Mars, et ça repart...

L'Inde sur la lune ! Chandrayaan-3 devient la première sonde à se poser près du pôle sud lunaire par Sharmila Kuthunur

L'Inde vient de devenir la quatrième nation à réussir un alunissage.

Extrait : L'Inde a rejoint le club des alunisseurs.

Le vaisseau spatial Chandrayaan-3 s'est posé en douceur près du pôle sud de la Lune aujourd'hui (23 août), marquant ainsi une étape importante pour le pays. L'Inde est désormais le quatrième pays à réussir un alunissage, après les États-Unis, l'ex-Union soviétique et la Chine.

L'atterrissage historique a eu lieu à 8h33 ET (1233 GMT ou 18h03 heure normale de l'Inde), selon l'Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO). "Nous avons réussi un atterrissage en douceur sur la Lune ! L'Inde est sur la lune !" a annoncé le président de l'ISRO, Sreedhara Somanath, après l'alunissage.

"Ce succès appartient à l'humanité tout entière et aidera d'autres pays à effectuer des missions lunaires à l'avenir", a déclaré le Premier ministre indien Narendra Modi dans un discours prononcé à la suite de l'alunissage. "Je suis convaincu que tous les pays du monde, y compris ceux du Sud, sont capables de réussir. Nous pouvons tous aspirer à aller sur la Lune et au-delà".

 
La Chine et l'Afrique du Sud signent des accords sur un programme international de recherche lunaire

8 septembre 2023

Les agences spatiales chinoise et sud-africaine ont signé un protocole d'accord sur la coopération dans le cadre du programme de la Station internationale de recherche lunaire (ILRS), selon l'Administration spatiale nationale de Chine (CNSA).

Communique : Le protocole d'accord, marquant la participation officielle de l'Afrique du Sud au programme ILRS, a été signé au début du mois par l'ambassadeur de Chine en Afrique du Sud Chen Xiaodong au nom de la CNSA et Humbulani Mudau, chef de l'Agence spatiale nationale sud-africaine, a indiqué la CNSA dans un communiqué. annonce sur son site Internet.

La participation de l'Afrique du Sud montre que la coopération entre la Chine et l'Afrique du Sud s'étend de l'espace proche de la Terre à la lune et à l'exploration de l'espace lointain, ce qui contribuera au progrès des sciences et technologies spatiales entre les deux pays, indique le communiqué.

Les deux parties mèneront une coopération approfondie dans la démonstration, la mise en œuvre technique, l'exploitation et l'application, l'éducation et la formation de l'ILRS.

En outre, dans le cadre de la coopération des BRICS sur la constellation de satellites de télédétection, les deux agences spatiales ont coopéré sur l'échange et les applications de données de télédétection, ainsi que sur les stations au sol des satellites.

 
Soudain, il est apparu que depuis que la Chine a annoncé en grande pompe son programme d'alunissage habité et mené une série d'expériences sur la lune, de nombreux pays ont commencé à mener des activités scientifiques similaires.
C'est une très bonne chose, qui signifie que la Chine a commencé à promouvoir le développement de la science et de la technologie dans tous les pays du monde et le progrès scientifique de l'humanité, quel que soit l'objectif de ces pays, comme le fait de ne pas permettre à la Chine d'atterrir sur la lune en premier, ou au cœur de la jalousie. 😁😀
 
Soudain, il est apparu que depuis que la Chine a annoncé en grande pompe son programme d'alunissage habité et mené une série d'expériences sur la lune, de nombreux pays ont commencé à mener des activités scientifiques similaires.
C'est une très bonne chose, qui signifie que la Chine a commencé à promouvoir le développement de la science et de la technologie dans tous les pays du monde et le progrès scientifique de l'humanité, quel que soit l'objectif de ces pays, comme le fait de ne pas permettre à la Chine d'atterrir sur la lune en premier, ou au cœur de la jalousie. 😁😀
J'espère que tu retires quelque chose de tes délires, car ton cerveau doit souffrir de sortir autant de concentré de bêtises tous les jours.
 
Dernière édition:
J'espère que tu retires quelque chose de tes délires, car ton cerveau doit souffrir de sortir autant de concentré de bêtises.
Mais il semblerait que le programme spatial européen soit complètement échoué ou abandonné, ce qui serait une chose lamentável. Pourquoi?
Des communications par satellite aux téléphones mobiles, en passant par les ordinateurs centraux et même l'informatique quantique, qui représente l'avenir, il ne semble pas y avoir beaucoup de développement sur le continent européen.
 
Mais il semblerait que le programme spatial européen soit complètement échoué ou abandonné, ce qui serait une chose lamentável. Pourquoi?

Hm il est plus que probable que l'Europe investisse dans des projets de recherche qui servent a qqchose plutot que dans des missiosn de prestige comme l'Inde, la Chine, ou la Russie.

En plus, l'ESA fonctionne en partenariat avec d'autres agences dont la NASA sur le projet Artemis. Il me semble que c'est nous qui construisons le module de commande.

 
Hm il est plus que probable que l'Europe investisse dans des projets de recherche qui servent a qqchose plutot que dans des missiosn de prestige comme l'Inde, la Chine, ou la Russie.

En plus, l'ESA fonctionne en partenariat avec d'autres agences dont la NASA sur le projet Artemis. Il me semble que c'est nous qui construisons le module de commande.

Est-ce le grand modèle en acier inoxydable qui a explosé lorsque Musk l'a lancé ?
 
Hm il est plus que probable que l'Europe investisse dans des projets de recherche qui servent a qqchose plutot que dans des missiosn de prestige comme l'Inde, la Chine, ou la Russie.

En plus, l'ESA fonctionne en partenariat avec d'autres agences dont la NASA sur le projet Artemis. Il me semble que c'est nous qui construisons le module de commande.

La grande fusée de Musk a explosé, regardez la vidéo, le béton de la platforme de lancement a explosé, des blocs de béton ont volé sur 2 kilomètres, il n'y avait pas de déflecteur, c'était l'une des installations les plus simples et les plus necessaires qui n'était même pas là, bizzare, c'était pour des raisons de simplicité ou autre, ou cela n'a pas été considéré comme nécessaire.
Si des blocs de béton de cette taille capable de s'envoler sur 3 kilomètres ne mettait pas hors service ou cassait 5 ou 6 moteurs serait une chose surprenant!
 
Est-ce le grand modèle en acier inoxydable qui a explosé lorsque Musk l'a lancé ?

Non. C'est l'autre grand truc en acier qui fonctionne tres bien et qui va aller sur la lune pour botter le derriere aux cinois.
 
16 septembre 2023

Edito : L'astronaute de la NASA Loral O'Hara, aux côtés de ses homologues russes Oleg Kononenko et Nikolai Chub, s'est amarré à la Station spatiale internationale environ 3 heures après le lancement à bord de leur vaisseau spatial MS-24 Soyouz .

 

Comment la Station spatiale internationale est devenue le dernier espace d'entente avec la Russie depuis la guerre en Ukraine

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Koichi Wakata (JAXA), Anna Kikina (Roscosmos), Nicole Mann and Josh Cassada (NASA), SpaceX Crew-5 missionCredits: Wikimedia Commons

15 septembre 2023

Malgré quelques anicroches au début du conflit, la coopération entre Roscosmos et les agences spatiales occidentales se poursuit contre vents et marées. L'équipage international de la mission Soyouz MS-24 qui décolle de Baïkonour (Kazakhhstan), vendredi 15 septembre, s'est prêté à la traditionnelle photo d'avant-mission.

Analyse : En arrière-plan, la bannière étoilée côtoie le drapeau tricolore russe. Au premier rang, l'ingénieure américaine Loral O'Hara, le commandant russe Oleg Kononeko et l'ingénieur de vol russe Nikolaï Tchoub posent côte à côte, tout sourire, en combinaison spatiale.

Cette entente cordiale affichée contraste avec les relations diplomatiques glaciales entre Moscou et Washington depuis le début de l'invasion russe en Ukraine le 24 février 2022. Malgré les différends terrestres entre Occidentaux et Russes, la Station spatiale internationale demeure l'un des rares sujets d'entente entre les deux puissances.

Après dix-huit mois de sanctions internationales, et alors qu'une grande partie des programmes prévus entre l'agence spatiale russe, Roscosmos, et les puissances spatiales occidentales a été abandonnée ou suspendue, la participation de la Russie à l'exploitation de la Station spatiale internationale (ISS) semble garantie.


Ce partenariat a été "conçu sur des bases solides", affirme le chercheur Paul Wohrer, spécialiste des questions spatiales à l'Institut français des relations internationales (Ifri).

Des tensions qui se sont apaisées

La guerre a eu des effets quasi immédiats entre Moscou et les agences spatiales occidentales sur les coopérations en cours. Le 27 février 2022, quelques jours seulement après l'adoption du premier train de sanctions par l'Union européenne contre la Russie, Roscosmos décide d'interrompre les lancements de la fusée Soyouz depuis Kourou pour mettre en orbite des satellites européens. En réaction, l'Agence spatiale européenne (ESA) suspend la mission ExoMars avec l'agence spatiale russe, reportant le départ du rover européen pour la planète rouge prévu en septembre 2022 à octobre 2028.

Malgré ces tensions, la coopération russo-occidentale sur l'ISS "se poursuit normalement", explique Paul Wohrer. En juillet 2022, les Etats-Unis et la Russie ont ainsi annoncé la reprise des vols conjoints vers la Station spatiale internationale et le maintien du programme d'échanges d'astronautes entre les deux nations. Des fusées Soyouz ont transporté des Américains et des cosmonautes russes ont pris place dans les capsules américaines de Space X.

En décembre 2022, après une fuite accidentelle d'un vaisseau arrimé à l'ISS, Iouri Borissov, le chef de Roscosmos, a demandé aux Russes présents à bord de la Station spatiale internationale de passer "le bonjour à toute l'équipe américaine" qui avait assisté les cosmonautes dans la résolution de ce problème. "Ils se sont comportés de façon très digne dans cette situation et ils nous ont tendu la main pour nous aider", a-t-il déclaré.

La station a toujours été à l'écart des "problèmes géopolitiques terrestres", note Paul Wohrer. En 2014 déjà, "lors de l'annexion de la Crimée et des premières sanctions contre la Russie, cette coopération a été maintenue", souligne la géographe Isabelle Sourbès-Verger, directrice de recherche au CNRS et spécialiste des politiques spatiales.

Une station conçue pour coopérer

Cette harmonie spatiale entre Russes et Occidentaux s'explique sans doute par l'histoire singulière de l'ISS. En orbite depuis novembre 1998, la station orbitale est un modèle unique de collaboration internationale. Conçue comme un laboratoire scientifique et technologique, elle a été construite dans un esprit d'entente par une quinzaine de pays dont onze Etats européens, le Canada, le Japon, les Etats-Unis et la Russie. Plus de 250 astronautes venus de 19 pays s'y sont en effet succédé, afin de mener des milliers d'expériences scientifiques inédites.

Signe "d'une réunification entre deux ennemis d'hier" dans les années 1990, l'ISS a été pensée pour être une station interdépendante reposant sur les contributions de l'ensemble des pays impliqués. Chaque puissance spatiale apporte son module pressurisé ou un équipement. Du coup, aucune agence n'a la capacité d'agir indépendamment des autres.


Si les Russes décident de se retirer et d'abandonner leurs équipements, "il serait très compliqué pour les Européens, les Américains et les autres partenaires d'exploiter l'ISS", illustre Paul Wohrer.

Comme le rappelle la BBC, le module Zvezeda du segment russe assure la propulsion de la station et la remontée en orbite de l'ISS afin d'éviter que celle-ci ne s'écrase sur Terre.

Si cette capacité de propulsion est suspendue, "les Etats-Unis et leurs partenaires – l'Europe, le Japon et le Canada – devront concevoir d'autres moyens pour propulser périodiquement la station", précise Paul Wohrer.

En mars, la Russie avait déjà menacé de mettre fin à ces manœuvres. Et pour la première fois en juin, un cargo non russe de l'industriel Northrop Grumman a corrigé et remonté l'orbite de l'ISS de quelques centaines de mètres.

L'ISS est vouée à disparaître

Si les Occidentaux ne peuvent se passer des Russes, Moscou a soufflé le chaud et le froid sur ses intentions. En juillet 2022, le nouveau directeur général de Roscomos, Iouri Borissov a annoncé lors d'une rencontre télévisée avec le président russe Vladimir Poutine le retrait de la Russie de l'ISS "après 2024" et la construction d'une "station orbitale russe". Finalement, en avril 2023, la Russie a repoussé ce retrait. Au cours d'une nouvelle réunion télévisée avec le président Vladimir Poutine, le patron de l'agence spatiale russe a même prolongé le segment russe jusqu'en 2028.

Au même moment, dans une interview à l'agence Reuters, l'administrateur de la Nasa, Bill Nelson a souhaité le maintien de cette collaboration russo-occidentale "jusqu'à la fin de la décennie". Les Etats-Unis, le Japon et l'Agence spatiale européenne ont ainsi annoncé le prolongement de la durée vie de l'ISS jusqu'en 2030. Opérationnelle depuis plus de 20 ans, la Station spatiale internationale sera alors progressivement désorbitée dans l'atmosphère terrestre.

D'ici là, la Russie doit s'atteler à la construction de la future station russe orbitale, baptisée Ross. "Le temps passe vite et nous ne devrions en aucun cas faire une pause dans l'astronautique habitée", a déclaré Iouri Borrisov. Considérée comme la nouvelle priorité spatiale du Kremlin, cette station orbitale marque une rupture dans la politique spatiale russe après plusieurs décennies de coopération internationale. Pour Paul Wohrer, cette décision serait le reflet "des tensions géopolitiques" terrestres.

Paul WOHRER, cité par Louis Dubar pour France Info / Paul Wohrer est chercheur spécialisé dans les questions spatiales à l'Institut français des relations internationales (Ifri). Ses recherches portent sur les enjeux géopolitiques, stratégiques, et les évolutions technologiques et industrielles du domaine spatial. De 2017 à 2023, il a travaillé au sein de la Fondation pour la Recherche Stratégique (FRS) en tant que chargé de recherche sur les questions spatiales. Paul Wohrer est diplômé de Sciences Po Bordeaux et de l’International Space University de Strasbourg.


18 septembre 2023
 
Dernière édition:

Comment la Station spatiale internationale est devenue le dernier espace d'entente avec la Russie depuis la guerre en Ukraine

Ceci est une bonne chose et j'espère que les américains n'arriveront pas à nous diviser.
Ils me font rire a exclure les chinois de l'ISS, du coup le terme ISS n'a pas de sens (internationale Station spatiale).
 
Ceci est une bonne chose et j'espère que les américains n'arriveront pas à nous diviser.
Ils me font rire a exclure les chinois de l'ISS, du coup le terme ISS n'a pas de sens (internationale Station spatiale).
International ça veut dire 2 pays ou plus....
 
Aujourd'hui, aucun pays au monde n'est capable de construire seul une station spatiale, y compris les États-Unis. Seule la Chine a cette capacité. Comment cela se fait-il ?
 
Aujourd'hui, aucun pays au monde n'est capable de construire seul une station spatiale, y compris les États-Unis. Seule la Chine a cette capacité. Comment cela se fait-il ?
La Chine a mis les moyens.
En France, nous aurions pu également...
 
La Chine a mis les moyens.
En France, nous aurions pu également...
La France est aussi un pays spatiale tres fort, les échanges et la coopération aérospatiale entre la France et la Chine doivent être renforcés afin de pouvoir donner de la surprise et à de l'avenir à l'humanité.
😀😁