UE & Brexit

Deal or No Deal ?


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Divisés, les députés britanniques examinent la loi revenant sur l'accord du Brexit

Avec un projet qui, de l'aveu du gouvernement, viole le droit international, Boris Johnson a mis de l'huile sur le feu de négociations déjà poussives avec l'UE.

Extraits choisis :
Les députés britanniques se penchent lundi 14 septembre sur le projet de Boris Johnson de revenir sur l'accord encadrant le Brexit, qui a déclenché un tollé au sein même de la majorité conservatrice et la colère des Européens en pleines négociations commerciales.
La présentation de la loi «sur le marché intérieur» la semaine dernière a déclenché une crise digne des épisodes les plus dramatiques de la saga du Brexit, lancée il y a plus de quatre ans par la victoire du «leave» au référendum et que certains pensaient terminée avec la sortie historique du Royaume-Uni du bloc européen en janvier dernier. Ce projet donne à Londres le pouvoir de prendre unilatéralement des décisions commerciales dans sa province d'Irlande du Nord, pouvoirs censés être partagés avec les Européens, selon l'accord de Brexit conclu l'année dernière.

* Ces dispositions douanières complexes de l'accord de Brexit visaient notamment à éviter le retour d'une frontière entre la République d'Irlande, membre de l'UE, et la province britannique, conformément à l'accord de paix de 1998 qui a mis fin à trois décennies de violences. Cependant, si l'UE refuse de mettre le Royaume-Uni sur la liste des pays autorisés à exporter des produits alimentaires sur son territoire, «ce sera automatiquement illégal pour l'Irlande du Nord d'importer de la nourriture depuis le reste du pays» , a averti dimanche le négociateur britannique David Frost. Il a accusé les Européens d'avoir «explicitement» averti que cette inclusion ne serait pas «automatique», d'où la nécessité de la loi pour permettre de poursuivre les échanges.

* Il y a quand meme un loup en cas de no Deal ! :hum:

Mais le dialogue est ouvert jusqu'a la fin de l'annee a lire le ministre Allemand monsieur Scholz ...

Extrait : " Si un accord commercial entre les deux parties n'est pas mis en place d'ici la fin de l'année, de nouveaux tarifs remplaceront le libre-échange entre l'UE et le Royaume-Uni ".
M. Scholz a déclaré qu'il espérait toujours qu'on n'en arriverait pas là. "Nous nous efforçons de garantir que l'accord que nous avons conclu avec le Royaume-Uni sera respecté", a-t-il déclaré. "Cela inclut bien sûr de mener les négociations à un bon résultat dans le respect des lignes rouges que l'Europe a présentées."


Quand a la postion du Royaume Uni avec la Chine voir de la CE au niveau commercial et relations politiques , elle est vite resumee ! ;)

Extrait : "Boris est plus rusé que ce que beaucoup de gens lui attribuent", a conclu l'ex-ministre. "C'est peut-être l'un de ceux où il a juste le sentiment que ce n'est pas le bon moment. Surtout si le président américain change. Le ton global de la discussion sur la Chine pourrait bien changer. Il a tout le temps de prendre le train en marche plus tard s'il le souhaite."

 
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Bonsoir Chris
Il faut tenir compte que rien n'a fonctionne normalement depuis le mois de Mars , ou alors au ralenti du fait de la Pandemie !
L’accord US-UK devait être finalisé pour le 1er novembre 2019 .... bien avant le COVID.
 
L’accord US-UK devait être finalisé pour le 1er novembre 2019 .... bien avant le COVID.
Une possibilite que ce soit un coup de bluff ou autres manigances de la part de Monsieur Johnson et du president Trump dans un premier temps destine a l'electorat britannique ( vous voyez nous ne sommes pas seuls quoique qu' il-arrive ) et dans un deuxieme temps pour influencer Bruxelles * qui croyait encore a la mouche qui pete , afin d'acter l'acte de separation et d'en arriver a un accord a tout prix afin d'eviter un Hard Brexit , et ce avant cette date du 1 er Novembre !

* Les négociateurs de l’Union européenne et du Royaume-Uni se sont entendus le 17 octobre 2019 sur un projet d’accord de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne.

Deja a ce moment la madame Pelosi se doutait que c'etait Bidon et ce pour les memes raisons a propos de l'Irlande evoquees il y a quelques jours a propos de
l'accord du Vendredi Saint par cette meme madame Pelosi suite aux menaces de non respect du traite , l'histoire se repete voila tout ... D'ou la position de Monsieur Jonhson vis a vis de la presidentielle americaine le 3 Novembre , en ce moment il joue la montre en amusant la galerie , selon les resultats il tirera de toutes facons son epingle du jeu par une nouvelle pirouette ...

14.08.2019
Ca a commence tot ...

Rien n'est impossible et la fete continue vu les subterfuges du moment , et nous sommes loins d'avoir tout vu !
 
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Cependant, si l'UE refuse de mettre le Royaume-Uni sur la liste des pays autorisés à exporter des produits alimentaires sur son territoire, «ce sera automatiquement illégal pour l'Irlande du Nord d'importer de la nourriture depuis le reste du pays» ,
Je ne comprends pas trop ce passage ...
Si hard brexit, ça veut dire imposition de tarifs douaniers entre l’UE et le RU non ? Donc « impossible » (ou cher) pour l’Irlande du Nord d’importer de la nourriture depuis l’UE, mais ça devrait rester possible depuis le reste du RU ? En quoi le brexit aurait un impact sur le commerce intérieur britannique ?

ou alors on parle de l’hypothèse où l’Irlande du nord resterait dans l’union douanière comme une espèce de zone de libre échange, comme ça avait été évoqué à un moment ? Mais il me semblait que BJ était résolument contre, et que de toutes façons ça aussi ça devrait passer par un accord bilatéral ?

bref quelqu’un pourrait m’expliquer en termes simples pourquoi le hard brexit mènerait automatiquement à une « coupure » entre l’Irlande du Nord et le mainland britannique plutôt qu’entre l’Irlande du nord et la république d’Irlande (et donc l’UE) ?
 
bref quelqu’un pourrait m’expliquer en termes simples pourquoi le hard brexit mènerait automatiquement à une « coupure » entre l’Irlande du Nord et le mainland britannique plutôt qu’entre l’Irlande du nord et la république d’Irlande (et donc l’UE) ?
Bonjour Adew
Pour tenter d'expliquer cela il faudrait connaitre les points precis du traite original qui a ete signe par le gouvernement Johnson et la Communaute Europeene et les decomposer par alineas & clauses restrictives ou supensives pouvant etre activees ! Difficile d'interpreter sans referentiel precis ... Cela n'a plus rien a voir avec des gens qui se jettent des cailloux dessus , pour faire simple ...

En cas de no Deal l'Irlande du Nord serait consideree comme un pays etranger par la CE et exposee a des frontieres physiques et a des contraintes douanieres , et de ce fait coupee de l'irlande ( republique ) car il n'y aurait plus de libre circulations des biens et des personnes au 1 er janvier 2021 , or ca ne va pas le faire sans casse ...

Le but initial est de preserver cet accord ...

3.2. Les accords de Stormont ou du Vendredi saint (avril 1998)
Des dispositions politiques et institutionnelles importantes

Extrait :
En mai 1997, le nouveau Premier ministre anglais, Tony Blair, annonce la reprise des entretiens exploratoires avec le Sinn Féin. Après l'annonce par l'IRA d'un cessez-le-feu, en juillet, les pourparlers réunissent, dès septembre, le Social Democratic and Labour Party (SDLP), qui regroupe les représentants modérés de la communauté catholique, le Sinn Féin, les gouvernements irlandais et britannique, puis le principal parti unioniste, l'Ulster Unionist Party (UUP). Le 14 octobre a lieu une réunion entre Tony Blair et Gerry Adams, la première depuis 1920 entre un Premier ministre anglais et un dirigeant du Sinn Féin.

Les accords sont conclus au Stormont le 10 avril 1998 et signés par les Anglais, les Irlandais, ainsi que par les représentants des principaux partis d'Irlande du Nord (UUP, SDLP, Sinn Féin), à l'exception du Democratic Unionist Party (DUP) du révérend ultra Ian Paisley, qui a boycotté les négociations.
Les accords réaffirment le refus de tout changement constitutionnel sans consentement de la majorité de la population ; Dublin accepte de renoncer à ses revendications sur le Nord et d'amender de ce fait sa Constitution ; Londres, en contrepartie, propose d'abroger le Government of Ireland Act de 1920, qui faisait définitivement de l'Ulster une province britannique.
Ils prévoient la mise en place d'un Parlement, d'un système de majorité qualifiée et d'un gouvernement interconfessionnel, qui garantissent le partage des pouvoirs législatif et exécutif entre protestants et catholiques. Un Conseil Nord-Sud, chargé d'harmoniser les politiques touristique, agricole et des transports, aura pour contrepoint un Conseil irlando-britannique. Des commissions seront organisées (droits de l'homme, égalité des chances, réforme de la police, prisonniers, désarmement).

 
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La fin de l'etat de droit au RU... Puisque le RU en est a renegocier des accords signes en 2019 pourquoi ne pas revoir le resultat du referendum de 2016 tant qu'on y est.
 
Une possibilite que ce soit un coup de bluff ou autres manigances de la part de Monsieur Johnson et du president Trump dans un premier temps destine a l'electorat britannique ( vous voyez nous ne sommes pas seuls quoique qu' il-arrive ) et dans un deuxieme temps pour influencer Bruxelles * qui croyait encore a la mouche qui pete , afin d'acter l'acte de separation et d'en arriver a un accord a tout prix afin d'eviter un Hard Brexit , et ce avant cette date du 1 er Novembre !

Bah c'est surtout que les américains imposent notamment 2 choses contradictoires avec les aspirations du Brexit :
  • Le retrait d'un certain nombre de standards de production en matière agricole notamment.
    Donc ça implique que leurs agriculteurs, qui ont voté pour le Brexit pour ne plus être concurrencés par les produits agricole du reste de l’Europe, se retrouveraient en concurrence face à des produits venus des états unis encore moins chers car avec des standard de production beaucoup moins contraignants que les normes imposées en Angleterre et sur des surfaces de productions plus importantes.

  • L'imposition de contraintes sur le système de santé et le rôle que le public peut y jouer pour ouvrir à d'avantage d'entités privées et notamment aux boites américaines le secteur, etc... je ne détaille pas il y a des articles plus techniques sur le sujet mais ça signifie en gros pour les citoyens anglais une hausse des coûts de santé et moins de facilité pour le gouvernement de les aider... On serait loin des promesse de Boris indiquant au contraire que la sortie de l'UE permettrait de réinjecter des fortunes pour prendre en charges les coûts de santé des anglais.
Pour ces raisons et comme les US ne bougent pas d'un iota sur ces points, l'accord n'est pas prêt d’être signé...
 
Bah c'est surtout que les américains imposent 2 notamment choses contradictoires avec les aspirations du Brexit :
  • Le retrait d'un certain nombre de standards de production en matière agricole notamment.
    Donc ça implique que leurs agriculteurs, qui ont voté pour le Brexit pour ne plus être concurrencés par les produits agricole du reste de l’Europe, se retrouveraient en concurrence face à des produits venus des états unis encore moins chers car avec des standard de production beaucoup moins contraignants que les normes imposées en Angleterre et sur des surfaces de productions plus importantes.

  • L'imposition de contraintes sur le système de santé et le rôle que le public peut y jouer pour ouvrir à d'avantage d'entités privées et notamment aux boites américaines le secteur, etc... je ne détaille pas il y a des articles plus techniques sur le sujet mais ça signifie en gros pour les citoyens anglais une hausse des coûts de santé et moins de facilité pour le gouvernement de les aider... On serait loin des promesse de Boris indiquant au contraire que la sortie de l'UE permettrait de réinjecter des fortunes pour prendre en charges les coûts de santé des anglais.
Pour ces raisons et comme les US ne bougent pas d'un iota sur ces points, l'accord n'est pas prêt d’être signé...
Bonsoir Mathieu
Les questions agricoles ont leurs importances , mais a l'origine c'est politique ! L'Europe ( CE ) est dans le viseur des Etats Unis tout comme la Chine , il suffit de regarder ce qui se passe les Etats Unis sont comme chez eux dans la CE , ils nous punissent selon leur bon plaisir si on ne marche pas droit , et dictent nos attitudes ...
Au bout de 63 ans dans la CE anciennement marche commun , chacun tire la couverture a lui , des que ses interets sont en jeu !
 
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Les questions agricoles ont leurs importances , mais a l'origine c'est politique ! L'Europe est dans le viseur des Etats Unis tout comme la Chine , il suffit de regarder ce qui se passe les Etats Unis sont comme chez eux dans la CE , ils nous punissent selon leur bon plaisir , si on ne marche pas droit et dictent nos attitudes ...
La sur communication sur le sujet de l'accord par Trump à l'époque certes... Mais une fois qu'on a dit ça on explique pourquoi il a été mis en avant à l'époque mais on a pas résolu le problème de nos amis anglais ;)
 
Mais une fois qu'on a dit ça on explique pourquoi il a été mis en avant à l'époque mais on a pas résolu le problème de nos amis anglais ;)
On va dire nos problemes car vu la situation de crise economique et sanitaire dans la CE et le Royaume Uni , les 2 sont concernes tout le monde va avoir sa part de coups de martinets si une solution intelligente n'est pas trouvee .
 
En tout cas ça veut dire que les US s'ils trouveront d'autres moyens de nous emmerder semblent pour le moment avoir pris la décision de le faire via d'autres canaux et ne semblent pas prêts à le faire en offrant un deal en or aux anglais. Coté démocrates ils ont même été clairs sur le fait qu'un non respect de l'accord Brexit excluait les anglais de tout accord commercial...
 
Je ne comprends pas trop ce passage ...
Si hard brexit, ça veut dire imposition de tarifs douaniers entre l’UE et le RU non ? Donc « impossible » (ou cher) pour l’Irlande du Nord d’importer de la nourriture depuis l’UE, mais ça devrait rester possible depuis le reste du RU ? En quoi le brexit aurait un impact sur le commerce intérieur britannique ?

ou alors on parle de l’hypothèse où l’Irlande du nord resterait dans l’union douanière comme une espèce de zone de libre échange, comme ça avait été évoqué à un moment ? Mais il me semblait que BJ était résolument contre, et que de toutes façons ça aussi ça devrait passer par un accord bilatéral ?

bref quelqu’un pourrait m’expliquer en termes simples pourquoi le hard brexit mènerait automatiquement à une « coupure » entre l’Irlande du Nord et le mainland britannique plutôt qu’entre l’Irlande du nord et la république d’Irlande (et donc l’UE) ?
D’après ce que j'ai compris :

- le traité du 17 octobre 2019 interdit la création d'une frontière physique entre l'Irlande du Nord et l'Irlande.
- il y a donc une "frontière" /des contrôles entre l'Irlande du Nord et le reste du RU
- si hard Brexit, il y a non seulement les droits de douane, mais le risque que l'UE ne mette pas le RU sur la liste des pays autorisés à exporter des produits alimentaires vers l'UE (par exemple parce qu'elle ne serait satisfaite de normes en vigueur au RU)
- de ce fait, le RU ne pourrait pas les "exporter" vers l'Irlande du Nord, car en absence de frontière, ils pourraient aller en Irlande, donc dans l'UE
- pour éviter cela, BJ veut donc revenir sur cet accord, et envisager un retour de frontière physique entre le Nord et le Sud
 
La fin de l'etat de droit au RU... Puisque le RU en est a renegocier des accords signes en 2019 pourquoi ne pas revoir le resultat du referendum de 2016 tant qu'on y est.
Pire que ça, ils ne renégocient pas, ils annoncent qu'ils ne vont pas respecter les accords du 17 octobre 2019
 
Le projet de loi visant à réécrire l'accord Brexit franchit le premier obstacle majeur Par Andrew McDonald
9/15/20, 1H20 CET

Le projet de loi controversé de Boris Johnson, qui enfreint le droit international, risque encore d'être modifié.

Communique : LONDRES - Un projet de loi controversé qui réécrirait des éléments de l'accord de retrait de Brexit a franchi son premier obstacle parlementaire à la Chambre des Communes britannique lundi, malgré une petite rébellion conservatrice.

Certaines sections du projet de loi sur le marché intérieur vont passer outre des aspects cruciaux de l'accord avec Bruxelles sur l'Irlande du Nord et les aides d'État. Le ministre Brandon Lewis a admis la semaine dernière que les propositions enfreignent le droit international. Le gouvernement a justifié la législation comme étant essentielle pour assurer un commerce sans entrave entre les quatre nations du Royaume-Uni. Mais les plans ont également suscité l'indignation de l'Union européenne.
Un petit groupe de grands noms du Parti conservateur de Boris Johnson issus des gouvernements précédents, ainsi que de nouveaux députés rebelles et des contestataires d'arrière-ban, ont refusé de soutenir le projet de loi, invoquant des craintes de violation du droit international. La plupart des membres du groupe ont choisi de s'abstenir plutôt que de risquer de s'attirer les foudres de l'administration du Premier ministre, qui aurait envisagé de sanctionner les députés qui ont voté contre le projet de loi en leur retirant leur whip, les expulsant ainsi du parti.

L'ancien chancelier Sajid Javid et l'ancien chef juridique Geoffrey Cox étaient parmi ceux qui avaient déclaré au préalable qu'ils ne pouvaient pas soutenir la législation non amendée.

Quoi qu'il en soit, le projet de loi a été adopté facilement en deuxième lecture, avec 340 voix pour et 263 contre. Une tentative du parti travailliste de l'opposition de rejeter le projet de loi par le biais d'un amendement a également été facilement rejetée avec une majorité gouvernementale de 136 voix.
Le projet de loi doit maintenant faire l'objet d'autres votes d'amendement à partir de la semaine prochaine, avec une proposition de changement visant à exiger que le Parlement approuve toute décision future de ne pas appliquer le protocole de l'Irlande du Nord. Certains de ceux qui se sont abstenus lundi l'ont fait dans l'espoir que le gouvernement pourrait être contraint de soutenir cet amendement.

Le vote de lundi soir a fait suite à un débat épuisant de cinq heures aux Communes, ouvert par le Premier ministre.

M. Johnson a défendu le projet de loi, affirmant qu'il était nécessaire de revenir sur l'accord de retrait car l'UE avait refusé de retirer le "revolver" de la table des négociations sur les relations futures.
"Ces derniers mois, l'UE a laissé entendre qu'elle était prête à aller jusqu'à des limites extrêmes et déraisonnables... pour exercer une pression sur le Royaume-Uni dans nos négociations en vue d'un accord de libre-échange", a déclaré M. Johnson aux députés.
Il a ajouté que "l'intention de ce projet de loi est clairement de mettre fin à toute utilisation du bâton contre ce pays".
L'ancien leader travailliste Ed Miliband a remplacé le chef actuel du parti, Keir Starmer, pour mener les interrogations de l'opposition, en commençant par un long discours dénonçant "l'incompétence" et "l'échec de la gouvernance".
"Je le félicite d'avoir, en une seule année, réuni ses cinq prédécesseurs", a déclaré Miliband à propos de Johnson, en référence aux anciens premiers ministres qui ont critiqué les plans .
"Malheureusement, leur point d'accord est qu'il est en train de salir la réputation de ce pays et celle de son gouvernement .. Il y a une règle pour le public britannique et une autre pour ce gouvernement".

J'ai poste l'article de politico dont le texte original est en anglais , le Figaro n'est pas tres explicite sur le sujet !
Attendons la reaction de Bruxelles et autres ... Une chose est certaine monsieur Johnson dispose toujours d'une forte majorite !
 
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Ce qui est certain c'est que les rosbifs ont reussi le tour de force d'unir l'Europe entiere contre eux. Pour ca au moins ion peut leur tirer notre chapeau :bravo:
 
Pire que ça, ils ne renégocient pas, ils annoncent qu'ils ne vont pas respecter les accords du 17 octobre 2019

Ce qui est amusant c'est qu'ils valident le fait de ne pas respecter leurs engagements par un vote :grin: Quel est la validite d'un vote dans un pays sans etat de droit et ou qqchose de decide le lundi est jete a la poubelle le mardi???
 
Je pense qu'on devrait annuler la construction de l'EPR d'Hinkley Point et geler tout investissement outre-manche.



Et suivre l'exemple d'Hitachi qui jette l'eponge sur un projet similaire:

 
Et suivre l'exemple d'Hitachi qui jette l'eponge sur un projet similaire:
C'est plus facile d’arrêter quand on en n'est encore qu'au stade de projet. Lorsque la construction a démarré, et est bien avancée, c'est une autre histoire.
 
C'est plus facile d’arrêter quand on en n'est encore qu'au stade de projet. Lorsque la construction a démarré, et est bien avancée, c'est une autre histoire.


Ce projet ne sera jamais paye. Le maitre d'ouvrage va trouver plein de malfacons comme en Finlande et la note finale va exploser. Autant arreter tout de suite. Vaux mieux perdre 1 milliard que 30.