Sujet Unique : Airbus Russe - Intervention Russe en Syrie - Situations / Libye - Tunisie ...

Bonjour Chris
Dans le strict cas des migrants , que vont faire les soldats de l'OTAN ?
Ils vont faire comme tous les autres (Allemands, Italiens, Grecs et j'en passe...) : RIEN !!!
 
Syrie : un mince espoir de cessez-le-feu

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La proposition russe en faveur d'un arrêt des hostilités avec les rebelles non djihadistes d'ici à une semaine a été acceptée, sans trop d'illusions, par les États-Unis et les puissances européennes réunies vendredi à Munich.

Extrait : Aucun représentant de la Syrie ne se trouvait là. Mais à Munich, où s'est ouverte vendredi la Conférence sur la sécurité qui réunit comme chaque année un large éventail de responsables internationaux, la guerre syrienne était de tous les discours. «C'est la tragédie la plus grave» de ces dernières années, a affirmé le roi Abdallah de Jordanie en ouverture des discussions. Son pays, touché au premier rang, compte un réfugié syrien pour cinq habitants. «Il faut arrêter les carnages en Syrie», a-t-il réclamé. Les regards sont tournés vers la Russie qui détient, aux yeux des Occidentaux, une large part de la solution.

«Bachar el-Assad nourrit Daech», a relevé le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, en prônant une stratégie globale contre les terroristes. Les islamistes se présentent comme la seule opposition au dictateur et profitent de l'affaiblissement de l'opposition modérée. Assad doit être arrêté «quoi qu'en pensent ceux qui le soutiennent», a poursuivi le ministre en visant la Russie. Moscou ne veut pas perdre pied dans cette région et profite de la lutte contre les groupes terroristes, Daech et les autres, pour soutenir militairement Bachar el-Assad.

La guerre civile a déjà fait 260.000 victimes. Un timide premier pas vers une solution a été franchi dans la nuit de jeudi à vendredi: Washington et Moscou se sont mis d'accord au sein du «Groupe de soutien à la Syrie», réuni exceptionnellement à Munich, pour aboutir à «une cessation des hostilités» d'ici à une semaine entre les troupes gouvernementales et les rebelles. Les groupes terroristes ne sont pas concernés, ce qui permet à la Russie de poursuivre ses bombardements. Ce compromis «offre une lueur d'espoir», a néanmoins observé la ministre allemande de la Défense, Ursula von der Leyen. «Mais il faut donner des preuves maintenant», a-t-elle insisté. L'accord prévoit aussi une aide humanitaire immédiate dans sept zones du pays.

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Source : LE FIGARO
 
Bachar al-Assad se dit déterminé à reconquérir toute la Syrie

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Dans un entretien publié vendredi par l'AFP, le dictateur syrien rejette les accusations de crimes de guerre, et estime que l'Europe devrait aider les réfugiés syriens à rentrer dans leur pays.

Extrait : C'est la première interview accordée par le dictateur syrien, à un média occidental, depuis l'échec le mois dernier des pourparlers de Genève et le lancement, au début du mois, par son armée, d'une offensive militaire dans la région d'Alep, appuyée par l'aviation russe.

Bachar al-Assad ne veut rien lâcher. Bien au contraire. Son pays est à feu et à sang depuis cinq ans, mais il se dit déterminé à reprendre le contrôle de toute la Syrie, aujourd'hui divisée entre des portions contrôlées par le régime, des rebelles et des djihadistes. «Il n'est pas logique de dire qu'il y a une partie de notre territoire à laquelle nous renoncerons», déclare-t-il à l'AFP. Mais en est-il capable? «Que nous soyons capables de le faire ou non, c'est un but que nous chercherons à atteindre sans hésitation», assure-t-il, tout en le concédant: les combats contre les rebelles qui cherchent depuis près de cinq ans à le renverser pourraient être «longs».

Intervention turque et saoudienne
Concernant la bataille d'Alep, qu'il qualifie de «principale», le président explique qu'elle n'a pas pour but de reprendre la grande ville du nord-ouest de la Syrie, mais de «couper la route» entre la province et la Turquie, parce qu'elle constitue «la voie principale de ravitaillement des terroristes». Le régime syrien désigne par «terroriste» ses opposants armés, qu'ils appartiennent à une tendance modérée ou djihadiste.

Assad n'écarte d'ailleurs pas le risque d'une intervention militaire turque et saoudienne en Syrie. «C'est une possibilité que je ne peux pas exclure pour la simple raison que [le président turc Recep Tayyip] Erdogan est quelqu'un d'intolérant, de radical, un pro-Frères musulmans et qui vit le rêve ottoman, dénonce-t-il. Il en est de même pour l'Arabie saoudite. De toute manière, une telle action ne sera pas facile pour eux, et nous allons très certainement y faire face» assure-t-il.

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Source : LE FIGARO
 
EI: intervention turco-saoudienne en Syrie ?

La Turquie et l'Arabie saoudite pourraient mener une opération terrestre contre le groupe Etat islamique (EI) en Syrie, et le royaume va déployer des avions de chasse sur une base turque, a annoncé ce samedi le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu.

"S'il y a une stratégie (contre l'EI), alors la Turquie et l'Arabie saoudite pourraient participer à une opération terrestre", a affirmé le ministre, cité par les quotidiens Yeni Safak et Haberturk. "L'Arabie saoudite envoie aussi des avions en Turquie, à Incirlik", la grande base militaire du sud du pays, a-t-il ajouté.

LE FIGARO flash info
 
Les sombres visions sur l'état du monde de Valls et Medvedev

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VIDÉO - Samedi lors de la Conférence sur la Sécurité qui se tient à Munich, le Français a prévenu qu'il y aurait d'autres attaques d'ampleur en Europe quand le Russe a parlé de « retour de la guerre froide ».

Extrait : Deux mises en garde: c'est un sombre XXIe qu'ont décrit Manuel Valls et Dimitri Medvedev. Les premiers ministres français et russes, présents ce samedi à la Conférence sur la Sécurité à Munich, ont posé un regard inquiet sur l'état du monde. Ce sont aussi deux visions qui se sont opposées: une Europe en crise contre une Russie qui veut imposer son rang. S'exprimant l'un après l'autre à la tribune, ils se sont à peine regardés. Le face-à-face devait de toute façon se poursuivre plus tard à huis clos durant un déjeuner de travail où devaient être évoqués les points de tensions entre l'Europe et la Russie.

Manuel Valls et Dimitri Medvedev ont chacun présenté une version des crises internationales. Pour le Français, il ne devrait y avoir qu'une priorité et «qu'un seul adversaire»: la menace islamiste. «Nous sommes entrés dans une nouvelle époque caractérisée par la présence durable de l'hyperterrorisme», a commencé Manuel Valls. «Nous avons changé d'époque et de monde», a-t-il insisté. «Nous sommes sortis d'une forme d'insouciance. Nous sommes en guerre. Il y aura d'autres attaques d'ampleur», a-t-il prévenu avec pessimisme. Pour Manuel Valls, le «combat» contre le terrorisme et la radicalisation «sera long»: «ce sera peut-être l'affaire d'une génération».

Le défi sécuritaire, sur fond de crise migratoire, menace la cohésion européenne, a-t-il poursuivi. «Le projet européen peut reculer et peut-être disparaitre», a-t-il prévenu si les Etats ne parviennent pas à protéger leurs populations. «Il disparaitrait derrière la montée des égoïsmes et des populismes». Sur cette menace qui pèse sur l'Europe, Dimitri Medvedev sera d'accord. Dans son discours, le premier ministre russe a déploré «le risque de dislocation de l'espace européen» et de l'équilibre international pour mieux défendre la politique de Vladimir Poutine.

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Source : LE FIGARO
 
Syrie: des avions saoudiens en Turquie

Farouchement hostile au régime de Bachar al-Assad et en froid avec la Russie, la Turquie envisage de lancer avec l'Arabie saoudite une opération terrestre contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) en Syrie, a annoncé hier le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu.

Cet engagement accru survient alors que les groupes rebelles soutenus par Ankara et Ryad ne cessent de perdre du terrain face aux Kurdes mais aussi et surtout face aux forces du régime de Bachar al-Assad.

L'Iran et la Russie, les principaux alliés de Damas, ont mis en garde ces pays contre l'envoi de troupes en Syrie.
"Nous ne permettrons certainement pas que la situation en Syrie évolue conformément à la volonté des pays favorables aux rebelles. Nous prendrons les décisions nécessaires le moment venu", a averti dimanche l'adjoint du chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général Massoud Jazayeri.

Sur le terrain, l'armée syrienne continuait de progresser au nord d'Alep et ne se trouvait plus dimanche qu'à environ trois kilomètres au sud de Tall Rifaat, l'un des trois bastions qui restent aux insurgés dans cette région. La localité, qui a été visée samedi par plus de 20 raids russes, est également attaquée à l'est par les FDS.

L'offensive lancée le 1er février par le régime a provoqué l'exode de dizaines de milliers de personnes qui restent notamment bloquées au nord d'Azaz, tout près de la frontière turque, espérant que les autorités turques les laissent entrer.

Dans ce contexte, dirigeants et experts réunis à Munich pour la conférence sur la Sécurité se sont montrés peu optimistes sur les chances de faire appliquer la trêve annoncée par les grandes puissances pour la semaine prochaine.

Les Etats-Unis ont accusé samedi la Russie d'avoir "exacerbé" le conflit par son appui militaire aux forces gouvernementales. "Il est essentiel que la Russie change de cibles (..) Parce que, de toute évidence, si ceux qui sont prêts à participer au processus politique sont bombardés, on n'aura pas beaucoup de conversation", a insisté le secrétaire d'Etat John Kerry.

Au cours d'une conversation téléphonique, les présidents américain Barack Obama et russe Vladimir Poutine ont cependant dressé une "évaluation positive" de l'accord sur la cessation des hostilités, selon le Kremlin.

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Syrie: Ryad prête à envoyer des troupes

L'Arabie saoudite, qui a reconnu hier soir avoir déployé des avions dans des bases turques proches de la Syrie, s'est dit prête à envoyer des troupes au sol, en précisant ce dimanche qu'un tel déploiement dépendrait d'une décision de la coalition internationale rassemblée par les Etats-Unis contre l'organisation Etat islamique.

"La disponibilité du royaume à fournir des forces spéciales dans le cadre d'opérations terrestres en Syrie est liée à une décision d'ajouter une composante terrestre à la coalition contre Daech en Syrie", a souligné aujourd'hui le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al Jubeir, lors d'une conférence de presse à Ryad.

"Le calendrier ne dépend donc pas de nous", a ajouté l'ancien ambassadeur saoudien à Washington, ajoutant que les modalités de cette éventuelle intervention au sol devaient encore être fixées.

Le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter a déclaré vendredi qu'il souhaitait que l'Arabie saoudite de même que les Emirats arabes unis déploient des forces spéciales en Syrie pour aider les insurgés à reprendre Rakka, capitale syrienne du califat proclamé par les djihadistes.

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Dernière édition:
La Turquie pilonne les forces kurdes en Syrie

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INFOGRAPHIE - Tout en s'en prenant aux Kurdes, Ankara se dit prêt à une intervention au sol contre Daech et accueille des avions saoudiens.

Extrait : La Turquie a fait comprendre, ce week-end, qu'elle ne resterait pas spectatrice des grandes manœuvres qui agitent l'autre côté de sa frontière avec la Syrie, en particulier dans les environs d'Alep, au risque d'affaiblir les espoirs déjà minces d'une solution négociée.

Samedi et dimanche, son artillerie a tiré des dizaines d'obus contre les Unités de protection du peuple (YPG), branche armée du Parti de l'union démocratique (PYD), principale formation des Kurdes de Syrie. Ces derniers avancent depuis deux semaines dans la région d'Azaz, au nord d'Alep, à cinq kilomètres de la frontière turque. Une percée permise - et soutenue - par l'offensive récente du régime de Damas et de l'aviation russe contre les rebelles syriens dans cette zone.

Officiellement, l'armée turque a «riposté» à des tirs provenant d'en face, notamment des abords de l'aéroport militaire de Menagh, repris le 10 février par ces forces kurdes à des opposants islamistes. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, au moins deux miliciens kurdes auraient été tués. Ankara a annoncé dans la foulée avoir répliqué à d'autres tirs visant sa province d'Hatay, plus à l'ouest, et provenant cette fois-ci de positions de l'armée syrienne.

Mais en Turquie, pas plus que chez les différents belligérants en Syrie, personne n'est dupe des intentions d'Ankara: empêcher le PYD, émanation du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) que la Turquie combat depuis plus de trente ans, de conquérir d'autres territoires le long de sa frontière, au détriment des rebelles soutenus par Ankara. Et de constituer, in fine, un Kurdistan autonome dans le nord de la Syrie, que les Turcs considèrent comme une question quasi vitale.

Samedi, au moment où son armée pilonnait le PYD, le premier ministre Ahmet Davutoglu a pris un ton guerrier pour intimer aux forces kurdes - qualifiées de «terroristes» - l'ordre de «s'éloigner immédiatement d'Azaz et de ses environs» et «d'évacuer l'aéroport de Menagh». «La Turquie est déterminée à protéger ses frontières (...) et à préserver les opposants modérés, qui sont le seul espoir de la Syrie», a-t-il assené.

Un message adressé aux Kurdes, à Damas et Moscou, autant qu'aux États-Unis, qui voient le PYD comme un allié capable d'appuyer au sol leurs bombardements anti-Daech. Washington a d'ailleurs réagi très vite, exhortant Ankara à «cesser ses tirs», tandis que la France réclamait dimanche «la cessation immédiate des bombardements (…) de la Turquie dans les zones kurdes».

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Source : LE FIGARO
 
La Turquie pilonne les forces kurdes en Syrie


INFOGRAPHIE - Tout en s'en prenant aux Kurdes, Ankara se dit prêt à une intervention au sol contre Daech et accueille des avions saoudiens.

Extrait : La Turquie a fait comprendre, ce week-end, qu'elle ne resterait pas spectatrice des grandes manœuvres qui agitent l'autre côté de sa frontière avec la Syrie, en particulier dans les environs d'Alep, au risque d'affaiblir les espoirs déjà minces d'une solution négociée.

Samedi et dimanche, son artillerie a tiré des dizaines d'obus contre les Unités de protection du peuple (YPG), branche armée du Parti de l'union démocratique (PYD), principale formation des Kurdes de Syrie. Ces derniers avancent depuis deux semaines dans la région d'Azaz, au nord d'Alep, à cinq kilomètres de la frontière turque. Une percée permise - et soutenue - par l'offensive récente du régime de Damas et de l'aviation russe contre les rebelles syriens dans cette zone.

Officiellement, l'armée turque a «riposté» à des tirs provenant d'en face, notamment des abords de l'aéroport militaire de Menagh, repris le 10 février par ces forces kurdes à des opposants islamistes. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, au moins deux miliciens kurdes auraient été tués. Ankara a annoncé dans la foulée avoir répliqué à d'autres tirs visant sa province d'Hatay, plus à l'ouest, et provenant cette fois-ci de positions de l'armée syrienne.

Mais en Turquie, pas plus que chez les différents belligérants en Syrie, personne n'est dupe des intentions d'Ankara: empêcher le PYD, émanation du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) que la Turquie combat depuis plus de trente ans, de conquérir d'autres territoires le long de sa frontière, au détriment des rebelles soutenus par Ankara. Et de constituer, in fine, un Kurdistan autonome dans le nord de la Syrie, que les Turcs considèrent comme une question quasi vitale.

Samedi, au moment où son armée pilonnait le PYD, le premier ministre Ahmet Davutoglu a pris un ton guerrier pour intimer aux forces kurdes - qualifiées de «terroristes» - l'ordre de «s'éloigner immédiatement d'Azaz et de ses environs» et «d'évacuer l'aéroport de Menagh». «La Turquie est déterminée à protéger ses frontières (...) et à préserver les opposants modérés, qui sont le seul espoir de la Syrie», a-t-il assené.

Un message adressé aux Kurdes, à Damas et Moscou, autant qu'aux États-Unis, qui voient le PYD comme un allié capable d'appuyer au sol leurs bombardements anti-Daech. Washington a d'ailleurs réagi très vite, exhortant Ankara à «cesser ses tirs», tandis que la France réclamait dimanche «la cessation immédiate des bombardements (…) de la Turquie dans les zones kurdes».

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Source : LE FIGARO

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J'ai une idee Guyong
Comme l'Iran va faire certainement appel a Mahmoud Ahmadinejad en tant que negociateur avec le president Donald Trump , le president Poutine , le president Erdogan , le president Bachar el Assad , le premier ministre Netanyahou , sans oublier notre president pour servir le cafe ... Ce sont tous des gens responsables et tolerants , mais dans un esprit de detente et d'harmonie supplementaire !

:hum:... Pourquoi ne pas faire appel a un mediateur neutre et pose dans le conflit actuel , pour apaiser les tensions ! Je propose Kim Jon- il ...


Qu'en pense tu ?
 
:hum:... Pourquoi ne pas faire appel a un mediateur neutre et pose dans le conflit actuel , pour apaiser les tensions ! Je propose Kim Jon- il ...

Qu'en pense tu ?
C'est une excellente idée....
Malheureusement Kim Jong-il a quitté cette vallée de larmes voilà plus de 4 ans... Paix à son âme (s'il en avait une...)!

Penses-tu que Kim Jong-un puisse le remplacer dans cette délicate mission?

:grin:
 
C'est une excellente idée....
Malheureusement Kim Jong-il a quitté cette vallée de larmes voilà plus de 4 ans... Paix à son âme (s'il en avait une...)!

Penses-tu que Kim Jong-un puisse le remplacer dans cette délicate mission?

:grin:
Si ca se passe à disneyland c'est tout à fait possible entre deux attractions !
 
Un message adressé aux Kurdes, à Damas et Moscou, autant qu'aux États-Unis, qui voient le PYD comme un allié capable d'appuyer au sol leurs bombardements anti-Daech. Washington a d'ailleurs réagi très vite, exhortant Ankara à «cesser ses tirs», tandis que la France réclamait dimanche «la cessation immédiate des bombardements (…) de la Turquie dans les zones kurdes».

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Source : LE FIGARO


Faire des appelles pour l’arrêt des attaques n’est qu’une forme de consentement. S’ils veulent vraiment que la Turquie arrête, ben directe il faudra menacer de sanction économiques et l’arrêt immédiat de négociation de l’entrée de la Turquie dans l’UE.

La Turquie a commis des massacres contre les Kurdes depuis des décennies sur ses territoires, toujours sans être menacé.
 
Si ca se passe à disneyland c'est tout à fait possible entre deux attractions !
C'est une excellente idée....
Malheureusement Kim Jong-il a quitté cette vallée de larmes voilà plus de 4 ans... Paix à son âme (s'il en avait une...)!

Penses-tu que Kim Jong-un puisse le remplacer dans cette délicate mission?

:grin:
Mon cher Chris Bonjour
Merci de ne pas modifier ma conference pour la paix ! Un mort vivant c'est plus palpitant ...
Bonjour HeShu
Le probleme est que ces personnes ne sont pas des figurants de theatre , ils existent et ils dirigent la planete et sa destinee pour certains , ou aspirent comme Trump a y participer , mis a part Kim Jong il , qui nous a laisse un digne successeur en place ...

Un autre probleme egalement dans ce tableau , nombres sont ceux qui possedent l'arme nucleaire officiellement ou officieusement ...
...
 
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aspirent comme Trump a y participer
Bonjour lafoy-china,

Il semblerait que Trump souhaite etre cooperatif avec les Russes, en tout cas bien plus que les autres candidats republicains et meme qu'Hillary Clinton ;)
Les deux hommes ont aussi divergé sur la Russie, Trump affirmant qu'il tenterait de s'entendre avec les Russes pour régler le conflit syrien, et Bush jugeant «absolument ridicule de suggérer que la Russie pourrait être un partenaire positif».
http://www.lefigaro.fr/elections-am...-caroline-du-sud-tourne-au-pugilat-verbal.php
 
Bonjour lafoy-china,

Il semblerait que Trump souhaite etre cooperatif avec les Russes, en tout cas bien plus que les autres candidats republicains et meme qu'Hillary Clinton ;)

http://www.lefigaro.fr/elections-am...-caroline-du-sud-tourne-au-pugilat-verbal.php
Bonjour Alplob
Vu la consideration et le programme reserve au musulmans au States , ca risque d'etre assez explosif dans les relations diplomatiques ! :confused:
Apres avec Poutine ca va etre celui qui tue un Grizzly a mains nues avant l'autre , ca risque d'etre assez cocasse !
Ce sont tout de meme 2 personnages assez hauts en couleurs ! :D
L'avenir nous le dira ...
 
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Syrie: Russie et Turquie au bord de l'affrontement

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INFOGRAPHIE - Ankara accuse Moscou de «crimes de guerre» et se dit prêt à une intervention terrestre promettant de ne pas agir seul. Pour l'instant.

Extrait : Pour le quatrième jour consécutif, mardi, la Turquie est intervenue militairement dans le conflit syrien en bombardant, depuis son territoire, les forces kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) dans la région d'Azaz, au nord d'Alep. Ankara veut autant enrayer la progression de ces milices, qui contrôlent déjà une grande partie du nord de la Syrie, qu'empêcher le Kremlin d'agir en seul maître du jeu dans cette zone frontalière, où les bombardiers russes pilonnent l'opposition depuis plus de quinze jours.

«Les YPG sont des mercenaires de Moscou (…) S'ils approchent d'Azaz, ils verront notre riposte la plus violente», a menacé mardi le premier ministre turc, Ahmet Davutoglu. Son pays a attribué à la Russie - et qualifié de «crimes de guerre» - des frappes contre des écoles et des hôpitaux à Idlib et Alep, qui ont tué lundi près de cinquante civils, selon l'ONU. «Si les bombardements russes continuent, l'accord de Munich ne fonctionnera pas», tranche un officiel turc sous couvert d'anonymat, en référence aux négociations de la semaine dernière dans la ville allemande. La Russie, les États-Unis et leurs principaux alliés, dont la Turquie, étaient tombés d'accord verbalement sur une «cessation des hostilités» dans un délai d'une semaine.

Suite de l'article >>>

Source : LE FIGARO

Syrie : la troisième guerre mondiale a-t-elle commencé ?


[Replay 28'] La Tribune publie chaque jour des extraits issus de l'émission "28 minutes", diffusée sur Arte. Aujourd'hui, la troisième guerre mondiale a-t-elle commencé ?

Alors qu'il y avait encore vendredi dernier un espoir de paix en Syrie avec le cessez-le-feu décidé à Munich, la situation a empiré ce week-end. Les États-Unis et la France ont exhorté dès samedi la Turquie à cesser ses tirs d'artillerie contre les forces armées kurdes, tandis que la Russie dénonce une politique « provocatrice » d'Ankara.

Pour en débattre, nous recevons Renaud Girard, correspondant de guerre et chroniqueur international au Figaro, Hala Kodmani, journaliste franco-syrienne, et Bruno Tertrais, maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique.

Source et video : LA TRIBUNE
 
Dernière édition:
Bonjour Aplob
Que l'on aime ou pas c'est l'actualite ... Il faut en etre conscient !
Sans verser dans le pathetique , et le va t- en guerre , ca peut nous peter dans la figure a tout moment ...
Bonne journee
 
Bonjour Aplob
Que l'on aime ou pas c'est l'actualite ... Il faut en etre conscient !
Sans verser dans le pathetique , et le va t- en guerre , ca peut nous peter dans la figure a tout moment ...
Bonne journee
Bonjour Lafoy-china,

Desole, j'etais dans le metro sur iPad, je ne m'en suis pas rendu compte...

Effectivement c'est tres dangereux, et les dernieres declarations du premier ministre Turc ne sont vraiment pas rassurantes. D'ailleurs les turcs ne manquent franchement pas d'air, ils nous appellent a monter une operation terreste pour combattre les kurdes et les forces pro-gouvernementales, alors que seuls ces deux groupes combattent l'EI et que via l'OTAN ca nous entrainerait vers un conflit avec la Russie, tout ca uniquement pour leurs propres interets!!
 
500 rebelles syriens passent la frontière turque

Au moins 500 rebelles syriens ont traversé, hier, la frontière turque pour se rendre dans la ville syrienne d'Azaz dans la province d'Alep, où la rébellion a subi une série de revers face à l'armée et aux forces kurdes, selon Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

«Le transfert des rebelles s'est fait sous la supervision des autorités turques», a-t-il ajouté. Il s'agit de combattants islamistes et non islamistes, tous armés».

Le 14 février, près de 350 rebelles étaient déjà passés à travers le poste-frontière d'Atmé, munis d'armes légères et lourdes.

A la suite d'une vaste offensive de l'armée syrienne appuyée par les frappes aériennes russes, les rebelles ont perdu plusieurs villes et localités de la province d'Alep qui était considérée comme leur fief.

Profitant de l'affaiblissement des insurgés, les forces kurdes, qui cherchent à réaliser leur propre projet autonomiste, ont également progressé dans cette province morcelée entre régime, rebelles, jihadistes et kurdes. Elles ont pris notamment la ville de Tall Rifaat.

Il ne reste comme principal bastion rebelle qu'Azaz, proche de la frontière turque, et Marea, plus au sud, et qui est aujourd'hui quasiment encerclée par les forces kurdes à l'ouest et les extrémistes de l'Etat islamique à l'est.

LE FIGARO flash info

C'est la debandade , ca sent le sapin ! Et pour eux ci dessous c'est certain ( Ces chiffres me paraissent un peu exagere mais bon !)

Plus de 26.000 djihadistes tués par la coalition


Plus de 26.000 combattants dans les rangs de l'organisation terroriste Etat islamique auraient été tués en Irak et la Syrie par la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis, affirme un responsable américain à la chaîne américaine CNN. Ce fonctionnaire précise qu'il s'agit d'une estimation. Fin 2015, des responsables américains parlaient d'environ 20.000 combattants tués.
En mars 2015, on estimait à environ 8.500 combattants djihadistes tués depuis le début des opérations, selon le témoignage du général Lloyd Austin, chef du Commandement central des États-Unis.

LE FIGARO flash info
 
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