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Décidément, les Ferrari ne portent pas chance en Chine, pourtant le plus gros marché du bolide italien par les temps qui courent. De notre partenaire Rue 89.
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Ce week-end, dix Ferrari étaient de sortie à grande vitesse sur une autoroute du Shaanxi, au nord-ouest de Pékin, lorsque deux d’entre elles ont eu une collision. Une Ferrari 458 Spider et une Ferrari California, soit au bas mot près d’un demi-million d’euros transformés en carcasses bonnes à jeter.
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La carcasse de Ferrari accidentée
163.com
Comme toujours en Chine, désormais, l’information n’est pas donnée par les médias officiels mais par des photos prises par des automobilistes et postées sur les réseaux sociaux.
« Ferrari » est un mot subversif en Chine, depuis le mystérieux accident qui s’est produit au début de l’année sur un périphérique de Pékin, faisant trois morts, dont on a appris après plusieurs mois qu’il s’agissait du fils d’un haut dirigeant chinois et de deux filles, les trois corps ayant été retrouvés nus.
Après cet accident, le mot « Ferrari » était bloqué dans les recherches sur le Web, et l’affaire a entraîné la mise au placard du père du conducteur de la voiture.
Cette fois, on ne sait rien des propriétaires, et en particulier de ceux qui conduisaient les voitures accidentées. Mais dans une Chine à plusieurs vitesses, ce comportement de nouveaux riches est soigneusement caché à la population – sauf à celle qui a accès aux réseaux sociaux...
Décidément, les Ferrari ne portent pas chance en Chine, pourtant le plus gros marché du bolide italien par les temps qui courent. De notre partenaire Rue 89.
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Ce week-end, dix Ferrari étaient de sortie à grande vitesse sur une autoroute du Shaanxi, au nord-ouest de Pékin, lorsque deux d’entre elles ont eu une collision. Une Ferrari 458 Spider et une Ferrari California, soit au bas mot près d’un demi-million d’euros transformés en carcasses bonnes à jeter.
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La carcasse de Ferrari accidentée
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Comme toujours en Chine, désormais, l’information n’est pas donnée par les médias officiels mais par des photos prises par des automobilistes et postées sur les réseaux sociaux.
« Ferrari » est un mot subversif en Chine, depuis le mystérieux accident qui s’est produit au début de l’année sur un périphérique de Pékin, faisant trois morts, dont on a appris après plusieurs mois qu’il s’agissait du fils d’un haut dirigeant chinois et de deux filles, les trois corps ayant été retrouvés nus.
Après cet accident, le mot « Ferrari » était bloqué dans les recherches sur le Web, et l’affaire a entraîné la mise au placard du père du conducteur de la voiture.
Cette fois, on ne sait rien des propriétaires, et en particulier de ceux qui conduisaient les voitures accidentées. Mais dans une Chine à plusieurs vitesses, ce comportement de nouveaux riches est soigneusement caché à la population – sauf à celle qui a accès aux réseaux sociaux...
