Vivre dans un pays tiers est une alternative intéressante mais je ne pense pas (enfin, je ne pense pas ENCORE 
) que ce soit nécessairement THE solution la plus juste et la meilleure.
Le fait de vivre dans l'un des 2 pays du couple, donne l'avantage que l'un des deux est, théoriquement, bien ancré socialement et professionnellement. Cette personne, qui ne souffre pas de problèmes de langues, d'intégration, de trouver un job etc. permet d'assurer une stabilité pour le couple qui commence sa formation, et peut, justement, soutenir et aider son conjoint à maitriser la langue, s'intégrer, trouver un job etc.
Alors qu'aller dans un pays tiers, ça met les 2 personnes à égalité, mais ça les confronte donc toutes les 2 aux difficultés en même temps. Dans mon cas, où on débute chacun notre vie professionnelle, ce serait inenvisageable au risque qu'on se retrouve tous les 2 à la rue quoi xD.
Je ne pense pas non plus que le fait qu'une personne "refuse" de vivre dans le pays de l'autre soit un signe de manque d'amour. Je suis d'accord sur le fait qu'en principe, chacun devrait pouvoir être capable de tout plaquer pour l'autre si c'est bien de l'Amour, bla bla. Mais comme le disait je ne sais plus qui plus haut, je ne pense pas que la personne qui émigre se "sacrifie" nécessairement ... Okay, on parle de 9000 - 10 000 km, mais c'est pas comme si, de nos jours, c'était une distance infranchissable non plus ...
Je ne sais pas si c'est mon côté asiat' qui me rend aussi pragmatique et matérialiste, mais on parle bien d'un couple, de 2 personnes, et vivre dans tel ou tel pays n'est pas qu'une question de suivre son âme soeur quitte à aller le/la rejoindre pour vivre ensemble d'amour et d'eau pas fraiche ...
Je reprends mon cas particulier : on vit ici dans mon pays. Et non, je ne veux pas aller vivre en Chine pour plein de raisons, et peu importe mon amour pour mon Chinois, ces raisons l'emportent. Et non, mon Chinois ne sent pas qu'il se soit sacrifié en venant ici. De manière objective, le bien-être de notre couple (donc moi ET lui) est quoi ... 100 fois ? 500 fois plus garanti ici que là-bas, tout simplement. Et de manière subjective, c'est exactement pareil : je me sens mieux ici (même si y a plein de trucs que je déteste en Europe par rapport à la Chine ou ailleurs), mon Chinois se sent mieux ici (même si son pays, sa famille et ses amis lui manquent) et surtout, notre couple se sent mieux, ce n'est pas ça qui compte ???
C'est un peu la situation inverse de Parapluie : elle ne sent pas qu'elle se soit sacrifiée, au contraire, elle se sent aussi bien en Chine qu'en France si pas mieux, son copain se sent mieux en Chine, rester en Chine satisfait donc aux 2. C'est pareil dans notre cas mais en Belgique.
Ou la situation de l'auteur : que la Chine soit sa destination de rêve ou pas, peu importe, il est prêt à vivre en Chine et pense pouvoir s'y sentir bien, sa copine préfère aussi, alors si les 2 sont contents, je ne vois pas où est le problème ?
Par contre, pour en revenir à l'auteur, je suis également d'avis qu'il lui faudrait d'abord passer une année MINIMUM sur place, et de se reposer ces questions après, seulement.
) que ce soit nécessairement THE solution la plus juste et la meilleure.Le fait de vivre dans l'un des 2 pays du couple, donne l'avantage que l'un des deux est, théoriquement, bien ancré socialement et professionnellement. Cette personne, qui ne souffre pas de problèmes de langues, d'intégration, de trouver un job etc. permet d'assurer une stabilité pour le couple qui commence sa formation, et peut, justement, soutenir et aider son conjoint à maitriser la langue, s'intégrer, trouver un job etc.
Alors qu'aller dans un pays tiers, ça met les 2 personnes à égalité, mais ça les confronte donc toutes les 2 aux difficultés en même temps. Dans mon cas, où on débute chacun notre vie professionnelle, ce serait inenvisageable au risque qu'on se retrouve tous les 2 à la rue quoi xD.
Je ne pense pas non plus que le fait qu'une personne "refuse" de vivre dans le pays de l'autre soit un signe de manque d'amour. Je suis d'accord sur le fait qu'en principe, chacun devrait pouvoir être capable de tout plaquer pour l'autre si c'est bien de l'Amour, bla bla. Mais comme le disait je ne sais plus qui plus haut, je ne pense pas que la personne qui émigre se "sacrifie" nécessairement
... Okay, on parle de 9000 - 10 000 km, mais c'est pas comme si, de nos jours, c'était une distance infranchissable non plus ...Je ne sais pas si c'est mon côté asiat' qui me rend aussi pragmatique et matérialiste, mais on parle bien d'un couple, de 2 personnes, et vivre dans tel ou tel pays n'est pas qu'une question de suivre son âme soeur quitte à aller le/la rejoindre pour vivre ensemble d'amour et d'eau pas fraiche ...
Je reprends mon cas particulier : on vit ici dans mon pays. Et non, je ne veux pas aller vivre en Chine pour plein de raisons, et peu importe mon amour pour mon Chinois, ces raisons l'emportent. Et non, mon Chinois ne sent pas qu'il se soit sacrifié en venant ici. De manière objective, le bien-être de notre couple (donc moi ET lui) est quoi ... 100 fois ? 500 fois plus garanti ici que là-bas, tout simplement. Et de manière subjective, c'est exactement pareil : je me sens mieux ici (même si y a plein de trucs que je déteste en Europe par rapport à la Chine ou ailleurs), mon Chinois se sent mieux ici (même si son pays, sa famille et ses amis lui manquent) et surtout, notre couple se sent mieux, ce n'est pas ça qui compte ???
C'est un peu la situation inverse de Parapluie : elle ne sent pas qu'elle se soit sacrifiée, au contraire, elle se sent aussi bien en Chine qu'en France si pas mieux, son copain se sent mieux en Chine, rester en Chine satisfait donc aux 2. C'est pareil dans notre cas mais en Belgique.
Ou la situation de l'auteur : que la Chine soit sa destination de rêve ou pas, peu importe, il est prêt à vivre en Chine et pense pouvoir s'y sentir bien, sa copine préfère aussi, alors si les 2 sont contents, je ne vois pas où est le problème ?
Par contre, pour en revenir à l'auteur, je suis également d'avis qu'il lui faudrait d'abord passer une année MINIMUM sur place, et de se reposer ces questions après, seulement
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