que tout le quartier était rasé. Il ne restait plus aucun batiment. Un champ de ruines était traversé par deux rues , autrefois goudronnée mais aujourd'hui réduite en état de simple chemins de terre battue. Quelques cadavres complets jonchaient le sol, mais aussi des restes épars : une tête par ci , un jambe par là. Personne pour fredonner "Héléne , je m'appelle Héléne, je suis une fille comme les autres" , pourtant