Allez-vous tout bloquer le 10 septembre?

Alors pour ta gouverne, en France on a ce qu'on appele les organizations non-gouvernementales dont ceratines viennent en aide aux necessiteux. C'est pas parceque tu ne donnes pas que ca n'existe pas deja. Comme quoi, la societe civile peut s'organiser sans l'etat (encore heureux).

Les restos du coeur
L'armee du salut
Secours populaire
Emmaus
Secours catholique, etc.

Tous les contribuables donnent. Près de 60% du budget associatif est supporté par l'état, les collectivités locales, la commande publique et des cadeaux fiscaux faits au particuliers en echange des dons réalisés (oui les particuliers ou entreprises qui donnent ne toucheront plus de contrepartie fiscale quand tu auras supprimé la niche et donneront sans doute moins).

Si ca ne servait qu'à financer des causes comme les resto du cœur on serait ravi, mais il y a aussi des associations woke, celles qui aident les passeurs à faire venir les migrants, ou à empêcher les OQTF à quitter le territoire, etc... 58 milliards c'est quand meme pas rien surtout si c'est en fait plus de 70 en 2024...

Faisons justement le ménage dans ces subventions qui sont du clientélisme électoral déguisé bien loin des causes nobles qu'on aimerait soutenir.
Base 2020 : 58,4 milliards d'euros

Estimation du soutien public total aux associations en 2024
En extrapolant les données disponibles avec prudence :
Financement public direct estimé pour 2024 :

Croissance observée : les subventions de l'État sont passées de 7,3 milliards (2020) à 8,5 milliards (2023), soit +16% en 3 ans
En appliquant une croissance similaire au total du financement public et en tenant compte de l'inflation cumulée (environ 15% entre 2020 et 2024) :

Financement public direct 2024 : environ 67-70 milliards d'euros
Dépenses fiscales 2024 :
4,63 milliards d'euros en 2024
TOTAL ESTIMÉ POUR 2024 : environ 72-75 milliards d'euros
Cela représenterait environ 58-60% du budget total du secteur associatif (estimé à environ 125-130 milliards en 2024).
 
Comme déjà expliqué, le RU seul ne veut rien dire. Il faut préciser le système fiscal (de prélèvement de l'impôt) qu'on met en face. Et aussi, on supprime quoi ? (les retraites, le chômage, la sécu, ça, je crois que ça fait partie du programme de Guigui), mais quid des fonctionnaires, donc des écoles, des hôpitaux, de la police, de l'entretien des routes, etc.).
L'idée de Guillaume est finalement de tout privatiser, sauf ces 700€ par mois. Je suis violemment contre.

D'ailleurs, il a été question des retraites plus haut, il faut rappeler que pour les gens qui touchent des retraites importantes, l'essentiel vient des caisses de retraites privées, donc je suis rassurée, je toucherai plus que 700€ si Guillaume est élu.
De toutes facons, l'IA va rendre obsolete des millions d'emplois d'ici a 10 ans. Ca a deja commence avec les traducteurs, call centers, auteurs, doubleurs, illustrateurs, data analystes, etc. Qu'est ce qu'on va faire de tous ces gens? Les envoyer a la campagne planter des radis? Il va bien falloir leur assurer un minimum pour subsister.
 
De toutes facons, l'IA va rendre obsolete des millions d'emplois d'ici a 10 ans. Ca a deja commence avec les traducteurs, call centers, auteurs, doubleurs, illustrateurs, data analystes, etc. Qu'est ce qu'on va faire de tous ces gens? Les envoyer a la campagne planter des radis? Il va bien falloir leur assurer un minimum pour subsister.
Tu pourrais avoir raison sur le principe, mais la réalité terrain c'est beaucoup plus nuancée.

Dans les centres d'appels, l'IA se limite aujourd'hui aux interactions simples - celles qui étaient déjà gérées par des menus vocaux automatisés. On améliore certes l'expérience client, mais on est loin de pouvoir gérer des appels complexes (même si ça fonctionne mieux pour les échanges écrits type WhatsApp).

Le paradoxe, c'est que sur ce segment bas de gamme, l'IA entre en compétition avec l'offshore et les automates traditionnels, parfois moins chers. Résultat : une guerre des prix où peu d'acteurs sont rentables - même les fournisseurs de modèles IA perdent massivement de l'argent malgré leurs valorisations stratosphériques.

Sur le terrain, on constate d'énormes réticences. Les responsables de service client répètent que leur priorité est d'humaniser la relation client, pas de la robotiser. L'IA trouve sa place dans des niches spécifiques : optimiser les centres d'appels peu performants, ou libérer une standardiste médicale de la prise de rendez-vous pour qu'elle assiste les médecins sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.

Les valorisations boursières des grandes entreprises de centres d'appels se sont effectivement écroulées, mais paradoxalement, elles ont perdu peu de business réel. Ce qu'elles ont cédé à l'IA, c'était justement la partie la moins rentable de leur activité.
Donc oui, l'IA transforme certains métiers, mais on est encore loin du tsunami annoncé.

En fait là où l'IA se développe le plus vite c'est en augmentant les humains (écoute d'appel, débrief à postériori, push de module d'elearning pour mieux gérer le prochain call, etc... et super dashboard pointu pour le management pour mieux piloter l'activité). Seule une petite partie des appels étaient écoutés avant l'IA, depuis l'IA on généralise l'écoute de tous les appels pour enrichir un max la compréhension de l'activité.
 
Tu pourrais avoir raison sur le principe, mais la réalité terrain c'est beaucoup plus nuancée.

Dans les centres d'appels, l'IA se limite aujourd'hui aux interactions simples - celles qui étaient déjà gérées par des menus vocaux automatisés. On améliore certes l'expérience client, mais on est loin de pouvoir gérer des appels complexes (même si ça fonctionne mieux pour les échanges écrits type WhatsApp).

Le paradoxe, c'est que sur ce segment bas de gamme, l'IA entre en compétition avec l'offshore et les automates traditionnels, parfois moins chers. Résultat : une guerre des prix où peu d'acteurs sont rentables - même les fournisseurs de modèles IA perdent massivement de l'argent malgré leurs valorisations stratosphériques.

Sur le terrain, on constate d'énormes réticences. Les responsables de service client répètent que leur priorité est d'humaniser la relation client, pas de la robotiser. L'IA trouve sa place dans des niches spécifiques : optimiser les centres d'appels peu performants, ou libérer une standardiste médicale de la prise de rendez-vous pour qu'elle assiste les médecins sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.

Les valorisations boursières des grandes entreprises de centres d'appels se sont effectivement écroulées, mais paradoxalement, elles ont perdu peu de business réel. Ce qu'elles ont cédé à l'IA, c'était justement la partie la moins rentable de leur activité.
Donc oui, l'IA transforme certains métiers, mais on est encore loin du tsunami annoncé.

En fait là où l'IA se développe le plus vite c'est en augmentant les humains (écoute d'appel, débrief à postériori, push de module d'elearning pour mieux gérer le prochain call, etc... et super dashboard pointu pour le management pour mieux piloter l'activité). Seule une petite partie des appels étaient écoutés avant l'IA, depuis l'IA on généralise l'écoute de tous les appels pour enrichir un max la compréhension de l'activité.
Hm ca reste a voir. Avant la revolution industrielle, 80% des gens travaillaient dans l'agriculture. Aujourd'hui, c'est 3%. Ca a pris du temps, genre 100 ans, mais au bout du compte, les emplois agricoles ont ete remplaces par les machines (tracteurs, etc.). Il n'y a pas de raisons que ce soit different avec l'IA. Et ca ira beaucoup plus vite...