Nouvelles scientifiques diverses et variées

Je me suis donc sacrifié pour la Science, et suis allé rechercher ces clichés à haute valeur exobiologique.
Malheureusement, la photo orbitale de la lune de Kim a fait saturé ma mémoire interne de par sa taille trop volumineuse; avant de pouvoir transmettre les données et il a fallu reset tout mon processeur optique.

Heureusement que le Huffington Post est plus doué que toi pour dénicher (d'ailleurs si on s'y mettait a plusieurs, notre slogan serait "Dénichons!") les cliches de cette chère Kim :

http://www.huffingtonpost.fr/2014/1...per-magazine_n_6143576.html?utm_hp_ref=france

http://www.huffingtonpost.fr/2014/1...al-photo-paper-magazine-fesses_n_6150162.html

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(plus de tofs sur le HuffPost....)
 
Dans l'Univers, de mystérieux alignements de quasars

LE POINT du 25 novembre 2014

http://www.lepoint.fr/astronomie/da...ements-de-quasars-25-11-2014-1884409_1925.php

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Cette vue d'artiste montre, de façon schématique, les étranges alignements des axes de rotation de quasars avec les structures à grande échelle au sein desquelles ils résident. © ESO/M. Kornmesser

C'est une découverte absolument fascinante. En étudiant un échantillon de quatre-vingt-treize quasars, situés à plus de 9 milliards d'années-lumière de la Terre grâce au Very Large Telescope (VLT), une équipe d'astronomes européens a observé un phénomène vraiment très intrigant. Les axes de rotation de certains de ces quasars - de lointains noyaux de galaxie extrêmement lumineux possédant en leur centre un trou noir très actif - se sont révélés parfaitement parallèles, voire carrément alignés, les uns par rapport aux autres. Comme s'ils étaient intimement liés en dépit d'années-lumière de distance !

Peut-il s'agir d'un simple hasard ? D'après les calculs réalisés par l'équipe de Damien Hutsemékers de l'université de Liège qui publie cette étude dans la revue Astronomy & Astrophysics, la probabilité que cette configuration se réalise de manière aléatoire est de seulement 1 %. Autrement dit, ce n'est pas impossible, mais cela demeure très peu vraisemblable. Les chercheurs ont alors l'intuition que ces alignements peuvent être en rapport avec des structures cosmiques à une plus grande échelle. En effet, dans notre Univers, la matière et les galaxies ne sont pas distribuées de manière uniforme. Au contraire, elles forment des amas reliés entre eux par un réseau de filaments dessinant en creux de grands vides. Et, vérification faite, il y avait bien un lien.

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Merci Orang, au moins maintenant on a des photos autrement plus intéressantes et en rapport avec le thread sur cette page.
 
La capsule « Orion » a amerri dans le Pacifique

LE MONDE du 6 décembre 2014

Le vol d'essai a été « parfaitement réussi », selon l'Agence spatiale américaine, la NASA. La capsule américaine Orion a amerri, vendredi 5 décembre, dans le Pacifique après un premier vol non habité de quatre heures et demie. Lancé de la base de l'US Air Force de Cap Canaveral, en Floride, Orion s'est posé à la surface de l'eau, freiné par trois immenses parachutes.

C'est le premier vaisseau américain depuis Apollo pouvant conduire des astronautes au-delà de l'orbite terrestre et, un jour, vers Mars. Orion devrait en effet transporter à l'avenir au moins quatre astronautes pour des missions de vingt et un jours au maximum, ouvrant ainsi la voie à une possible mission vers la planète Mars d'ici à une vingtaine d'années. Le vaisseau pourrait avant cela faire son premier vol habité en 2021, avec peut-être un survol de la Lune.

http://pan.baidu.com/s/1bnF7Um7
 
Simulation du vol d'Orion par la NASA (Lien YOUTUBE)


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Sinon, il y a eu aussi des moins fun facts ...

Des personnes qui ont eu des invitations pour assister à l'évènement ... qui se sont fait refouler du fait de l'arrivée à la dernière minute de François HOLLANDE ...

Déplorable ...


Ah bon ? Vous n'avez pas voté socialiste ???
 
La capsule « Orion » a amerri dans le Pacifique

LE MONDE du 6 décembre 2014

Le vol d'essai a été « parfaitement réussi », selon l'Agence spatiale américaine, la NASA. La capsule américaine Orion a amerri, vendredi 5 décembre, dans le Pacifique après un premier vol non habité de quatre heures et demie. Lancé de la base de l'US Air Force de Cap Canaveral, en Floride, Orion s'est posé à la surface de l'eau, freiné par trois immenses parachutes.

C'est le premier vaisseau américain depuis Apollo pouvant conduire des astronautes au-delà de l'orbite terrestre et, un jour, vers Mars. Orion devrait en effet transporter à l'avenir au moins quatre astronautes pour des missions de vingt et un jours au maximum, ouvrant ainsi la voie à une possible mission vers la planète Mars d'ici à une vingtaine d'années. Le vaisseau pourrait avant cela faire son premier vol habité en 2021, avec peut-être un survol de la Lune.

http://pan.baidu.com/s/1bnF7Um7

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Ce que Planck révèle de la matière noire et des neutrinos

http://www.lepoint.fr/science/ce-qu...re-et-des-neutrinos-12-12-2014-1889042_25.php


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Cette image est un avant-goût de la carte de polarisation du rayonnement fossile de l'Univers que devrait prochainement dévoiler l'équipe de Planck. La polarisation est une propriété de la lumière, comme son intensité, mais qui est nettement plus difficile à appréhender. Elle nous dit si les photons, les particules qui composent cette lumière, ont ou pas une orientation privilégiée. © ESA/collaboration Planck/mise en relief par Marc-Antoine Miville-Deschenes

Cette fois, il n'y a pas eu de roulement de tambour. Pourtant, les scientifiques qui planchent sur les données récoltées par le satellite européen Planck, réunis à Ferrare en Lien retiré la semaine dernière, ont commencé à dévoiler de précieux indices sur deux des plus fascinantes énigmes scientifiques contemporaines. En étudiant, dans le détail et sous différents angles, la première lueur de l'Univers émise 380 000 ans après le big bang, un rayonnement fossile que Planck a cartographié pendant plus de quatre ans de 2009 à 2013, les scientifiques sont parvenus à glaner quelques informations sur les insaisissables neutrinos et la mystérieuse matière noire.

Trois neutrinos et non quatre
Commençons par les neutrinos. De charge électrique neutre, de masse presque nulle, interagissant très faiblement avec ce qui l'entoure, le neutrino est l'une des douze particules élémentaires prévues par le modèle standard de la physique des particules, à savoir la théorie la plus communément admise dans ce domaine. Or, en dépit de son caractère insaisissable, les chercheurs ont réussi à déceler sa trace dans les données extraordinairement précises de Planck. Parce que les premiers neutrinos de l'Univers ont interagi gravitationnellement avec les premiers photons libérés de la soupe opaque primordiale d'où est né tout ce que nous connaissons, ils ont imprimé leur marque dans le rayonnement fossile scruté par le satellite. Une signature dont les scientifiques tirent deux enseignements. Alors que le modèle standard prévoit qu'il existe trois familles de neutrinos, l'existence d'une quatrième avait été envisagée pour expliquer certaines observations faites par le satellite américain WMAP qui avait précédemment étudié le rayonnement fossile de l'Univers. L'européen Planck, lui, écarte cette possibilité.
 
Purée... c'est trop génial... ou trop déroutant... on n'a donc détecté que 3 familles de neutrinos, ce qui est ce qu'on attendait de la part du Modèle Standard, il résiste encore aux observations cet enf... :D
Une fois de plus, le modèle phare pour l'infiniment petit marche... pareil pour l'infiniment grand... et nous pauvres aggrégats de matière entre les deux qui essayons de comprendre tout ça, nous restons perplexes et confus. J'adore ça!
Let's do Science!
Lien retiré
source: http://loverofpiggies.deviantart.com/art/Lets-do-Science-Shirt-105988332
 
Mystérieuses émanations de méthane sur Mars

LE MONDE du 17 décembre 2014

Mars réserve bien des surprises ! En 2013, le rover américain Curiosity avait décrété qu’on ne trouvait pas de méthane dans son atmosphère, alors que ce gaz y avait auparavant été mesuré depuis la Terre ou des sondes envoyées autour de la Planète rouge. Les espoirs de ceux qui pensaient y trouver de la vie avaient alors été douchés. Sur Terre, en effet, le méthane est un gaz qui a très majoritairement pour origine l’activité des êtres vivants.

Mais voilà que les déçus d’hier peuvent à nouveau s’accrocher à l’hypothèse de la présence de vie sur Mars : mardi 16 décembre, lors de la conférence d’automne de l’Union géophysique américaine, Christopher Webster (Jet Propulson Laboratory, Pasadena, Californie) et ses collègues ont annoncé que Curiosity avait détecté du méthane flottant sporadiquement dans le cratère de Gale, où il évolue.

« Cette augmentation temporaire de méthane nous dit qu’il doit y avoir une source relativement localisée », estime Sushil Atreya (Université du Michigan), membre de l’équipe du rover, dans un communiqué diffusé par la NASA. En effet, la durée de vie du méthane dans l’atmosphère étant estimée à 300 ans, le retour rapide à de faibles concentrations plaide pour une dispersion depuis un « puits » de gaz de faible amplitude. Les mesures ont été effectuées par un des instruments du système d’analyse d’échantillon SAM, à une douzaine de reprises sur une période de vingt mois. Fin 2013 et début 2014, quatre mesures ont montré des concentrations moyennes de sept parties par milliard, dix fois plus que les taux moyens enregistrés précédemment.

http://pan.baidu.com/s/1o6OFlqy
 
Lovejoy, une comète visible à l'oeil nu dans le ciel de janvier

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C'est un spectacle céleste qui ne se reproduira pas avant 8 000 ans et que vous pouvez avoir la chance d'observer à l'oeil nu. La comète Lovejoy C/2014 Q2, débusquée en août dernier par l'astronome amateur australien Terry Lovejoy (qui en est à sa cinquième comète découverte !), passe à proximité de la Terre en ce mois de janvier. Or elle développe à mesure qu'elle s'approche du Soleil une chevelure d'une brillance assez inattendue. Comme toutes les comètes, C/2014 Q2 est constituée de poussière et de glace. Et, lorsque son orbite l'amène à proximité de notre étoile -- que Lovejoy approchera au plus près le 30 janvier prochain --, cette glace passe directement de l'état solide à l'état gazeux. Ce faisant, elle entraîne avec elle un nuage de poussière que la lumière de l'astre fait scintiller. C'est cette traînée, cette chevelure, cette coma, qui fait qu'il nous est actuellement possible de l'observer.

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Pour ce faire, il faut une nuit sans nuages et un poste d'observation au maximum préservé de la pollution lumineuse créée par les éclairages électriques de nos villes. L'idéal est de le faire aux premières heures de la nuit, lorsque la Lune n'est pas encore levée. Actuellement, Lovejoy C/2014 Q2 se trouve relativement haut dans le ciel, à environ 77 000 000 millions de kilomètres de la Terre, dans la constellation du Taureau. Et, pour ce qui est des jours à venir, le site livecommetdata.compermet, en temps réel, de la localiser. Pour qui n'a aucune connaissance de la géographie du ciel, plusieurs applications mobiles peuvent permettre de s'orienter à l'aide d'un simple smartphone.

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À l'oeil nu, vous verrez un point entouré d'une lueur diffuse dont vous ne pourrez apprécier le déplacement (à environ 37 km/s) qu'en l'observant d'un jour sur l'autre. Avec de simples jumelles, ou même un appareil photo doté d'un bon zoom ou d'un puissant téléobjectif, vous découvrirez que ce point est entouré d'une jolie lueur verte. Avec un pied et un temps de pose long (autour de cinq minutes), vous pouvez même tenter d'immortaliser son passage. Le spectacle devrait être visible depuis tout l'Hexagone (et même au-delà) jusqu'aux alentours du 24 janvier.
 
Fin d'un mystère : la sonde Beagle 2 finalement repérée sur Mars

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L'agence spatiale britannique a annoncé vendredi qu'elle avait retrouvé à la surface de la planète Mars la trace de la sonde Beagle 2, déclarée définitivement perdue il y a dix ans, peu de temps après son lancement. "L'atterrisseur Beagle 2 qu'on pensait perdu depuis 2003 a été retrouvé partiellement déployé sur la surface de la planète, mettant fin au mystère" entourant son devenir, qui dure depuis une décennie, a expliqué l'agence britannique dans un communiqué. L'atterrisseur, de conception britannique, devait atterrir sur la planète Mars le 25 décembre 2003 après six mois de voyage, dans le cadre de la mission européenne Mars Express, mais avait complètement disparu des radars. Il avait été déclaré définitivement perdu le 6 février 2004. La sonde européenne Mars Express, première mission martienne de l'Lien retiré, avait été lancée le 2 juin 2003 depuis Baïkonour, au Lien retiré, par une fusée Soyouz-Fregat.

Le directeur général de l'agence spatiale européenne, l'ESA, Jean-Jacques Dordain a réagi en estimant que "ce qui avait été perçu comme un échec il y a onze ans s'avère en fait ne pas être un échec total. Au moins, il y a eu atterrissage sur mars", lors d'un point de presse à Lien retiré. La mission de l'Agence spatiale européenne (ESA) se composait à l'origine d'un orbiteur transportant sept instruments de télédétection et d'observations et d'un atterrisseur, Beagle 2. Ce dernier était équipé d'une foreuse destinée à recueillir, à deux mètres de profondeur, des échantillons du sol martien. La sonde Mars Express avait, elle, commencé ses observations scientifiques comme prévu en janvier 2004, étudiant l'atmosphère de Mars, la structure de la planète et sa géologie.
 
Système solaire: Neptune cacherait deux planètes inconnues

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Dans une étude publiée par le journal Monthly notices of the Royal astronomical society letters, les chercheurs assurent «qu'au moins deux planètes» sont cachées derrière Neptune. Ils basent notamment leur déduction sur l'étude du comportement orbital d'une douzaine d'objets trans-neptuniens extrêmes (ETNO).

Altération par des «forces invisibles»
Ils présentent «des paramètres orbitaux inattendus» qui «laissent croire que des forces invisibles altèrent leur distribution orbitale», a expliqué l'astrophysicien Carlos de la Fuente Marcos, à l'agence d'information scientifique espagnole Sinc.

«Nous considérons que l'explication la plus probable est que d'autres planètes inconnues existent au-delà de Neptune et Pluton», a estimé ce chercheur à l'université Complutense de Madrid et co-auteur de l'étude avec des scientifiques de l'université de Cambridge.

«Leur nombre exact est inconnu, car nos données sont limitées, mais nos calculs suggèrent qu'il y a au moins deux planètes, et probablement plus, aux confins de notre Système solaire», a-t-il ajouté.

Source: http://www.20minutes.fr/sciences/15...acherait-deux-planetes-inconnues#xtor=RSS-176
 
Système solaire: Neptune cacherait deux planètes inconnues

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Dans une étude publiée par le journal Monthly notices of the Royal astronomical society letters, les chercheurs assurent «qu'au moins deux planètes» sont cachées derrière Neptune. Ils basent notamment leur déduction sur l'étude du comportement orbital d'une douzaine d'objets trans-neptuniens extrêmes (ETNO).

Altération par des «forces invisibles»
Ils présentent «des paramètres orbitaux inattendus» qui «laissent croire que des forces invisibles altèrent leur distribution orbitale», a expliqué l'astrophysicien Carlos de la Fuente Marcos, à l'agence d'information scientifique espagnole Sinc.

«Nous considérons que l'explication la plus probable est que d'autres planètes inconnues existent au-delà de Neptune et Pluton», a estimé ce chercheur à l'université Complutense de Madrid et co-auteur de l'étude avec des scientifiques de l'université de Cambridge.

«Leur nombre exact est inconnu, car nos données sont limitées, mais nos calculs suggèrent qu'il y a au moins deux planètes, et probablement plus, aux confins de notre Système solaire», a-t-il ajouté.

Source: http://www.20minutes.fr/sciences/15...acherait-deux-planetes-inconnues#xtor=RSS-176
Planètes ou planètes naines (le plus probable) hein! S'ils sont "cachés" derrière Neptune, et qu'ils y sont depuis déjà un boût de temps, c'est certainement qu'ils sont en résonance avec elle... sauf que ça devrait être une résonance 1:1, et donc ils devraient avoir le même demi-grand axe (grosso modo, la même distance moyenne au Soleil) et ne pas être derrière... Bref, c'est pas impossible, mais je suis pas convaincue (surtout que vu la précision des mesures de masse sur les TNOs sans satellites qui ne reposent que sur leur éclat... voilà quoi).

N'oublions pas Pluton, que les américains ont cherché pendant des années pour expliquer les perturbations restantes sur l'orbite d'Uranus parce qu'ils n'avaient pas estimé correctement la masse de Neptune. Bref, dans tous ces trucs-là, la clé, c'est la masse, et pour ça, il faut de la Mécanique Céleste (donnez-moi un poste!!!!).

Ok, j'ai lu l'abstract de l'article, et comme d'habitude, les journaleux n'ont RIEN compris. L'article traite de l'orbite d'une comète qui est bloquée dans une configuration orbitale particulière qu'on appelle la résonance de Kozai, à cause de Jupiter, ce qui fait qu'un des éléments mathématiques qu'on utilise pour décrire son orbite reste toujours proche de 0. Les auteurs ont ensuite fait le parallèle que, si les ETNOs ont le même élément qui reste aussi proche de 0, c'est qu'ils sont aussi en résonance de Kozai, mais avec un objet inconnu.

Personnellement, je trouve que c'est trèèèèèès osé comme comparaison... j'aurais pas écrit l'abstract comme il l'a été... surtout quand je vois la portion dédiée à la comparaison dans l'article... on m'a fait ch... pour des parallèles plus pertinents.
 
Planètes ou planètes naines (le plus probable) hein! S'ils sont "cachés" derrière Neptune, et qu'ils y sont depuis déjà un boût de temps, c'est certainement qu'ils sont en résonance avec elle... sauf que ça devrait être une résonance 1:1, et donc ils devraient avoir le même demi-grand axe (grosso modo, la même distance moyenne au Soleil) et ne pas être derrière... Bref, c'est pas impossible, mais je suis pas convaincue (surtout que vu la précision des mesures de masse sur les TNOs sans satellites qui ne reposent que sur leur éclat... voilà quoi).

N'oublions pas Pluton, que les américains ont cherché pendant des années pour expliquer les perturbations restantes sur l'orbite d'Uranus parce qu'ils n'avaient pas estimé correctement la masse de Neptune. Bref, dans tous ces trucs-là, la clé, c'est la masse, et pour ça, il faut de la Mécanique Céleste (donnez-moi un poste!!!!).

Ok, j'ai lu l'abstract de l'article, et comme d'habitude, les journaleux n'ont RIEN compris. L'article traite de l'orbite d'une comète qui est bloquée dans une configuration orbitale particulière qu'on appelle la résonance de Kozai, à cause de Jupiter, ce qui fait qu'un des éléments mathématiques qu'on utilise pour décrire son orbite reste toujours proche de 0. Les auteurs ont ensuite fait le parallèle que, si les ETNOs ont le même élément qui reste aussi proche de 0, c'est qu'ils sont aussi en résonance de Kozai, mais avec un objet inconnu.

Personnellement, je trouve que c'est trèèèèèès osé comme comparaison... j'aurais pas écrit l'abstract comme il l'a été... surtout quand je vois la portion dédiée à la comparaison dans l'article... on m'a fait ch... pour des parallèles plus pertinents.
Merci!
 
Desolee.. masi c'est en Anglais...

India Is Building the World's Largest Magnet to Hunt Neutrinos

http://www.popularmechanics.com/how-to/blog/india-worlds-largest-magnet-to-hunt-neutrinos-17640596

India is gunning to become a science powerhouse. Last year the country launched a successful Mars orbiter, Mangalyaan, established itself as an interplanetary nation. Now India is taking on the world of particle physics, building the world's largest magnet to hunt for one of the universe's most elusive particles, the neutrino.

Neutrinos are byproducts of radioactive decay and cosmic rays; they carry no charge, have only a sliver of mass, and can pass right through matter. As a result, detecting neutrinos is tricky. So the India-Based Neutrino Observatory will go where it's easiest to spot neutrinos: 4265 feet underground, where interactions from other particles will be relatively low and won't cloud the data.

Four times the size of the Large Hadron Collider's magnet, the INO's weighs in at 55,116 standard tons (50,000 metric.) At that depth, strength, and proximity to the equator, it will be able to spot neutrinos created by solar winds that pass through the Earth entirely, and may provide clues to other cosmic mysteries, like where all the anti-matter went.


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IXV : mission accomplie pour la mini-navette spatiale européenne

LE POINT du 11 février 2015

Il n'aura volé qu'une seule et unique fois, mais sa mission était cruciale pour les ambitions spatiales de l'Lien retiré. L'Esa, l'agence spatiale européenne, a testé mercredi avec succès un prototype de mini-navette baptisé IXV (prononcez "I" "X" "V", pour Intermediate eXperimental Vehicle), construit afin de lui permettre de maîtriser les technologies de retour sur Terre d'échantillons, de matériels ou d'hommes, depuis l'espace. Une capacité qui lui fait défaut et sur laquelle les Lien retiré, la Lien retiré et même la Chine ont déjà largement planché.

L'appareil (dont le lancement initialement prévu le 14 novembre 2014 avait été bloqué pour des raisons de sécurité) a finalement décollé mercredi à 14 h 40 depuis la base de Kourou en Guyane, emporté par le petit lanceur européen Vega. Un envol pris avec 40 minutes de retard après un problème technique qui a rapidement pu être résolu. Cent minutes plus tard, l'IXV amerrissait dans l'océan Pacifique. "La mission s'est déroulée comme prévu. Cela ne pouvait pas être mieux", a alors annoncé Jean-Jacques Dordain, le directeur général de l'Esa, dans une intervention retransmise sur le site de l'agence. "C'est un succès à 100 %", a renchéri Giorgio Tumino, responsable du programme IXV à l'Esa. L'avion spatial "a clairement rempli sa mission".

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  • IXV : mission accomplie pour la mini-navette spatiale européenne - Le Point.pdf
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