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Soixante-douze organisations en tout, dont une cinquantaine situées aux Etats-Unis, auraient été victimes d'espionnage, selon McAfee. Les cibles de ces intrusions comprennent notamment les réseaux informatiques du secrétariat des Nations unies, un laboratoire du département américain de l'énergie, des dizaines de sociétés de défense américaines, indique le document établi par McAfee, précise notamment le Washington Post,et le site de Vanity Fair.
Ces infiltrations sur des réseaux protégés, révélées par la firme de sécurité informatique McAfee, se sont produites au cours des cinq dernières années. La vague de cyberattaques, baptisée "opération Shady RAT" (RAT est l'acronyme anglais pour instrument d'accès à distance – "remote access tool", "shady" signifie suspect), a été détectée en mars. Les premières intrusions remonteraient à la mi-2006.
LA CHINE À L'ORIGINE DES INTRUSIONS ?
Ceux qui parvenaient à s'infiltrer recherchaient notamment des données sensibles sur les systèmes de défense américains et ceux de communications par satellite. Dans le cas des Nations unies, les pirates informatiques se sont introduits sur le réseau du secrétariat de l'ONU à Genève dès 2008, et leur présence n'a été décelée que près de deux ans plus tard.
Des experts de la cybersécurité ont indiqué au Lien retiré que, selon toute vraisemblance, la Chine était derrière cet espionnage, dans la mesure où de nombreuses cibles identifiées par McAfee avaient un lien avec Taïwan et le Comité olympique international (CIO) dans les mois qui ont précédé les jeux de Pékin, en 2008. Dans son rapport, la société McAfee n'a pas nommément dénoncé Pékin.
L'ONU a déclaré qu'elle était au courant de ces informations et que des vérifications étaient en cours. "L'idée est d'examiner tout le réseau de Genève", a dit Farhan Haq, porte-parole adjoint du secrétariat général de l'ONU, ajoutant qu'il était trop tôt pour déterminer l'ampleur des dégâts.
Soixante-douze organisations en tout, dont une cinquantaine situées aux Etats-Unis, auraient été victimes d'espionnage, selon McAfee. Les cibles de ces intrusions comprennent notamment les réseaux informatiques du secrétariat des Nations unies, un laboratoire du département américain de l'énergie, des dizaines de sociétés de défense américaines, indique le document établi par McAfee, précise notamment le Washington Post,et le site de Vanity Fair.
Ces infiltrations sur des réseaux protégés, révélées par la firme de sécurité informatique McAfee, se sont produites au cours des cinq dernières années. La vague de cyberattaques, baptisée "opération Shady RAT" (RAT est l'acronyme anglais pour instrument d'accès à distance – "remote access tool", "shady" signifie suspect), a été détectée en mars. Les premières intrusions remonteraient à la mi-2006.
LA CHINE À L'ORIGINE DES INTRUSIONS ?
Ceux qui parvenaient à s'infiltrer recherchaient notamment des données sensibles sur les systèmes de défense américains et ceux de communications par satellite. Dans le cas des Nations unies, les pirates informatiques se sont introduits sur le réseau du secrétariat de l'ONU à Genève dès 2008, et leur présence n'a été décelée que près de deux ans plus tard.
Des experts de la cybersécurité ont indiqué au Lien retiré que, selon toute vraisemblance, la Chine était derrière cet espionnage, dans la mesure où de nombreuses cibles identifiées par McAfee avaient un lien avec Taïwan et le Comité olympique international (CIO) dans les mois qui ont précédé les jeux de Pékin, en 2008. Dans son rapport, la société McAfee n'a pas nommément dénoncé Pékin.
L'ONU a déclaré qu'elle était au courant de ces informations et que des vérifications étaient en cours. "L'idée est d'examiner tout le réseau de Genève", a dit Farhan Haq, porte-parole adjoint du secrétariat général de l'ONU, ajoutant qu'il était trop tôt pour déterminer l'ampleur des dégâts.
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