Stop Yulin : mobilisation contre le festival de la viande de chien et de chat

marcou

Dieu suprême
CHINE – Une mobilisation internationale se développe, notamment via les réseaux sociaux, pour tenter de faire annuler le festival de Yulin qui se déroule tous les ans dans le sud de la Chine. Des milliers de chiens et chats destinés à être mangés sont mis à mort dans des conditions atroces.*suite*


Un festival de viande de chien chinois fait rager les amis des animaux
Read more at http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/un-festival-de-viande-de-chien-chinois-fait-rager-les-amis-des-animaux_1690402.html#6K9rVRXYhM5Y6oVM.99

et ce n'est que deux parmi tant d'autres que je vois sur facebook depuis hier...


Quand penser vous? une tradition peut-il être tenu si ce cela devient un spectacle d'horreur?
n'oublions pas qu'en France nous avons les corridas avec la mise à mort, mais retiré cette année du patrimoine de la culture Française.
 
Dernière édition:
Je pense plutôt le matin, mais il m'arrive d'utiliser mon cerveau en fin d'aprem si la gnôle se fait trop rare.

Sinon le chien c'est une bonne viande, un peu corsé au goût mais avec la sauce qui va bien ça passe nickel. Miam !
 
Dernière édition par un modérateur:
En France, on a les abattoirs pour les vaches et les cochons , on tue les petits poussins mâles... Tout cela n'est pas plus ni moins choquant. S'il y a des gens qui veulent manger du chien, qu'on les laisse tranquille !
 
Je pense plutôt le matin, mais il m'arrive d'utiliser mon cerveau en fin d'aprem si la gnôle se fait trop rare.

Sinon le chien c'est une bonne viande, un peu corsé au goût mais avec la sauce qui va bien ça passe nickel. Miam !

savez vous lire, on ne parle pas de ne pas manger du chien, on parle d’interdit un festival décadent.
 
En France, on a les abattoirs pour les vaches et les cochons , on tue les petits poussins mâles... Tout cela n'est pas plus ni moins choquant. S'il y a des gens qui veulent manger du chien, qu'on les laisse tranquille !

savez vous lire, on ne parle pas de ne pas manger du chien, on parle d’interdit un festival décadent.
 
savez vous lire, on ne parle pas de ne pas manger du chien, on parle d’interdit un festival décadent.

Il s'agit d'un festival dont le but est de manger de la viande de chien et de chat. Je ne vois pas en quoi le fait d'indiquer que la viande de chien c'est super bon serait HS. Et je me permets, mon cher monsieur, de vous poser la question suivante : savez-vous écrire dans un français correct ?

PS : La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.
 
Il s'agit d'un festival dont le but est de manger de la viande de chien et de chat. Je ne vois pas en quoi le fait d'indiquer que la viande de chien c'est super bon serait HS. Et je me permets, mon cher monsieur, de vous poser la question suivante : savez-vous écrire dans un français correct ?

PS : La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.

toi tu vas finir dans ma casserole, t'arrive 73 messages et tu veux me corriger, je vais te dire, vas dans les rues ou l'on abat les chiens et tu me dira après ce que t'en dit, tu ne sais pas de ce tu parles quand tu ne sais pas dans quelles conditions les chiens sont abattus: comme des chiens.
Que ce soit la tradition de manger de la viande chien, soit, mais que cela soit devenu un festival d'amusement pour le plaisir de rire sur la mort.
Et en citant les paroles de Gandhi que j'ai mis pour être en accord avec ce festival, je crois que c'est le comble de l'absurdité.
 
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Il s'agit d'un festival dont le but est de manger de la viande de chien et de chat. Je ne vois pas en quoi le fait d'indiquer que la viande de chien c'est super bon serait HS. Et je me permets, mon cher monsieur, de vous poser la question suivante : savez-vous écrire dans un français correct ?

PS : La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.

si tu veux tu viens ici, et je t'invite dans un village voisin à manger de l'âne, il est vivant, on lui enlève la peau de l'endroit que tu indiques pour le manger et ont lui verse de l'eau bouillante dessus, on verra si tu le manges le morceau qu'on te mettra dans l'assiette.
 
On peut bouffer ce que l'on veut comme bestioles tant que cela respecte les lois en vigueur dans le pays où l'on vit. Si on est pas d'accord avec la loi, on se manifeste.
Mais faire souffrir des êtres vivants pour faire marrer le beauf, rendre comique la mort ou l'abattage sous prétexte de tradition ou de superstitions à la con, c'est niet.

J'ai en horreur la corrida, les combats de coqs, de chiens, donc je peux pas être en accord avec une manifestation qui tournerait en farce la mort d'un animal.
Un festival de ce genre en Europe qui serait l'occasion d'ébouillanter vivant des cochons ou des poules me choquerait tout autant.
 
J'ignorais que la corrida avait été ôtée de notre patrimoine culturel. Si c'est vrai, je le déplore (non que j'aime la corrida, bien au contraire). Il ne s'agit pas ici de porter un jugement sur la corrida. C'est une simple constatation : bien ou mal, ou même très mal, la corrida fait partie du patrimoine culturel du sud de la France. On y peut rien.

Le festival des chiens dépasse tout ce qui se fait en ce moment en matière de cruauté envers les animaux. Qu'on aime ou non la viande de chien n'y change rien.
 
toi tu vas finir dans ma casserole, t'arrive 73 messages et tu veux me corriger, je vais te dire, vas dans les rues ou l'on abat les chiens et tu me dira après ce que t'en dit, tu ne sais pas de ce tu parles quand tu ne sais pas dans quelles conditions les chiens sont abattus: comme des chiens.
Que ce soit la tradition de manger de la viande chien, soit, mais que cela soit devenu un festival d'amusement pour le plaisir de rire sur la mort.
Et en citant les paroles de Gandhi que j'ai mis pour être en accord avec ce festival, je crois que c'est le comble de l'absurdité.

Je n'ai porté aucun jugement sur le festival en lui-même, tu t'astiques le bourricot pour rien. Mais puisque je tremble comme une feuille à l'idée de finir dans ta "casserole", n'ayant pas le prestige de tes plus de 2 000 messages pour rivaliser avec un individu de ton illustre rang, je vais en dire un peu plus.

La cruauté gratuite envers les animaux est une chose condamnable. Cependant, il est difficile de déterminer un seuil à partir duquel la souffrance infligée à l'animal dans le but de le manger devient un crime moral. La plupart du temps, les animaux défendus sont ceux qui nous inspirent de la pitié. Personne ne s'offusque que les poissons remontés dans les chaluts meurent d'asphyxie. Peu de gens trouvent que consommer un homard qui a été bouilli vivant est inadmissible. Qui pour dénoncer l'horrible traitement réservé aux poulpes bretons, dont la dépouille est lancée 100 fois contre une pierre pour en attendrir la chair ? Et ainsi des escargots, des oies gavées, des poules martyrisés en cage etc.

De cela, je tire deux conclusions :

- Il y a un biais culturel évident qui nous pousse à haïr ceux qui maltraitent des animaux qui sont exclusivement domestiques en France. Ce n'est pas un hasard si la campagne porte sur les chiens et les chats et non sur les crapauds et autres bestioles vendus en grande surface dans des conditions déplorables.

- Si l'on veut lutter contre les souffrances infligées aux animaux, il faut aller jusqu'au bout de la logique. Quelqu'un qui combat ces souffrances mais qui consomme de la viande n'est pas cohérent. Aller jusqu'au bout de la logique ça veut dire devenir végétarien. Pour moi se plaindre que des chiens et chats sont maltraités dans un festival en Chine (!) mais continuer à bouffer un bon morceau de steak une fois rentré en France, ça n'a aucun sens. Tout animal élevé ou chassé dans le but d'être mangé souffre, dans des proportions qui varient certes mais en raison d'une même finalité, alimentaire.


PS : La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.(Marcou)
 
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J'ignorais que la corrida avait été ôtée de notre patrimoine culturel. Si c'est vrai, je le déplore (non que j'aime la corrida, bien au contraire). Il ne s'agit pas ici de porter un jugement sur la corrida. C'est une simple constatation : bien ou mal, ou même très mal, la corrida fait partie du patrimoine culturel du sud de la France. On y peut rien.

Le festival des chiens dépasse tout ce qui se fait en ce moment en matière de cruauté envers les animaux. Qu'on aime ou non la viande de chien n'y change rien.
Oui enfin, dans certaines villes, le festival de la viande de chien remonte a 600 ans environ, ce qui en fait un patrimoine culturel pour ces endroits. Bien ou mal, on y peut rien.
 
Je reviens juste sur la tournure que ce sujet a pris...
Un peu ras le bol de ces moments de "sacrifices" d un animal: Un jour le chien, le lendemain le chat, apres le mouton, la chevre, le taureau... Jusqu a l humain dans certains pays sous couverts de religions, de croyances... ou encore de politique nationale ou internationale. L Homme a evolue et pourrait en prendre conscience (il en a les moyens) et par consequent peut etre passer a autres choses pour "s amuser".
 
Ce n'est pas le fait du manger du chien qui me derange mais les conditions de mise a mort.
Il parait que la viande de chien permet d'etre super fort au lit, j'en conclus donc qu'ils ne sont qu'une bande d'impuissants ( et abrutis par la meme occasion ).
 
Je n'ai porté aucun jugement sur le festival en lui-même, tu t'astiques le bourricot pour rien. Mais puisque je tremble comme une feuille à l'idée de finir dans ta "casserole", n'ayant pas le prestige de tes plus de 2 000 messages pour rivaliser avec un individu de ton illustre rang, je vais en dire un peu plus.

il ni a aucun prestige à avoir plus de 2000 message avec des fautes d’orthographe, on ne sort pas tous de polytechnique et savoir le français correctement cela ne veut pas dire qu'on a tout le savoir.

La cruauté gratuite envers les animaux est une chose condamnable. Cependant, il est difficile de déterminer un seuil à partir duquel la souffrance infligée à l'animal dans le but de le manger devient un crime moral. La plupart du temps, les animaux défendus sont ceux qui nous inspirent de la pitié. Personne ne s'offusque que les poissons remontés dans les chaluts meurent d'asphyxie. Peu de gens trouvent que consommer un homard qui a été bouilli vivant est inadmissible. Qui pour dénoncer l'horrible traitement réservé aux poulpes bretons, dont la dépouille est lancée 100 fois contre une pierre pour en attendrir la chair ? Et ainsi des escargots, des oies gavées, des poules martyrisés en cage etc.

De cela, je tire deux conclusions :

- Il y a un biais culturel évident qui nous pousse à haïr ceux qui maltraitent des animaux qui sont exclusivement domestiques en France. Ce n'est pas un hasard si la campagne porte sur les chiens et les chats et non sur les crapauds et autres bestioles vendus en grande surface dans des conditions déplorables.

- Si l'on veut lutter contre les souffrances infligées aux animaux, il faut aller jusqu'au bout de la logique. Quelqu'un qui combat ces souffrances mais qui consomme de la viande n'est pas cohérent. Aller jusqu'au bout de la logique ça veut dire devenir végétarien. Pour moi se plaindre que des chiens et chats sont maltraités dans un festival en Chine (!) mais continuer à bouffer un bon morceau de steak une fois rentré en France, ça n'a aucun sens. Tout animal élevé ou chassé dans le but d'être mangé souffre, dans des proportions qui varient certes mais en raison d'une même finalité, alimentaire.

t'essaye de te rattraper dans une longue logique que la plupart connait, et qui s'en foute bien mal...puisque la plupart bouffe avec les yeux et le goût avant de savoir ce que c'est vraiment.
Dans les premières années en 1996 ou 1998 , à Beijing , on ma servi sur la table: la carpe qui se regarde manger, la carpe ne pouvant dire mot étant donné quelle avait une cerise dans la bouche pour quelle ne remue pas , ces yeux elles se tournaient sur les invités qui la dévorait en plongeant leurs baguettes pour en extraire des morceaux de chair, c'est un met qui est encore de nos jours, mais personne sans offusque le poisson ne dit rien.
Maintenant que l'être humain veut se nourrir de viande pour sa survie on peux le comprendre, que l'on mange de la viande pour le goût, cela peut aussi se comprendre, que l'on mange de la viande pour le plaisir c'est d'ignorer qu'il y a eut un être vivant au par avant. C'est vrai que du moment ou l'on met des sentiments sur un animal par ce qu'il a une certainement compassion pour l'homme on considère que c'est crime de le tuer, mais serait il le retour des choses pour l'animal que nous sommes face l'animal qui nous considère comme un membre de ce qui l’entoure.

PS : La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.(Marcou)

Laisse la citation de Gandhi à ça place, pour quoi la plagier pour s'en servir à chaque réponse sur mes commentaires. Tu n'en connais ni la profondeur, ni le vrai sens, ni dans quel situation ni quel contexte elle a été dite.
 
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J'ignorais que la corrida avait été ôtée de notre patrimoine culturel. Si c'est vrai, je le déplore (non que j'aime la corrida, bien au contraire). Il ne s'agit pas ici de porter un jugement sur la corrida. C'est une simple constatation : bien ou mal, ou même très mal, la corrida fait partie du patrimoine culturel du sud de la France. On y peut rien.

Le festival des chiens dépasse tout ce qui se fait en ce moment en matière de cruauté envers les animaux. Qu'on aime ou non la viande de chien n'y change rien.
Bah pourquoi ? Une culture est une représentation "vivante" de notre monde. Ce qui fait partie de notre patrimoine culturel passé/présent l'est aussi. Si on décide d'en retirer une coutume, ça signifie juste qu'elle n'aura plus cours à l'avenir, pas qu'elle va être retirer de l'histoire de cette culture. Intégrer de nouveaux éléments et en désintégrer voilà une définition primaire mais assez juste, je pense, j’espère, de ce qui fait qu'une culture évolue. Je veux dire, ce qui fait évolué une culture c'est sa population. Si une population ne pratique pas ou plus sa culture celle ci meurs. Même principe concernant ses mœurs et coutumes...
Plus personne ne pratique la corrida en France, ou très peu de personnes, en plus il y a conflit avec le droit des animaux, qui existe en France (pas en Chine..!), hope, suppression de ladite coutume.
 
Je n'ai porté aucun jugement sur le festival en lui-même, tu t'astiques le bourricot pour rien. Mais puisque je tremble comme une feuille à l'idée de finir dans ta "casserole", n'ayant pas le prestige de tes plus de 2 000 messages pour rivaliser avec un individu de ton illustre rang, je vais en dire un peu plus.

La cruauté gratuite envers les animaux est une chose condamnable. Cependant, il est difficile de déterminer un seuil à partir duquel la souffrance infligée à l'animal dans le but de le manger devient un crime moral. La plupart du temps, les animaux défendus sont ceux qui nous inspirent de la pitié. Personne ne s'offusque que les poissons remontés dans les chaluts meurent d'asphyxie. Peu de gens trouvent que consommer un homard qui a été bouilli vivant est inadmissible. Qui pour dénoncer l'horrible traitement réservé aux poulpes bretons, dont la dépouille est lancée 100 fois contre une pierre pour en attendrir la chair ? Et ainsi des escargots, des oies gavées, des poules martyrisés en cage etc.

De cela, je tire deux conclusions :

- Il y a un biais culturel évident qui nous pousse à haïr ceux qui maltraitent des animaux qui sont exclusivement domestiques en France. Ce n'est pas un hasard si la campagne porte sur les chiens et les chats et non sur les crapauds et autres bestioles vendus en grande surface dans des conditions déplorables.

- Si l'on veut lutter contre les souffrances infligées aux animaux, il faut aller jusqu'au bout de la logique. Quelqu'un qui combat ces souffrances mais qui consomme de la viande n'est pas cohérent. Aller jusqu'au bout de la logique ça veut dire devenir végétarien. Pour moi se plaindre que des chiens et chats sont maltraités dans un festival en Chine (!) mais continuer à bouffer un bon morceau de steak une fois rentré en France, ça n'a aucun sens. Tout animal élevé ou chassé dans le but d'être mangé souffre, dans des proportions qui varient certes mais en raison d'une même finalité, alimentaire.


PS : La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.(Marcou)

"- Il y a un biais culturel évident qui nous pousse à haïr ceux qui maltraitent des animaux qui sont exclusivement domestiques en France. Ce n'est pas un hasard si la campagne porte sur les chiens et les chats et non sur les crapauds et autres bestioles vendus en grande surface dans des conditions déplorables."
Quel mal y a t il à ça ? C'est humain d'avoir ses petits chouchoux. Par contre avoir une capacité de traitement d'un thème à l'échelle universelle et sans omissions ni erreurs, voila qui me parait un peu plus qu’utopique. Personne n'est capable de faire ça, même pas Gandhi et encore moins une campagne.

" - Si l'on veut lutter contre les souffrances infligées aux animaux, il faut aller jusqu'au bout de la logique. Quelqu'un qui combat ces souffrances mais qui consomme de la viande n'est pas cohérent. Aller jusqu'au bout de la logique ça veut dire devenir végétarien. Pour moi se plaindre que des chiens et chats sont maltraités dans un festival en Chine (!) mais continuer à bouffer un bon morceau de steak une fois rentré en France, ça n'a aucun sens. Tout animal élevé ou chassé dans le but d'être mangé souffre, dans des proportions qui varient certes mais en raison d'une même finalité, alimentaire."
Même raisonnement que plus haut. Sauf qu'il faut faire attention, à mon avis, associer logique et empathie sur tout un raisonnement est hasardeux. Déjà ce sont deux processus distincts et en plus souvent en opposition chez l'homme. Pour moi quelqu'un qui fait de son mieux pour respecter le ressenti des animaux à tout à fait le droit de se plaindre du traitement qui leurs sont fait même si il aime les mangé. Dirait on d'un fumeur qu'il à tort de lutter contre le tabagisme ? Doit il avant tout arrêter de fumer ? Ou pour préciser un peu plus mon point de vue : les faibles n'ont ils pas le droit de prendre part à un débat ?
 
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