Lancement de Free

Il ne s'appelle pas RSA mais "Forfait 2€".
Il faisait simplement la comparaison avec le forfait RSA des autres opérateurs.
 
Ils vont bouleverser le monde de téléphonie comme ils l'ont fait avec internet... Il faudra suivre l'avancement...
 
source rue 89

Un autre avis interessant:


Alea jacta est. On connaît le prix des forfaits Free Mobile. Le buzz de ces derniers temps avait propagé un tas d'hypothèses, la plupart étaient bonnes ou approchantes.
Mais passé l'effet « waouh » de l'annonce, quand les esprits se calment, que la pression redescend et qu'on regarde plus froidement l'offre de Free, on ne peut se détacher d'un sentiment d'inachevé et même d'un brin de suspicion.
Sans compter que ce lancement, hormis sa « keynote », fait pour le moins amateur et réalisé dans l'urgence. Six déceptions à noter.
1
[h=2]Des mobiles qui ne suivent pas[/h]


La déception est légère mais tout de même : l'offre d'achat couplé de téléphones est pour l'instant très pauvre et mal détaillée.
Bien sûr Free n'a pas vocation à vendre des terminaux, mais il en propose quand même « parce qu'il faut bien ». Hormis le Samsung Galaxy SII, seule « star » du catalogue, ne cherchez pas d'autres grandes marques. Ni HTC, Sony, LG, ni même le moindre Nokia à l'horizon, quant à l'iPhone tant attendu, il ne devrait arriver que plus tard, d'ici deux à trois semaines.
Dommage qu'avec un forfait orienté « geek », les téléphones ne suivent pas.
Xavier Niel annonçait avec emphase être « le seul opérateur à avoir un accord avec Apple avant son lancement ». Manifestement, l'accord – et donc le module « catalogue » de la Lien retiré – a du retard à l'allumage.
2
[h=2]Forfait illimité : bâtard[/h]


A un moment, il était question de cinq forfaits. Il n'en reste finalement que deux, et le forfait illimité est bâtard. Il s'adresse clairement aux gros consommateurs (voix, SMS/MMS illimités) avides de technologies (3 gigaoctets (Go) d'Internet mensuel contre 1 Go ou moins ailleurs).
Ce forfait phare à 19,99 euros tout compris est certes frappant au premier abord. Mais si l'on ajoute le coût du terminal sur douze mois (un geek change tous les ans), il devient moins formidable.
Avec un iPhone 4S 16 Go et pour l'équivalent chez B&You ou Sosh (Orange), on est autour de 89 euros par mois contre 79 euros chez Free, pas si révolutionnaire…
La partie data est presque surdimensionnée et on se prend à rêver du même forfait avec seulement 1 Go, largement suffisant pour 90% des utilisateurs, pour un 14,99 euros encore plus spectaculaire, quitte à ajouter une option 3 Go.
3
[h=2]Forfait à 2 euros : très risqué[/h]


C'est donc l'autre forfait de Free, celui dit « social » ; sous couvert de cet adjectif au demeurant sympathique et quasi philanthropique, se cache une offre dangereuse.
S'il se targue de diviser par cinq le prix du « forfait RSA », négocié entre le gouvernement et les opérateurs, que Free qualifie de « Racket Super Arnaque », il pourrait bien se transformer lui aussi en « super arnaque ».
Pour 2 euros, vous avez 60 SMS et une heure d'appels, l'heure supplémentaire coûte 3 euros, si bien qu'au-delà de six heures, mieux vaut prendre l'illimité sinon gare à la facture !
[h=3]Aucune data[/h]Mais surtoutce forfait ne comprend aucune data ! Donc les MMS et le Web vous seront facturés. Une option data et MMS existe bien à 2,99 euros mais pour seulement 20 Mo (mégaoctets). Au-delà, il vous en coûtera 6 centimes le Mo !
Or même si vous n'êtes pas un aficionado du surf sur mobile, beaucoup de téléphones nécessitent aujourd'hui un minimum de data. Une application aussi simple que la météo va chercher ses mises à jour par exemple.
Surtout, les téléphones récents, même premier prix, sous Android, sont hyper connectés au Web.
Pour peu que vous synchronisiez vos contacts via Google, votre téléphone se connectera régulièrement pour vérifier les mises à jour, voire à chaque ouverture de votre répertoire !
Même si vous n'êtes pas un geek, comment résister à l'envie d'envoyer quelques photos, de coupler votre répertoire avec Facebook, histoire d'avoir les photos de profil ou de vacances de vos petits-enfants ou pire de regarder la vidéo de la naissance du petit dernier ? Des videos, des tas de photos ? Malheureux ! Vous voilà avec quelques centaines de mégas dépensés à 6 euros pièce.
Si vous n'avez pas fait attention, puisque vous n'êtes pas un geek, et que vous vous êtes laissé happer par les sirènes du téléphone connecté par inadvertance, vous pouvez grandement saler votre facture : 1 Go de données et hop, 60 euros de dépassement sur le forfait mensuel quand les autres payent 19,90 euros pour 3 Go !
[h=3]Aucun moyen de bloquer le forfait[/h]Sous ces airs de bon samaritain, Free ne s'y est d'ailleurs pas trompé puisque contrairement au forfait illimité, il n'y a aucun moyen de bloquer son forfait pour s'empêcher de faire une bêtise de débutant avec les data (ou les appels à l'étranger).
Et pourtant s'il y a bien un forfait qui aurait dû être blocable c'est celui que Xavier Niel dit, la larme à l'œil, avoir réservé aux plus pauvres d'entre nous !
Non décidément ce forfait est inadapté et n'a rien de « social ».
Il aurait bien mieux valu proposer à 4,99 euros un forfait bloqué deux heures incluant au moins 50 Mo de data pour les usages courants et quasi obligatoire des téléphones modernes avec un achat de crédit supplémentaire si besoin et en toute connaissance de cause.
4
[h=2]Quid d'un forfait entredeux ?[/h]


Sans doute la plus grosse déception, entre un forfait illimité orienté geek à près de 20 euros et un forfait dépouillé à 2 euros, inadapté aux téléphones et usages modernes, il y a un gouffre !
Où est l'offre à 9,99 euros avec trois heures d'appel, SMS illimités et 1 Go de data ? C'est l'offre qui aurait le plus correspondu à l'usage moyen des Français, celle qui aurait rassemblé le plus de monde, connu le plus grand succès, celle qu'on attendait vraiment, au fond, de Free...
Mais aussi, sans doute la moins rentable pour l'opérateur. Est-ce que le fait de ne pas avoir obtenu ce qui était prévu pour le prix de la terminaison d'appel a fait passer ce « blockbuster » à la trappe ?
En n'occupant pas ce créneau, Free laisse bizarrement un boulevard à ses concurrents, à eux de s'en saisir.
Il en va de même d'ailleurs avec une offre de type Mobicarte...
5
[h=2]Un ratage technique le jour J[/h]


Cet amateurisme est surprenant et inquiétant pour la suite. Après une conférence fort bien menée à 9 heures du matin et qui a eu plus de 600 000 spectateurs et, d'après Free, 4,5 millions de connexions au total sans aucun problème notable, il a été impossible de se connecter au serveur de Free mobile pour s'inscrire durant toute la journée et la nuit (et même plus ? ).
Pas mieux par téléphone malgré les 1 500 personnes recrutées par Xavier Niel. A moins que plusieurs millions de Français se soient rués toute la journée sur le site, rien n'explique un tel ratage technique qui laisse aux concurrents un délai supplémentaire de réaction.
Les quelques rares pages et documents que l'on a pu consulter ne sont même pas finis (dont Lien retiré pourtant essentielle) et bourrés de fautes.
Pour un projet en préparation depuis 2007 on ne peut que s'étonner de ce qui ressemble à un lancement dans l'urgence.
6
[h=2]AliceBox et autres « oublis »...[/h]


Le « roaming data » (connexion à Internet depuis l'étranger), Lien retiré, est annoncé comme étant assez cher chez Free, bien plus cher qu'ailleurs. Peut-être une façon d'écarter les grands utilisateurs professionnels.
La messagerie vocale visuelle (qui permet de sélectionner sur l'écran tel ou tel message enregistré), ne semble pas prévue pour l'instant. L'envoi de SMS gratuits est limité à dix destinataires par SMS (attention aux « mailing » du Nouvel An ! ).
Les possesseurs d'AliceBox, pourtant propriété entière de Free, ne semblent pas pouvoir bénéficier du même tarif réduit que ceux qui ont une FreeBox, etc.
[h=2]Un coup de pied dans la fourmilière[/h]Pour autant, il ne faut pas jeter le Xavier avec l'eau du bain. Free a bien mis un coup de pied dans la fourmilière.
Mais ses concurrents vont réagir plus vite que prévu et il leur a laissé quelques arguments à faire valoir. Ces offres sont « limitées aux trois premiers millions de souscripteurs », un pied de nez de plus de Niel, certains analystes lui prévoyant à peine un million d'abonnés au bout d'un an.
Pour ma part, j'ai écrit dans mon article précédent que ce chiffre pourrait être atteint en deux ou trois mois et en tout cas avant la première étape importante imposée par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) à Free contre son gré : celle de la baisse de son prix de terminaison au bout de six mois.
Reste qu'en zappant une offre médiane autour de 10 euros, Free se prive peut-être d'un exploit supérieur à toutes les prévisions.
 
Un autre avis interessant:


Alea jacta est. On connaît le prix des forfaits Free Mobile. Le buzz de ces derniers temps avait propagé un tas d'hypothèses, la plupart étaient bonnes ou approchantes.
Mais passé l'effet « waouh » de l'annonce, quand les esprits se calment, que la pression redescend et qu'on regarde plus froidement l'offre de Free, on ne peut se détacher d'un sentiment d'inachevé et même d'un brin de suspicion.
Sans compter que ce lancement, hormis sa « keynote », fait pour le moins amateur et réalisé dans l'urgence. Six déceptions à noter.
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Des mobiles qui ne suivent pas




La déception est légère mais tout de même : l'offre d'achat couplé de téléphones est pour l'instant très pauvre et mal détaillée.
Bien sûr Free n'a pas vocation à vendre des terminaux, mais il en propose quand même « parce qu'il faut bien ». Hormis le Samsung Galaxy SII, seule « star » du catalogue, ne cherchez pas d'autres grandes marques. Ni HTC, Sony, LG, ni même le moindre Nokia à l'horizon, quant à l'iPhone tant attendu, il ne devrait arriver que plus tard, d'ici deux à trois semaines.
Dommage qu'avec un forfait orienté « geek », les téléphones ne suivent pas.
Xavier Niel annonçait avec emphase être « le seul opérateur à avoir un accord avec Apple avant son lancement ». Manifestement, l'accord – et donc le module « catalogue » de la Lien retiré – a du retard à l'allumage.
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Forfait illimité : bâtard




A un moment, il était question de cinq forfaits. Il n'en reste finalement que deux, et le forfait illimité est bâtard. Il s'adresse clairement aux gros consommateurs (voix, SMS/MMS illimités) avides de technologies (3 gigaoctets (Go) d'Internet mensuel contre 1 Go ou moins ailleurs).
Ce forfait phare à 19,99 euros tout compris est certes frappant au premier abord. Mais si l'on ajoute le coût du terminal sur douze mois (un geek change tous les ans), il devient moins formidable.
Avec un iPhone 4S 16 Go et pour l'équivalent chez B&You ou Sosh (Orange), on est autour de 89 euros par mois contre 79 euros chez Free, pas si révolutionnaire…
La partie data est presque surdimensionnée et on se prend à rêver du même forfait avec seulement 1 Go, largement suffisant pour 90% des utilisateurs, pour un 14,99 euros encore plus spectaculaire, quitte à ajouter une option 3 Go.
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Forfait à 2 euros : très risqué




C'est donc l'autre forfait de Free, celui dit « social » ; sous couvert de cet adjectif au demeurant sympathique et quasi philanthropique, se cache une offre dangereuse.
S'il se targue de diviser par cinq le prix du « forfait RSA », négocié entre le gouvernement et les opérateurs, que Free qualifie de « Racket Super Arnaque », il pourrait bien se transformer lui aussi en « super arnaque ».
Pour 2 euros, vous avez 60 SMS et une heure d'appels, l'heure supplémentaire coûte 3 euros, si bien qu'au-delà de six heures, mieux vaut prendre l'illimité sinon gare à la facture !
Aucune data

Mais surtoutce forfait ne comprend aucune data ! Donc les MMS et le Web vous seront facturés. Une option data et MMS existe bien à 2,99 euros mais pour seulement 20 Mo (mégaoctets). Au-delà, il vous en coûtera 6 centimes le Mo !
Or même si vous n'êtes pas un aficionado du surf sur mobile, beaucoup de téléphones nécessitent aujourd'hui un minimum de data. Une application aussi simple que la météo va chercher ses mises à jour par exemple.
Surtout, les téléphones récents, même premier prix, sous Android, sont hyper connectés au Web.
Pour peu que vous synchronisiez vos contacts via Google, votre téléphone se connectera régulièrement pour vérifier les mises à jour, voire à chaque ouverture de votre répertoire !
Même si vous n'êtes pas un geek, comment résister à l'envie d'envoyer quelques photos, de coupler votre répertoire avec Facebook, histoire d'avoir les photos de profil ou de vacances de vos petits-enfants ou pire de regarder la vidéo de la naissance du petit dernier ? Des videos, des tas de photos ? Malheureux ! Vous voilà avec quelques centaines de mégas dépensés à 6 euros pièce.
Si vous n'avez pas fait attention, puisque vous n'êtes pas un geek, et que vous vous êtes laissé happer par les sirènes du téléphone connecté par inadvertance, vous pouvez grandement saler votre facture : 1 Go de données et hop, 60 euros de dépassement sur le forfait mensuel quand les autres payent 19,90 euros pour 3 Go !
Aucun moyen de bloquer le forfait

Sous ces airs de bon samaritain, Free ne s'y est d'ailleurs pas trompé puisque contrairement au forfait illimité, il n'y a aucun moyen de bloquer son forfait pour s'empêcher de faire une bêtise de débutant avec les data (ou les appels à l'étranger).
Et pourtant s'il y a bien un forfait qui aurait dû être blocable c'est celui que Xavier Niel dit, la larme à l'œil, avoir réservé aux plus pauvres d'entre nous !
Non décidément ce forfait est inadapté et n'a rien de « social ».
Il aurait bien mieux valu proposer à 4,99 euros un forfait bloqué deux heures incluant au moins 50 Mo de data pour les usages courants et quasi obligatoire des téléphones modernes avec un achat de crédit supplémentaire si besoin et en toute connaissance de cause.
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Quid d'un forfait entredeux ?




Sans doute la plus grosse déception, entre un forfait illimité orienté geek à près de 20 euros et un forfait dépouillé à 2 euros, inadapté aux téléphones et usages modernes, il y a un gouffre !
Où est l'offre à 9,99 euros avec trois heures d'appel, SMS illimités et 1 Go de data ? C'est l'offre qui aurait le plus correspondu à l'usage moyen des Français, celle qui aurait rassemblé le plus de monde, connu le plus grand succès, celle qu'on attendait vraiment, au fond, de Free...
Mais aussi, sans doute la moins rentable pour l'opérateur. Est-ce que le fait de ne pas avoir obtenu ce qui était prévu pour le prix de la terminaison d'appel a fait passer ce « blockbuster » à la trappe ?
En n'occupant pas ce créneau, Free laisse bizarrement un boulevard à ses concurrents, à eux de s'en saisir.
Il en va de même d'ailleurs avec une offre de type Mobicarte...
5
Un ratage technique le jour J




Cet amateurisme est surprenant et inquiétant pour la suite. Après une conférence fort bien menée à 9 heures du matin et qui a eu plus de 600 000 spectateurs et, d'après Free, 4,5 millions de connexions au total sans aucun problème notable, il a été impossible de se connecter au serveur de Free mobile pour s'inscrire durant toute la journée et la nuit (et même plus ? ).
Pas mieux par téléphone malgré les 1 500 personnes recrutées par Xavier Niel. A moins que plusieurs millions de Français se soient rués toute la journée sur le site, rien n'explique un tel ratage technique qui laisse aux concurrents un délai supplémentaire de réaction.
Les quelques rares pages et documents que l'on a pu consulter ne sont même pas finis (dont Lien retiré pourtant essentielle) et bourrés de fautes.
Pour un projet en préparation depuis 2007 on ne peut que s'étonner de ce qui ressemble à un lancement dans l'urgence.
6
AliceBox et autres « oublis »...




Le « roaming data » (connexion à Internet depuis l'étranger), Lien retiré, est annoncé comme étant assez cher chez Free, bien plus cher qu'ailleurs. Peut-être une façon d'écarter les grands utilisateurs professionnels.
La messagerie vocale visuelle (qui permet de sélectionner sur l'écran tel ou tel message enregistré), ne semble pas prévue pour l'instant. L'envoi de SMS gratuits est limité à dix destinataires par SMS (attention aux « mailing » du Nouvel An ! ).
Les possesseurs d'AliceBox, pourtant propriété entière de Free, ne semblent pas pouvoir bénéficier du même tarif réduit que ceux qui ont une FreeBox, etc.
Un coup de pied dans la fourmilière

Pour autant, il ne faut pas jeter le Xavier avec l'eau du bain. Free a bien mis un coup de pied dans la fourmilière.
Mais ses concurrents vont réagir plus vite que prévu et il leur a laissé quelques arguments à faire valoir. Ces offres sont « limitées aux trois premiers millions de souscripteurs », un pied de nez de plus de Niel, certains analystes lui prévoyant à peine un million d'abonnés au bout d'un an.
Pour ma part, j'ai écrit dans mon article précédent que ce chiffre pourrait être atteint en deux ou trois mois et en tout cas avant la première étape importante imposée par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) à Free contre son gré : celle de la baisse de son prix de terminaison au bout de six mois.
Reste qu'en zappant une offre médiane autour de 10 euros, Free se prive peut-être d'un exploit supérieur à toutes les prévisions.

vu comment se fait demonter l 'article dans les coms avec toutes les imprécisions.....bulllshit..toi aussi tu travailles chez SFR/orange/bouygue, le trio condamné pour fraude et entente ?
et puis aussi imparfaite qu'elle est , l'offre de FREE a montré une chose : les 3 trois s'engraissent comme des porcs sur le mobile....tu crois que les nouvelles offres des 3 qui tombent depuis 48H, c'est pour les beaux yeux de la princesse ?
 
A un moment, il était question de cinq forfaits.
Faux il devait y en avoir qu'un à l'origine, il était prévu entre 25 et 30 euros.

C'est donc l'autre forfait de Free, celui dit « social » ; sous couvert de cet adjectif au demeurant sympathique et quasi philanthropique, se cache une offre dangereuse.
S'il se targue de diviser par cinq le prix du « forfait RSA », négocié entre le gouvernement et les opérateurs, que Free qualifie de « Racket Super Arnaque », il pourrait bien se transformer lui aussi en « super arnaque ».
Pour 2 euros, vous avez 60 SMS et une heure d'appels, l'heure supplémentaire coûte 3 euros, si bien qu'au-delà de six heures, mieux vaut prendre l'illimité sinon gare à la facture !
Argument complètement à la ramasse, si tu prends un forfait pour une heure c'est que tu n'as besoin que d'une heure, sinon les les mobi cartes et tutti quanti, tu peux dire que c'est pire.

Tu es sûr que tu as lu l'offre free alors pour rappel MMS ILLIMITE , internet jusuq'à 3GO, rigolo va!!

Il aurait bien mieux valu proposer à 4,99 euros un forfait bloqué deux heures incluant au moins 50 Mo de data pour les usages courants et quasi obligatoire des téléphones modernes avec un achat de crédit supplémentaire si besoin et en toute connaissance de cause.
Et quand tu es troquet du coin t'attends que le patron te dise que si tu bois un deuxième demi, tu risques ton permis.

Cet amateurisme est surprenant et inquiétant pour la suite. Après une conférence fort bien menée à 9 heures du matin et qui a eu plus de 600 000 spectateurs et,d'après Free, 4,5 millions de connexions au total sans aucun problème notable, il a été impossible de se connecter au serveur de Free mobile pour s'inscrire durant toute la journée et la nuit (et même plus ? ).
Faux l'après midi à 17.24 pour être plus précis j'étais connecté et prenais le forfait à 0 euro.

Bien sûr que tout n'est pas parfait mais chez les autres c'est du pareil au même à la différence c'est qu'ils sont bp plus chers et que techniquement on est loin du compte que ce soit au niveau mobile ou internet, de toute façon ils ont pompé la freebox pour en faire des pauvres box de merde, et on verra les futurs problèmes techniques et les erreurs des forfaits quand ils s'aligneront sur free, j'ai hâte de voir ça.

Bon j'arrête là , t'as la bile qui dégouline...
 
Dernière édition:
vu comment se fait demonter l 'article dans les coms avec toutes les imprécisions.....bulllshit..toi aussi tu travailles chez SFR/orange/bouygue, le trio condamné pour fraude et entente ?
et puis aussi imparfaite qu'elle est , l'offre de FREE a montré une chose : les 3 trois s'engraissent comme des porcs sur le mobile....tu crois que les nouvelles offres des 3 qui tombent depuis 48H, c'est pour les beaux yeux de la princesse ?

Bonjour Victor,

Non je ne travaille ni pour orange, SFR ou bouygues, j ai simplement lu cette article qui critiquait l offre de Free et je l ai poste pour en discuter puisque c est le topic ce qui ne veut pas non plus dire que je suis d accord avec.

Pourquoi tant d agressivite? On peut en discuter calmement non?

Je suis plutot de l avis de bison sinon, et j ai hate de voir la reaction des autres operateurs.

Dedeenchine
 
Dernière édition:
....Lien retiréok je sors ....pinguin2
 
reponse d orange et SFR

Attention je ne travaille pour aucun des 2, il s agit juste d un copie colle du figaro pour continuer la discussion, merci svp de ne pas m insulter svp :)

[h=2]Les concurrents de Free baissent les prix sur Sosh et Red, leurs marques de téléphonie mobile à bas prix. Le premier, Orange a réduit de plus de 35% le prix de certains forfaits. Une décision imitée ensuite par SFR.[/h]
coeur-.gif
Deux jours. C'est le temps qu'il aura fallu à France Télécom et SFR pour dégainer leurs ripostes aux offres agressives de téléphonie mobile lancées par Free mardi. Ce jeudi matin, l'opérateur historique a en effet abaissé ses prix sur les principales offres de sa marque Sosh. Disponible depuis le 6 octobre dernier, la marque low-cost d'Orange accessible uniquement sur Internet, qui cible les 18-35 ans «ultra-connectés», se voulait à l'époque une réponse préalable à l'arrivée imminente d'un quatrième opérateur de téléphonie mobile. Mais le forfait similaire à celui de 19,90 euros proposé par Free Mobile restait encore 2,5 fois plus cher. Même constation chez SFR, où l'offre mobile Red lancée le 11octobre restait plus de 4 fois plus chère que celle de Free Mobile. D'où la nécessité de renforcer le bouclier opposé au groupe de Xavier Niel.
[h=3]Des forfaits allant de 9,90 à 24,90 euros par mois[/h] Lien retiré, Orange détaillait ce matin les conditions de ses nouvelles offres, abaissées pour certaines de plus de 37%. Le forfait SMS/MMS illimités, avec accès Internet jusqu'à un gigaoctet, passe en effet de 39,90 à 24,90 euros par mois. A cette nouvelle offre viennent s'ajouter une édition spéciale à 14,90 euros par mois (deux heures de communication, SMS et MMS illimités, Internet mobile jusqu'à 1 gigaoctet), ainsi qu'un nouveau forfait à 9,90 euros par mois (SMS et MMS illimités, deux heures d'appels). Courant février, cette dernière offre proposera aussi un accès illimité à Facebook et Twitter, ces réseaux sociaux très prisés par le cœur de cible de la marque. Enfin, chacune de ces trois offres Sosh, disponibles dès aujourd'hui, comprend la connexion Wi-Fi sur les 30.000 points d'accès d'Orange.
Quelques minutes plus tard, SFR, filiale du groupe Vivendi, a emboîté le pas à Orange, en annonçant également une baisse tarifaire sur sa gamme low-cost, Red. Dès la semaine prochaine, trois tarifs revus à la baisse, dont deux alignés sur les prix d'Orange, seront proposés. Le forfait à 12 euros par mois passera à 9,90 euros par mois (2h d'appels et SMS/MMS illimités). Le forfait à 19,90 euros offrira appels, SMS et MMS illimités. Enfin, celui à 34 euros par mois descendra à 24,90 euros pour appels, SMS et MMS illimités, et accès Internet jusqu'à un gigaoctet
[h=3]Quelques différences entre ces offres concurrentes très proches[/h]Si les répliques des deux opérateurs semblent identiques, quelques différences subsistent. Les forfaits Sosh revus à la baisse par le groupe de Stéphane Richard ne permettent les appels illimités qu'en France métropolitaine, contre 46 destinations à l'étranger pour Red et 40 pour Free Mobile.
Chez ce dernier, l'accès Internet monte par ailleurs jusqu'à trois gigaoctets, contre un plafonnement à un seul gigaoctet pour ses deux concurrents. Enfin, du côté des avantages pour Orange: la souscription à un forfait Sosh donne droit à des offres de remboursements sur les téléphones, ce qui n'est pas le cas chez Free Mobile, ni SFR.
Par ces offres plus agressives, Orange souhaite non seulement empêcher la fuite des abonnés Sosh vers Free Mobile, mais également accélérer le recrutement de ses nouveaux clients. Début décembre, la marque low-cost comptait environ 35.000 clients, alors que le groupe ambitionne d'atteindre un demi million d'abonnés Sosh d'ici à la fin de l'année.
 
Perso si j'avais été client d'orangina, je serais allé voir le conseiller de vente le plus proche de chez moi, et lui dire : " vous avez attendu que Free fasse leur cinoche pour baisser vos tarifs, c'te honte!!" Et je résilierais sur le champ, non mais!!!
 
Quand on voit la minute chez Orange et SFR à 0,50 € y'avait de quoi s'étouffer avec son bol de nouilles. Les opérateurs misent à fond sur les offres subventionnées (abo + téléphone) faisant croire au chaland qu'ils avaient des offres intéressantes.

En France j'avais Simyo, un opérateur virtuelle utilisant le réseau Bouygues avec des prix carrément intéressant (0,19€/min - 0,10€/SMS) par rapport à la concurrence. Ce n'est pas un coup de pied mais une bombe atomique que Free a lancé sur le marché (0,05 €/mn - 0,01 €/SMS après épuisement du forfait à 2 €). ça coute moins de téléphoner à l'autre bout du monde que d'utiliser une mobicarte (qui selon le montant a une durée de vie très limitée) pour appeler en France.

Orange qui baisse un de ses tarifs de près de 15 € du jour au lendemain, c'est clairement du foutage de gueule.

Sur ce coup là, la concurrence a eu du bon.