18e C - Ambiance à Pékin

Tiens ! Pour le Nouvel Obs, le discours d'ouverture de Hu Jintao est un "cri d'alarme" sur la corruption.
"Si nous échouons à traiter cette question correctement (la corruption), elle pourra s'avérer fatale" et provoquer "l'effondrement du parti et de l'Etat", a-t-il lancé, en allusion aux scandales politico-financiers impliquant les familles des plus hauts dirigeants.

Je suis en train d'écouter le discours. C'est vrai que Hu a souligné deux thèmes : l'inégalité de revenus, et la corruption.

Un autre article sur les préparatifs, les interdictions, les ordres... Quelques extraits :
- Même les petites bouteilles d'eau des touristes sont inspectées
- (aux abords de Tiananmen) Des extincteurs d'incendie sont à portée de main des gardes en faction, au cas où un contestataire désespéré tenterait de s'immoler par le feu. Une hypothèse redoutée par les autorités
- 1,4 million de volontaires, souvent des retraités,
- les autobus doivent circuler vitres condamnées
- Jusqu'aux éleveurs de pigeons, qui ont reçu instruction de garder en cage leurs volatiles.
- Les concerts et les rassemblements dans les jardins publics sont interdits,
- Des objets hétéroclites, à la dangerosité discutable, ont été placés sous contrôle: couteaux ou stylos pointus, balles de ping-pong (qui pourraient être jetées avec des inscriptions "réactionnaires"), jouets de modélisme radiocommandés, etc.
- Et des Pékinois affirment que les prostituées et de nombreux ouvriers migrants ont également été écartés.
 
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Passation de pouvoirs à Pékin, dans l'indifférence des Chinois de France

LE POINT du 8 novembre 2012

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"C'est déjà fait" : la désignation du vice-président Lien retiré à la direction du Lien retiré ne passionne guère les Chinois de Lien retiré, plus intéressés par les débats politiques français et leur "impact" sur leur vie quotidienne. "On en discute pour la forme, parce que, pour le fond, c'est déjà fait", résume Hsueh Sheng Wang, entrepreneur de 47 ans, figure de la communauté d'Aubervilliers. "On suit ce changement de très loin", confirme Sacha Lin, de l'association Jeunes Chinois de France, qui milite pour l'intégration des jeunes Français d'origine chinoise.Sans surprise, l'absence de débat démocratique dans le processus de désignation limite l'intérêt de la communauté, groupe hétérogène d'environ 700 000 personnes constitué au fil des différentes vagues d'immigration en provenance de diverses régions chinoises.

Xi Jinping, 59 ans, homme d'appareil peu connu en Chine, va prendre la relève de Hu Jintao au poste de secrétaire général du PPC, ce qui fera de lui ipso facto le prochain président de la République populaire en mars 2013.
Selon M. Wang, les élections en France ont davantage passionné la communauté : "Il y a des petites guéguerres, un camp critique un autre, on peut dire celui-là est mauvais l'autre non", décrit-il, amusé. "Là, c'est une passation de pouvoirs, c'est tout." "Cela n'a pas de lien avec notre vie quotidienne", relève M. Lin. "On s'intéresse plus aux choix des politiques français qui ont un impact sur notre négoce", explique sous le couvert de l'anonymat un Français de 37 ans d'origine chinoise, employé dans une boutique d'accessoires du 3e arrondissement de Paris, qui regroupe majoritairement des émigrés du Wenzhou (sud de la Chine).

"Pas de politique"


Le manager technique du site communautaire Lien retiré confirme qu'aucun forum n'aborde directement la question de la vie politique en Chine, malgré ses 60 000 visites quotidiennes. "Il n'y a pas de culture du débat. Les Chinois ne discutent pas de politique autour du repas familial", explique Tamara Lui, chef du bureau parisien du quotidien Sing Tao, basé à Hong-Kong et qui publie une édition européenne en chinois tirée en France à 30 000 exemplaires. Elle constate un "fossé" générationnel. "Il y a un vide de conversation", dû à l'évolution rapide de la Chine ces dernières années. Et "la deuxième génération, qui a grandi en France, ne comprend pas trop l'appareil communiste, les mécanismes de désignation, les enjeux et les subtilités". Le jeune employé estime toutefois que cette question intéresse la nouvelle génération, "mais dans le cadre de la mondialisation, comme l'élection américaine, car la situation dans ces deux pays va nous impacter dans les prochaines années".

"Xi Jinping, on ne le connaissait pas, et les luttes internes ont été particulièrement violentes cette année", souligne-t-il, en référence à l'affaire Bo Xilai, ex-membre du Bureau politique à l'origine du plus retentissant scandale politico-financier de ces dernières années. Sacha Lin confirme avoir senti le débat frémir lorsque le nom de M. Xi a émergé. "Les gens voulaient savoir qui étaient ses soutiens, s'il était un réformateur."
 
Xi Jinping, on ne le connaissait pas,

Quelqu'un sait si c'est un gentil ou un méchant?
par exemple si il est
- un anti étranger (je crois que oui)
- un réformateur
- si oui dans quel sens?

Bref quelqu'un a des infos? j'ai lu un article sur le courier international mais rien de vraiment intéressant sur ce nouveau personnage...:discours:
 
Quelqu'un sait si c'est un gentil ou un méchant?
par exemple si il est -un anti étranger (je crois que oui)
-un réformateur
- si oui dans quel sens?

Bref quelqu'un a des infos? j'ai lu un article sur le courier international mais rien de vraiment intéressant sur ce nouveau personnage...:discours:

Tu relèves un point bien important ...

Même sur Chine Hebdo sur BFM, un spécialiste de la politique chinoise, ne pouvait affirmer comment XI JinPing allait marquer de son empreinte les années à venir ... Normalement, notait-il, la propagande met en avant les faits d'armes, mais là, RAS, silence radio et à mon avis, le premier qui mouftait se faisait interner ...

Sinon, il y avait un micro-trottoir en Chine, demandant aux chinois ce qu'ils connaissaient et pensaient de lui ... Même réponse, on ne sait rien ... Sauf une qui a dit que avait 59 ans, et que c'était bien qu'il ne soit pas aussi vieux ...
 
Evidemment, les Chinois ne se préoccupent pas de la politique, vu qu'ils n'ont pas le choix.

Et quand certains pacifiquement en 89, ont voulu proposer une alternative, la réponse a été brutal & ferme.

La Chine n'est pas les USA, ni la France.

La Chine d'aujourd'hui, reste une copie de l'Union Soviétique, comme sa petite soeur la Corée du Nord.

Je ne juge pas, je constate les faits.
 
Evidemment, les Chinois ne se préoccupent pas de la politique, vu qu'ils n'ont pas le choix.

Et quand certains pacifiquement en 89, ont voulu proposer une alternative, la réponse a été brutal & ferme.

La Chine n'est pas les USA, ni la France.

La Chine d'aujourd'hui, reste une copie de l'Union Soviétique, comme sa petite soeur la Corée du Nord.

Je ne juge pas, je constate les faits.

Salut Ch'ti;

Il ne faut mettre tous le chinois dans le meme panier. De mon coté, et ca va de l'etudiant fortuné du Zhejiang au paysan sans la sous de l'Anhui, la plupart ont des idées et les expriment, est ce que cela va beaucoup plus loin? non, rarement pas plus qu'en Europe (oui j'abuse un peu, mais pas tant que ca).
En attendant, avec les années, je vois de plus en plus de manif pour des raisons X ou Y, manifs toujours réprimés mais pas toujours sans effets.

La Chine n'est pas les USA ou la France? non, dieu soit louer! Par ailleurs, si l'on veut créer une echelle des démocraties ce sont 2 trés mauvais exemples si mis en rapport avec des pays comme la Suisse par exemple.
La Chine est une copie de L'URSS ou de la Corée du Nord?..... c'est dans ces moments la que tu nous manques... ;-)

En attendant, pas de paradis politique ici, rien de grave, il n'y en a nul part sur Terre anyway, et les choses vont plutot dans le bon sens, meme si lentement (trop lentement je l'admet).
Bonne soirée!
 
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Faux.

Il y a des démocraties, sans parler de paradis politique, des démocraties bien vivantes.

Je pense à certains pays d'Europe du Nord, avec des systèmes sociaux, n'en déplaise au Figaro, qui sont des démocraties vivantes.

Il y a Singapore & d'autres Etats du Pacifique.

Aux USA / Canada, malgré les préjugés des Français, il y a des démocraties.
D'ailleurs, ils semblent que les Etats Américains, disposent de plus d'indépendance & de liberté que les Etats Européens.

Merci de rester dans la ligne du sujet ...

Si c'est pour aborder un autre thème (de prédilection), merci d'ouvrir un nouveau post et dans le bistrot ...

Et pour info : on ne dit pas "faux" (Cela fait prétentieux) ... On dit : "Je ne suis pas d'accord"
 
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Le PCC: Qui/Quoi/Comment?

Excellent article sur le fonctionnement de la structure politique Chinoise:

http://www.francetvinfo.fr/chine-a-quoi-sert-le-congres-du-parti-communiste_145269.html



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CHINE – On les appelle les neuf empereurs de Chine. Ils ne se réunissent publiquement qu'à de rares occasions, et on sait peu de choses de leurs conciliabules privés. Certains sont inconnus du grand public et n'exercent aucune fonction gouvernementale. Mais leur surnom n'est pas usurpé : les membres du comité permanent du bureau politique du Parti communiste sont au sommet de l’appareil du pouvoir chinois. Un appareil que le Parti s’apprête à renouveler à l’occasion de son 18e Congrès qui s’est ouvert jeudi 8 novembre à Pékin.

Qu'ils soient neuf comme lors des dix dernières années, ou sept comme le pronostiquent les observateurs pour les cinq années qui viennent, ils sont les hommes les plus puissants de Chine. Sous la houlette de Xi Jinping, qui deviendra numéro un du Parti à l'issue du Congrès, ils seront en charge de la politique de la deuxième économie mondiale jusqu'au prochain congrès de 2017.
A première vue pourtant, la Chine, avec son président, son Premier ministre, son gouvernement et son Assemblée nationale populaire, possède un système institutionnel proche de ce que nous connaissons en France. En fait, l'essentiel du pouvoir est ailleurs, au sein du puissant Parti communiste chinois. "Ce que disent les textes, c'est que l'Etat est plus important que le parti. En réalité, c'est l'inverse", remarque Stéphanie Balme, chercheuse au Centre d'études des relations internationales (Ceri) de Sciences-Po, de retour d'une mission de dix ans en Chine.


Le parti est supérieur à l'Etat
Tel un parasite sur son organisme hôte, le Parti communiste, au pouvoir depuis 1949, a colonisé l'ensemble de l'Etat sur lequel il exerce une tutelle complète, fondée sur la Constitution qui fait référence à plusieurs reprises au rôle dirigeant du parti. Le chef de l'Etat, Hu Jintao, est d'abord celui du PCC et le numéro un du comité permanent. Chaque institution, chaque ministère et chaque entreprise publique possède son comité du parti. Au sein de ce dernier, on trouve toute une série d'organes rattachés aux grandes thématiques (économie, agriculture, sécurité publique), chargés d'élaborer la politique que les ministères se contenteront de mettre en musique.
L'Assemblée nationale populaire et la Conférence consultative du peuple chinois sont de simples chambres d'enregistrement qui se réunissent une semaine par an. Les huit partis "démocratiques", alliés des communistes pendant la guerre civile (1945-1949), sont tenus d'accepter l'autorité du PCC et n'exercent qu'un rôle mineur. L'armée populaire de libération est l'armée du parti, pas celle de l'Etat chinois. "Toutes les grandes affaires sont d'abord réglées par le Parti communiste", résume Jean-Luc Domenach, directeur de recherche au Ceri.

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De la même manière, les pouvoirs d'un homme politique chinois ne se mesurent pas à son rang institutionnel mais au poste qu'il occupe au sein du PCC. Dans son livre The Party, le journaliste australien Richard McGregor remarque avec amusement que la plaque d'immatriculation de la voiture du secrétaire du parti à Shanghai porte le numéro 00001 quand celle du maire et secrétaire-adjoint affiche le 00002.
Plus sérieusement, l'ordre dans lequel se fait la transition politique en Chine est révélateur. Le nouveau numéro un chinois, Xi Jinping, prendra d'abord le poste de secrétaire général du PCC (numéro un du parti) à l'issue du Congrès qui vient de s'ouvrir, avant de devenir président de la République populaire de Chine, l'année prochaine.


Des réunions secrètes
Dernier étage de la pyramide d'institutions que compte le Parti communiste chinois, le comité permanent, issu d'un bureau politique d'une vingtaine de personnes, est donc le saint des saints du pouvoir chinois. Son numéro un organise et dirige les débats, tout en s'occupant directement de la politique étrangère et des affaires militaires. Le numéro trois a la haute main sur l'économie. Les autres membres du comité permanent, de cinq à onze selon les époques, se partagent des portefeuilles thématiques, comme la sécurité publique, la finance ou la propagande.
Ils tiennent des réunions à huis clos rarement annoncées et dont le compte-rendu n'est pas publié. La fréquence de ces réunions, d'une fois par semaine à une fois tous les quinze jours selon les estimations, est donc difficile à apprécier. "C'est un parti clandestin, (…) on est dans un système à l'opacité totale", déplore Jean-Philippe Béja, chercheur au CNRS et au Ceri.


Une direction collégialepour éviter un nouveau Mao
Au sein de ce cercle restreint, la prise de décision est collective. "Sous le mandat de Hu Jintao, l'hypothèse est que tout se décide par consensus. Nous n'avons cependant pas de fuites qui nous permettraient de savoir s'il y a des débats ou de la contestation, donc il est difficile de dire quelle est l'ambiance de ces réunions", développe Kerry Brown, directeur du Centre d’études chinoises de l’université de Sydney (Australie) et auteur d'une biographie du numéro un chinois, Hu Jintao: China’s Silent Ruler (Hu Jintao : le dirigeant silencieux de la Chine).
Si le comité permanent du bureau politique est une institution vieille comme la République populaire de Chine, l'équilibre actuel est une nouveauté voulue par Deng Xiaoping, le successeur de Mao Zedong et père de l'ouverture économique chinoise dans les années 1980. "La mise en place d’un pouvoir collégial, c’est la réponse de Deng au totalitarisme maoïste, à la gestion du pouvoir ultrapersonnalisée, totalement autocratique", analyse Stéphanie Balme. La fin du pouvoir personnel permet également au PCC d'éviter l'émergence d'un Mikhaïl Gorbatchev, le numéro un soviétique très critiqué en Chine pour avoir provoqué la chute de l'URSS.


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Armée et sécurité publique,
de puissants lobbys
Le comité permanent doit cependant composer avec d'autres centres de pouvoir. Si l'armée est placée sous la coupe du parti, elle n'en demeure pas moins un lobby. "Ils aiment bien avoir plus de matériel, comme chez nous, donc ils font pression pour obtenir plus de crédits, en montrant qu'il y a beaucoup de dangers", ironise Jean-Philippe Béja. La sécurité publique, dont le budget est depuis 2011 supérieur à celui de l'armée, est un acteur de plus en plus important sur les questions de justice et de maintien de l'ordre. "C'est une force absolument considérable, qui s'est structurée au moment des Jeux olympiques (…). Leur discours à eux, c'est l'Etat policier", dénonce Stéphanie Balme.
En outre, dans les trente et une provinces, municipalités et régions autonomes que compte le pays, le secrétaire du Parti communiste, bien que nommé par le pouvoir central, dispose d'une certaine autonomie, financière et législative. Le cas du dirigeant déchu Bo Xilai, qui avait mis en place à Chongqing un modèle de développement original, le prouve.


L'ombre des anciens
Enfin, les cadres retraités du parti continuent de donner leur avis sur les politiques menées et le choix des hommes. "Il faut les voir comme des patriarches, des gens qui exerceront un pouvoir important jusqu'à leur mort", explique Stéphanie Balme. Après sa démission de son poste de président de la Commission militaire centrale en novembre 1989, Deng Xiaoping est resté le numéro un officieux jusqu'à sa mort en 1997, alors même que son seul titre officiel était président de l'association des joueurs de bridge.
Aujourd'hui, si personne ne possède l'aura et le pouvoir d'un Deng Xiaoping, l'ombre des anciens, particulièrement celle de Jiang Zemin, 86 ans, et son bras droit Zeng Qinghong, est toujours là. Selon le South China Morning Post (article en anglais), les deux hommes ont joué un rôle dans la nomination de Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao. Au delà des hypothèses, le maintien, malgré sa suppression temporaire en 2003 par Hu Jintao, du conclave estival de Beidaihe, cette station balnéaire où se retrouvent chaque année anciens et actuels dirigeants pour évoquer les sujets importants, est la meilleure preuve de l'influence persistante des retraités.


L'ancien président Jiang Zemin toujours influent
Cette année, pour la composition du nouveau comité permanent, "ils devraient être consultés, estime Bo Zhiyue, chercheur à l'université de Singapour. "Leur influence ou non dépend de chaque personnalité. Je pense que si Jiang Zemin est en bonne santé, il peut avoir une influence importante", poursuit ce spécialiste de l'élite politique chinoise. "Quand il n'y a pas de problème parmi les neuf, Jiang est moins puissant, relativise Jean-Luc Domenach. Mais quand il y a des problèmes, il y a besoin d'un arbitre…"
En cette année rythmée par l'affaire Bo Xilai, le scandale de la Ferrari et le retard de l'officialisation de la date du Congrès, Jiang Zemin s'est fait remarquer par quelques prises de parole médiatiques et deux sorties publiques dans les mois précédant le Congrès, comme le relève le Wall Street Journal (article en anglais). Des signaux manifestes de sa volonté de continuer à peser sur la marche du pays.

Thomas Baïetto
 
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Merci Guyong ...

Tu as commencé avec mon article en buvant ton café ...

Je lirai le tien, en prenant l'apéro tout à l'heure ...
 
J'ai fusionné les différentes thread sur le Congrès, histoire de faire moins d'embouteillages sur les routes encombrées de bonjourchine ;-)
 
Merci Guyong ...

Tu as commencé avec mon article en buvant ton café ...

Je lirai le tien, en prenant l'apéro tout à l'heure ...

Santé! Bonheur! ca me fait penser que je doit avoir une bouteille de Laphroaig quelque part au bureau ;-)

En esperant se croiser un de ces quattres à un apéro Caprice.. Shanghai le Jeudi ca reste impossible pour moi.

J'ai fusionné les différentes thread sur le Congrès, histoire de faire moins d'embouteillages sur les routes encombrées de bonjourchine ;-)

Oui, mieux ainsi, les articles sur le sujet sont partis pour foisonner cette semaine. Et en plus, certains annoncent la sortie Vendredi d'un dossier secret impliquant le camarade Hu et un slip léopard.. Affaire à Suivre..
 
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En esperant se croiser un de ces quattres à un apéro Caprice.. Shanghai le Jeudi ca reste impossible pour moi.

Je passe assez souvent dans le Zhejiang ... On doit pouvoir s'arranger ...
 
Malgrés tout ce que les média peuvent dire du PCC, pour moi ca a l'air tellement plus organisé et sérieux que les institutions de beaucoup de démocraties occidentales. On devrait s'en inspiré sur certains points.
Nos guignols de ministres qui doivent se taper toutes les radios chaque matin et le grand journal le soir c'est vraiment tout sauf sérieux. Qu'ils se taisent et bossent merde!
 
J'ai lu je sais plus ou que XJP etait le fils d'un ancien haut grade du parti, autrement le mec de la boite de deco interieure m'a dit qu'il allait etre encore plus corrompu que la generation precedente selon lui.
bon ca fait pas avancer grand chose au debat, mais au pire a l'occas faudra le googliser 一下 et on saura
 
J'ai lu je sais plus ou que XJP etait le fils d'un ancien haut grade du parti, autrement le mec de la boite de deco interieure m'a dit qu'il allait etre encore plus corrompu que la generation precedente selon lui.
bon ca fait pas avancer grand chose au debat, mais au pire a l'occas faudra le googliser 一下 et on saura

Ben, je pense que tu aurais pu le lire sur ce thread, si tu avais pris le temps!
Merci pour le temoignage de la boite de deco interieure, c'est une precision importante, qui credibilise beaucoup ce temoignage, peut etre devrais tu contacter le Figaro, ils aiment les temoignages solides comme cela.
 
Bref quelqu'un a des infos? j'ai lu un article sur le courier international mais rien de vraiment intéressant sur ce nouveau personnage...

Plus ça va, plus j'ai l'impression que la Chine va mettre un homme de paille au pouvoir. Me trompe-je ?

Sinon, il y avait un micro-trottoir en Chine, demandant aux chinois ce qu'ils connaissaient et pensaient de lui ... Même réponse, on ne sait rien ...

Le micro-trottoir, c'est un peu le niveau zéro du journalisme.
 
Plus ça va, plus j'ai l'impression que la Chine va mettre un homme de paille au pouvoir. Me trompe-je ?
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XJP homme de paille je ne pense pas.. Ca fera comme Mr Hu au début de sa carrière
Mais personne n'a réussi a répondre si c’était un anti occidental ou pas. Sur ca position sur le Japon, Sur les futurs reformes qu'il voudrait entreprendre pour la Chine, la politique d'immigration etc... Bref toutes les petites choses qui nous concernent ...