t'as oublié le football... très imporatnt de parler des affaire de sexe de brandao, ribery et consort quant on est au plus mal
Surtout que Brandao, il l'a "pas touchée" !
t'as oublié le football... très imporatnt de parler des affaire de sexe de brandao, ribery et consort quant on est au plus mal
"ta gaouuuuuuuule !!"Surtout que Brandao, il l'a "pas touchée" !
C'est bien d'ouvrir les yeux. Tu vois juste pour donner un exemple si la France en avait à foutre des droits de l'homme, elle rappellerait un peu à l'ordre la plus grande entreprise de France, ça éviterait ça :Donc la France en a rien a foutre des Droits de l'Homme et ne va pas en Lybie pour proteger les populations mais pour s'en mettre plein les fouilles avec le petrole?
Franchement je peux pas croire ca ...
On arrive pas à punir une entreprise polluant, soutenant des dictatures et tout ça dans notre propre pays mais on veut punir un dictateur,c'est pour ça que je me demande juste qui a tiré les ficelles pour aller bombarder la Libye : armement,pétrole, agro alimentaire, nucléaire...Total est à nouveau rattrapé par ses liens troubles avec la junte birmane. Dans un rapport publié aujourd’hui, que Libération a pu lire en avant-première, l’ONG américano-thaïlandaise Earth Rights International (ERI) accuse le géant pétrolier français et son partenaire américain Chevron (ex-Unocal) d’être les principaux soutiens financiers de la junte, au pouvoir depuis 1962, ainsi que d’avoir «contribué à un haut niveau de corruption en Birmanie» et de se rendre indirectement complice de «travail forcé et d’exécutions» sur le site du gisement gazier de Yadana, dans le sud du pays (1). Contactée hier par Libération, la direction de Total n’a pas souhaité s’exprimer avant d’avoir lu ce rapport.
Après deux ans d’enquête, ERI révèle que le gisement de Yadana a permis au régime birman d’engranger 4, 83 milliards de dollars (3, 31 milliards d’euros) entre 2000, début de l’exploitation du site, et 2008. Sur la même période, les enquêteurs avancent que «Total aurait perçu approximativement 483 millions de dollars [331 millions d’euros]et Chevron, 437 millions de dollars [299 millions d’euros] après avoir déduit 30% de taxes imposées par le régime et 10% de coûts de production».
MANNE. Selon les enquêteurs «75% des revenus du projet Yadana vont directement au régime militaire». Loin d’être versée au budget national, cette manne détournée par les généraux «est localisée dans deux grandes banques offshore à Singapour, réputées pour abriter des fonds des gouvernements de la région et des diasporas». D’après ERI, il s’agit d’une part de la «Overseas Chinese Banking Corporation (OCBC), qui détient la plupart de ces revenus», d’autre part de «DBS Group». L’OCBC, précise ERI, est «une des plus grandes institutions financières du marché malaiso-singapourien» et DBS group «la plus grande banque du Singapour en terme d’avoirs».
EarthRights International conclut que «Yadana a été un élément décisif permettant au régime militaire birman d’être financièrement solvable». Autrement dit, il a pu «à la fois ignorer la pression des gouvernements occidentaux et refuser au peuple birman toute demande démocratique».
Régime autoritaire doté de solides et croissants moyens financiers, le Conseil d’Etat pour la paix et le développement (nom officiel du régime) a pu agir à sa guise dans la région de Tenasserim où est installé le gisement et le pipeline reliant la mer d’Andaman à la Thaïlande. Là, dans un corridor long de 60 km, vivent près de 50 000 personnes. Total et Chevron ont confié leur sécurité et celle de leurs installations à l’armée birmane. Selon ERI, «au moins 14 bataillons militaires interviennent dans la région pour assurer la sécurité du pipeline».C’est dans cette zone difficile d’accès qu’Earth Rights International enquête depuis une quinzaine d’années.
Travaux forcés. Témoignages à l’appui (lire page suivante), elle évoque plusieurs cas récents de «travail forcé». Les militaires birmans obligent les villageois à construire des abris pour eux ou la police, à participer à des tours de garde, etc. Ces révélations contredisent les affirmations de Total selon lesquelles le travail obligatoire a été «éradiqué»dans la région. Par la voix de Jean-François Lassalle, directeur des relations extérieures, le groupe pétrolier dit pourtant «avoir toujours veillé à ce qu’il ne soit pas pratiqué dans la zone». L’Organisation internationale du travail (OIT) a précisé en août qu’il serait«injuste et inexact de dire que le travail forcé n’existe plus dans la zone du pipeline». En 2005, l’entreprise avait indemnisé huit plaignants birmans qui poursuivaient Total pour«séquestration arbitraire». Le rapport d’ERI illustre le décalage saisissant entre le respect des droits sociaux et des droits de l’homme, dont Total se revendique dans sa «charte éthique», et la réalité sur le terrain.
Les entretiens menés auprès de villageois et de déserteurs rapportent des exécutions -notamment un enfant, en 2007-, des cas de tortures, de taxations arbitraires, d’expropriation… Face à de tels témoignages, les doutes d’ERI sur la réalité des programmes de santé et d’éducation subventionnés par Total passent largement au second plan.
36 ans déjà, à la tienne Renaud...Lorsqu'en septembre on assassine,
un peuple et une liberté,
au cœur de l'Amérique latine,
ils sont pas nombreux à gueuler,
un ambassadeur se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le fascisme c'est la gangrène
à Santiago comme à Paris.
on vis dans un monde fromidable ou un planteur de banane à reussie a maintenir durant des decenie des dictateur au pouvoir... ou un pourvoyeur d'essence reussi à soutenir des dictature africain, quant cela ne fonctionne plus et que le vent tourne la girouette tourne en meme temps... on vis dans un monde ou un fabricant d'avion reussi à se faire elir comme deputé pour un peu il pourrais meme devenir ministre de la defense, un monde ou on te file un peu de pognon pour te faire elire mais en echange tu nous laisse masacrer tranquille.... ..
un monde ou quant une catastrophe arrive (seisme, eruption...) on peut gagner encore plus d'argent en misant sur la misere de son voisin.. un monde ou des milliardaire pourait se contenter d'un ou deux milliard mais prefere garder cette argent pour eux au lieux de donner à manger aux gosse qui crevent la dalle...
en somme on vis dans une societé qui risque de se perdre...
monde de merde !
qu'est-ce qu'on fait alors ? On se plaint ? On s'adapte ? On se suicide ? On vit en marge de la societe ?
ben en somme on ne peut plus y faire grand chose l'égoisme est omnipresent certain propose des piste, mais c'est des marginaux pour nos societé... en somme tant que tu respire et bien tu ferme ta gueulle et tu assiste ... c'est que quant un peuple as perdus la possibilité de se plaindre qu'il n'y a plus de liberté...
Lien retiré
C'est comme ça que ça marche le pouvoir.
Faut pas croire être le seul à déceler la manipulation des truands de ce monde!
C'est comme chat !
Quand je vois ça, ça me donne envie de bonnes petites LAN entre amis
pareil ici ! on m a demande de maniere outree *Hee la francaise, pourquoi Sarko attaque la Lybie ?*
pareil ici ! on m a demande de maniere outree *Hee la francaise, pourquoi Sarko attaque la Lybie ?*
On ne sait pas ce qu'est l'injustice tant que l'on n'a pas été accusé à tort
celle la, elle est pour moi!!!