Ce jeune homme d'origine chinoise a intégré la plus prestigieuse des grandes écoles de la République. Le 14 juillet, il défilait sur les Champs-Elysées
[FONT=trebuchet ms,arial,helvetica,sans-serif]Alex Huyn, exemple à suivre. Ce Bondynois a osé se lancer dans de grandes études. Prenant son courage à deux mains, il a réussi à intégrer Polytechnique, l'un des creusets de l'élite française. Il est resté le même, comme peuvent en témoigner ses amis, dont je fais partie : simple, souriant, sportif. Nous avons longtemps pensé qu’il était surdoué mais nous avons vite compris qu’il bossait dur, plus que les autres. Loin d’être jaloux, nous étions admiratifs de son parcours. [/FONT][FONT=trebuchet ms,arial,helvetica,sans-serif]Pour en arriver là, Alex a dû se déraciner, faire ses gammes au lycée Louis Le Grand à Paris, la maternelle des grandes écoles. « Initialement, raconte-t-il, je souhaitais continuer ma scolarité au lycée Jean Renoir à Bondy ou dans un autre établissement de Seine-Saint-Denis, ce qui était bien sûr la solution de facilité : je restais avec mes amis et le temps de transport était négligeable. J’ai été quelque peu forcé par ma famille à m’inscrire à Louis Le Grand et je ne l’ai jamais regretté ».
la suite :
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[FONT=trebuchet ms,arial,helvetica,sans-serif]Alex Huyn, exemple à suivre. Ce Bondynois a osé se lancer dans de grandes études. Prenant son courage à deux mains, il a réussi à intégrer Polytechnique, l'un des creusets de l'élite française. Il est resté le même, comme peuvent en témoigner ses amis, dont je fais partie : simple, souriant, sportif. Nous avons longtemps pensé qu’il était surdoué mais nous avons vite compris qu’il bossait dur, plus que les autres. Loin d’être jaloux, nous étions admiratifs de son parcours. [/FONT][FONT=trebuchet ms,arial,helvetica,sans-serif]Pour en arriver là, Alex a dû se déraciner, faire ses gammes au lycée Louis Le Grand à Paris, la maternelle des grandes écoles. « Initialement, raconte-t-il, je souhaitais continuer ma scolarité au lycée Jean Renoir à Bondy ou dans un autre établissement de Seine-Saint-Denis, ce qui était bien sûr la solution de facilité : je restais avec mes amis et le temps de transport était négligeable. J’ai été quelque peu forcé par ma famille à m’inscrire à Louis Le Grand et je ne l’ai jamais regretté ».
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