Brouillard sur Chongqing

Un peu comme l'affaire DSK en fait, quand le mec était pouvoir tout le monde la fermait, et dès qu'il est à terre c'est le grand déballage...Assez dégoutant comme méthode. J'en connais un qui doit etre en train de compter ses vrais amis en ce moment...

Demain "Bo Xilai a organisé des parties fines avec DSK au marriot de CQ" et la boucle sera bouclée
 
Un peu comme l'affaire DSK en fait, quand le mec était pouvoir tout le monde la fermait, et dès qu'il est à terre c'est le grand déballage...Assez dégoutant comme méthode. J'en connais un qui doit etre en train de compter ses vrais amis en ce moment...

Demain "Bo Xilai a organisé des parties fines avec DSK au marriot de CQ" et la boucle sera bouclée

On y voit de moins en moins clair, aujourd hui ce n est pas qu une rumeur!
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Et pour les parties fines au Mariott avec DSK, j investit dans un tele-objectif et je revends a voici!! Merci du tuyau MTT!!
 
fais gaffe, j'y suis souvent au marriott CQ, evite l'etage 45 merci !
 
Comment Pékin accompagne la chute de Bo Xilai

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La chute est rude pour Bo Xilai, considéré comme l'une - si ce n'est la première - des étoiles politiques montantes de la Chine. © Imaginechina / AFP

Le Point.fr - Publié le 19/04/2012

Le pouvoir tente d'empêcher le retour en politique du dirigeant de Chongqing exclu du bureau politique et du comité central du PC.

Le pouvoir chinois a actuellement une priorité : casser l'image que Bo Xilai avait réussi à donner de lui. Il ne suffit pas d'avoir limogé le dirigeant de Chongqing - la ville la plus peuplée de Lien retiré - puis de l'avoir exclu du bureau politique et du comité central du Lien retiré. Il faut maintenant accumuler les révélations ou confirmations sur la gravité des faits qui ont amené à ces sanctions. Objectif : empêcher le retour en politique de Bo Xilai et répandre l'idée dans la population qu'avoir de la sympathie pour ce personnage était une grave erreur.

Ceux qui sont désormais en poste à Chongqing racontent à des journalistes occidentaux qu'en novembre dernier la mort de Neil Heywood est tout de suite apparue suspecte. Cet homme d'affaires anglais était un associé de la femme de Bo Xilai, Gu Kailai. Au point que plusieurs journaux de Hong Kong vont jusqu'à écrire qu'il pouvait être l'amant de celle-ci. Les mêmes médias croient savoir qu'il aurait aidé Gu Kailai à sortir de Chine une importante somme d'argent et qu'un différend aurait surgi entre eux sur la commission qu'il exigeait. Selon le Lien retiré, c'est avec du cyanide de potassium qu'il a été empoisonné. Ce produit aurait été fourni par un certain Xia Zeliang, secrétaire du Parti communiste du district de Nan'an. L'hôtel où Neil Heywood a été retrouvé mort en novembre dernier se trouve dans ce quartier de Chongqing.

Bo Xilai aurait bloqué l'enquête

Le moins que l'on puisse dire est que les détails ne manquent pas pour étayer les soupçons autour de ce décès. Et ils mènent à cette très grave accusation qu'après avoir donné son accord Bo Xilai aurait bloqué l'enquête et destitué celui qui s'apprêtait à la mener : Wang Lijun, numéro deux de la municipalité et responsable de la sécurité. Ce même Wang Lijun a alors eu l'idée d'aller tout raconter au consulat américain de Chengdu. Le chef-lieu du Sichuan n'est pas loin de Chongqing.

Contrairement à ce qu'on a pu croire sur le moment, Wang Lijun n'aurait pas demandé l'asile politique aux États-Unis. Sa démarche, totalement inédite en Chine, était beaucoup plus audacieuse et manoeuvrière. S'il était allé à Pékin dire ce qu'il savait, il aurait eu toutes les chances de ne pas être écouté ou, pire, d'être neutralisé par les soutiens dont disposait Bo Xilai dans la haute hiérarchie du Parti.

En s'adressant d'abord à des diplomates étrangers, il a donné une tout autre dimension à ses révélations. Il n'était plus possible de les passer sous silence. Selon des sources qui pourraient se trouver au consulat américain de Chengdu, c'est Wang Lijun lui-même qui, après dix heures d'entretiens, a téléphoné à Pékin pour demander que des agents de la commission de discipline du Parti viennent le chercher. Et surtout pas la police. Les Chinois qui s'intéressent à la politique admettent qu'avec le parcours qu'il a suivi Wang "a sauvé sa peau".

Lutte rude

Depuis, l'acharnement avec lequel la direction du Parti communiste traite cette affaire indique combien le système politique chinois a redouté la montée en puissance de Bo Xilai. L'ambition de celui-ci était d'être admis parmi les neuf membres du Comité permanent, qui représente la plus haute marche du pouvoir. Il avait été écarté en 2007 et voulait y parvenir lors du congrès de l'automne prochain. La lutte est rude pour entrer au Comité permanent et, habituellement, la méthode consiste à se faire accepter en engrangeant le plus possible de soutiens et de consensus.

Bo Xilai avait choisi d'apparaître tel qu'il est, turbulent et charismatique. Et de s'appuyer politiquement sur une ligne populiste aux accents maoïstes. L'ampleur des oppositions provoquées par cette stratégie démontre qu'elle n'était guère adaptée au but recherché. Là où la règle est de parvenir à une parfaite unité de façade entre dirigeants, Bo Xilai avançait en force avec des conceptions différentes des autres. Dans un pays où le parti unique est une règle sacrée, il paraissait de plus en plus en mesure de développer une tendance interne qui aurait pu devenir un parti dans le parti.

L'affaire de la mort de Neil Heywood aurait peut-être pu être étouffée grâce à une complicité générale dont le régime est capable. Surtout s'agissant du fils de Bo Yibo, un révolutionnaire qui fut un des principaux conseillers de Deng Xiaoping. Au contraire, que Bo Xilai fasse référence au maoïsme alors que sa famille et lui-même ont été persécutés par Mao a profondément irrité les dirigeants au pouvoir à Pékin. En conférence de presse, le 14 mars, le Premier ministre Wen Jiabao visait Bo Xilai en dénonçant "les séquelles de la révolution culturelle". Si les réformes de modernisation et d'ouverture lancées il y a trente ans s'étaient accompagnées d'une véritable démaoïsation dénonçant les drames qu'a provoqués le Grand Timonier, les positions de Bo Xilai n'auraient sans doute pas eu le même succès.

"Les officiels ne doivent pas surestimer leur influence"

En tout cas, avec un mode de communication gouvernementale qui reste très opaque, Pékin tient maintenant à faire savoir hors de Chine que le cas du criminel Bo Xilai est traité avec une attention particulière. La mort d'un étranger est en cause. De plus, les autorités chinoises ne peuvent pas durablement cacher des informations soigneusement recueillies par un service consulaire américain. Sans connaître, d'ailleurs, l'étendue exacte de déclarations qu'a faites Wang Lijun ni des documents qu'il a donnés.

À l'attention de l'opinion chinoise, ensuite, l'appareil de propagande du Parti travaille à achever de faire tomber Bo Xilai de son piédestal. Les informations sur l'enquête sont en principe censurées. Mais les Chinois qui s'intéressent au sujet semblent tout savoir, rumeurs comprises. Les accès aux mots "Bo Xilai" ou "Wang Lijun" restent bloqués sur les grandes plates-formes comme Sina Weibo ou Tencent, mais les quelque 300 millions de microblogueurs chinois ont depuis longtemps l'art d'aller récupérer à l'étranger ce qu'ils désirent savoir sur ce qu'on leur cache en Chine. Et la presse écrite intègre que l'opinion est au courant en multipliant les éditoriaux qui vantent la sagesse des décisions du Parti. Par exemple, le Huanqiu Shibao du 19 avril souligne : "Le cas Bo Xilai montre que les officiels ne doivent pas surestimer leur influence ni s'imaginer qu'ils sont au-dessus des lois."

Mais l'obsession de la direction communiste est de parvenir en toute chose à présenter un point de vue unifié. L'enjeu est de faire rentrer dans le rang ceux qui ont soutenu Bo Xilai et ont cru en lui à quelques niveaux qu'ils se trouvent dans le Parti ou l'armée. Pour cela, il y a au moins un type d'informations dont le pouvoir parvient à empêcher la diffusion : ce sont les arguments que le flambant ex-chef du parti de Chongqing et son épouse pourraient éventuellement utiliser pour leur défense.
 
Le dirigeant chinois déchu Bo Xilai espionnait la hiérarchie du PCC

Le Monde.fr avec AFP | 26.04.2012


Lien retiré

L'ancienne étoile montante de la politique chinoise a précipité sa chute en recourant à un système généralisé d'écoutes visant les dirigeants du Parti communiste, dont même le président Hu Jintao a été la cible, a rapporté jeudi 26 avril le New York Times. Les conversations téléphoniques de pratiquement tous les hauts responsables visitant la métropole de Chongqing, fief de Bo Xilai, dans le sud-ouest du pays, étaient suivies, a assuré le journal, qui cite des sources anonymes au sein du Parti communiste.


Les services du gouvernement central ont fini par détecter une écoute pratiquée sur un appel téléphonique à Chongqing du chef de l'Etat, Hu Jintao. Cette découverte a entraîné une enquête qui a accéléré la mise à l'écart de Bo Xilai, dont le style atypique et flamboyant dérangeait déjà à Pékin. M. Bo a été limogé de son poste de chef du Parti communiste de la mégalopole de Chongqing en mars, puis suspendu du bureau politique. Son épouse, Gu Kailai, est suspectée du meurtre d'un Britannique.
La saga Bo Xilai, l'affaire politique la plus retentissante en Chine depuis des décennies, passionne la population chinoise et la conforte dans sa conviction que la nomenklatura du Parti bénéficie de nombreux privilèges, dans un climat d'impunité.
Parmi les victimes collatérales de ce scandale au sommet figure aussi Bo Xiyong, frère de Bo Xilai, qui a démissionné de son poste de président adjoint de China Everbright International, une société qui fait partie d'un conglomérat étatique chinois. Il a quitté ses fonctions "afin de réduire les éventuelles conséquences négatives sur la société d'informations récemment publiées par les médias sur sa famille", a déclaré China Everbright International dans un communiqué mercredi à la Bourse de Hongkong.


Quant à Bo Guagua, le fils de 24 ans de M. Bo, il s'est défendu cette semaine d'avoir profité de faveurs lors de ses études au sein de prestigieux établissements à l'étranger, ainsi que d'avoir conduit une Ferrari en menant une vie dorée de "fils à papa".
 
Nouvelles révélations sur le scandale Bo Xilai

Le Monde.fr avec Reuters | 25.04.2012

Lien retiré

Le consultant britannique Neil Heywood, dont la mort suspecte a mis fin aux ambitions de Bo Xilai, aurait été empoisonné en novembre en Chine car il menaçait de révéler que Gu Kailai, la femme de l'ancien dirigeant de la mégalopole de Chongqing, s'apprêtait à transférer une grosse somme d'argent à l'étranger.


Le maire adjoint et ancien chef de la police de Chongqing, Wang Lijun, qui a trouvé refuge pendant vingt-quatre heures au consulat américain de Chengdu, cherchant en vain à obtenir l'asile aux Etats-Unis, a confié de nombreuses informations aux diplomates américains, dont certaines concernant la mort de Neil Heywood, rapporte le Daily Telegraph, mercredi 25 avril.


D'après les propos de Wang Lijun, Neil Heywood aurait été forcé de boire du cyanure, qu'il aurait recraché en vain. Les enquêteurs ne savent pas avec certitude le lieu de sa mort à Chongqing, mais selon certaines sources il aurait été assassiné au Nanshan Lijing Holiday Hotel. La mort suspecte du britannique, dont le corps avait été incinéré sans autopsie, a poussé le Royaume-Uni à réclamer une enquête approfondie.

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LE FILS DE BO XILAI SE DÉFEND SUR SES CONDITIONS DE VIE


Le fils de Bo Xilai, étudiant à Harvard, nie dans un communiqué avoir profité de faveurs dans son cursus à l'étranger ainsi qu'avoir conduit une Ferrari. Bo Guagua, 24 ans, est devenu depuis la disgrâce de ses parents un sujet extrêmement commenté sur l'Internet en Chine. Accusé d'être un "fils à papa"riche, fêtard et coupé de la réalité, il était resté silencieux jusqu'à présent. Son texte de défense a été publié par The Harvard Crimson, le journal universitaire de Harvard.


Le Britannique Neil Heywood, très proche associé d'affaires de la famille de Bo Xilai, aurait pistonné dans ses études au Royaume-Uni Bo Guagua, qui a étudié dans les établissements renommés de Harrow et Oxford. "Mes frais de vie et de scolarité à l'école de Harrow, à l'université d'Oxford et à l'université Harvard ont été financés exclusivement par deux sources : des bourses obtenues de façon indépendante et la générosité de ma mère, qui a puisé dans ses économies gagnées durant des années alors qu'elle était avocate et écrivaine à succès", affirme Bo Guagua dans son communiqué. Il ne précise pas qui a procuré les bourses."Je n'ai jamais conduit de Ferrari", assure également le jeune homme, dont des photographies circulent sur l'Internet qui le montrent en smoking, chemise débraillée, entourée de jolies filles dans des soirées apparemment très festives.


Le Wall Street Journal avait affirmé en novembre dernier que Bo Guagua s'était présenté dans une Ferrari rouge à l'ambassade des Etats-Unis à Pékin, pour emmener dîner dehors la fille de l'ambassadeur de l'époque, Jon Huntsman.
 
C'est fou tout ce qui tombe sut ce pauvre Bo Xilai. Pauvre mais au porte-feuille apparement bien rempli. J'ai lu qu'il avait des milliards à l'étranger.

Mais bon bientôt on va nous dire que la crise économique c'est de sa faute, que c'est lui le responsable de la montée du FN, que la fonte des glaciers c'est lui...
 
Dallas Chinois continue...
Avec tout ce qu'on lit et tout ce qu'on me dit, je ne suis plus rien du tout.
J'ai meme entendu dire que l'Anglais mort etait decede d'une crise cardiaque, affirme par sa mere..
 
[h=1]MEMOIRES D’UNE GEISHA – L’actrice chinoise Zhang Ziyi est accusée d’avoir eu des relations tarifées avec Bo Xilai[/h]
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Zhang Ziyi, le 26 février 2012. Photo AFP PHOTO/PATRICK T. FALLON

Ça avait commencé comme la plus grosse affaire politico-médiatique chinoise des deux dernières décennies, ça finit en affaire DSK avec, en plus, des people. Selon la presse de Hongkong, le milliardaire chinois et ancienne "étoile montante" du parti communiste, Bo Xilai, aurait eu des relations tarifées avec l'actrice chinoise très en vue Zhang Ziyi, rendue célèbre dans le monde entier pour ses rôles dans Tigre et Dragon et Mémoires d'une Geisha.
Selon un journal de Hongkong, Apple Daily, et le Lien retiré, très en pointe sur les révélations depuis le début de l'affaire Bo Xilai, l'actrice aurait débuté sa relation avec l'ancien cacique communiste en 2007. Depuis, ils se seraient vus au moins dix fois pour des "rencontres sexuelles". Comme le rapporte le site Fox News, Zhang Ziyi aurait reçu en échange plusieurs millions de yuans. Selon les publications, les sommes varient : si Fox News parle de 110 millions de dollars (environ 89 millions d'euros), The Daily Mail évoque 64 millions de livres sterling (79 millions d'euros), et Le Figaro 10 millions de yuans (1,2 million d'euros) à chaque fois.
Des accusations "absolument ridicules"
L'actrice a tout de suite réclamé des excuses au journal chinois Apple Daily pour ces déclarations, qui l'accusent également d'avoir eu des relations avec d'autres hommes influents, dont Xu Ming, un ami proche de Bo Xi Lai, milliardaire accusé de corruption par les autorités chinoises. Elle a assuré que tout cela était "complètement faux" et "absolument ridicule". A l'époque des faits qui lui sont reprochés, elle entretenait une relation sérieuse avec l'homme d'affaires israélo-américain Aviv "Vivi" Nevo, comme en témoignent ces photos du Daily Mail datant de 2008.
Zhang Ziyi ignorait tout de ces accusations quand elle s'est rendue au 10[SUP]e[/SUP] festival du film chinois, plus tôt cette semaine. Absente du Festival de Cannes, où elle était invitée pour présenter son dernier film, une adaptation chinoise du célèbre roman Les Liaisons dangereuses, elle a répondu qu'elle était en tournage en Chine et ne pouvait s'y rendre. Les rumeurs les plus folles ont couru, y compris que les autorités chinoises l'empêchainet de quitter le territoire le temps que durerait l'enquête.
 
Mouahahaha, tout le monde veut se la faire, pauvre Zhang Ziyi, depuis ses conneries avec son association ,bp l'ont dans le collimateur m'enfin la jalousie...
Connue dans le monde entier haha, parlez en dans votre entourage , personne ne la connaît , voir la gueule des films américains où elle a joué , Rush Hour2 et Horsemen. Franchement les conneries qu'il ne faut pas lire, jouer la pute de luxe, il a trop regardé 2046 le pauvre et depuis fantasme comme un damné, je le comprends j'ai connu ça haha...
 
La "pauvre" riche Zhang Ziyi.. :D
C'est vrai qu'ailleurs qu'en dehors de la Chine, elle est surtout connue des connaisseurs.. c'est à dire les amateurs de films chinois.
M'enfin elle a quand même fait une couv' de l'Express (consacré à la Chine, évidemment) en 2008..
Je me rappelle qu'à l'époque m'être fait la réflexion que le magazine avait choisi un visage chinois "très occidental" pour présenter son numéro spécial sur l'empire du Milieu.. histoire de montrer que bah finalement une jolie chinoise c'est pas si différent d'une star européenne (yeux débridés, entre autres).
 
Je crois qu'il a dit la "pauvre" ZhangZiyi dans le sens ou les chinois n'en manquent pas une pour lui mettre des crasses sur le dos. Moi je l'aime bien mais d'apres ce que ma copine m'a dit les chinois ne l'aiment pas vraiment, il y a eu le probleme avec son assoc et puis les reproches d'etre avec un etranger et les photos un peu ole ole avec ce meme laowai. Et maintenant ils la traitent de putes de luxe. Si je suis elle vu que je suis blinde je me casse au canada comme beaucoup ont deja fait!
 
Elle aurait recolte pres de 700M de dollars en tant que pute de luxe pour les milliardaires. Franchement, on se demande pourquoi il y a de la prostitution!
 
Pékin demande au Cambodge l'extradition de Patrick Devillers

Le Monde.fr avec AFP | 19.06.2012


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Pékin demande au Cambodge de lui livrer Patrick Devillers, un Français âgé de 52 ans, arrêté à Phnom Penh et qui est lié à Bo Xilai, figure montante de la politique chinoise tombée en disgrâce.

Une porte-parole de l'ambassade de France à Phnom Penh a confirmé l'interpellation de Patrick Devillers, à qui le consul a rendu visite dès après son arrestation. La chancellerie a "demandé aux autorités cambodgiennes des éclaircissements sur les motifs de son arrestation", a-t-elle précisé.

"Nous nous interrogeons sur la possibilité de l'envoyer en Chine ou en France. (Pékin) nous a demandé qu'il soit envoyé en Chine car il y a commis des infractions", a indiqué Touch Naruth, patron de la police de la capitale.
Le rôle exact du Français dans cette nébuleuse affaire reste imprécis, tout comme les raisons officielles de son arrestation. Mais il était semble-t-il associé en affaires et ami de Bo et de son épouse.

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Bo Xilai espérait entrer au comité permanent du bureau politique chinois à la faveur du congrès du Parti communiste (PCC) à l'automne. Mais il a vu sa carrière brisée après avoir été suspendu du bureau politique et du comité central du parti, au printemps.

Son épouse, Gu Kailai, une avocate renommée, est suspectée du meurtre de Neil Heywood, un Britannique avec lequel elle et Bo avaient des relations d'affaires.

La chute vertigineuse de Bo a commencé lorsque son ancien bras droit, Wang Lijun, "superflic" de Chongqing, a tenté de demander l'asile au consulat américain de Chengdu. Il aurait apparemment découvert et livré des informations impliquant la famille de Bo dans le meurtre de Neil Heywood.
 
Pour l'Express, je crois que c'était Zhou Xun , qui est de loin ma préférée, et sa voix, comme Jeanne Moreau, ses voix sensuelles...ahh les femmes!!!
Non, non, non, c'était bien Zhang Ziyi.
- mais sur la couv' du Point "Spécial Chine" du 20 déc. 2007. :D
Ce qui prouve que j'attache beaucoup plus d'importance aux actrices chinoises qu'aux titres des hebdos français.
Pour ce qui est de la préférence de goût, j'approuve aussi : ZhouXun, c'est... ah.... content2