Vols Internes en Chine - Low Cost Beijing - Canton (vol direct)

layal

Membre Actif
10 Mai 2010
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Bonjour,

quelqu'un connait un site pour acheter un vol simple et direct low cost de Beijing à Canton ?

j'ai trouvé seulement www.elong.net

Je suppose qu'il y a d'autres sites pour un pays aussi grand que la Chine ;)

Merci.
 
www.qunar.com

c'est le meilleur site que je connaisse. Il recherche sur plusieurs sites dont elong et ctrip les tarifs les moins cher.

Mais ne t'attends pas à des tarifs "Ryan Air" en chine. A vrai dire, il y a pas vraiment de low cost par ici. Juste des promos sur les principales compagnies aériennes en fonction de la date de voyage
 
Cela dépend. Tu peux vraiment tomber sur des bonnes offres qui restent sur le site une heure ou deux.

Un jour ma femme a eu un Chengdu-Changsha pour 250 yuans HT.

Il faut souvent regarder plusieurs fois par jour pour chopper une bonne promo. Parfois visiter le site des compagnies aériennes permet aussi d'avoir des meilleurs prix.
 
Ma définition de low cost ca veut dire: moins cher que le train.

Chengdu - Changsha c'est assez proche aussi. Avec les taxes ca a du monter à pas loin de 500 j'imagine, soit plus cher que le train.
 
Certes le gouvernement chinois veut favoriser le train pour concurrencer l'avion. Seulement prendre le train c'est surtout valable si tu habites dans l'est de la Chine pour le moment.

Car perdre une demi-journée à une journée dans le train pour venir dans le Sichuan, se faire pousser de partout pour aller sur le quai, je préfère payer plus cher et prendre l'avion.

Pour le moment l'ouest est mal desservi en train rapide.

Et pour l'avion avec le prix cité ci-dessus + les taxes cela devait se monter à 400 yuans et aujourd'hui en regardant sur ctrip : le minimum HT est de 460 yuans. Tu as donc des promos exceptionnelles.
 
http://french.peopledaily.com.cn/Economie/7349898.html

L'avion ou le train à grande vitesse ? Un choix difficile dans l'ère du TGV en Chine
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Avec la généralisation des trains à grande vitesse en Chine, la supériorité des avions s'est largement réduit, car de plus en plus de leurs anciens passagers choississent les trains à grande vitesse.

Récemment, les 4 compagnies aériennes chinoises cotées en 2010 (Air China, China Southern Airlines, China Eastern Airlines et Hainan Airlines) ont affiché de bons résultats – en 2010, les bénéfices nets totaux se sont élevés à 26,4 milliards de yuans, soit 3 fois de plus par rapport à l'année précédente. Cependant, leurs soucis se montrent quand même face à la construction rapide des trains à grande vitesse en Chine.

Les 4 compagnies aériennes ont respectivement inclus la construction continue des TGV parmi les facteurs négatifs pour leur développement de l'année 2011.

En effet, ce type de crainte et la crise latente deviennent graduellement la réalité. Après l'inauguration de la ligne à grande vitesse Wuhan-Guangzhou, 60%-70% des vols courts de moins de 600 km ont été arrêtés à l'aéroport de Tianhe à Wuhan, alors que les vols d'environ 800 km desservant Guangzhou et Shanghai ont perdu pas mal de passagers, selon les statistiques de l'aéroport.

Selon les statistiques, le secteur de l'aviation de Wuhan est celui qui a été le plus touché par les trains à grande vitesse.

L'avion ou le train à grande vitesse ? Le temps, les dépenses et la commodité sont les trois facteurs principaux des passagers lorsqu'ils font des choix.

En réalité, même avant l'inauguration des chemins de fer à grande vitesse Beijing et Shanghai, les soucis de l'aviation civile en la matière étaient déjà très présents. Selon les estimations de certains experts du milieu, l'inauguration de la ligne à grande vitesse Beijing-Shanghai réduira de 30%-70% des volumes de transport du marché aérien le long de cette ligne. Certains vols le long de la ligne risqueraient de s'arrêter.

Selon la compagnie CICC (China International Capital Corporation Limited), l'influence du développement des TGV en Chine sur l'aviation civile monterait graduellement pendant la seconde moitié de l'année. Selon la compagnie, l'inauguration de la ligne à grande vitesse Beijing-Shanghai dans la seconde moitié de l'année sera un choc direct pour Air China et China Eastern Airlines. « Les lignes aériennes de ces deux compagnies se concentrent dans la région centrale et est. Le nombre de passagers et le niveau de prix des lignes importantes, comme celle qui relie Beijing à Shanghai, seront sans doute touchés, ce qui affectera directement les bénéfices des compagnies sur le marché chinois. »

Cependant, certains experts remarquent que les soucis démesurés ne sont pas justifiés. En tenant compte des statistiques, le comptoir de Ctrip.com a indiqué que certaines lignes populaires, comme celle entre Beijing et Shanghai, peuvent en réalité proposer divers moyens de transport, et le secteur ferroviaire et l'aviation civile ont déjà formé leurs propres clientèles, ce qui aide à réduire les influences mutuelles.

Il faudrait attacher de l'importance au choc apporté par les trains à grande vitesse, mais les soucis exagérés ne sont pas justifiés, a remarqué Zhang Wu'an, porte-parole de Spring Airlines Co,.LTD, au journaliste de « International Finance News ». « Les trains à grande vitesse et l'aviation ont tous un marché suffisant. Le sujet sur l'impact du TGV sur l'aviation mené spécialement par notre société montre que les vols d'environ 1 000 km qui prennent moins d'une heure et demie seront le plus influencés par le TGV. Pourtant, même pour ce type de trajet, l'avion et le train donnent des expériences différentes aux passagers, et la diversité de demande existe toujours. »
 
La Chine met un coup de frein à ses TGV

Lien retiré

En moins de dix ans, la Chine a construit davantage de lignes de trains à grande vitesse que tous les pays occidentaux réunis depuis un demi-siècle. Et ils roulent plus vite que partout ailleurs. Mais la dure réalité vient de rattraper le TGV chinois. Pour des questions de sécurité et de rentabilité, a annoncé cette semaine dans le Quotidien du peuple le tout nouveau ministre des Chemins de fer, Sheng Guangzu, la vitesse de pointe des TGV les plus rapides sera réduite de 350 à 300 km/h. Huit lignes seulement iront à ces vitesses, tandis que les autres seront davantage réduites, jusqu’à 200 km/h, voire en dessous. «Ce sera plus sûr», a-t-il déclaré, validant ainsi les doutes soulevés depuis plusieurs années par de nombreux experts, chinois et étrangers (Libération du 8 mai 2010).
Yoshiyuki Kasai, le président de la compagnie des chemins de fer japonais, avertissait en 2009 que les trains chinois fabriqués sur le modèle japonais roulent à des vitesses 25% plus élevées. «Les Chinois ne prêtent pas attention autant que nous à la sécurité», avait-il dit. Aucune autre entreprise ayant vendu sa technologie à la Chine - Alstom, Siemens, Bombardier - n’avait publiquement émis de telles réserves. Peut-être pour ne pas mettre en péril leurs bonnes relations avec l’ancien ministre des Chemins de fer, Liu Zhijun, «le père du TGV chinois», limogé le mois dernier. Pour corruption, mais aussi pour mettre un terme à sa folie des grandeurs - à laquelle le politburo du parti n’est sans doute pas étranger.
«Les études de faisabilité réalisées en 2003 recommandaient des TGV allant à 200 km/h pour relier les villes de Tianjin, Pékin, Wuhan, Canton, Xian et Zhengzhou. Mais après la mise en chantier, le ministère a ordonné des lignes à 350 km/h», déplore l’hebdomadaire Caixin. Résultat : les coûts ont triplé. Les prix des billets sont tellement chers que les voyageurs se font rares - d’où un grand risque de banqueroute, à moins d’une injection massive de capitaux de l’Etat. Certaines lignes toutes neuves, comme Pékin-Fuzhou (2 058 km de long), ont été fermées, car dix jours après l’inauguration, «aucun client ne s’était présenté», selon Caixin. Il y a le coût excessif du billet, bien sûr, mais aussi le fait que, comme le notent beaucoup d’experts, aucune ligne de plus de 800 km n’est rentable, l’avion étant plus concurrentiel. L’actuel ministre a donc annoncé cette semaine que l’expansion du réseau allait en être affectée.
 
elong

j'ai acheté sur elong.net les autres sites sont en chinois donc c'est pas évident si on ne le lit... sinon je n'ai pas trouvé où changer en langue anglaise :p

j'ai comparé les prix en utilisant le translator de google, c'est les mêmes prix ce sont des aggrégateurs de toute façon... sauf elong justement qui doit être un genre de Opodo, c'est eux qui facturent.

par contre c'est intéressant je peux me faire rembourser le billet même après départ !!! vive la Chine !!! sur Opodo ya pas moyen lol anim_dead
 
La Chine met un coup de frein à ses TGV

Lien retiré

En moins de dix ans, la Chine a construit davantage de lignes de trains à grande vitesse que tous les pays occidentaux réunis depuis un demi-siècle. Et ils roulent plus vite que partout ailleurs. Mais la dure réalité vient de rattraper le TGV chinois. Pour des questions de sécurité et de rentabilité, a annoncé cette semaine dans le Quotidien du peuple le tout nouveau ministre des Chemins de fer, Sheng Guangzu, la vitesse de pointe des TGV les plus rapides sera réduite de 350 à 300 km/h. Huit lignes seulement iront à ces vitesses, tandis que les autres seront davantage réduites, jusqu’à 200 km/h, voire en dessous. «Ce sera plus sûr», a-t-il déclaré, validant ainsi les doutes soulevés depuis plusieurs années par de nombreux experts, chinois et étrangers (Libération du 8 mai 2010).
Yoshiyuki Kasai, le président de la compagnie des chemins de fer japonais, avertissait en 2009 que les trains chinois fabriqués sur le modèle japonais roulent à des vitesses 25% plus élevées. «Les Chinois ne prêtent pas attention autant que nous à la sécurité», avait-il dit. Aucune autre entreprise ayant vendu sa technologie à la Chine - Alstom, Siemens, Bombardier - n’avait publiquement émis de telles réserves. Peut-être pour ne pas mettre en péril leurs bonnes relations avec l’ancien ministre des Chemins de fer, Liu Zhijun, «le père du TGV chinois», limogé le mois dernier. Pour corruption, mais aussi pour mettre un terme à sa folie des grandeurs - à laquelle le politburo du parti n’est sans doute pas étranger.
«Les études de faisabilité réalisées en 2003 recommandaient des TGV allant à 200 km/h pour relier les villes de Tianjin, Pékin, Wuhan, Canton, Xian et Zhengzhou. Mais après la mise en chantier, le ministère a ordonné des lignes à 350 km/h», déplore l’hebdomadaire Caixin. Résultat : les coûts ont triplé. Les prix des billets sont tellement chers que les voyageurs se font rares - d’où un grand risque de banqueroute, à moins d’une injection massive de capitaux de l’Etat. Certaines lignes toutes neuves, comme Pékin-Fuzhou (2 058 km de long), ont été fermées, car dix jours après l’inauguration, «aucun client ne s’était présenté», selon Caixin. Il y a le coût excessif du billet, bien sûr, mais aussi le fait que, comme le notent beaucoup d’experts, aucune ligne de plus de 800 km n’est rentable, l’avion étant plus concurrentiel. L’actuel ministre a donc annoncé cette semaine que l’expansion du réseau allait en être affectée.

ca ne m'étonne quasiment pas.....pour la ligne wuhan hangzhou en 3h30,le train est souvent assez vide, tellement vide que je peux me surclasser sans problème, de plus le prix du billet est souvent plus cher que l'avion ou équivalent....normalement la ligne beijing wuhan doit ouvrir bientôt...