Après si tu continue de produire ton énergie électrique avec centrales aux charbons / gaz , et produire les batteries électriques en polluant plus qu'un moteur thermique sur sa durée de vie, le bilan final reste mauvais. Je t'invite a regarder où les fameuses batteries sont produites.
Bonjour Naxshe
C'est beaucoup plus difficile a mettre en application , l'Allemagne qui pourtant est a la pointe de l'ecologie ayant abandonne le nucleaire et ayant pour ambition de produire des batteries electriques pour vehicules ne peut pas se passer de ses centrales a charbon pour l'instant , si les energies propres augmentent de facons significatives il est necessaire de faire fonctionner les usines qui produisent batteries , eoliennes , panneaux solaires etc... avec des centrales nucleaires , centrales a charbon et centrales a gaz ! Apres faire fonctionner la planete uniquement avec des eoliennes et du photovoltaique et autres solutions envisagees dans l 'immediat meme si la technologie evolue c'est une pure utopie , niveau recyclage des composants en fin de vie un gros probleme ....
La Chine est actuellement en train de developper ses centrales nucleaires a grande echelle , mais pour le moment en complement de celles existantes a part les centrales a charbon et les installations hydroelectriques qui produisent l'essentiel de l'energie , il n'y a pas vraiment de solutions industrielles ...
Extrait : Alors qu'elle s'est engagée à sortir du charbon d'ici 2038, l'Allemagne vient d'autoriser la mise en service d'une nouvelle centrale qui devrait donc produire jusqu'en... 2060. Une décision qui illustre le dilemme auquel sont confrontés de nombreux pays, écartelés entre exigence de production et de rentabilité d'un côté, et de l'autre, respect de leurs engagements de l'Accord de Paris.
Alors qu’elle s’est engagée à sortir du charbon d’ici 2038, l’Allemagne vient d’autoriser la mise en service d’une nouvelle centrale qui devrait donc produire jusqu’en… 2060. Une décision qui...
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Transition énergétique allemande, Energiewende Deutschland, sortie du nucléaire, énergies renouvelables, économies d´énergie, réduction des émissions de gaz à effet de serre
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Le nucléaire chinois : vers un programme d’ampleur historique
Extrait : S’il a connu un temps d’arrêt « post-Fukushima », il semble bien que le redémarrage du programme nucléaire chinois ne soit plus qu’une question de mois. Il sera d’une ampleur encore inégalée dans
l’histoire du nucléaire mondial.
Avec 43 réacteurs en exploitation et une puissance installée de 45 GW, le nucléaire ne représentait fin 2018 qu’un peu plus de 2% des 1 900 GW de capacité installée et 4,5% de la production d’électricité en Chine.
En 2018, 9 nouveaux réacteurs nucléaires, dont les 4 AP 1000 et les 2 EPR, représentant au total 11,7 GW ont été mis en service en Chine. Huit autres réacteurs, encore en construction, doivent démarrer en 2020 et 2021. Aucun autre projet n’ayant été approuvé, il n’y aura par la suite plus de mise en service avant 2024 ou 2025.
Selon les prévisions du China Electric Council, la puissance installée du parc nucléaire chinois devrait atteindre 200 GW à l’horizon 2030. Cela conduirait à construire 100 à 140 GW de nouvelles capacités entre 2020 et 2030, soit une douzaine de réacteurs par an.
Une récente analyse du China’s Energy Research Institute (CERI) conclut par ailleurs que, pour atteindre les objectifs de
la COP21, la Chine devra disposer de 554 GW de capacités nucléaires à l’horizon 2050 (ce qui implique la mise en service d’une quinzaine d’unités supplémentaires par an entre 2030 et 2050).
Même si ce rythme paraît très élevé, il est certain que, dès qu’elle aura retenu sa technologie et achevé la réorganisation du secteur, la Chine construira autant de réacteurs que son industrie et son opinion publique le lui permettront (la mise en service du premier Hualong à Fuqing en 2020 devrait donner le signal, l’opinion est généralement peu favorable au nucléaire mais, en Chine, elle s’efface toujours devant l’intérêt général). Le rythme de 6 à 8 unités par an, présenté aujourd’hui comme un objectif, pourrait rapidement être largement dépassé.
Le modèle Hualong, dès qu’il aura été mis en service, devrait se tailler la part du lion. La Chine s’organise pour relever ce défi. Comme dans d’autres secteurs, des fusions font émerger de très puissants acteurs. Ainsi CNNC avec CNEC (China Nuclear Engineering Cy) et CPI avec SNTPC (le constructeur des AP 1000) en attendant le tour de CGN…
La Chine prépare aussi l’avenir : un réacteur à haute température (HTR) de 211 MW devrait être mis en service cette année et, dans la logique du retraitement décidé par la Chine, un réacteur à neutrons rapides (RNR) de 600 MW est en construction depuis décembre 2017. Des petits réacteurs modulaires (SMR) sont également en développement.
Au début des années 1980, la Chine lance deux projets de centrales nucléaires : Qinshan phase I (réacteur de 300 MW de technologie chinoise, connecté au réseau en 1991) et Daya-Bay (2 unités de 1 000 MW de technologie française, mise en service en 1995). Suivront les centrales de Ling Ao...
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Par Hervé Machenaud
Directeur de la Branche Asie-Pacifique d'EDF de 2002 à 2016
Membre de l’Académie des technologies
Le pays a représenté 60 % des capacités hydrauliques installées en 2015. Le solaire et l’éolien redonnent à l’hydroélectricité un rôle stratégique.
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