Sujet Unique : Airbus Russe - Intervention Russe en Syrie - Situations / Libye - Tunisie ...

Ben oui lui pendant que les autres sont aux Indes , il fait son possible pour redonner du poids a nos agriculteurs et aux autres PME francaises qui exportent en Russie , et avec Poutine en face il faut un sacre aplomb , car c'est le maitre du jeu c'est evident ...

nan, je parle de ses soutiens/conseillers.
 
Eltsine etait un meilleur interlocuteur pour les Occidentaux ... Forcement !

C'est sur qu'avec Poutine ça rigole un peu moins.

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comment ça y a des différences de langues et de culture ?
on m'avait dit que tous ces pays de l'axe du mal du moyen orient ne parlaient que le musulman et voulaient tous nous attaquer.
m'auront-on menti ?
"On" est un con, c est bien connu...
 
Juste pour information. Ci dessous l'evolution de la carte en Syrie depuis le debut de l'intervention Russe: (source Wikipedia)

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Les gains incontestables sont celles des Kurds; relativement allie avec le gouvernement Syrien et reconnu comme des terroristes par les Turques.
Sinon quelques gains pour le gouvernement dans la provence de Latekiya, et autour d'Alepp. A attendre la mise a jour avec les nouveaux gains.

Mais en generale, chaque un reste fort dans ces zones et plus precisement IS, qui en theorie se font bombarder par la Russie et la Coalition...
 
L'armée syrienne reprend une localité à Deraa

L'armée syrienne a repris, hier, aux rebelles une ville stratégique dans la province de Deraa, lui permettant de sécuriser ses voies de ravitaillement entre Damas et le sud de la Syrie, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Cette localité de Cheikh Maskine se situe à un carrefour entre les régions de Soueïda, Kouneïtra, Deraa et Damas. Elle relie aussi les parties orientale et occidentale de la province de Deraa.

Les combats se déroulent désormais à la périphérie ouest de la ville, selon l'OSDH, qui dispose d'un vaste réseau d'informateurs à travers la Syrie.

«La ville est très importante pour les deux camps. Ils se sont tous battus avec acharnement. En prenant (la ville), le régime a coupé les liens entre l'est et l'ouest de Deraa pour les rebelles», a dit Rami Abdoulrahman, directeur de l’OSDH. «Les destructions dans la ville sont énormes.»

L'armée a lancé son offensive sur Cheikh Maskine fin décembre et elle a bénéficié d'un appui aérien russe et syrien. Elle pourrait désormais pousser son offensive vers le mont Al Harra, point culminant de Deraa.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...mee-syrienne-reprend-une-localite-a-deraa.php
 
Alep : le tourment décisif des frappes russes

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La plus grande ville syrienne, qui n’est plus qu’un champ de ruines, risque d’être assiégée par l’armée du régime et ses alliés.

Extrait : Que restera-t-il d’Alep ? En restera-t-il seulement quelque chose, sinon des ruines et des quartiers ravagés ? Alep, la plus grande ville de Syrie, est en guerre depuis quatre ans. Dévastée par les combats entre rebelles et soldats du régime, elle est aujourd’hui bombardée par l’aviation russe et risque d’être assiégée par les forces de Bachar al-Assad et leurs alliés. «Les Russes frappent plusieurs fois par jour, aussi bien à Alep que dans les campagnes du Nord, jusqu’à la frontière turque. C’est un rythme jamais vu depuis le début de la guerre», dit Saqr Ali al-Khadr, membre d’une ONG syrienne rencontré à Gaziantep, dans le sud de la Turquie.
Les rebelles sont entrés à l’été 2012 dans Alep. Ils ont rapidement pris le contrôle de la moitié de la ville. Les combats n’ont jamais cessé depuis. Durant près de deux ans, l’aviation syrienne a largué des milliers de barils d’explosifs, visant délibérément les civils. Mais les lignes de front sont restées globalement figées.

Etau
Dans la périphérie, après des affrontements entre rebelles et jihadistes de l’Etat islamique (EI) à la fin 2013, les positions n’ont guère évolué. Mais depuis deux mois, les lignes bougent. Les troupes syriennes, alliées à des combattants du Hezbollah libanais, des miliciens chiites irakiens et des conseillers iraniens, tentent d’encercler les faubourgs de la ville. Précédés par les bombardements russes, ils s’en approchent. Ils progressent depuis le sud et l’est. L’étau n’est pas refermé, mais les rebelles ne tiennent plus que la périphérie nord-ouest.

«Franchement, si ça continue à ce rythme, on ne peut plus exclure qu’Alep soit bientôt encerclé. Ce serait catastrophique, plus d’un million de civils seraient piégés», explique le conseiller politique d’un groupe de l’Armée syrienne libre (ASL), opposée au régime. «Depuis trois ans, on répète que les rebelles vont finir par prendre le contrôle total d’Alep. Mais ce n’est jamais arrivé. Cette fois, c’est l’inverse qui risque de se produire. Si jamais Alep est assiégé et repris par le régime, c’en est fini de la révolution», ajoute un diplomate occidental.

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Source : LIBERATION
 
Syrie : Alep bombardée, les habitants en fuite

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Plusieurs dizaines de milliers de Syriens fuient l'offensive des forces gouvernementales appuyée par l'aviation russe dans la région d'Alep. En 24 heures, les forces fidèles à Bachar al-Assad ont encerclé totalement les campagnes au nord de la ville.

Extrait : Des milliers de civils syriens bloqués à la frontière turque. Les habitants d'Alep, deuxième ville du pays, fuient les bombardements, incessants depuis lundi, du régime de Bachar al-Assad soutenus par les forces russes. Sous la couverture des avions de combat russes, qui ont mené près d'un millier de raids depuis le début de l'offensive dans cette province du nord, l'armée syrienne resserre son étau autour de la ville.

● Situation catastrophique

La situation humanitaire est désormais catastrophique. Fuyant l'offensive et les raids, quelque 40.000 habitants de la province d'Alep ont pris la route ces derniers jours.

Avec la progression du régime, les rebelles et quelques centaines de civils dans les quartiers Est de la ville d'Alep pourraient se retrouver prochainement asphyxiés, leur principale route d'approvisionnement vers la Turquie ayant été coupée mercredi.

Le régime contrôle les quartiers ouest de la ville et les rebelles les quartiers est depuis 2012. «Le régime commence à récolter les fruits de la campagne russe et son avancée à Alep est d'autant plus importante qu'il a encaissé revers après revers ces deux dernières années», affirme Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

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Source : LE FIGARO
 
Dernière édition:
Damas rejette toute condition préalable à des pourparlers

Le gouvernement syrien rejette toute condition préalable à des pourparlers de paix avec l'opposition, a déclaré aujourd'hui le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Moualem. L'opposition réclame des gestes humanitaires de la part de Damas afin d'établir la confiance entre les deux camps.

Les pourparlers de Genève III ont été suspendus mercredi dernier et jusqu'au 25 février en raison de l'offensive lancée quelques jours plus tôt dans la région d'Alep par les forces gouvernementales, avec le soutien aérien de la Russie. Lors d'une conférence de presse à Damas, Walid Moualem a assuré que son gouvernement avait abordé les entretiens de Genève sans poser de conditions, contrairement à ses opposants.

Il s'est également félicité des gains récents de l'armée syrienne et ses alliés dans la région d'Alep et le sud de la Syrie. Interrogé sur la volonté annoncée par l'Arabie saoudite d'envoyer des troupes au sol en Syrie si la coalition conduite par les Etats-Unis décide de lancer de telles opérations, le chef de la diplomatie syrienne a dit espérer que Ryad entendrait le "langage de la raison". Mais, a-t-il ajouté, "la folie des dirigeants saoudiens implique que rien n'est exclu".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2...ute-condition-prealable-a-des-pourparlers.php
 
L'Europe exhorte la Turquie à accueillir les réfugiés d'Alep

VIDÉO - Plusieurs dizaines de milliers de Syriens fuient l'offensive des forces gouvernementales appuyée par l'aviation russe dans la région d'Alep. Samedi matin, la frontière turque était toujours fermée malgré les demandes de l'Europe.

Extrait : Des milliers de civils syriens bloqués à la frontière turque. Les habitants d'Alep, deuxième ville de Syrie, fuient les bombardements, incessants depuis lundi, du régime de Bachar al-Assad soutenus par les forces russes. Sous la couverture des avions de combat russes, l'armée syrienne resserre son étau autour de la ville.

Le poste-frontière turc d'Oncupinar était toujours fermé, samedi matin, aux milliers de Syriens qui s'y pressaient pour échapper aux différentes offensives.

● L'Europe appelle la Turquie à ouvrir sa frontière

Les Européens ont rappelé samedi matin à la Turquie son devoir, au regard du droit international, d'accueillir les milliers de réfugiés syriens bloqués à sa frontière après avoir fui une offensive de l'armée du régime appuyée par l'aviation russe. «La Convention de Genève, qui stipule qu'il faut accueillir les réfugiés, est toujours valide», a déclaré le commissaire à l'Elargissement, Johannes Hahn, en arrivant à une réunion de l'Union européenne à Amsterdam.

Les ministres européens des Affaires étrangères, réunis depuis vendredi à Amsterdam pour une réunion informelle, devaient profiter de la présence de leur homologue turc Mevlut Cavusoglu pour lui signifier leur inquiétude sur le sort de ces réfugiés.

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Source : LE FIGARO
 
L'Europe exhorte la Turquie à accueillir les réfugiés d'Alep

VIDÉO - Plusieurs dizaines de milliers de Syriens fuient l'offensive des forces gouvernementales appuyée par l'aviation russe dans la région d'Alep. Samedi matin, la frontière turque était toujours fermée malgré les demandes de l'Europe.

Extrait : Des milliers de civils syriens bloqués à la frontière turque. Les habitants d'Alep, deuxième ville de Syrie, fuient les bombardements, incessants depuis lundi, du régime de Bachar al-Assad soutenus par les forces russes. Sous la couverture des avions de combat russes, l'armée syrienne resserre son étau autour de la ville.

Le poste-frontière turc d'Oncupinar était toujours fermé, samedi matin, aux milliers de Syriens qui s'y pressaient pour échapper aux différentes offensives.

● L'Europe appelle la Turquie à ouvrir sa frontière

Les Européens ont rappelé samedi matin à la Turquie son devoir, au regard du droit international, d'accueillir les milliers de réfugiés syriens bloqués à sa frontière après avoir fui une offensive de l'armée du régime appuyée par l'aviation russe. «La Convention de Genève, qui stipule qu'il faut accueillir les réfugiés, est toujours valide», a déclaré le commissaire à l'Elargissement, Johannes Hahn, en arrivant à une réunion de l'Union européenne à Amsterdam.

Les ministres européens des Affaires étrangères, réunis depuis vendredi à Amsterdam pour une réunion informelle, devaient profiter de la présence de leur homologue turc Mevlut Cavusoglu pour lui signifier leur inquiétude sur le sort de ces réfugiés.

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Source : LE FIGARO

Quand on voit ce qu'on fait les migrants le 31 décembre 2015 en Allemagne (viols, attouchements..., et qu'ils justifient par "urgence sexuelle":mad:), on peut comprendre pourquoi les Turcs n'ouvrent pas leur frontière :rolleyes:.
 
Quand on voit ce qu'on fait les migrants le 31 décembre 2015 en Allemagne (viols, attouchements..., et qu'ils justifient par "urgence sexuelle":mad:), on peut comprendre pourquoi les Turcs n'ouvrent pas leur frontière :rolleyes:.
Il me semblait que les auteurs des agressions en Allemagne étaient essentiellement d'origine maghrébine et n'étaient donc pas des migrants syriens.
 
Damas promet de libérer Alep et de contrôler la frontière

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DAMAS (Reuters) - L'offensive menée par l'armée syrienne dans la région d'Alep vise à libérer cette ville des groupes rebelles et à assurer la sécurité à la frontière avec la Turquie, a déclaré mardi à Damas Bouthaina Chaabane, conseillère politique du président Bachar al Assad.

Extrait : "Nous voulons contrôler la frontière avec la Turquie parce que la Turquie est la plus grande pourvoyeuse de terroristes", a-t-elle dit au cours d'un entretien avec Reuters dans ses bureaux de la capitale syrienne.

Les propositions de cessez-le-feu, a-t-elle ajouté, n'ont guère de chances d'aboutir car elles sont avancées par des pays qui "ne veulent pas mettre fin au terrorisme" et cherchent au contraire à soutenir les insurgés qui reculent sur le terrain.

L'offensive gouvernementale, appuyée par les bombardements aériens russes, a permis aux loyalistes de se rapprocher d'un point de passage frontalier avec la Turquie emprunté depuis des années par les rebelles.

Cette offensive va continuer sur le même rythme "afin de libérer les villes et les villages contrôlés depuis trois ans et demi par les terroristes et tenter aussi de libérer Alep", a poursuivi Bouthaina Chaabane.

Les Nations unies ont fait part de leur inquiétude pour les 300.000 civils qui vivent dans les quartiers d'Alep tenus par la rébellion et manqueraient de tout si l'armée parvient à encercler totalement la ville.

Des dizaines de milliers de personnes ont déjà fui la région en direction de la Turquie mais la plupart restent bloquées à la frontière.

Ankara, a ajouté la conseillère du président syrien, se sert de la crise des réfugiés pour soumettre les Etats européens à un chantage.

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Source : LA TRIBUNE