Touchers vaginaux : les étudiants en médecine s’exercent-ils sur des patientes endormies ?
C’est Lien retiré qui révèle l’information : selon des documents présents sur le site de l’université de Lyon-Sud, les étudiants en médecine s’exercent au bloc opératoire au toucher vaginal sur « des patientes endormies ». Et ce sans leur consentement. Des pratiques qui, si elles sont véridiques, soulèvent des questions de déontologie et d’éthique.
Metronews s’est procuré une série de documents issue de la Faculté de médecine de l’Université Lyon-Sud. Il s’agit de textes « officiels » mis à la disposition des étudiants et publiés dans la rubrique « Formation ». Sur une page, on peut voir que l’examen clinique de l’utérus doit se faire « en apprentissage du bloc sur patiente endormie ». Dans un autre document, une feuille de stage, il est noté que l’étudiant devra être « présent parfaitement à 8h30 tous les jours, au bloc opératoire » pour exercer un certain nombre d’actes tels que le « toucher vaginal » (abrégé en « TG ») sous anesthésie générale (« AG »).
La suite
http://www.ladepeche.fr/article/201...ts-medecine-exercent-patientes-endormies.html
C’est Lien retiré qui révèle l’information : selon des documents présents sur le site de l’université de Lyon-Sud, les étudiants en médecine s’exercent au bloc opératoire au toucher vaginal sur « des patientes endormies ». Et ce sans leur consentement. Des pratiques qui, si elles sont véridiques, soulèvent des questions de déontologie et d’éthique.
Metronews s’est procuré une série de documents issue de la Faculté de médecine de l’Université Lyon-Sud. Il s’agit de textes « officiels » mis à la disposition des étudiants et publiés dans la rubrique « Formation ». Sur une page, on peut voir que l’examen clinique de l’utérus doit se faire « en apprentissage du bloc sur patiente endormie ». Dans un autre document, une feuille de stage, il est noté que l’étudiant devra être « présent parfaitement à 8h30 tous les jours, au bloc opératoire » pour exercer un certain nombre d’actes tels que le « toucher vaginal » (abrégé en « TG ») sous anesthésie générale (« AG »).
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