UE & Brexit

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Bruxelles prévoit une aggravation de la récession dans la zone euro en 2020

BRUXELLES (Reuters) - L'économie des Etats membres de la zone euro s'enfoncera davantage dans la récession cette année et rebondira moins que prévu l'an prochain, selon de nouvelles prévisions publiées mardi par la Commission européenne.

Extrait :
L'exécutif européen s'attend cette année à une contraction record de 8,7% du produit intérieur brut (PIB) des 19 pays partageant l'euro, avant un rebond de 6,1% en 2021. En mai, ses prévisions étaient respectivement de -7,7% et +6,3%.
La Commission dit avoir corrigé ses perspectives de croissance en raison d'une levée moins rapide que prévu des mesures de confinement mises en place pour enrayer l'épidémie due au nouveau coronavirus.
"L'impact économique du confinement est plus fort que ce que nous avions initialement prévu. Nous sommes loin d'être tirés d'affaire et devons faire face à nombreux risques, y compris une nouvelle vague majeure d'infections", souligne Valdis Dombrovskis, vice-président de la Commission, cité dans un communiqué.

Elle estime par ailleurs qu'une absence d'accord dans les négociations post-Brexit entre la Grande-Bretagne et l'UE constitue l'un des principaux risques pour l'économie européenne.

 
Transport routier et travail détaché : à l'Est, levée de boucliers contre la réforme adoptée hier par l'UE

Détachement des chauffeurs routiers, temps de repos, limitation du cabotage... le "paquet mobilité" adopté hier à une large majorité par les eurodéputés a pour objectif d'améliorer les conditions de travail des chauffeurs et d'éviter les distorsions de concurrence.

Extrait :
Mais tandis que la France, l'Allemagne, les pays scandinaves et les syndicats se félicitent, les pays de l'Est (Roumanie, Bulgarie, Hongrie, Pologne notamment) ruent dans les brancards: les Bulgares annoncent attaquer la décision devant la justice européenne, les Roumains déplorent que cette décision "enterre" leur industrie (ils prévoient qu'un tiers des opérateurs de leur pays vont disparaître).

Après trois ans d'âpres négociations, l'Union européenne a adopté une réforme clé pour le transport routier visant à améliorer les conditions de travail des chauffeurs et éviter les distorsions de concurrence, mais taxée de "protectionniste" par les pays de l'Est.
Les eurodéputés ont approuvé mercredi soir ce "paquet mobilité", en rejetant une série d'amendements, à chaque fois à une large majorité.
La réforme porte sur le détachement des conducteurs, leur temps de repos et une limitation du cabotage, c'est-à-dire le fait pour un transporteur d'effectuer plusieurs chargements et déchargements dans un pays où il est arrivé dans le cadre d'une livraison internationale.


:dieu: Miracle nos technocrates commencent enfin a comprendre ! Il faut bien un debut a tout ...
 
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Le Royaume-Uni détaille ses projets pour ses frontières post-Brexit

Le gouvernement conservateur de Boris Johnson a publié un document de 206 pages couvrant tous les aspects du commerce avec l'Union européenne.

Extrait :
Le gouvernement britannique a détaillé, ce lundi 13 juillet, ses projets pour ses frontières après la sortie effective du pays de l'Union européenne à la fin de l'année, pour permettre aux entreprises et particuliers de se préparer, qu'un accord soit trouvé ou non avec l'UE.
En même temps qu'une vaste campagne publicitaire intitulée «Nouveau départ pour le Royaume-Uni: allons-y», le gouvernement conservateur de Boris Johnson a publié un document de 206 pages couvrant tous les aspects du commerce avec l'Union européenne, de l'import-export de diamants bruts aux bouteilles pour les boissons. Le document confirme l'approche graduelle de Londres en matière de contrôles aux frontières sur les biens importés en provenance de l'UE sur la première partie de l'année 2021. Les contrôles ne seront effectifs sur la totalité des biens qu'au mois de juillet 2021.

Selon le ministre d'État Michael Gove, chargé de ce dossier, cette publication représente une «étape importante qui donne aux entreprises la certitude et la direction dont elles ont besoin pour se préparer». «Le temps est venu pour notre nouveau départ, le temps pour nous d'embrasser un nouveau destin mondial», a-t-il déclaré devant les députés à la Chambre des Communes.

 
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Londres ne croit quasiment plus à un accord post-Brexit avec l'UE, dit le Telegraph

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(Reuters) - Le gouvernement britannique ne croit plus à un accord entre la Grande-Bretagne et l'Union européenne sur leurs relations post-Brexit à quelques jours de la date butoir qu'il a lui-même fixée à fin juillet, rapporte The Telegraph.

Communique : Le gouvernement de Boris Johnson pense néanmoins qu'un accord "basique" demeure possible à l'automne si l'UE cède sur certains points, ajoute le journal, qui cite des sources gouvernementales.
La Grande-Bretagne a quitté l'Union européenne le 31 janvier dernier mais reste soumise aux règles communautaires pendant une période de transition s'achevant le 31 décembre prochain.

 
Un plan européen en 10 points en réponse à la crise par Adreas Dombret Directeur de recherche, School of International and Public Affairs, Columbia University, New York & Jörg Rocholl Président de l’ESMT Berlin et vice-président du Conseil scientifique du ministère allemand des Finances
17 juillet 2020

La pandémie de covid, les euro-obligations, la crise financière : ces dernières années, l'Europe et ses citoyens ont dû reconnaître que l’Union européenne atteint rapidement les limites de sa capacité d'action, notamment dans les situations critiques. En outre, l'UE est constamment limitée dans son efficacité par les autorités nationales, comme le montre, par exemple, le dernier arrêt de la Cour constitutionnelle fédérale allemande.

Extrait :
L'Europe ne fonctionne-t-elle qu'en période de prospérité, mais échoue-t-elle toujours quand elle est vraiment importante ? Ce n'est pas une question de jugement, mais plutôt une question de bien-être social et économique. L'Europe devrait poursuivre plus systématiquement sur la voie d'une intégration plus poussée, car c'est la seule façon de retrouver la capacité d'action nécessaire. Dans cette optique, nous proposons un plan en dix points pour faire avancer l'Europe face à la crise.
Le fait que l'Europe atteint ses limites a été récemment démontré par la discussion sur les « coronabonds » ou la création d'euro-obligations. Les gens les associent à l'espoir d'agir de manière solidaire dans l'UE et de réduire ainsi les coûts de financement d'une grande partie des États en Europe. Aussi souhaitables soient-ils, la situation juridique et la réalité politique actuelles s'y opposent. C'est précisément parce que les citoyens européens ont rejeté une politique budgétaire et économique à l'échelle européenne lors de l'introduction de l'euro que les euro-obligations ne peuvent pas être émises à l'heure actuelle. Dans le même temps, on ne peut pas souhaiter les avantages d'une monnaie unique sans être prêt pour la prochaine étape logique d'une politique budgétaire et économique unique et donc, pour l'abandon d'importants droits souverains nationaux.

Le chemin vers une communauté européenne plus étroite est long et il devra être franchi via de nombreux petits pas, mais avec détermination. Nous pouvons entamer ce chemin pour sortir de la crise actuelle. La présidence allemande du Conseil dans les six prochains mois offre une opportunité – et le défi posé par le coronavirus offre à la présidence allemande une grande opportunité.

Les sceptiques en dehors de l'Europe estiment que la probabilité d'une crise financière européenne 2.0 est élevée. Nous voyons les choses différemment, et c'est pourquoi nous proposons un plan en dix points pour l'Europe en réponse à la crise sanitaire. L'immobilisme ou le désordre ne sont pas des options convaincantes.

Suite de l'analyse >>>


En ironisant quelque peu , en Europe les allemands n'ont plus besoin de panzers ou de stuka's ... :calin:
Comme citait Lord Winston Churchill « La bataille de France est terminée. La bataille d'Angleterre est sur le point de commencer... »

Ainsi est née cette bataille, des mots de Winston Churchill, un certain 18 juin 1940. En juillet 1940, la machine de guerre allemande avait eu raison de la Pologne, de la Hollande et de la France et avait atteint les rives de la Manche. L'Angleterre...
 
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Brexit : Londres vise un accord avec l'UE en septembre, dit Frost

LONDRES (Reuters) - Les autorités de Londres estiment pouvoir conclure en septembre un accord avec l'Union européenne sur les modalités du Brexit, a déclaré jeudi David Frost, le chef de file des négociateurs britanniques, avant une nouvelle série de discussions avec son homologue de l'UE, Michel Barnier.

Communique : "Comme nous ne cessons de le dire, nous ne recherchons pas un accord spécial ou unique. Nous voulons un texte centré sur un accord de libre-échange comme ceux que l'UE a conclus avec d'autres pays amis, comme le Canada", a-t-il déclaré sur Twitter.
"La souveraineté du Royaume-Uni, sur nos lois, nos tribunaux ou nos zones de pêche n'est bien sûr pas négociable et nous n'accepterons rien qui la compromette, tout comme nous ne cherchons en rien à menacer l'intégrité du marché unique de l'UE", ajoute-t-il.


Monsieur Barnier perd son temps le Royaume Uni reste inflexible !
 
Brexit : le Royaume-Uni prévient qu'il ne cédera pas face à l'UE

- David Frost, qui mène les négociations sur le Brexit pour Londres, a prévenu dimanche que la Grande-Bretagne ne cédera pas face à l'Union européenne et qu'elle ne redoute pas une sortie de l'UE sans accord.

Extrait :
"Nous sommes arrivés après un gouvernement et une équipe de négociation qui avaient cligné des yeux", a déclaré David Frost au Mail. "L'UE avait appris à ne pas prendre notre parole au sérieux", prévient-il.

Achoppement sur la pêche

Le Royaume-Uni a officiellement quitté l'Union européenne le 31 janvier dernier mais un accord de sortie doit encore être trouvé pour fixer les relations futures entre Londres et l'UE. Les négociations continuent d'achopper, notamment sur la pêche. Elles doivent reprendre mardi à Londres qui insiste pour avoir une totale autonomie en matière d'aides d'État et en matière d'exigences sur la pêche.
David Frost a aussi fait savoir que le Royaume-Uni s'était préparé à une possible sortie de l'Union européenne sans accord. "Je ne pense pas du tout que nous en ayons peur", affirme le négociateur en chef des Britanniques sur le Brexit.

 
Ce "même pas peur" rappelle la position UK vs le COVID avant qu'ils ne fassent machine arrière et subissent les conséquences de décisions kamikazes.
BTW ou en est leur super accord avec les USA qui devait initialement être signé fin 2019 !?
Quid du plan B consistant à être la porte d'entrée de la Chine en Europe maintenant qu'ils les envoient chier sur Huawei comme ont fini par leur imposer les américains s'ils souhaitent rester dans le five eyes? (finalement ils restent les vassaux des américains)

Alors qu'ils se sabordent une fois de plus... ça ne nous fera pas du bien mais au point ou on en est...
 
Ce "même pas peur" rappelle la position UK vs le COVID avant qu'ils ne fassent machine arrière et subissent les conséquences de décisions kamikazes.
BTW ou en est leur super accord avec les USA qui devait initialement être signé fin 2019 !?
Quid du plan B consistant à être la porte d'entrée de la Chine en Europe maintenant qu'ils les envoient chier sur Huawei comme ont fini par leur imposer les américains s'ils souhaitent rester dans le five eyes? (finalement ils restent les vassaux des américains)

Alors qu'ils se sabordent une fois de plus... ça ne nous fera pas du bien mais au point ou on en est...
Bonjour Mathieu
Nous sommes dans une situation paradoxale celui de la tentative de la reconstruction des empires , c'est a dire un retour au18 / 19 eme siecle avec tout ce que cela comporte au niveau risques geopolitiques , geostrategiques , et bien evidemment geoeconomiques !

Resume ...

Le fantasme de monsieur Johnson qui a la nostalgie de l'Empire Britannique et qui tente de le federer a nouveau en rassemblant les membres du commonwealth , voir Hong Kong !

Le desir du president Poutine de redorer le blason et la puissance de l'empire russe !

L'action du president Xi d'affirmer le pouvoir de la Chine imperiale a travers l'Asie Centrale et la Mer de Chine !

Les actions du president Erdogan qui envisage une reconstruction de la puissance Ottomane !

Les vues de l'Allemagne de regenter tout ce qui se passe en Europe avec un nationalisme a nouveau emmergeant , avec des austro/hongrois qui suivent la meme voie !

Les Iraniens qui s'installent en Irak , en Syrie lorgnent sur le Liban agremente de visions politiques ou religieuses sur la peninsule Arabique ....

La France qui tente desperement de sauver les vestiges de sa puissance moribonde en Afrique !

Et cerise sur le gateau les Etats unis qui tentent de chapeauter le tout en voulant egalement a nouveau la main mise totale sur la zone pacifique en Asie du Sud Est et du Nord !


Nous sommes dans une situation extremement compliquee , voir explosive dans bien des domaines !

....
 
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Londres menace de ne pas appliquer le traité de sortie de l'UE

LONDRES (Reuters) - Le gouvernement britannique menace de ne pas appliquer le traité sur sa sortie de l'Union européenne si un accord de libre-échange n'est pas conclu d'ici au 15 octobre, rapporte la presse, ce qui a plongé les négociations sur les futures relations commerciales entre les deux parties dans une nouvelle crise.


Extrait :
Londres envisagerait de remplacer les points-clés de l'accord par une nouvelle législation, ce qui pourrait compromettre le traité signé en janvier et attiser les tensions en Irlande du Nord.
Certaines dispositions du projet de loi sur le marché intérieur, qui doivent être publiées mercredi, vont "éliminer le caractère juridiquement contraignant de certaines parties de l'accord de retrait" dans des domaines tels que les aides d'Etat et les douanes d'Irlande du Nord, rapporte le Financial Times, citant trois sources proches du dossier.
"Si nous ne pouvons pas nous entendre d'ici là, je ne crois pas qu'il y aura un accord de libre-échange entre nous, et nous devrons à la fois l'accepter et passer à autre chose", dira lundi le Premier ministre Boris Johnson, selon ses services.
La Grande-Bretagne a quitté l'UE le 31 janvier, mais les règles européennes continuent à s'appliquer jusqu'à la fin de l'année, en attendant la conclusion d'un hypothétique accord sur les futures relations commerciales entre les deux parties. Les négociations, qui sont au point mort, achoppent notamment sur les question des aides publiques et de la pêche.

 
Londres menace de ne pas appliquer le traité de sortie de l'UE
Extrait : Londres envisagerait de remplacer les points-clés de l'accord par une nouvelle législation, ce qui pourrait compromettre le traité signé en janvier et attiser les tensions en Irlande du Nord.

Intéressant, on peut se demander du coup l’intérêt de négocier avec eux un accord s'ils menacent de ne pas respecter celui qu'ils ont signé il y a moins d'1 an...
D'autant qu'au final si on remet une frontière en irlande du Nord ce sont les anglais qui se retrouveront avec les attentats de retour sur leur sol, pas la France ou l'Allemagne...
 
Intéressant, on peut se demander du coup l’intérêt de négocier avec eux un accord s'ils menacent de ne pas respecter celui qu'ils ont signé il y a moins d'1 an...
D'autant qu'au final si on remet une frontière en irlande du Nord ce sont les anglais qui se retrouveront avec les attentats de retour sur leur sol, pas la France ou l'Allemagne...
Il paraît que BJ est un fin stratège.
Wait and see. L’Ulster est peuplé de brave gens d’un calme olympien. what could possibly go wrong ? Comme dit Albion.
 
Brexit : Londres envisage des "options de repli"

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LONDRES (Reuters) - La Grande-Bretagne s'efforcera de résoudre ses désaccords avec Bruxelles au sujet du protocole d'Irlande du Nord, mais envisage des "options de repli", a déclaré lundi le porte-parole du gouvernement, après la publication d'informations selon lesquelles Londres envisage de remettre en cause le traité de sortie de l'Union.

Communique :
"Nous nous réserverons toujours le droit d'agir dans le meilleur intérêt de l'Irlande du Nord et du marché intérieur du Royaume-Uni. Notre priorité absolue est de préserver les énormes accomplissements du processus de paix et de l'accord de Belfast (ou Accord du Vendredi saint), ainsi que de protéger la place de l'Irlande du Nord dans notre Royaume-Uni", a-t-il expliqué.

"Nous travaillons d'arrache-pied pour résoudre les problèmes en suspens au sujet du Protocole d'Irlande du Nord par le biais du Comité mixte et nous continuerons à aborder ces discussions en toute bonne foi. En tant que gouvernement responsable, nous envisageons des options de repli au cas où ce ne serait pas possible pour garantir la protection des collectivités d'Irlande du Nord", a-t-il ajouté.
En l'absence d'accord de libre échange d'ici au 15 octobre, Londres envisage de remplacer les points-clés du traité de sortie de l'UE par une nouvelle législation, ce qui pourrait le compromettre, a rapporté le Financial Times.

 
Brexit : Johnson et Macron d'accord sur la nécessité d'enregistrer des progrès

LONDRES (Reuters) - Boris Johnson et Emmanuel Macron sont convenus lundi que les discussions sur un accord entre le Royaume-Uni et l'Union européenne devaient enregistrer des progrès au cours du mois et parvenir rapidement à une conclusion, rapportent les services du Premier ministre britannique.

Communique :
"Le Premier ministre et le président Macron se sont mis d'accord sur l'importance de progrès dans le courant du mois et de trouver rapidement une conclusion aux discussions", ajoute le 10, Downing Street à l'issue d'un entretien téléphonique entre les deux dirigeants.
Sur son compte Twitter, Emmanuel Macron a écrit pour sa part qu'il avait eu un "très bon échange avec Boris Johnson".
"Nous allons renforcer notre coopération contre les trafiquants de migrants. Nous avons évoqué les suites à donner à l'empoisonnement d'Alexeï Navalny, la situation au Liban et la relation future entre l'Union européenne et le Royaume-Uni", ajoute-t-il.

Le divorce houleux entre la Grande-Bretagne et l'Union européenne est entré lundi dans un nouvel épisode de tension avec les déclarations de Londres laissant entendre que le traité sur sa sortie de l'UE pourrait être remis au moins partiellement en cause en l'absence d'accord de libre-échange d'ici la mi-octobre.


" De la discussion jaillit la lumière "
Nicolas Boileau, philosophe français du 17e siècle
 
Ce "même pas peur" rappelle la position UK vs le COVID avant qu'ils ne fassent machine arrière et subissent les conséquences de décisions kamikazes.
BTW ou en est leur super accord avec les USA qui devait initialement être signé fin 2019 !?
Quid du plan B consistant à être la porte d'entrée de la Chine en Europe maintenant qu'ils les envoient chier sur Huawei comme ont fini par leur imposer les américains s'ils souhaitent rester dans le five eyes? (finalement ils restent les vassaux des américains)

Alors qu'ils se sabordent une fois de plus... ça ne nous fera pas du bien mais au point ou on en est...
Ceux qui se sont sabordés récemment ce sont plutôt les francais qui ont accepté de financer un plan de relance qui non seulement leur coutera plusieurs dizaines de milliards d'euro, mais en plus ne recevront ces fonds que si la France appliquera les réformes voulues par la commission européenne. Donc en gros on paye pour réduire une nouvelle fois la notion de démocratie dans notre pays.

Au passage, les polonais recevront quelques milliards d'euros en plus et on viendra encore nous expliquer qu'il faut faire l'UE pour peser face aux USA lorsque ces mêmes polonais nous annonceront l'achat d'avions de chasse US.

De leur coté la Grande Bretagne a bien plus de marges de manoeuvre, cela s'est notamment vu lorsque la Banque d'Angleterre a annoncé son propre plan de relance. Ça ne leur a pas pris plus d'une journée, là où la France a du negocier 5 jours lors du sommet européen pour se faire pigeonner 20 milliards d'euros.

Il paraît que BJ est un fin stratège.
Wait and see. L’Ulster est peuplé de brave gens d’un calme olympien. what could possibly go wrong ? Comme dit Albion.
On est où dans le Project Fear? Il me semblait que c'était terminé depuis longtemps, faute de crédibilité, non?
 
De leur coté la Grande Bretagne a bien plus de marges de manoeuvre, cela s'est notamment vu lorsque la Banque d'Angleterre a annoncé son propre plan de relance. Ça ne leur a pas pris plus d'une journée, là où la France a du negocier 5 jours lors du sommet européen pour se faire pigeonner 20 milliards d'euros.
Tel que présenté leur plan de relance n'a pas coûté 1 seul penny ? :hum:
 
lorsque la Banque d'Angleterre a annoncé son propre plan de relance. Ça ne leur a pas pris plus d'une journée, là où la France a du negocier 5 jours lors du sommet européen pour se faire pigeonner 20 milliards d'euros.


Comme le dit le dicton africain: "Qui veut voyager vite, voyage seul. Qui veut voyager loin, voyage ensemble."

Medite...