UE & Brexit

Deal or No Deal ?


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Ce sont les européistes qui devraient la mettre en veilleuse, tout est en train de s'effondrer à l'inverse de leurs prévisions, il ferait mieux de laisser la place aux gens compétents qui avaient prévues toutes ces difficultés macro économiques auxquelles nous assistons. Malheureusement, les européistes sont encore là en train de nous expliquer ce que l'on devrait faire, droits dans leurs bottes, persuadés de leur dogme croyance religion bêtise.
C'est l'UPR qui devraient la mettre en veilleuse apres avoir donné des lessons a tout le monde... ils n'ont toujours pas fait 5% et sont deja rattrapés par la patrouille sur diverses malversations et faux adherents!
 
On est en train de faire un HS avec les mésaventures de l'UPR (qui montre qu'il est un parti comme un autre en passant)
 
Ce sont les européistes qui devraient la mettre en veilleuse, tout est en train de s'effondrer à l'inverse de leurs prévisions, il ferait mieux de laisser la place aux gens compétents qui avaient prévues toutes ces difficultés macro économiques auxquelles nous assistons. Malheureusement, les européistes sont encore là en train de nous expliquer ce que l'on devrait faire, droits dans leurs bottes, persuadés de leur dogme croyance religion bêtise.
À ce que je sache il n’y a pas eu d’élections présidentielles récemment, logique donc que le gouvernement soit toujours le même.
Que les « europeistes » restent au pouvoir ou pas, on verra ça aux prochaines élections, sur base des résultats de vote, après que les différents partis aient fait campagne et que les gens aient eu l’occasion de s’exprimer aux urnes.

Désolé pour toi mais il va encore falloir attendre un peu, et espérer qu’une majorité de français qui ira voter pense comme toi ...
 
C'est l'UPR qui devraient la mettre en veilleuse apres avoir donné des lessons a tout le monde... ils n'ont toujours pas fait 5% et sont deja rattrapés par la patrouille sur diverses malversations et faux adherents!
Je ne sais pas si tu es au courant, mais tout ce qui se disfonctionnne au niveau de l'UE et qui est évoqué dans ce fil de discussion n'a strictement rien à avoir avec l'UPR.

Ce n'est en aucun la faute de FA, ni même des eurosceptiques (qui ne sont pas apparus avec l'UPR hein, il y a eu Séguin, Chevenement, Marchais, etc... et qui continueront à exister UPR ou pas UPR, avec Philippot, Kuzman, et autres) si après des décennies de propagande et des dizaines de milliards d'argent public, le résultat de tout ça est un gros tas de *.

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À ce que je sache il n’y a pas eu d’élections présidentielles récemment, logique donc que le gouvernement soit toujours le même.
Que les « europeistes » restent au pouvoir ou pas, on verra ça aux prochaines élections, sur base des résultats de vote, après que les différents partis aient fait campagne et que les gens aient eu l’occasion de s’exprimer aux urnes.

Désolé pour toi mais il va encore falloir attendre un peu, et espérer qu’une majorité de français qui ira voter pense comme toi ...
Oui oui j'en suis bien conscient. Juste que vous n'avez pas de limite pour continuer à nous enfoncer avec cette UE puisque vous préféreriez vendre un rein plutôt que de faire un bilan de ce qui nous arrive depuis qu'on est dedans. La folie collective fait partie de l'Histoire humaine à toutes les époques, en général cela se finissait avec une guerre, là on aura une destruction économique.

Après, concernant les élections, c'est bien gentil, mais j'ai encore le souvenir d'un matraquage médiatique hors norme il y a 3~4 ans envers un candidat (européiste curieusement), et pas plus tard qu'hier le lynchage (parce qu'en définitive c'est le résultat) d'un homme auquel on a jamais donné la parole, ni même dans cet article qui procède à son execution médiatique.
 
Oui oui j'en suis bien conscient. Juste que vous n'avez pas de limite pour continuer à nous enfoncer avec cette UE puisque vous préféreriez vendre un rein plutôt que de faire un bilan de ce qui nous arrive depuis qu'on est dedans. La folie collective fait partie de l'Histoire humaine à toutes les époques, en général cela se finissait avec une guerre, là on aura une destruction économique.
Honnetement vu comment la crise du coronavirus a ete geree au niveau europeen, tu vas peut-etre etre content dans les annees qui viennent, l'Europe a du souci a se faire ...
Meme pas sur qu'on ait besoin d'une guerre ou d'une destruction economique, je pense qu'il y a 2-3 pays qui gardent comme un gout amer de la reaction de leurs confreres, et ca risque de se ressentir aux prochaines elections, justement.

Cela dit l'UE est une des rares unions dans l'histoire de l'humanite que les membres sont libres de joindre et quitter pacifiquement, je doute qu'on en arrive a une guerre ou une catastrophe quelconque
 
Je ne sais pas si tu es au courant, mais tout ce qui se disfonctionnne au niveau de l'UE et qui est évoqué dans ce fil de discussion n'a strictement rien à avoir avec l'UPR.

Pas plus que le covid et ses conséquences économiques ne sont un problème exclusivement européen (il suffit de voir la gestion aux US...).
 
Pas plus que le covid et ses conséquences économiques ne sont un problème exclusivement européen (il suffit de voir la gestion aux US...).
Ah désolé, seuls les pays européens se sont lancés avec l'idée folle que le taux de change entre leur différentes monnaies devrait être de 1 et obligatoirement convertibles entre elles sans aucune limite. Et ça, ça change beaucoup de choses par rapport à tous les autres pays développés dans le monde.
 
Coronavirus : Pas de retour à la normale avant longtemps, prévient l'Ecosse

LONDRES (Reuters) - Il est peu probable que la vie redevienne normale même lorsque les mesures les plus restrictives contre l'épidémie de coronavirus auront été levées, et la "distanciation sociale" pourrait rester de mise jusqu'à la fin de l'année, voire au-delà, a déclaré jeudi la Première ministre écossaise, Nicola Sturgeon.

Communique :
"Un retour à une vie normale comme nous la connaissions n'est pas prévu (...). Ce que nous chercherons à faire, c'est trouver une nouvelle normalité, une manière de vivre avec ce virus sous une forme qui le maintienne sous contrôle", a-t-elle dit lors d'une conférence de presse.
"La distanciation sociale et la limitation de nos contacts avec les autres sera un élément de nos vies pour longtemps, sans doute jusqu'à ce que des traitements puis un vaccin offrent des solutions différentes", a ajouté la dirigeante du gouvernement autonome écossais.
"Cela signifie donc peut-être pour toute la fin de l'année, et peut-être même au-delà."

Elle a par ailleurs plaidé pour une levée progressive des mesures de confinement, réclamant en premier lieu un assouplissement léger et soulignant qu'il faudra revenir en arrière si cet allègement provoque des effets négatifs sur l'évolution de l'épidémie.


Du moment que la production de Single Malt n'est pas affectee c'est l'essentiel ! ;)
 
Pas plus que le covid et ses conséquences économiques ne sont un problème exclusivement européen (il suffit de voir la gestion aux US...).

Ah désolé, seuls les pays européens se sont lancés avec l'idée folle que le taux de change entre leur différentes monnaies devrait être de 1 et obligatoirement convertibles entre elles sans aucune limite. Et ça, ça change beaucoup de choses par rapport à tous les autres pays développés dans le monde.
Parce que des monnaies différentes avec des taux de change auraient arrêté le virus ?:hum::hum::hum:
 
Le coronavirus complique le dossier Brexit mais les priorités européennes sont inchangées

PARIS/BERLIN (Reuters) - La crise liée à l'épidémie de coronavirus ne facilitera pas le Brexit mais elle ne modifie pas les priorités européennes sur les négociations en cours visant à parvenir à un accord sur les relations futures entre le Royaume-Uni et ses partenaires européens, estiment vendredi les gouvernements allemand et français.

Extrait :
La Grande-Bretagne est formellement sortie de l'UE le 31 janvier dernier mais sans conséquence dans l'immédiat, puisque le pays est entré dans une période de transition durant laquelle il demeure soumis aux règles et obligations communautaires, le temps de négocier les futurs arrangements et d'éviter une sortie "sèche".
Cette période s'achève à la fin de l'année et les négociateurs britanniques et européens continuent de discuter, même si la crise liée au coronavirus mobilise les exécutifs sur d'autres sujets prioritaires et nourrit les doutes qui existaient déjà sur la capacité des deux parties à s'entendre dans le délai imparti.

Le négociateur en chef des Européens, Michel Barnier, qui rendait compte vendredi du deuxième round de discussions, a reconnu qu'il n'y avait guère eu de progrès tangible et qu'il n'était pas question pour l'UE d'accepter des progrès sur un nombre limité seulement de dossiers liés à la négociation.


Boris Johnson est en "grande forme", pourrait reprendre le travail rapidement

LONDRES (Reuters) - Boris Johnson, qui se remet d'une grave infection au coronavirus, est en "très grande forme", a déclaré vendredi le ministre britannique de la Santé, Matt Hancock, sans préciser cependant s'il serait bientôt de retour au 10, Downing Street pour diriger les affaires du pays en pleine crise sanitaire.

Extrait :
"Je suis sûr qu'il sera de retour dès que ses médecins le recommanderont", a-t-il dit sur Sky News. "C'est une décision qui appartient au Premier ministre en consultation avec ses médecins. Je lui ai parlé hier (jeudi), il est en très grande forme et se remet clairement."
Sur son site internet, le Daily Telegraph s'avance en écrivant que le Premier ministre britannique a prévu de reprendre le travail dès lundi prochain.
Selon le quotidien, il a demandé à ses collaborateurs de programmer des réunions la semaine prochaine avec les membres de son gouvernement en plein débat sur l'opportunité de sortir du confinement, en vigueur depuis plus d'un mois.

 
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Principaux extraits de la conférence de presse de la BCE

FRANCFORT (Reuters) - Principaux extraits de la conférence de presse donnée jeudi par Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), à l'issue de la réunion de politique monétaire du Conseil des gouverneurs:

RISQUES DE FRAGMENTATION

"Nous ne tolérerons aucun risque de fragmentation, nous voulons assurer que les liquidités soient abondantes, nous voulons assurer que le crédit afflue dans l'économie, que notre politique monétaire et sa transmission soient efficaces et nous ferons cela dans tout pays qui aura besoin de bénéficier de notre détermination."
DES ACHATS DE "JUNK BONDS" ?
Interrogée sur la possibilité que la BCE achète des obligations notées en catégorie spéculative ("junk"), Christine Lagarde a répondu que le Conseil des gouverneurs "n'a pas débattu d'une modification du cadre d'éligibilité à l'APP (le programme d'achats d'actifs) à ce stade".
LE PEPP POURRAIT ÊTRE PROLONGÉ EN 2021
"La durée de vie du PEPP (le Programme d'achats d'urgence pandémique) sera déterminée par le Conseil des gouverneurs. Non, il ne s'achèvera pas avant la fin de l'année calendaire, mais en fonction de la durée de la crise, et cela sera déterminé par le Conseil des gouverneurs. Il pourrait être prolongé au-delà de la fin de 2020.
FLEXIBILITÉ
"Nous utiliserons toute la flexibilité dont nous disposons en accord avec notre mandat afin d'assurer que notre politique monétaire est correctement transmise à toutes les juridictions, de l'est à l'ouest et du nord au sud, à tous les secteurs de l'économie. Et nous avons la flexibilité pour le faire, donc nous l'utiliserons, en totalité."

Suite des mesures et preconisations >>>

 
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Brexit : Londres dément toute "impasse" dans les négociations

LONDRES (Reuters) - Le gouvernement britannique est confiant dans la possibilité de conclure un accord post-Brexit avec l'Union européenne, à condition que Bruxelles considère le Royaume-Uni comme un négociateur indépendant, a déclaré jeudi un membre de l'équipe de négociateurs britanniques.


Communique :
Selon des sources diplomatiques à Bruxelles, les négociations sur les futures relations entre les deux entités sont dans l'impasse en raison de désaccords persistants dans trois grands domaines : les garanties d'une concurrence équitable, la gouvernance et la pêche.
"Je suis tout à fait optimiste", a au contraire assuré le négociateur britannique. "Je suis convaincu que dans ces domaines clés, il y a en fait une bonne compréhension entre négociateurs."
"Si nous arrivons à surmonter l'insistance de l'UE à ne pas nous considérer comme un négociateur pleinement indépendant, je pense que nous pourrons progresser assez rapidement", a-t-il ajouté.
"Je suis confiant que nous allons y arriver (...) mais il faudra probablement encore un peu de raffut avant que nous parvenions à ce stade."

Le prochain cycle de négociations est prévu début juin. Les deux parties doivent s'entendre avant la fin décembre, date butoir fixée par Londres, qui a quitté officiellement l'UE le 31 janvier dernier.

 
Parce que des monnaies différentes avec des taux de change auraient arrêté le virus ?:hum::hum::hum:
Merci Chris pour ta réponse qui confirme ce que j'ai écrit un peu plus haut, rien ne vous arrêtera dans votre folie collective parce que vous refusez d'en faire le moindre bilan. Oui, je te confirme qu'un virus n'a pas plus de taux de change que de passeport... Mais une monnaie n'est pas un dogme, elle doit répondre aux besoins de la population.

Il suffit de regarder l'historique pour s'apercevoir que l'euro ne tourne pas rond..
  • crises de l'euro 2009, 2010, 2012, 2015 suite à la crise des subprimes de 2008
  • gonflement des targets 2 vers l'Allemagne
  • quantitative easing de Mario "Whatever it takes" Draghi
  • Salvini qui menaçait de mettre en place une monnaie parallèle
  • taux négatifs, soupçonnés par d'anciens banquiers centraux dans le FT d'avoir été mis en place pour sauver les pays les plus endettés
  • démission avec fracas au directoire de la BCE en septembre 2019
  • ...
Tout cela était avant la crise économique due au Covid-19 qui va exacerber les différences de besoins/intérêts entre les pays de l'euro system.

(attention, le début de son analyse est contradictoire avec sa conclusion...)
 
Commerce : USA et Grande-Bretagne veulent aller vite dans leurs négociations

Communique : WASHINGTON/LONDRES (Reuters) - Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne ont officiellement lancé ce mardi un premier cycle de négociations en vue de la conclusion d'un accord de libre-échange en promettant de travailler à un rythme soutenu pour parvenir à un accord qui "stimulera considérablement le commerce et l'investissement".
Les discussions, menées par visioconférence au cours des deux prochaines semaines, impliqueront des responsables américains et britanniques dans près de 30 groupes de négociation différents, ont déclaré les principaux responsables commerciaux des deux pays dans un communiqué commun.
"Nous allons engager des négociations à un rythme accéléré et nous avons engagé les ressources nécessaires pour progresser à un rythme rapide", ont-ils souligné.

 
En pleine épidémie, les négociations sur le Brexit reprennent

Les derniers échanges, fin avril, s'étaient pourtant achevés sur un constat d'échec, laissant planer une forte incertitude sur la capacité de Londres et Bruxelles à s'entendre, comme prévu, d'ici la fin de l'année.

Extrait :
Après deux premières sessions marquées par de profondes divergences et l'absence de progrès, Britanniques et Européens reprennent leurs négociations lundi sur leur relation post-Brexit, plombées par la pandémie de nouveau coronavirus.
Ces pourparlers, prévus sur une semaine, débuteront par une "session plénière" en visioconférence, en présence du négociateur en chef de l'UE, Michel Barnier, et de son homologue britannique, David Frost.

"Nous devons maintenant aller de l'avant de manière constructive. Le Royaume-Uni reste déterminé à conclure un accord de libre-échange, tout comme l'UE a déjà conclu des accords avec des pays partageant les mêmes vues", a déclaré vendredi un porte-parole de Downing Street.
Les derniers échanges, fin avril, s'étaient pourtant achevés sur un constat d'échec, laissant planer une forte incertitude sur la capacité de Londres et Bruxelles à s'entendre, comme prévu, d'ici la fin de l'année. "Le Royaume-Uni n'a pas voulu s'engager sérieusement sur un certain nombre de points fondamentaux", avait regretté M. Barnier.
Une charge reprise à son compte cette semaine par le commissaire européen au Commerce, Phil Hogan, dans la presse irlandaise. "Il n'y a aucun signe réel que nos amis britanniques abordent les négociations avec un plan pour réussir. J'espère que je me trompe, mais je ne crois pas", a-t-il dit au groupe d'audiovisuel public RTE.

En cas d'échec, le gouvernement britannique a de toute façon l'intention de "mettre en cause le Covid-19" pour "les répercussions liées au Brexit", croit savoir le commissaire irlandais.

 
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Paris et La Haye exhortent l'UE à se montrer intraitable en matière de commerce

PARIS (Reuters) - La France et les Pays-Bas ont uni leurs forces pour exhorter l'Union européenne à se montrer plus intraitable en matière de * standards environnementaux et sociaux lorsqu'elle négocie des traités commerciaux avec d'autres pays, lit-on dans des documents vus par Reuters.

Communique :
Cette initiative commune intervient au moment où l'UE s'efforce de conclure un nouveau traité commercial avec la Grande-Bretagne, qui a formellement quitté l'UE le 31 janvier.
L'implication des Pays-Bas, traditionnellement des champions du libre-échange, aux côtés de la France souligne une évolution de la réflexion européenne - surtout provoquée par l'épidémie du nouveau coronavirus - avec un plus grand accent mis sur la protection de l'industrie de la région et les emplois, a dit un diplomate français.
L'attitude protectionniste des Etats-Unis sous l'administration Trump et la volonté de plus en plus marquée de la Chine de s'affirmer sur la scène mondiale ont également contribué à infléchir les positions européennes en matière de libre-échange.

L'UE devrait, quand c'est "pertinent", conditionner la baisse des tarifs douaniers à la mise en vigueur de mesures en faveur d'un développement durable et prévoir des sanctions si ces mesures ne sont pas respectées, lit-on dans le document franco-néerlandais envoyé aux 25 autres membres de l'UE.


* Deja que ce soit applique en interne a l'integralite des membres de la CE ca ne serait pas du luxe car question disparite niveau social et commercial pour ne citer que ces point precis , ce n'est pas tout a fait ca voir a l'oppose ! Chaque etat membre tire la couverture a lui suivant l'enjeu ou la situation du moment ...
 
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Gestion de crise : l'Allemagne accusée de faire cavalier seul et de fausser la concurrence à terme

La grogne monte au sein de l'Union européenne face aux larges dépenses de Berlin pour sauver ses fleurons industriels, tandis que certains pays ne disposent pas des mêmes marges de manœuvre. "Les aides sont données par ceux qui peuvent le faire. Si l'un peut en donner plus qu'un autre, nous sommes en train de fausser les conditions de concurrence", s'inquiète le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell .

Extrait :
'Allemagne dépense tous azimuts pour soutenir ses poids lourds industriels plombés par la crise. Mais la grogne monte parmi ses partenaires européens moins solides financièrement, qui s'alarment d'une concurrence faussée au sein de l'UE.
"À l'heure actuelle, la moitié des aides d'État accordées aux entreprises européennes l'ont été par l'Allemagne", constatait le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, lors d'une discussion récente avec un groupe de journalistes dont l'AFP.

"Les aides sont données par ceux qui peuvent le faire. Si l'un peut en donner plus qu'un autre, nous sommes en train de fausser les conditions de concurrence. Le marché unique sera fortement affecté par la manière dont les aides d'État seront accordées", mettait en garde l'ex-ministre espagnol des Affaires étrangères.



Monsieur de la Fontaine inspire d'Esope a ecrit de fameuses fables a ce sujet , entre autres " La cigale et la fourmi " ...
 
Brexit: Michel Barnier «déçu» par le manque d'ambition du Royaume-Uni dans les discussions

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Le négociateur en chef de l'UE sur le Brexit, Michel Barnier, a fait part vendredi de sa déception à l'issue du troisième cycle de discussions entre les Européens et Londres sur la relation post-divorce. En dehors de «quelques ouvertures modestes, aucun progrès n'a été possible sur les autres sujets, les plus difficiles», a déclaré le Français lors d'une conférence de presse à Bruxelles, jugeant ce round «décevant».

Communique :
Son homologue britannique David Frost a lui fustigé le «peu de progrès» accomplis et réclamé «un changement d'approche de l'UE» avant le prochain cycle de discussions le 1er juin.
«Rien de très nouveau sous le soleil», résume une source proche des discussions à l'issue de cette semaine. À l'exception, peut-être, du ton des échanges, cette fois-ci plus «fermes, parfois un peu virils». «Le ton s'est haussé un peu plus cette session», abonde une source européenne, qui évoque une semaine «frustrante». On fait du sur place et le temps passe, faute de «vision commune sur ce qu'on est en train d'essayer de faire», explique-t-elle.
Les précédents échanges, fin avril, s'étaient déjà achevés sur un constat d'échec, laissant planer une forte incertitude sur la capacité de Londres et Bruxelles à s'entendre, comme prévu, d'ici la fin de l'année.
Les Britanniques, qui ont formellement quitté l'UE le 31 janvier, sont entrés, jusqu'à la fin de l'année, dans une période de transition, pendant laquelle ils continuent d'appliquer les normes de l'UE. Les négociateurs doivent théoriquement décider en juin s'ils prolongent ou non cette période, afin de se laisser plus de temps pour négocier.

Mais Londres rejette catégoriquement cette idée, même si l'épidémie de coronavirus a chamboulé le calendrier des discussions, ainsi que leur forme: exclusivement par visioconférence.

 
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