La rubrique de nos annees 60/70/80 - BD - Jouets - Disques - Vehicules - Actualites - Series TV ...

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Carambar[1] est une marque commerciale de bonbon industriel (caramel mou), originellement au caramel et cacao, de huit centimètres de long pour huit grammes (à ses débuts le Carambar mesurait 6,3 centimètres pour 5,5 grammes).
Cette confiserie est aujourd'hui déclinée en variantes aux arômes artificiels de fruits, de nougat (sous la marque Caranougat) ou de cola, puis en variétés aux goûts artificiels très marqués (comme Atomic cactus). Il existe également une variété à deux goûts (bigou), et le molo, plus riche en émulsifiants. La confiserie originale est réputée très dure et collante, ses déclinaisons nettement plus souples.
À l'intérieur de chaque emballage est imprimé un « trait d'humour » destiné aux enfants. Son nom est un mot-valise composé de « caramel » et « barre ».
Principalement diffusé en France, chaque année environ un milliard d'unités de ces confiseries sont consommées.
Créé par l'entreprise Delespaul en 1954 à Marcq-en-Barœul (Nord) à la suite, dit-on, d'une erreur, Carambar a successivement appartenu à la Générale Alimentaire, à la Générale Occidentale, puis à BSN, devenu Danone, puis Cadbury. Depuis 2012, Carambar appartient au groupe américain Mondelēz International (issu d'une scission de l'américain Kraft Foods).
 
Routemaster
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Les bus à impériale londoniens de couleur rouge vif sont, avec les cabines téléphoniques et les boîtes aux lettres rouge parmi les symboles les plus emblématiques de Londres et de l'Angleterre.

Les plus connus, conçus par le designer industriel Douglas Scott, étaient du type Routemaster. Ces bus ont la particularité de nécessiter deux employés, un conducteur et un contrôleur en uniforme, chargé de délivrer et poinçonner les billets. Un périscope à miroirs permet au conducteur d'avoir l'œil sur les voyageurs de l'impériale. Ils sont également équipés d'un cordon permettant de sonner le conducteur pour s'arrêter, ainsi que d'une plate-forme arrière qui permet aux passagers pressés de sauter sur le trottoir à leurs risques et périls.

En circulation depuis 1956, ils ont cessé leur service le 9 décembre 2005.

Les Routemaster furent progressivement remplacés à partir des années 1970 par des modèles de plus en plus modernes de bus à impériale n'ayant rien à voir avec le Routemaster. Ces nouveaux bus ne possèdent plus la plate-forme arrière ouverte pour des raisons de sécurité. Parmi ces différents modèles, on peut citer le Alexander ALX400 ou le Scania Omnidekka.

Le bus à impériale furent remplacés sur de nombreuses lignes par des autobus articulés de type Mercedes Citaro dans les années 2000 sous l'impulsion de Ken Livingstone, maire de Londres de 2000 à 2008. Son successeur Boris Johnson a remplacé à leur tour ces bus articulés par un nouveau modèle de bus à impériale au style néo-rétro évoquant le «Routemaster». Ils sont plus accessibles pour les poussettes et fauteuils roulants, à moteur hybride et voient le retour de la plateforme ouverte à l'arrière.

Source
 
Dernière édition:
Une des voitures emblématiques des 7os : la fabuleuse Citroën GS / GSA,
fabriquée par Citroën à 2,5 millions d'exemplaires, de 1970 à 1986. Il s'agit de la voiture la plus vendue par Citroën après la 2 CV et l'AX. Le nom GS provient de son nom d'étude, « projet G », devant être décliné en version moteur 4-cylindres à plat type GX et moteur rotatif type GZ. Elle a remporté le trophée européen de la voiture de l'année en 1971.
1978 est l'année où le nombre de GS produites est maximal avec 259 787 exemplaires4. En 1973, 1975 et 1978, la Citroën GS fut la troisième voiture la plus vendue en France (première dans sa catégorie en 1978).
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Les meilleurs enceintes pour moi que mon père à acheté à l'époque (comme disent les jeunes ) se sont les Elipson colonnes blanches avec une grosse boule blanche également de 1973 , à l'époque ont faisait du matériel qui dure d'ailleurs elles fonctionnent toujours parfaitement .

ça ressemble à ça , le trou noire dans la colonne c'est l'event !

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au touché ça ressemble à du crépis niveau son ça vous décoiffe papy ^^
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Lui
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Première série (1963 – 1987)
L'objectif de l'ex-photographe de Paris Match devenu éditeur de presse (Salut les copains) avec Jazz Magazine racheté à Eddie Barclay était de réaliser un mensuel de charme de qualité, « à la française ». Ce magazine, fortement inspiré de Playboy eut énormément de succès de 1963 au début des années 1980, avec les photographies de nombreuses starlettes françaises dénudées, mais aussi de quelques actrices de premier plan, telles que Brigitte Bardot, Mireille Darc, Jane Birkin ou Marlène Jobert (la première fille à poser en couverture fut Valérie Lagrange (le numéro 1 parut le 01/11/63)) photographiées par Francis Giacobetti, futur réalisateur de Emmanuelle 2. Son slogan était « Lui, le magazine de l'homme moderne ». On peut aussi noter la parution dans le magazine d'une bande dessinée de Lauzier : Les Sextraordinaires Aventures de Zizi et Peter Panpan. Dans les premiers collaborateurs, on retrouve Jean-Louis Bory, René Chateau, Philippe Labro, Francis Dumoulin, Francis Giacobetti, Siné, Michel Mardore, Aslan, Robert Lassalvy, Gilles Sandier, et bien d'autres.

Le premier âge d'or de la revue coïncida avec l'arrivée au poste de rédacteur en chef de Marcel Duhamel, fondateur de la Série noire. Les pages de charme se firent plus explicites, mais il n'y eut pas d'escalade véritable. Montrer la pilosité pubienne d'une star aux seins nus, dans une revue grand public, passait alors pour audacieux. Marcel Duhamel reprit dans les titres de présentation des pages de charme le type de jeux de mots qu'il utilisait dans le cadre de la Noire (des exemples entre cent : « Marie ravie au lit », « Pascale, une penchée émue », « Bons baisers de Lucie » voire « Maud de Paris »).

Jacques Lanzmann contribua à faire du magazine « osé » (où les filles nues gardaient jambes serrées) un journal aux vulgarités malicieuses7, de bonne tenue rédactionnelle.

Vers la fin de cette époque, plusieurs tentatives eurent lieu pour changer la formule de Lui et relancer le titre, efforts qui aboutirent à la seconde série et la parution en deux cahiers à partir de fin 1987. On peut citer le changement du slogan, devenu « Lui, la défonce de l'homme moderne8 » pour quelques numéros et des apparitions de pilosités pubiennes sur la photo de couverture9.

Le dernier numéro de la première série, le numéro 285, fut publié en novembre 1987.

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Dernière édition:
Le grand voir L'Immense Serge Gainsbourg
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Serge Gainsbourg, nom de scène de Lucien Ginsburg, né le 2 avril 1928 dans le 4e arrondissement de Paris et mort le 2 mars 1991 dans le 7e arrondissement de Paris1, est un auteur-compositeur-interprète, pianiste, artiste peintre, scénariste, metteur en scène, écrivain, acteur et cinéaste français2.

Fils d'immigrants russes juifs, il veut être artiste peintre. Mais il accède à la notoriété en tant qu'auteur-compositeur-interprète, abordant de nombreux styles musicaux. Il s'essaiera également au cinéma et à la littérature. Il réalise plusieurs films et vidéo-clips et compose plus de quarante musiques de films.

Ses débuts sur scène sont difficiles en raison de son physique. Toute sa vie, Serge Gainsbourg souffre d'un sentiment de rejet et de l'image que lui renvoie le miroir : celle d'un homme que l'on qualifie de laid. Au fil des années, il se crée une image de poète maudit et provocateur, mais pas pour autant en marge du système (« J'ai retourné ma veste quand je me suis aperçu qu'elle était doublée de vison », déclare-t-il). Les textes de ses chansons jouent souvent sur le double sens, et illustrent son goût pour la provocation, en particulier celle de nature polémique (Nazi Rock, Aux armes et cætera, Lemon Incest) ou érotique (Les Sucettes, Je t'aime... moi non plus, Love on the Beat). Serge Gainsbourg aime également jouer avec les références littéraires, comme Verlaine (Je suis venu te dire que je m'en vais). Cependant, il considère la chanson, et en particulier les paroles de chanson, comme un « art mineur » du fait que, contrairement à la peinture, par exemple, il ne nécessite aucune initiation pour être apprécié . Malgré cela, il travaille parfois beaucoup la forme poétique de ses textes.

Au cours de sa vie, Gainsbourg séduit chanteuses et actrices, souvent renommées pour leur beauté : de Brigitte Bardot à Jane Birkin, avec qui il a son troisième enfant Charlotte Gainsbourg. Après leur séparation, il rencontre « Bambou », Caroline Paulus de son vrai nom, qui lui donne son quatrième et dernier enfant, Lucien Gainsbourg, dit « Lulu ».

Gainsbourg a une influence considérable sur des artistes français comme le groupe Taxi Girl, Renaud ou encore Étienne Daho mais également sur des artistes internationaux tels que Beck Hansen, Mike Patton , le groupe Portishead et le compositeur David Holmes.

Si sa notoriété à l'extérieur du monde francophone se limite aux professionnels de la musique, il réussit à classer deux de ses albums dans les meilleures ventes de disques aux États-Unis : Bonnie and Clyde10 (avec Brigitte Bardot) se classe 12e au Billboard 200 au cours de l'année 1968, et Jane Birkin/Serge Gainsbourg11 se classe 196e au cours de l'année 1970. Sa chanson Je t’aime… moi non plus se classe 58e au Billboard Hot 10012, malgré des diffusions à la radio limitées , mais rencontre un plus grand succès encore au Royaume-Uni où elle se classe numéro 1 des ventes . Avec celles de la chanteuse belge Sœur Sourire , ces performances sont inégalées pour des chansons en langue française aux États-Unis toujours très rétifs aux langues étrangères.

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Dernière édition:
Les meilleurs enceintes pour moi que mon père à acheté à l'époque (comme disent les jeunes ) se sont les Elipson colonnes blanches avec une grosse boule blanche également de 1973 , à l'époque ont faisait du matériel qui dure d'ailleurs elles fonctionnent toujours parfaitement .

ça ressemble à ça , le trou noire dans la colonne c'est l'event !

Voir la pièce jointe 68012
au touché ça ressemble à du crépis niveau son ça vous décoiffe papy ^^
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Pareil. Chez nous on a celles-ci, les AS40, qui nous ont jamais lachés!
 

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Lui
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Première série (1963 – 1987)
L'objectif de l'ex-photographe de Paris Match devenu éditeur de presse (Salut les copains) avec Jazz Magazine racheté à Eddie Barclay était de réaliser un mensuel de charme de qualité, « à la française ». Ce magazine, fortement inspiré de Playboy eut énormément de succès de 1963 au début des années 1980, avec les photographies de nombreuses starlettes françaises dénudées, mais aussi de quelques actrices de premier plan, telles que Brigitte Bardot, Mireille Darc, Jane Birkin ou Marlène Jobert (la première fille à poser en couverture fut Valérie Lagrange (le numéro 1 parut le 01/11/63)) photographiées par Francis Giacobetti, futur réalisateur de Emmanuelle 2. Son slogan était « Lui, le magazine de l'homme moderne ». On peut aussi noter la parution dans le magazine d'une bande dessinée de Lauzier : Les Sextraordinaires Aventures de Zizi et Peter Panpan. Dans les premiers collaborateurs, on retrouve Jean-Louis Bory, René Chateau, Philippe Labro, Francis Dumoulin, Francis Giacobetti, Siné, Michel Mardore, Aslan, Robert Lassalvy, Gilles Sandier, et bien d'autres.


À ses débuts, Lui s'était doté d'une mascotte, une tête de chat, l'équivalent pour le magazine du lapin de Playboy. Elle disparut au début des années 1970.

Le premier âge d'or de la revue coïncida avec l'arrivée au poste de rédacteur en chef de Marcel Duhamel, fondateur de la Série noire. Les pages de charme se firent plus explicites, mais il n'y eut pas d'escalade véritable. Montrer la pilosité pubienne d'une star aux seins nus, dans une revue grand public, passait alors pour audacieux. Marcel Duhamel reprit dans les titres de présentation des pages de charme le type de jeux de mots qu'il utilisait dans le cadre de la Noire (des exemples entre cent : « Marie ravie au lit », « Pascale, une penchée émue », « Bons baisers de Lucie » voire « Maud de Paris »).

Jacques Lanzmann contribua à faire du magazine « osé » (où les filles nues gardaient jambes serrées) un journal aux vulgarités malicieuses7, de bonne tenue rédactionnelle.

Vers la fin de cette époque, plusieurs tentatives eurent lieu pour changer la formule de Lui et relancer le titre, efforts qui aboutirent à la seconde série et la parution en deux cahiers à partir de fin 1987. On peut citer le changement du slogan, devenu « Lui, la défonce de l'homme moderne8 » pour quelques numéros et des apparitions de pilosités pubiennes sur la photo de couverture9.

Le dernier numéro de la première série, le numéro 285, fut publié en novembre 1987.

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Bonjour Lafoy,
Ca me rappelle le magasine Photo que je feuilletais dans les annees 80's
Magasine qui date de 1967.
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Photo_(magazine)
http://www.photo.fr/accueil
http://www.photo.fr/le-mag
 
Dernière édition:
Pif Gadget! Editions Vaillant (issues de la presse resistante communiste) 1969/1993, puis 2004/2009.
Je ne ratais sous aucun pretexte sa sortie hebdomadaire avec son gadget.
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Nous nous y sommes arretes. Ca sentait bon la frite et pas que. Des plats genereux, un menu complet, pour un prix derisoire: Entree, plat, fromage, dessert, cafe pour moins de 30 francs!

Les routiers
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Cree avant guerre mais nous ont accompagne le long de nos routes a travers la France (et plus) depuis nos naissances:


"Lors d’un reportage, deux journalistes[Qui ?] décident de créer le journal Les Routiers, puis les Relais Routiers afin que les camionneurs puissent lire leur journal pendant leur pause. En 1934, François de Saulieu fait un reportage sur la vie des routiers, mot qui ne figure pas dans le Petit Larousse de 1934, le conducteur de camion se nomme alors « roulier » ou « camionneur ». Les Relais Routiers sont créés, avec pour symbole, le panonceau Bleu et Rouge. Ces établissements deviennent les arrêts privilégiés des camionneurs1."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Relais_Routiers
 
Nous nous y sommes arretes. Ca sentait bon la frite et pas que. Des plats genereux, un menu complet, pour un prix derisoire: Entree, plat, fromage, dessert, cafe pour moins de 30 francs!

Les routiers
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Cree avant guerre mais nous ont accompagne le long de nos routes a travers la France (et plus) depuis nos naissances:


"Lors d’un reportage, deux journalistes[Qui ?] décident de créer le journal Les Routiers, puis les Relais Routiers afin que les camionneurs puissent lire leur journal pendant leur pause. En 1934, François de Saulieu fait un reportage sur la vie des routiers, mot qui ne figure pas dans le Petit Larousse de 1934, le conducteur de camion se nomme alors « roulier » ou « camionneur ». Les Relais Routiers sont créés, avec pour symbole, le panonceau Bleu et Rouge. Ces établissements deviennent les arrêts privilégiés des camionneurs1."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Relais_Routiers
ah, ça me rappelle également de bons souvenirs familiaux, des andouillettes-frittes gigantesques et des mousses au chocolat pour presque rien
 
ah, ça me rappelle également de bons souvenirs familiaux, des andouillettes-frittes gigantesques et des mousses au chocolat pour presque rien
Restons dans la bouffe:
Les marches gare ou MIN... cree en 1953.

Fin de bringue, finissant vers les 5/6 heures du mat' a manger avec les commercants, des restos avoisisannants offrant de belles pieces de boeufs toutes fraiches pour quelques francs. On pouvait y manger a toute heure de la nuit dans une ambiance conviviale... Que de bons souvenirs.

Je me souviens de celui de Bordeaux, ventes au detail au centre ville, les capucins, proche de la gare saint Jean. Ca a du change... Surtout qu ils se sont tous mis en agglomeration...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Marché_d'intérêt_national

Le plus connu d entre eux:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Marché_international_de_Rungis

Belle epoque pour les leve tot ou les couche tard!
 
J'avais une petite collection de badges et de pin's des années 70 et bcp plus avec les années 80
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J’avais le badge de Chips vous savez la séries avec les deux flics Jon et Ponch ralala les coupes de cheveux quand même !
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Qui se souviens aussi des décalcomanie ? Ces faux tatouages que l'on se collait sur les bras avec une éponge mouillée ? C’était plutôt a la mode dans les années 80, je ne sais pas si ça existe toujours...