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Les préservatifs malaisiens préparent eux aussi Pékin 2008
Jean-François ARNAUD
22/10/2007 | Mise à jour : 10:11 | .
Premier producteur mondial de préservatifs, la Malaisie s’attend à voir ses commandes gonfler pour les Jeux olympiques.
DANS les plantations d’hévéas de Malaisie, les ouvriers sont des saigneurs. Ils sont chargés de faire «pleurer le bois» en incisant son écorce. Ces écorcheurs de la forêt s’activent comme jamais depuis quelques mois. Ce n’est pas la peur d’un orage imminent qui les fait courir. C’est plutôt un rendez-vous historique.
Une partie des gros clients industriels du précieux suc de l’hévéa attend les livraisons avec impatience. Le fait est peu connu, la Malaisie est le troisième producteur mondial de latex (1,2 million de tonnes en 2006) derrière l’Indonésie et la Thaïlande, mais c’est aussi le premier exportateur de préservatifs de la planète.
Alors que les autres pays producteurs ont continué à servir en priorité la puissante industrie du pneumatique qui s’arroge toujours les deux tiers de la production mondiale du latex, la Malaisie a su diversifier ses débouchés. Elle a misé sur les utilisations médicales (à plus forte valeur ajoutée) du caoutchouc naturel, en développant les usines de gants, de cathéters et de préservatifs.
Politique de prévention
Une activité historiquement marginale, mais qui a connu un développement spectaculaire avec le développement de la prévention contre le virus du sida. «Nous dénombrons quinze industriels enregistrés qui ont réalisé l’équivalent de 30 millions d’euros de chiffre d’affaires à l’export», annonce le Conseil de promotion pour l’exportation du latex malaisien. Et aujourd’hui, un nouvel événement dope le marché du préservatif.
Ce n’est pas, fort heureusement, une recrudescence de l’épidémie, mais la mise en place tardive d’une politique de prévention en Chine populaire. Le gouvernement de Pékin qui a longtemps minimisé le problème du VIH est en train de changer de doctrine. La publicité pour les préservatifs était interdite dans l’empire du Milieu jusqu’en 2002.
Depuis peu, les autorités sanitaires centrales incitent à la distribution massive de préservatifs. Le pays possède une vingtaine d’usines mais c’est largement insuffisant pour la consommation à venir. D’autant que la fabrication de préservatifs est une activité de haute technologie, assimilée à du matériel médical et nécessitant de nombreux et coûteux contrôles de qualité. Les entrepreneurs chinois ne vont pas pouvoir créer des usines aussi vite qu’ils le souhaiteraient. Le journal Les Nouvelles de Pékin, expliquait cet été que les ministères chinois de la Santé et du Commerce avaient promulgué un décret demandant à tous les hôtels de tourisme, les douches publiques et les centres de vacances chinois de mettre des préservatifs à la disposition de leurs clients. Dans ce contexte, les industriels malaisiens parient que les Jeux olympiques de Pékin, organisés en août prochain se traduiront par un pic de commandes. «Cela devrait se ressentir dès le troisième trimestre 2007, nous nous attendons à une excellente fin d’année», prévoit le très officiel Bureau malaisien du caoutchouc (le MRB pour Malaysia Rubber Board) qui regroupe les producteurs de latex. «Les consommateurs chinois apprécient les marques d’importation, se félicitent les responsables de la marque malaisienne Pleasure Latex, l’an dernier nous avons expédié 150 millions de préservatifs, nous en prévoyons 300 millions en 2007, et nous investissons massivement de façon à atteindre une capacité de production de 800 millions».
En prévision de l’afflux de touristes pour les Jeux olympiques de Pékin, leurs produits sont distribués dans tous les magasins de l’enseigne 7-Eleven de Pékin et Shanghai. Habitués à satisfaire les demandes de plus en plus sophistiquées des utilisateurs européens et américains en terme de formes, de saveurs et d’épaisseur du caoutchouc, les fabricants malaisiens pensent qu’ils ont une longueur d’avance pour être en première place face à cette Chine qui s’éveille.
Juste une question c`est pour vendre dans quel pays ?