Mars, et ça repart...

Non, l'Europe s'interresse plutot a Mars.

Parce que le but c'est d'atteindre le pole sud de la Lune. C'est donc une trajectoire completement differente de celle des autres sondes, surement beaucoup plus complexe a realiser. En tout cas manifestement beaucoup plus longue.
La Chine a atterri sur la face cachée de la lune, je pense que c'est plus compliqué que d'atterrir au son pôle Sud.
Le vaisseau spatial doit faire le tour de la face arrière de la lune pour y atterrir, là où les gens ne peuvent même pas la voir.
 
La Chine a atterri sur la face cachée de la lune, je pense que c'est plus compliqué que d'atterrir au son pôle Sud.
Le vaisseau spatial doit faire le tour de la face arrière de la lune pour y atterrir, là où les gens ne peuvent même pas la voir.

Bon, je reponds au troll mais je sais vraiment pas pourquoi je fais ca, quelle perte de temps ce type.

Atterrir sur la face cachee ne presente pas de difficulte particuliere au niveau des trajectoires, ca presente des difficultes au niveau communication avec la fusee. On a pas besoin de voir le vaisseau spatial pour l'atterrissage, encore heureux.
Sinon comment on ferait pour atterrir sur Mars, gros malin? Tu crois que les types de la Nasa regardent dans leur telescope l'atterrissage sur Mars peut etre?
Avec 3 minutes de decalage ca serait vachement pratique tiens

Atterrir sur un pole ca implique de faire un grand nombre de tours autour de la lune pour avoir l'orientation correcte pour l'atterrissage. C'est autrement plus complexe d'un point de vue trajectoire.
 
Laisse tomber, depuis qu'il s'est lancé en expert scientifique il denigre/rabaisse la partie scientifique occidental (Big Bang, la combustion du Lox CH4, la participation co-européennes dans le domaine spatial...) il décuve en permanence.
 
C'est marrant que personne ne s'interroge sur l'interet meme qu'il y a a aller sur la Lune ou sur Mars. Autant, je vois un interet strategique a aller sur la Lune qui est une sorte de gros satellite ou l'on peut y installer des armes et des systems de surveillance. Autant je ne vois pas grand interet a aller sur Mars... Du moins dans l'immediat.
 
Laisse tomber, depuis qu'il s'est lancé en expert scientifique il denigre/rabaisse la partie scientifique occidental (Big Bang, la combustion du Lox CH4, la participation co-européennes dans le domaine spatial...) il décuve en permanence.
Ca serait moins genant si c'etait pas pour nous placer de la propagande nationaliste a chaque post.
C'est ultra saoulant et assez malsain, je comprends vraiment pas pourquoi on le garde sur le forum d'autant que perso j'ai de gros doutes sur le fait qu'il soit un simple forumer comme un autre.

C'est marrant que personne ne s'interroge sur l'interet meme qu'il y a a aller sur la Lune ou sur Mars. Autant, je vois un interet strategique a aller sur la Lune qui est une sorte de gros satellite ou l'on peut y installer des armes et des systems de surveillance. Autant je ne vois pas grand interet a aller sur Mars... Du moins dans l'immediat.
Deja l'interet fondamental a long terme c'est de plus etre dependant d'une seule planete. On reste dependant d'un seul soleil, mais c'est deja un risque en moins et un pas de geant vers la possibilite de perreniser notre espece sur les millenaires a venir. Donc deja rien que ca c'est quand meme pas de la merde.

L'interet a moyen terme c'est clairement le developpement de nouvelles technologies. Parvenir a rendre Mars supportable pour les humains est un challenge d'une complexite extraordinaire, on a jamais joue a Dieu a un tel niveau, ca implique de litteralement creer un ecosysteme complet a partir de rien. Autant dire que les connaissances qu'on peut en retirer sont inimaginables pour les humains de 2023 que nous sommes.
Sachant que les connaissances ne se limiteront pas a ca, c'est litteralement l'ensemble des technologies et sciences dans tous les domaines qui seront mises a contribution.

L'interet a court terme c'est de faire rever un peu, de mobiliser l'humanite autour d'un objectif commun si possible plus rejouissant que les incessantes guerres/crises economiques/drama debiles qui jusqu'a present font notre quotidien. Si on depensait ne serait ce que la moitie du pognon claque a tour de bras dans le militaire chaque annee dans le spatial le monde s'en porterait surement bien mieux.
 
Deja l'interet fondamental a long terme c'est de plus etre dependant d'une seule planete. On reste dependant d'un seul soleil, mais c'est deja un risque en moins et un pas de geant vers la possibilite de perreniser notre espece sur les millenaires a venir. Donc deja rien que ca c'est quand meme pas de la merde.

L'interet a moyen terme c'est clairement le developpement de nouvelles technologies. Parvenir a rendre Mars supportable pour les humains est un challenge d'une complexite extraordinaire, on a jamais joue a Dieu a un tel niveau, ca implique de litteralement creer un ecosysteme complet a partir de rien. Autant dire que les connaissances qu'on peut en retirer sont inimaginables pour les humains de 2023 que nous sommes.
Sachant que les connaissances ne se limiteront pas a ca, c'est litteralement l'ensemble des technologies et sciences dans tous les domaines qui seront mises a contribution.

L'interet a court terme c'est de faire rever un peu, de mobiliser l'humanite autour d'un objectif commun si possible plus rejouissant que les incessantes guerres/crises economiques/drama debiles qui jusqu'a present font notre quotidien. Si on depensait ne serait ce que la moitie du pognon claque a tour de bras dans le militaire chaque annee dans le spatial le monde s'en porterait surement bien mieux.

Hm une deuxieme planette alors qu'on est en train de bousiller la notre a vue d'oeil? En plus, a la vitesse ou va la dematerialisation des choses, on pourra bientot sans doute explorer des mondes alternatifs sans se deplacer de son canape avec des systems genre Apple Vision ou Neuralink. Donc franchement, aller sur Mars...
 
Ils devraient tous avoir la même vitesse, n'est-ce pas ?
Ben non !!! Pourquoi donc ?

Je me souviens encore de mes cours au lycée sur la première vitesse de l'univers, la deuxième vitesse, la troisième vitesse, etc., et sur le fait que si un vaisseau spatial veut s'éloigner de la terre, il doit atteindre la première vitesse = 7,9 KM/S.
Ils devraient donc avoir la même vitesse, ou presque ! 😁
Pour échapper à l'attraction terrestre, le vaisseau doit atteindre la vitesse de libération, qui est de 11,2 km/s.
C'est un minimum, pas un maximum. Si une fois la vitesse de libération atteinte, on continue à propulser le vaisseau, sa vitesse va augmenter.
(7,9 km/s est la vitesse minimale de satellisation, pas de libération)
Ou est-ce parce que la lune est plus éloignée de l’Inde? Faux, parce que la terre aussi tourne tout le temps. Il y a toujours un point dans le temps où la lune est à la même distance de l’Inde que de la Chine + etats-unis.
C'est ridiculement absurde : la différence (au même instant) de distance de 2 points de la terre par rapport à la lune est au maximum d'un diamètre de la terre, 12742 kms, soit un trentième de la distance moyenne terre lune, 384000 kms. Autant dire que c'est négligeable.

De plus il est dit que la mission déposera l'alunisseur et le rover vers le 23 aout. Cela ne veut pas dire qu'il faut 40 jours pour atteindre la lune ; peut-être que le vaisseau restera 20 jours en orbite autour de la lune avant ...
 
Parce que le but c'est d'atteindre le pole sud de la Lune. C'est donc une trajectoire completement differente de celle des autres sondes, surement beaucoup plus complexe a realiser. En tout cas manifestement beaucoup plus longue.

Atterrir sur un pole ca implique de faire un grand nombre de tours autour de la lune pour avoir l'orientation correcte pour l'atterrissage. C'est autrement plus complexe d'un point de vue trajectoire.
Je ne suis pas sûr que cela soit l'explication. Sur terre, les orbites polaires sont un peu plus compliquées à atteindre, car on ne profite pas de l'effet "fronde" lié à la rotation de la terre sur les orbites équatoriales. Mais la vitesse de rotation à l'équateur ne représente que 6% de la vitesse de satellisation, donc ça ne fait pas une différence énorme.

De plus, lorsque le vaisseau arrive pour se placer en orbite lunaire, je ne pense pas qu'il y ait une différence entre une orbite équatoriale et une orbite polaire. Il faut que le vaisseau arrive tangentiellement à l'orbite, et soit freiné de sorte à ne plus pouvoir échapper à l'attraction gravitationnelle de la lune. Or celle-ci ne dépend que de la distance, et non de l'orbite choisie (polaire ou équatoriale). Là où il y aurait une différence théorique, c'est pour le décollage depuis la lune. Comme sur terre, une mise en orbite polaire ne bénéficie pas de la vitesse de rotation de l'équateur, mais comme la lune effectue une rotation sur elle-même en 27 jours et 6 heures, cette vitesse est plus que négligeable.
 
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Pourquoi Thales est devenu un acteur clé de la constellation européenne Galileo par Michel Cabirol Rédacteur en chef Industrie et Services

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20 juillet 2023

Le groupe Thales a remporté auprès d'EUSPA, l'Agence de l'Union européenne pour le programme spatial, plusieurs contrats s'élevant à près de 400 millions d'euros et portant sur la constellation de nouvelle génération Galileo. Le groupe français a progressivement détrôné l'industrie allemande qui avait réussi dans les années 2010 à avoir la mainmise sur l'un des programmes les plus emblématiques en Europe.

Analyse : En concurrençant férocement l'industrie allemande sur Galileo, notamment OHB, Thales est devenu un des acteurs incontournables de la prochaine génération de satellites de la constellation européenne en mettant en avant ses implantations en Italie et en France. Après avoir remporté en 2021 la fabrication de six satellites de nouvelle génération Galileo sur les douze attribués, Thales Alenia Space, la société commune entre Thales (67%) et Leonardo (33%), poursuit sa moisson de contrats pour le compte d'un des programmes les plus emblématiques en Europe.
Ainsi, le constructeur de satellites franco-italien a signé des contrats d'un montant total de plus de 300 millions d'euros avec l'Agence spatiale européenne (ESA) agissant au nom d'EUSPA, l'Agence de l'Union européenne pour le programme spatial, et de la Commission européenne en vue de concevoir et réaliser le segment sol de mission de Galileo 2ème Génération (G2G), puis apporter un support technique à l'ingénierie du système. Il aura comme partenaires, Leonardo et Telespazio.

Thales, acteur clé de la résilience de Galileo

En outre, Thales a remporté deux contrats d'un montant de plus de 60 millions d'euros (hors options) dans le domaine de la cybersécurité du programme G2G. Le groupe français sera en charge de l'ensemble des éléments liés à la sécurité et à la résilience de G2G : architecture, équipement de sécurité et protection contre les cyberattaques en termes de détection et réponse. Ces contrats prolongent le rôle clé du groupe pour la cybersécurité de la deuxième génération du programme Galileo, Thales étant en charge de l'ensemble des éléments liés à la sécurité et à la résilience de G2G.
En avril, Thales avait obtenu de l'ESA un contrat de spécification et de conception de la sécurité du système. Ce contrat doit améliorer les performances du système G2G par l'introduction de nouveaux services, des fonctions de résilience renforcées, et des fonctionnalités supplémentaires pour le service de navigation PRS (service à usage gouvernemental). Face aux nouvelles menaces des ordinateurs quantiques capables de casser les algorithmes cryptographiques existants, Thales, reconnu pour son expertise dans le domaine cryptographique, doit sécuriser les données de Galileo qui pourraient être mise à mal sur le long terme. Dans ce cadre, le groupe s'est vu confier par l'ESA la mission de spécifier les solutions de chiffrement post-quantiques de dernière génération. Puis, en mai, Thales a remporté auprès de l'ESA un contrat de supervision de sécurité des infrastructures du système G2G.

Deux versions du segment sol

La première version du nouveau système sol de mission G2G entrera en service à temps pour assurer le lancement et la mise à poste du premier satellite G2G et pour supporter également la validation en orbite des capacités opérationnelles initiales de G2G. Au total, 12 satellites devraient être lancés au cours des prochaines années. La Commission prévoyait de lancer les premiers satellites de nouvelle génération avant la fin de 2024. « Ce système se distingue par plusieurs innovations technologiques clés et une infrastructure flexible cybersécurisée moderne », a précisé Thales Alenia Space dans un communiqué publié jeudi.
La seconde version sera responsable à la fois de la mission des satellites Galileo de première et de seconde génération. Il générera et assurera la transmission montante des services de navigation vers les satellites Galileo, et maintiendra la synchronisation des satellites avec une référence temps commune, offrant ainsi « des performances de positionnement, navigation et de temps à l'état de l'art à plus de quatre milliards d'utilisateurs dans le monde ».

 

Je crois me souvenir que les États-Unis disposent d'une loi interdisant les échanges avec la Chine dans le domaine de la technologie spatiale, alors comment se fait-il qu'ils ne respectent pas cette loi aujourd'hui ? 😁
La loi n'est-elle plus un jeu d'enfant ?
C'est souvent le cas pour beaucoup de choses. Les accords entre les grands pays se font souvent en secret, et les petits pays qui suivent le groupe sont souvent encore dans l'ignorance et n'ont aucune idée de la nature réelle de leurs accords. Et ces petits pays continuent à suivre leurs pratiques initiales au nom de leurs "Foi et Idéalisme", et cela le met dans l’embarras et la difficulté, et il se sentir trompé.
Cela arrive aussi souvent au sein d’une entreprise, un manager de l’entreprise conclut souvent une affaire secrète avec un sous-traitant pour son propre intérêt personnel, et l’employé en bas ne le sait pas, il travaille dur, mais cela peut toucher l'intérêt privé du manager et se mettre en danger.
Soyez prudent 😁!!
 
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Je crois me souvenir que les États-Unis disposent d'une loi interdisant les échanges avec la Chine dans le domaine de la technologie spatiale, alors comment se fait-il qu'ils ne respectent pas cette loi aujourd'hui ? 😁
La loi n'est-elle plus un jeu d'enfant ?
C'est souvent le cas pour beaucoup de choses. Les accords entre les grands pays se font souvent en secret, et les petits pays qui suivent le groupe sont souvent encore dans l'ignorance et n'ont aucune idée de la nature réelle de leurs accords. Et ces petits pays continuent à suivre leurs pratiques initiales au nom de leurs "Foi et Idéalisme", et cela le met dans l’embarras et la difficulté, et il se sentir trompé.
Cela arrive aussi souvent au sein d’une entreprise, un manager de l’entreprise conclut souvent une affaire secrète avec un sous-traitant pour son propre intérêt personnel, et l’employé en bas ne le sait pas, il travaille dur, mais cela peut toucher l'intérêt privé du manager et se mettre en danger.
Soyez prudent 😁!!
On ne va pas se plaindre si des collaborations , des echanges ou des projets scientifiques sont en developpements entre la Chine et les Etats Unis , voir avec l'ensemble de la communaute scientifique internationale , le dialogue engendre l'entente , les progres , et la decouverte , arrete un peu tes mesquineries et tes sous-entendus ...

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La diplomatie scientifique pourrait apporter des dividendes de paix en mer de Chine méridionale
( 7 novembre 2022 )

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Dernière édition:
4 aout 2023
3 aout 2023
28 juillet 2023
 

La Russie va lancer son premier engin vers la Lune, l’atterrisseur Luna-25, depuis 1976


luna-25_c_roscosmos.jpg

Le lancement est prévu vendredi 11 août depuis le cosmodrome Vostotchny en Extrême-Orient.

Communique : RUSSIE - Quarante-sept ans plus tard. La Russie va lancer vendredi son premier engin vers la Lune depuis 1976, a annoncé ce lundi 7 août l’agence spatiale russe Roscosmos, qui peine depuis des décennies à mener ses propres projets.

Le lancement de l’atterrisseur Luna-25 aura lieu « le 11 août à 02:10:57 heure de Moscou » (23:10:57 GMT jeudi), a indiqué Roscosmos dans un communiqué, alors que les puissances mondiales, comme les États-Unis et la Chine, multiplient les missions en vue d’alunissages.

Roscosmos a indiqué qu’un lanceur Soyouz avait été « assemblé » sur le cosmodrome Vostotchny en Extrême-Orient pour le lancement de Luna-25, qui devra se poser près du pôle Sud de la Lune, « en terrain difficile ».

Le vol devrait durer entre « quatre jours et demi et cinq jours et demi », selon des données publiées par Roscosmos et citées par l’agence de presse officielle Tass.

Une fois sur la Lune, Luna-25, qui pèse près de 800 kilogrammes, aura notamment pour mission pendant au minimum un an de « prélever et analyser le sol et mener des recherches scientifiques à long terme », a indiqué l’agence spatiale russe dans son communiqué officiel.

Moscou souhaite renforcer sa coopération spatiale avec Pékin

Ce lancement est la première mission du nouveau programme lunaire de la Russie et intervient au moment où Moscou souhaite notamment renforcer sa coopération spatiale avec Pékin, en pleines tensions avec les puissances spatiales occidentales du fait de l’Ukraine.

Après le lancement de l’offensive militaire russe en Ukraine par Vladimir Poutine, l’Agence spatiale européenne (ESA) avait affirmé qu’elle ne coopérerait plus avec la Russie sur le lancement de Luna-25, ni sur les futures missions 26 et 27.

Malgré ce retrait, Moscou avait déclaré qu’elle poursuivrait ses projets lunaires et remplacerait les équipements de l’ESA par des équipements scientifiques de fabrication russe.

La dernière mission lunaire de l’URSS était celle de la sonde spatiale Luna-24, en 1976.

Depuis la chute de l’URSS, Moscou peine à innover dans le domaine de l’exploration spatiale et ses programmes sont désormais concurrencés non seulement par des acteurs étatiques mais aussi par des initiatives privées, comme Space X, du milliardaire Elon Musk.



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Modelisation : image 1 - Russie Roscosmos, / Image 2 - Etats Unis NASA

7 aout 2023

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Si la Chine et les États-Unis revendiquent le même site de base lunaire, qui sera le gagnant ? ( 9 aout 2021 )
 
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La Russie lance Luna-25, sa première sonde lunaire depuis 47 ans

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Luna-25 donnera le coup d'envoi d'un nouveau programme lunaire russe ambitieux, si tout se passe comme prévu.

Extrait : La Russie a relancé son programme d'exploration de la lune aujourd'hui (10 août), en envoyant un atterrisseur vers la plus proche voisine de la Terre.

La mission Luna-25 a décollé aujourd'hui à 19 h 10 HAE (2310 GMT) à bord d'une fusée Soyouz-2.1b depuis le cosmodrome de Vostochny, dans la région de l'Amour, à l'extrême est de la Russie. Le lancement reprend là où l'ancienne Union soviétique s'était arrêtée en 1976, lorsque Luna-24 avait réussi à livrer à la Terre environ 170 grammes d'échantillons lunaires.

Mais c'était à l'époque. Luna-25 est la première sonde lunaire produite localement dans l'histoire moderne de la Russie.

Si tout se passe comme prévu, Luna-25 passera les cinq prochains jours à se rendre sur la Lune, puis tournera autour du satellite naturel pendant cinq à sept jours supplémentaires. La sonde se posera ensuite dans la région polaire sud de la lune, près du cratère Boguslawsky. (Deux sites d'atterrissage de secours sont également prévus : au sud-ouest du cratère Manzini et au sud du cratère Pentland A).

Une fois posé sain et sauf, Luna-25 travaillera sur la surface lunaire pendant au moins une année terrestre.




 
La Russie annonce que l'atterrisseur lunaire Luna-25 s'est écrasé sur la Lune

Luna-25, première mission lunaire russe depuis 47 ans, était à l'avant-garde d'une série de sondes lunaires.

Extrait : L'agence spatiale russe a annoncé dimanche 20 août que la première sonde lunaire russe depuis 47 ans s'était écrasée sur la surface de la Lune.

L'atterrisseur Luna-25, dont la Russie espérait qu'il se poserait au pôle sud de la lune dès lundi (21 août), s'est écrasé sur la lune après une manœuvre orbitale qui a mal tourné hier (19 août), ont indiqué des responsables de l'agence spatiale russe Roscosmos.

 
La Russie annonce que l'atterrisseur lunaire Luna-25 s'est écrasé sur la Lune

Oopsnik :grin: Ca la fout mal en ce moment. L'espace etant souvent un demonstrateur des capacites militaires d'un pays en matiere de vecteurs, je ne conseilelrais pas a Poutine d'appuyer sur le bouton rouge. Ca risquerait bien de lui peter au visage :dsl:
 
Demande aux ingenieurs de chez feu PSA ou Renault de faire un regulateur PID, ensuite nous en reparlerons de faire un robot autonome made in France.