et au Kenya, «les relations entre la Chine et l'Afrique sont entrées dans un âge d'or». Li Keqiang exprimait ainsi une doctrine chinoise qui confirme l'importance croissante de l'Afrique pour l'empire du Milieu.

En premier lieu, l'Afrique est un partenaire commercial stratégique pour la Chine. Depuis 2009, la Chine est devenue le premier partenaire commercial du continent africain. Les investissements directs chinois ont atteint, en 2013, 25 milliards de dollars et plus de 2 500 entreprises chinoises y investissent. Le commerce entre l'Afrique et la Chine s'élève à 210 milliards de dollars. Plus important encore, il y a tout lieu de penser que les échanges vont croître car, d'une part, la Chine dispose d'immenses réserves de change à investir dans le monde (près de 3 800 milliards de dollars), d'autre part, la Chine doit trouver de nouveaux débouchés pour ses produits alors que le continent africain comptera 2 milliards d'habitants d'ici à 2050.

En second lieu, la Chine a besoin, pour soutenir sa croissance à long terme, d'immenses quantités de matières premières et de ressources fossiles. Seul le continent africain peut y pourvoir. D'ici à 2030, 35 % dela croissance énergétique mondiale proviendra de la Chine. La caractéristique première du commerce sino-africain réside dans la place prépondérante occupée par les matières premières. L'Afrique permet à la Chine d'acquérir une indépendance dans son accès aux matières premières et de sécuriser son approvisionnement. Cette politique a été explicitement développée dans la doctrine chinoise du «going out», visant à faire croître les entreprises chinoises dans le secteur des matières premières à l'étrangeret tout particulièrement en Afrique. La Chine a conclu de nombreux accords et contrats de long terme avec les pays africains producteurs de pétrole, notamment le Nigeria et l'Angola. Ces relations entre la Chine et les producteurs de matières premières vont croissantes.

Dans cette nouvelle relation stratégique, l'effort américain pour courtiser l'Afrique semble déjà mort-né.
En troisième lieu, l'alliance entre la Chine et l'Afrique repose sur une nouvelle vision du monde qui est propre aux pays émergents. Cette alliance vise à remettre en cause l'ordre ancien, issu de 1945, et tout particulièrement la domination occidentale. Qu'il s'agisse des questions de développement, des négociations climatiques ou des équilibres stratégiques, Chinois et Africains sont réunis par un même regard sur le monde. Cela est d'autant plus vrai à l'heure où de nombreux pays africains accèdent au statut de pays émergent, à l'instar du Nigeria, de l'Éthiopie, de l'Angola, du Mozambique ou du Ghana. La Chine est ainsi le «grand frère»des émergents, comme les négociations climatiques de Paris, en décembre 2015, le démontreront puisque Pékin sera à la tête du G77, groupe des pays non alignés.

Dans cette nouvelle relation stratégique, l'effort américain pour courtiser l'Afrique semble déjà mort-né. Certes, les États-Unis disposent d'une croissance vigoureuse et d'une avance technologique fondamentale. Cependant, les réservoirs de croissance et de matières premières se trouvent bien ailleurs, et notamment en Afrique et en Chine.

Et, comme l'a indiqué Li Keqiang, «je voudrais affirmer à mes amis africains, avec toute ma sincérité, que la Chine n'entend aucunement agir de façon impérialiste, comme certains pays l'ont fait auparavant».

http://www.lefigaro.fr/vox/economie...nis-sont-devances-par-la-chine-en-afrique.php
 
Le président bolivien et l'ambassadeur de Chine en Bolivie discutent de la coopération bilatérale
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French.xinhuanet.com | Publié le 2014-08-08 à 15:44
LA PAZ, 7 août (Xinhua) -- Le président bolivien, Evo Morales, a rencontré jeudi l'ambassadeur de Chine en Bolivie, Li Dong, pour faire le point sur la coopération bilatérale afin de faire progresser les projets conjoints des deux pays.

L'ambassadeur de Chine a qualifié leurs échanges de "positifs" en soulignant qu'ils étaient un signe de renforcement des relations entre les deux pays.

Les discussions ont notamment porté sur les dons, l'aide économique et la vente de quatre avions chinois Modern Ark-60.

M. Li a également remercié M. Morales pour les condoléances qu'il a adressées au président chinois, Xi Jinping, qui déploraient les morts et les destructions causées par le tremblement de terre puissant qui a secoué dimanche la province du Yunnan, dans le sud-ouest de la Chine.

Le bilan du tremblement de terre de magnitude 6,5 a atteint jeudi 615 morts et plus de 3000 blessés.

"Nous remercions le président Morales pour le message qu'il a adressé au président chinois concernant le tremblement de terre survenu en Chine. Il démontre la cordialité et la solidarité qui existent entre nos deux peuples", a indiqué M. Li.

L'ambassadeur a aussi présenté ses voeux à la Bolivie pour le 189e anniversaire de son indépendance, le 6 août.

"Nous voulons féliciter le peuple bolivien pour son développement et pour les travaux qui ont été entrepris sous la direction du président Evo Morales", a indiqué M. Li.

En mai, la Chine est devenue le plus grand pourvoyeur de prêts de la Bolivie avec un montant de 468,5 millions de dollars américains, ce qui représente 59 % de la dette étrangère bilatérale totale du pays, selon la Banque centrale de Bolivie (BCB).

Au cours de ces dernières années, la Bolivie et la Chine ont conclu des accords qui ont fait de la Chine l'un des partenaires stratégiques les plus importants du pays sud-américain dans divers projets et programmes de coopération, a indiqué à Xinhua l'économiste Marco Luis Ballivian.

La Chine est active dans les principaux secteurs économiques de la Bolivie, notamment dans ceux de l'énergie, de l'exploitation minière, de l'infrastructure de production, des ordinateurs, des satellites, des hélicoptères et des avions, a-t-il indiqué.

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Le ministre chinois des AE appelle à des relations sino-égyptiennes stratégiques, pragmatiques et durables



Des archives dévoilent les meurtres commis par un criminel de guerre japonais



Le Vietnam et la Chine renforceront leurs relations militaires



Le vice-président chinois

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La Chine a mis en orbite un satellite de télédétection de la Terre
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Par La Voix de la Russie | La Chine a effectué samedi un lancement réussi d'une fusée-porteuse Chang Zheng-4C (Longue Marche) avec un satellite de télédétection de la Terre Yaogan-XX.

Le satellite Yaogan-XX est conçu pour évaluer la production agricole, mener des expériences scientifiques, des études des ressources terrestres et naturelles, ainsi que pour la prévention des catastrophes naturelles et la réduction des dommages causés par celles-ci.

D’ici à 2020, la Chine envisage de construire sa propre station spatiale orbitale et de créer un laboratoire spatial.
 
Rencontre entre les chefs de la diplomatie Vietnam-Chine
09/08/2014 | 16:34:00
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A l'occasion de sa participation à la 47e conférence des ministres des Affaires étrangères de l'ASEAN (AMM-47) au Myanmar, le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères Pham Binh Minh a eu le 8 août une rencontre avec le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi.
A cette occasion, Pham Binh Minh, au nom des dirigeants vietnamiens, a de nouveau présenté à la Chine ses condoléances pour les pertes humaines et matérielles causées par le récent séisme dans la province du Yunnan.

Il a souligné l'importance que le Vietnam accorde à ses relations de voisinage, de partenariat et de coopération stratégiques intégrales avec la Chine. Cependant, ces derniers temps, ces relations ont été affectées par les tensions en Mer Orientale dues à l'implantation illégale par la Chine d'une plate-forme en pleine zone économique exclusive et sur le plateau continental du Vietnam.

Le vice-Premier ministre a réaffirmé la position du Vietnam pour les problèmes maritimes. Selon lui, ce qui importe actuellement, c'est que les deux pays oeuvrent ensemble pour préserver la paix et la stabilité en mer, régler les désaccords, éviter tout acte susceptible de complexifier la situation et, surtout, ne pas laisser se reproduire d'actes similaires à ceux survenus lors de ces derniers temps. Il a également insisté sur la nécessité de résoudre de manière satisfaisante les différends en Mer Orientale avec des mesures pacifiques, sur la base du respect du droit international, de la Déclaration sur la conduite des parties en Mer Orientale (DOC), ainsi que des conceptions communes conclues par les deux pays telles que l'Accord sur les principes directeurs du règlement de la question maritime. Il est aussi nécessaire d'appliquer rigoureusement la DOC afin de parvenir rapidement à un Code de conduite en Mer Orientale (COC).

Pham Binh Minh a demandé à la Chine d'accélérer les négociations sur le COC en vue de résultats tangibles. Le Vietnam fera de son mieux pour renforcer la coopération et la compréhension entre l'ASEAN et la Chine, pour la paix, la stabilité et la prospérité dans la région, a-t-il affirmé.

Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a remercié le gouvernement vietnamien pour sa sympathie à l'égard des victimes du séisme au Yunnan. Selon lui, les deux pays, qui sont des voisins, doivent intensifier leur coopération pour un développement commun et résoudre de façon satisfaisante les questions difficiles dans leurs relations, dont celle de la Mer Orientale. -VNA

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Rencontre au Myanmar du ministre chinois des AE et de son homologue sud-coréen
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French.xinhuanet.com | Publié le 2014-08-09 à 07:18
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NAYPYIDAW, 8 août (Xinhua) -- Le ministre chinois des Affaires étrangères (AE) Wang Yi a rencontré son homologue sud-coréen Yun Byung-se en marge d'une série de rencontres des ministres des AE sur la coopération en Asie de l'Est dans la capitale du Myanmar, Naypyidaw, vendredi.

La visite d'Etat du président chinois Xi Jinping en Corée du Sud le mois dernier a été un grand succès, a dit M. Wang. Lors de la visite, M. Xi et la présidente sud-coréenne Park Geun-hye ont soutenu l'idée de faire de la Chine et de la Corée du Sud des partenaires engagés à agir pour le développement commun, la paix régionale, le renouveau en Asie et la prospérité dans le monde. Cela a déterminé la voie du développement des relations entre la Chine et la Corée du Sud pour les années à venir et mis en lumière les domaines clés de la coopération entre les deux pays.

La Chine est prête à travailler de concert avec la Corée du Sud afin que le consensus atteint par les dirigeants des deux pays se traduise par des résultats concrets, a ajouté M. Wang.

La partie chinoise apprécie également la participation de la présidente Park à la rencontre des dirigeants économiques de l'APEC en Chine.

Les deux parties doivent s'efforcer de conclure les négociations d'ALE d'ici la fin de cette année selon le consensus atteint entre les deux dirigeants et de rester en contact étroit concernant la création de la Banque asiatique pour l'investissement dans l'infrastructure (AIIB), a souligné M. Wang.

Il a espéré que les deux parties puissent se soutenir l'une l'autre concernant la candidature de Beijing pour les Jeux olympiques d'hiver de 2022 et la tenue des Jeux olympiques de Pyeong Chang de 2018 en Corée du Sud.

Beijing est prête à travailler conjointement avec Séoul afin de faire respecter la paix et la stabilité dans la péninsule coréenne et d'encourager la reprise des pourparlers à six dès que possible, a affirmé M. Wang.

Mme Park et M. Xi ont établi un cadre pour le développement des relations entre la Chine et la Corée du Sud et marqué une nouvelle étape importante dans l'essor des relations bilatérales, a déclaré le chef de la diplomatie sud-coréenne.

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L’ambassadeur de Chine au Burundi, Yu Xuzhong, a remis officiellement vendredi au gouvernement burundais la clé de l’Ecole Technique Professionnelle de Bujumbura, construite avec le financement du gouvernement chinois à hauteur de 10 millions USD.
Cette école de 5.600 m2, dont la construction a duré un an et demi, possède 26 salles de classe, des salles d’informatique et de lecture, et pourra accueillir entre 480 et 500 élèves et 28 enseignants dans quatre spécialisations, à savoir la mécanique- auto, l’hôtellerie et tourisme, la transformation agro-alimentaire et l’informatique.

Le ministre de l’Enseignement de Base et Secondaire, de l’ Enseignement des Métiers, de la Formation Professionnelle et de l’ Alphabétisation, Rose Gahiru, qui a réceptionné cet ouvrage, a indiqué que cette école s’inscrit dans le cadre du soutien à la volonté du gouvernement dans ses engagements envers le secteur de l’éducation, dont l’objectif premier est de donner une place importante à l’enseignement technique et professionnelle.

Le gouvernement chinois apporte des assistances dans différents domaines de la vie du Burundi, notamment dans les secteurs de la santé, de l’énergie, du renforcement des capacités des cadres de l’ Etat et des infrastructures. Dans le domaine de l’éducation, la Chine a construit cinq écoles primaires et une Ecole Normale Supérieure. F

http://www.burundi-forum.org/education/article/burundi-la-chine-remet-la-cle-de-l-ecole
 
Tu as les mêmes infos a la TV dans "Les aventures de Xi Jinping" a non en fait c'est aux infos de la CCTV !! ;)
 
Tu as les mêmes infos a la TV dans "Les aventures de Xi Jinping" a non en fait c'est aux infos de la CCTV !! ;)

c'est avant ou après ce documentaire scientifique ?

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je suis vexé, j'arrête de poster.:(
 
Tchad / pétrole : revers cinglant pour la Chine
Elisabeth Studer Actualités, Economie, Energies, Matières premières Pas de commentaire
Revers cinglant pour la Chine dans le secteur pétrolier tchadien.

Selon des sources officielles tchadiennes, le pays a en effet décidé de retirer ses permis d’exploration à la compagnie pétrolière publique chinoise (CNPC).
Motifs invoqués : cette dernière est accusée de violer de manière systématique la législation environnementale.
Lors d’une conférence de presse à Ndjamena samedi soir, le ministre du Pétrole, Djerassem Le Bemadjiel a ainsi indiqué que le gouvernement avait pris un décret en vue de retirer les 5 permis de recherches octroyés à la CNPC.

« Cette décision vise à éviter la dégradation de l’environnement continu, et non à faire de la place à d’autres compagnies », a expliqué le ministre. Ah bon ? Etonnant tout de même qu’il soit nécessaire de le préciser, il n’y a pas de fumée sans feu comme on dit dans ce bas monde. Cette attaque contre la Chine pourrait aussi avoir pour but de marchander aux plus offrants de bien intéressantes licences d’explorations. Ne soyons pas dupes … d’autant plus que la Tchad compte parmi les pays de la planète ou la corruption sévit le plus. Et que les Etats-Unis demeurent à l’affut … comme d’habitude oserais-je dire.

En tout état de cause, rappelons qu’en mai dernier, le Tchad avait suspendu tous les travaux d’exploration de la CNPC pour les mêmes motifs, réclamant parallèlement à la compagnie chinoise le versement d’une amende d’1,2 milliard USD pour le préjudice subi.

Le ministre avait alors justifié la démarche du gouvernement tchadien en affirmant que plusieurs dizaines de sites avaient subi des déversements nocifs à l’environnement. Il avait également accusé la compagnie d’avoir recours systématiquement à ces pratiques inacceptables.

Le gouvernement tchadien a en outre annoncé son intention de porter plainte contre la China National Petroleum Company en France et à Ndjamena, les négociations à l’amiable s’avérant désormais impossibles.

Selon Abdoulaye Sabre Fadoul, le secrétaire général du gouvernement, « il y a eu des longues négociations, mais aujourd’hui, il est à constater que tous ces efforts ont été vains et par conséquent, tout espoir de voir ces litiges réglés à l’amiable est perdu ».

« Dès la semaine prochaine une délégation gouvernementale se rendra a Paris pour déposer plainte auprès du tribunal de commerce pour refus de paiement d’amende », a par ailleurs affirmé le secrétaire général du gouvernement, Abdoulaye Sabre, lors de la même conférence.

« Une deuxième plainte a été déposée au tribunal de première instance de Ndjamena pour dégradation de l’environnement et mise en danger de la vie d’autrui », tandis que les responsables de la CNPC, concernés également par la plainte sont interdits de quitter le territoire tchadien.

Maître Béchir Madet, ministre de la Justice, a tenu à préciser à cet égard que les « populations elles-mêmes pourraient également se constituer partie civile dans cette procédure ».

Ce n’est pas la première fois que les autorités tchadiennes sont en conflit avec des compagnies chinoises sur leur territoire.
En mars dernier, les syndicats de salariés tchadiens d’un consortium chinois d’exploration pétrolière avaient appelé à la grève en vue de dénoncer leurs conditions de travail et de réclamer des augmentations de salaire.

A l’heure actuelle, le Tchad ne semble pas vouloir ouvertement envenimer les relations entre les gouvernements chinois et tchadiens. Le ministre Secrétaire général du gouvernement a en effet tenu à préciser qu’en Chine, « les règles environnementales sont beaucoup plus contraignantes que dans notre pays. Il ne faut pas transformer ce contentieux qui est purement commercial en un différend diplomatique. Je pense que cet avis est partagé de part et d’autre ».

Rappelons en fin que le Tchad a débuté l’exploitation de ses gisements pétroliers en 2003. Selon des sources officielles, la production était de l’ordre de 120.000 barils/jour en 2011.

Mais encore fois, le malheur des uns pourrait faire le bonheur des autres, certains pays tels que les Etats-Unis pouvant trouver avantage à semer la zizanie entre gouvernement tchadien et chinois.

N’oublions pas en effet que pour raccourcir considérablement les distances entre le pétrole tchadien et l’Empire du Milieu, Pékin s’est notamment fixé pour objectif de réorienter l’oléoduc tchadien jusqu’à la mer rouge.

Selon ce scénario, l’exportation via les voies maritimes ne se ferait ainsi plus à travers l’océan Atlantique. De quoi sérieusement « chambouler » l’échiquier énergétique mondial, voire même l’économie mondiale, la Chine voyant là une opportunité de baisser considérablement ses coûts d’approvisionnement à long terme.

Plus largement, les permis d’exploitation et d’exploration accordés aux sociétés chinoises, ainsi que la construction du second oléoduc reliant le site pétrolier de Mougo à la raffinerie de Djemaya, auront permis à Pékin de constituer progressivement un partenaire majeur de N’Djamena, au grand dam des américains lorgnant sur le pétrole de la région, et de la France, laquelle souhaite rester un acteur influant auprès de son ancienne colonie.

Sources : AFP, RFI, Portail-ie

http://www.leblogfinance.com/2014/08/tchad-petrole-revers-cinglant-pour-la-chine.html

il est pas sur CCTV ce retournement de face
 
Le chinois State Grid tisse sa toile autour de la Méditerranée
10/08/2014 | 19:34
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par Geert De Clercq et Charlie Zhu et Stephen Jewkes

Le réseau régional de transport et de distribution d'électricité que la Commission européenne appelle de ses voeux est en train de voir le jour petit à petit mais c'est la Chine qui en est à l'origine, en multipliant les prises de participations au Portugal, en Italie et peut-être bientôt en Grèce et en Espagne.

Avec sa montagne de cash et sa réputation de non-interventionnisme dans le management des entreprises, State Grid Corporation of China (SGCC), le plus grand groupe mondial de services aux collectivités par le chiffre d'affaires, n'a pas de mal à tisser sa toile autour de la Méditerranée alors que les acteurs locaux se replient sur eux-mêmes ou rechignent à des alliances transfrontalières le plus souvent mal vues.

La compagnie nationale, qui sert 1,1 milliard de clients dans 90% de la Chine, a tout à gagner en s'implantant en Europe puisque les projets y sont plus rentables que sur son marché domestique. Et ses propres critères de rendement relativement faibles lui donnent un avantage sur les fonds d'infrastructures occidentaux ou ses concurrents européens en quête de retours plus intéressants.

"Quand nous investissons à l'étranger, nous ne faisons pas de la charité", a récemment déclaré un responsable du département de développement international de State Grid.

A mesure que se constitue le portefeuille, State Grid pourra songer à relier ses actifs autour de la Méditerranée et équilibrer ainsi son offre sans craindre d'être pris de court lors de pics de consommation et de devoir alors négocier avec un concurrent.

Le groupe chinois a acquis en 2012 25% de l'opérateur portugais REN (Redes Energeticas Nacionais), puis le mois dernier il a fait son entrée en Italie avec le rachat annoncé de 35% de CDP Reti pour au moins 2,1 milliards d'euros.

CDP Reti, filiale de la Caisse des dépôts italienne, détient 30% du groupe de transport de gaz Snam et s'apprête à recevoir une participation équivalente dans le réseau d'électricité Terna.

State Grid, en association avec Terna et le belge Elia , est par ailleurs en lice pour la privatisation de 66% de l'opérateur grec Admie et il convoite également le réseau exploité dans le nord de l'Espagne par le groupe allemand E.ON, ont dit des sources à Reuters.

E.ON a lancé le processus de vente pour sa filiale qui sert 650.000 clients et il espère en tirer jusqu'à un milliard d'euros, selon une source au fait du dossier. Les premières offres sont attendues dans les prochains jours.



D'AUTRES GROUPES CHINOIS À L'AFFÛT

"Après les récents investissements de SGCC en Europe du Sud, on peut en effet parler de positionnement stratégique dans la région", a déclaré à Reuters Yiannis Yiarentis, PDG d'Admie en Grèce.

Patient et discret, State Grid n'investit que là où il est le bienvenu - l'OPA hostile n'est pas dans sa culture - et profite des opportunités que représentent les privatisations dans les pays financièrement fragiles du sud de la zone euro.

Le vice-président exécutif de State Grid, Zheng Baosen, avait dit à Reuters l'an dernier que la Chine était disposée à investir encore davantage dans le secteur de l'électricité en Europe "si le prix est correct."

Le groupe public a par ailleurs acquis des réseaux d'électricité au Brésil, aux Philippines, en Australie et à Hong Kong et ses actifs à l'étranger dépassent maintenant les 23 milliards de dollars (17 milliards d'euros).

Le bénéfice de ses opérations hors de Chine a ainsi pu progresser à 3,2 milliards de yuans (388 millions d'euros) en 2013 contre seulement 800 millions en 2009.

China Grid n'est pas seul à lorgner le marché européen, des producteurs chinois d'électricité sont également présents. En 2011, China Three Gorges a payé 2,7 milliards d'euros pour une participation de 21% dans Energias de Portugal (EDP) et le groupe serait, selon son partenaire portugais, à l'affût d'autres opportunités en Europe.

En octobre, les opérateurs nucléaires China General Nuclear Corporation et China National Nuclear Corporation ont été retenus avec les français EDF et Areva pour la construction d'un réacteur dans le sud de l'Angleterre, un projet de 19 milliards d'euros. (Véronique Tison pour le service français)

http://www.zonebourse.com/actualite...sa-toile-autour-de-la-Mediterranee--18878444/
 
c'est avant ou après ce documentaire scientifique ?

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je suis vexé, j'arrête de poster.:(
Non non continue. C est juste ça me fait penser quand on regarde les infos. Tu as par exemple sur la TV de Shanghai les infos sur la Chine, puis le monde..
Et après tu regardes les infos de la CCTV et la c est les aventures de Xi Jinping : au resto, en Amérique centrale, digne un contrat, ... C est assez déroutant !
 
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Non non continue. C est juste ça me fait penser quand on regarde les infos. Tu as par exemple sur la TV de Shanghai les infos sur la Chine, puis le monde..
Et après tu regardes les infos de la CCTV et la c est les aventures de Xi Jinping : au resto, en Amérique centrale, digne un contrat, ... C est assez déroutant !
 
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Russie-Chine: l'accord sur l'échange de devises menace le dollar (journal)
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Russie-Chine: l'accord sur l'échange de devises menace le dollar (journal)

© AP/ EyePress
17:36 12/08/2014
MOSCOU, 12 août - RIA Novosti
Sur le même sujet
L'accord conçu par la Russie et la Chine prévoyant des échanges de devises nationales (swap) pourrait mettre un terme à l'hégémonie du dollar, estime le quotidien autrichien Die Presse.

Selon le journal, l'apparition de l'euro a quelque peu affaibli les positions du "billet vert", qui a cessé d'être l'unique monnaie de réserve. A l'heure actuelle, la part de l'euro constitue environ 25% des réserves de change et celle du dollar 60%.

D'après la Bank Standard Chartered britannique, le yuan chinois est également utilisé en qualité de monnaie de réserve par 40% des banques centrales du monde. Il est aussi à noter qu'au cours des dernières années, presque tous les pays asiatiques ont sensiblement augmenté leurs réserves d'or.

Les Etats-Unis sont en mesure de ralentir cette tendance, mais pas de l'arrêter, constate le quotidien, soulignant que l'activation de l'accord entre la Russie et la Chine n'est qu'une question de temps.

Le journal rapporte également que la France a récemment soutenu l'idée d'en finir avec l'hégémonie du dollar.

La Banque de Russie et la Banque nationale de Chine ont mis au point samedi un accord d'échange de devises nationales (swap). Ce document ne tardera pas à renforcer le rôle du rouble et du yuan dans le commerce international.

http://fr.ria.ru/business/20140812/202119722.html
 
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Interview: le Forum Chine-CELAC "extrêmement important" pour l'Amérique latine(président guyanais)
Par : Yann |  Mots clés : Guyane, Chine, Interview
French.china.org.cn | Mis à jour le 12-08-2014
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Le Forum Chine-CELA est "extrêmement important" pour l'Amérique latine et les Caraïbes, et est susceptible d'être très fructueux, a déclaré le président guyanais Donald Ramotar dans une interview récente accordée à Xinhua.

Au cours de la tournée d'Amérique latine effectuée par le président chinois Xi Jinping le mois dernier, lui et les dirigeants de la Communauté des États latino-américaines et des Caraïbes (CELAC) ont conjointement annoncé la décision de créer le Forum Chine-CELAC et de tenir sa première réunion ministérielle à Beijing à une date rapprochée.

"La Chine a affiché un grand désir d'être un véritable partenaire et un véritable intérêt dans le développement de la capacité des peuples d'Amérique latine et des Caraïbes. Nous voyons donc ce nouveau développement et l'initiative comme étant extrêmement importante et la plus attendue par les populations de cette région", a fait savoir M. Ramotar.

M. Ramotar a salué l'amitié et les relations traditionnelles solides entre la Chine et la Guyane, réaffirmant que le gouvernement guyanais adhère toujours à la politique d'une seule Chine.

Il a ajouté que la Chine et la Guyane sont en train de maintenir "une coopération économique très importante".

"Beaucoup d'entreprises chinoises investissent en Guyane et nous avons une relation très étroite avec le gouvernement chinois, qui nous aide à faire face à de nombreuses questions, surtout nos problèmes d'infrastructures sur lesquels nous travaillons actuellement", a expliqué M. Ramotar.

La coopération avec la Chine se manifeste dans le domaine de ressources humaines et d'échanges culturels, y compris un nouvel Institut Confucius et la tenue des cours de langue chinoise par les universités guyanaises, a-t-il poursuivi.

M. Ramotar espère également tirer parti du succès dans l'avenir, estimant que beaucoup peut être réalisé en termes de coopération, non seulement dans le domaine de la culture, mais aussi dans des domaines tels que l'agriculture et les infrastructures.

http://french.china.org.cn/foreign/txt/2014-08/12/content_33217510.htm
 
Les Aventures de Xi Jinping en Amerique Latine ont fait leurs Oeuvres !! ;)
 
La Chine impose des droits anti-dumping sur les importations indiennes de fibres optiques
Publié le 2014-08-13 à 14:33 | french.xinhuanet.com


BEIJING, 13 août (Xinhua) -- A l'issue d'une année d'enquête, les autorités chinoises ont conclu mercredi que les importations de fibres optiques monomodes en provenance d'Inde avaient fait l'objet de dumping et ont décidé d'imposer des droits anti-dumping.

Selon l'enquête qui a été lancée le 14 août 2013, ce dumping a causé des dommages à l'industrie nationale, a indiqué le ministère du Commerce dans un communiqué.

Les importateurs chinois de fibres optiques monomodes en provenance d'Inde devront payer des droits allant de 7,4% à 30,6% durant cinq ans à partir de jeudi, précise le communiqué.

Le ministère a lancé une enquête anti-dumping en août dernier à la demande des entreprises chinoises.

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La Chine et le Vanuatu s'engagent à renforcer leur coopération
Par :  |  Mots clés : Chine, Vanuatu, diplomatie
French.china.org.cn | Mis à jour le 17-08-2014
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Le président chinois Xi Jinping a rencontré le Premier ministre du Vanuatu, Joe Natuman, dimanche à Nanjing, capitale de la province orientale du Jiangsu, et les deux parties se sont engagées à renforcer la coopération bilatérale.

M. Xi a indiqué que la Chine respectait le choix de la voie de développement par le peuple vanuatuais et qu'elle soutiendrait les efforts du pays insulaire pour sauvegarder ses droits et faire progresser le développement durable.

La Chine soutiendra la coopération des entreprises chinoises avec leurs partenaires vanuatuais dans les domaines de l'agriculture, de la pêche, du transport, des télécommunications, de l'énergie propre et des infrastructures, a noté le président chinois.

Joe Natuman a rappelé que le Vanuatu et la Chine avaient souffert de l'invasion des fascistes japonais et que les peuples vanuatuais et chinois s'étaient mutuellement soutenus durant la Seconde Guerre mondiale. Le Vanuatu a obtenu le soutien de la Chine dans sa lutte pour l'indépendance du pays, a ajouté M. Natuman.

Le premier ministre a indiqué que le Vanuatu comptait tirer des leçons de la réussite de la Chine en matière de développement national.

Il a réaffirmé que le Vanuatu adhérerait fermement à la politique d'une seule Chine et soutiendrait les efforts déployés par la Chine pour sa réunification pacifique.

M. Natuman a assisté samedi à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de la Jeunesse à Nanjing. Fi

http://french.china.org.cn/china/txt/2014-08/17/content_33261642.htm

Xi Jinping rencontre le président fidjien
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French.xinhuanet.com | Publié le 2014-08-17 à 19:59
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NANJING, 17 août (Xinhua) -- Le président chinois Xi Jinping a rencontré dimanche le président des îles Fidji, Ratu Epeli Nailatikau, qui a assisté samedi à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de la Jeunesse à Nanjing, capitale de la province orientale du Jiangsu.

Qualifiant les îles Fidji de sincère ami et d'important partenaire de la Chine, M. Xi a rappelé que les Fidji étaient le premier pays insulaire de l'océan Pacifique à avoir établi, en novembre 1975, des relations diplomatiques avec la Chine.

Le développement des relations bilatérales est dans l'intérêt fondamental des peuples des deux pays et est favorable à la paix, à la stabilité et au développement de la région, a estimé M. Xi.

Il a appelé à davantage de mesures destinées à faciliter les échanges économiques, commerciaux et de personnels, et à promouvoir la coopération dans les domaines de l'agriculture, de la sylviculture, de la pêche, du tourisme et des infrastructures.

Epeli Nailatikau a indiqué que les Fidji et la Chine se respectaient et se traitaient mutuellement sur un pied d'égalité. Les Fidji apprécient l'assistance de la Chine dans le développement économique et l'amélioration des conditions de vie de la population.

Les Fidji encouragent les entreprises chinoises à investir dans le pays et espèrent que davantage de produits agricoles et aquatiques fidjiens entreront sur le marché chinois, a-t-il souligné.

Les Fidji plaident en faveur d'un rôle accru de la Chine dans la sauvegarde de la paix mondiale et le développement commun, a assuré le président fidjien.

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Xi Jinping rencontre le président du Monténégro
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French.xinhuanet.com | Publié le 2014-08-17 à 19:22
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NANJING, 17 août (Xinhua) -- Le président chinois Xi Jinping a rencontré dimanche le président du Monténégro, Filip Vujanovic, qui avait assisté samedi à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de la Jeunesse à Nanjing, capitale de la province orientale du Jiangsu.

Bien que les deux pays n'aient établi leurs relations diplomatiques qu'il y a huit ans, les relations entre la Chine et le Monténégro se développent bien, a affirmé M. Xi.

La Chine a toujours considéré le Monténégro comme ami fiable et un bon partenaire, et souhaite maintenir les échanges de haut niveau et multiplier les dialogues à tous les niveaux afin de renforcer la confiance mutuelle, a poursuivi le président chinois.

Filip Vujanovic a, pour sa part, indiqué que le peuple monténégrin appréciait le principe de respect mutuel et d'égalité observé par la Chine dans le traitement des affaires internationales. Il s'est dit convaincu que le développement de la Chine contribuera à la paix et à la prospérité dans le monde.

Le président monténégrin a également encouragé les entreprises chinoises à prendre part aux projets d'infrastructures de son pays, y compris dans l'électricité et les transports.

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