P
Pandaprochina
Guest
Héritière d'une culture sexuelle importante et vouée au développement personnel, la Chine a interdit la prostitution et la pornographie. Certains y voient là une restriction de liberté tandis qu'il s'agit en fait, à bien y regarder une promotion de libertés nouvelles.
La prostitution est et sera toujours le plus vieux métier du monde, au sens qu'elle constitue de proposer un service contre une rémunération. Le salariat rentre dans cette catégorie par exemple, l'entreprise aussi. Ceux qui prônent sa liberté oublient que souvent dans ces rapports et les besoins existentiels il peut trop facilement subvenir une distorsion entre l'offre et la demande transformées en rapport exploité/exploiteur.
Il s'agit donc de dire non à la prostitution en tant que service forcé par des réseaux de traite d'êtres humains, qu'ils aient des visées sexuelles ou non. L'interdiction de la prostitution est un bannissement symbole de la domination, de l'esclavagisme et de tout ce qui entrave l'émancipation humaine et collective en général.
De même et parallèlement, la pornographie qui dans le 7ème art effeuille les dorures de Vénus et Apollon n'a rien de l'érotisme romantique, mettant souvent en scène une femme dominée et soumise aux exclusifs fantasmes masculins. Son interdiction promeut en l'occurrence, de renouer avec l'érotisme inhérent à notre nature et de vivre notre sexualité humainement épanouie sans diktat de stéréotypes industriels.
En revanche, à l'inverse de ces interdictions libérant des chaînes, d'autres formes d'érotismes et sexualités libres existent, dans le respect des libertés individuelles de chacun(e) et de la dignité humaine collective garanties par l'Etat. A tout un(e) chacun(e) de vivre donc son propre érotisme en accord avec soi-même dans sa sphère intime.
La prostitution est et sera toujours le plus vieux métier du monde, au sens qu'elle constitue de proposer un service contre une rémunération. Le salariat rentre dans cette catégorie par exemple, l'entreprise aussi. Ceux qui prônent sa liberté oublient que souvent dans ces rapports et les besoins existentiels il peut trop facilement subvenir une distorsion entre l'offre et la demande transformées en rapport exploité/exploiteur.
Il s'agit donc de dire non à la prostitution en tant que service forcé par des réseaux de traite d'êtres humains, qu'ils aient des visées sexuelles ou non. L'interdiction de la prostitution est un bannissement symbole de la domination, de l'esclavagisme et de tout ce qui entrave l'émancipation humaine et collective en général.
De même et parallèlement, la pornographie qui dans le 7ème art effeuille les dorures de Vénus et Apollon n'a rien de l'érotisme romantique, mettant souvent en scène une femme dominée et soumise aux exclusifs fantasmes masculins. Son interdiction promeut en l'occurrence, de renouer avec l'érotisme inhérent à notre nature et de vivre notre sexualité humainement épanouie sans diktat de stéréotypes industriels.
En revanche, à l'inverse de ces interdictions libérant des chaînes, d'autres formes d'érotismes et sexualités libres existent, dans le respect des libertés individuelles de chacun(e) et de la dignité humaine collective garanties par l'Etat. A tout un(e) chacun(e) de vivre donc son propre érotisme en accord avec soi-même dans sa sphère intime.