UE & Brexit

Deal or No Deal ?


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Bah a voir ton Francais approximatif t'es surement un troll russe. La France est un confetis insignifiant a l'echelle mondiale. La moitie des pays nous considere comme une relique inutile du passe et l'autre moitie sont plus puissants que nous donc le moindre "deal" sera a notre desavantage. Notre seule chance c'est de la jouer Europe. La au moins on compte.

Salut Guillaume,
J'ai pas compris l'histoire du troll russe, mais par contre il faut que tu arrêtes de complexer : la taille ne fait pas tout.

Le Vietnam a toujours réussi à foutre une branlée et à l'empire coloniale français, et aux USA, et mêmes aux chinois.
La Suisse n'est pas réputée pour son armée, ni sa superficie, mais elle a toujours su tirer profit des situations pour assurer sa prospérité, pas mal pour un confetti.
Après c'est sûr qu'avec des personnes qui partagent ton point de vue : "Nous les français on est des nuls feignants juste bons à être sous domination"....alors on n'est pas prêt d'inverser la tendance.
Concernant l'apport de l'UE.....désolé je n'ai toujours rien constaté. Sérieux, l'UE fait peur à quelqu'un ? (A part ceux qui sont dedans, j'veux dire)
 
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Oui, et tu avais le droit de traverser la frontière tous les jours parce que tu étais frontalier. Si tu avais un visa « normal », tu n’aurais pas pu faire ces voyages quotidiens. Donc traitement particulier. Et ce n’est pas Shenghen.
Non, il n’y avait pas de visa, ni frontaliers, ni autres. Une simple CNI suffisait.
Et il n’y avait pas de comptage du nombre de passages. Un simple quidam pouvait passer la frontière tous les jours, s’il en avait envie.
 
Non, il n’y avait pas de visa, ni frontaliers, ni autres. Une simple CNI suffisait.
Et il n’y avait pas de comptage du nombre de passages. Un simple quidam pouvait passer la frontière tous les jours, s’il en avait envie.
Si un carnet bleu de memoire une sorte permis de travail , car lafoy pour se faire des sous pendant ses etudes livrait la Tribune de Geneve et le journal La Suisse tres tot le matin dans les boites aux lettres a Geneve, afin de s'acheter une magnifique Kawasaki ...
 
Si un carnet bleu de memoire une sorte permis de travail , car lafoy pour se faire des sous pendant ses etudes livrait la Tribune de Geneve et le journal La Suisse tres tot le matin dans les boites aux lettres a Geneve, afin de s'acheter une magnifique Kawasaki ...
Et maintenant tous ses sous qui ont fait des petits, sont retournés en Suisse dans des petites valises :siffle: ...
 
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Si un carnet bleu de memoire une sorte permis de travail , car lafoy pour se faire des sous pendant ses etudes livrait la Tribune de Geneve et le journal La Suisse tres tot le matin dans les boites aux lettres a Geneve, afin de s'acheter une magnifique Kawasaki ...
Le carnet bleu te permettait de travailler légalement, mais une simple carte d’identité était suffisante pour passer la frontière (mais peut-être qu’à certains postes frontière, il y avait des files spéciales pour le détenteur de carnet bleu, qui permettaient de passer plus rapidement)
 
Petite mise en parallèle de tes propos Guillaume.

Bah a voir ton Francais approximatif t'es surement un troll russe.
Dixit celui qui, si je comprends bien ton raisonnement nous faisait l'éloge de la trollerie il n'y a pas si longtemps:

La France est un confetis insignifiant a l'echelle mondiale. La moitie des pays nous considere comme une relique inutile du passe et l'autre moitie sont plus puissants que nous donc le moindre "deal" sera a notre desavantage. Notre seule chance c'est de la jouer Europe. La au moins on compte.
Dixit de celui qui fait l'éloge du revenu universel, d'une société altermondialiste et qui croit en l'UE:

Dixit celui qui souhaite un changement de paradigme mondial tout en devenant millionnaire et vivre de ses placements divers.

Conclusion: Soit tu vis simultanément dans deux univers parallèles soit tu souffres d'un dédoublement de personnalité....

:trollpas:
 
UE : La fermeture des frontières au-delà de Pâques en discussion

PARIS (Reuters) - Des discussions sont en cours sur une éventuelle prolongation de la fermeture des frontières extérieures de l'Union européenne au-delà de Pâques, compte tenu de l'épidémie de coronavirus toujours en cours, a déclaré vendredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.

Communique :
Les Etats membres de l'UE avaient approuvé à l'unanimité le 17 mars la proposition de la Commission d'interdire pendant 30 jours les entrées de personnes n'appartenant pas au bloc pour tenter de freiner la propagation du virus.
"Nous sommes en train de consulter l'ensemble des Etats membres pour décider après Pâques de la marche à suivre", a déclaré Ursula von der Leyen sur Europe 1. "Cela a été une mesure très bien reçue par les Etats membres, tout le monde en a compris la nécessité".
"C'est une très mauvaise idée de toute façon de faire des voyages superflus, de se rendre dans l'Union européenne si ce n'est pas nécessaire",
a-t-elle poursuivi.

L'objectif de cette mesure * "était d'empêcher des gens qui n'habitent pas l'Union européenne de venir se faire soigner en Europe alors que le système sanitaire est totalement saturé", a précisé Ursula von der Leyen.

* Ben non ca continue , le grand 8 redemarre alors que des cas d'infections on etes decouverts dans les camps en Grece , que la Turquie est infestee , l'Egypte , la Tunisie et le Maroc en bonne voie , et que nous ne savons rien de ce qui se passe en Libye !

 
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Non, il n’y avait pas de visa, ni frontaliers, ni autres. Une simple CNI suffisait.
Et il n’y avait pas de comptage du nombre de passages. Un simple quidam pouvait passer la frontière tous les jours, s’il en avait envie.
Je ne connais pas les conditions des années 50-60. :eek:

Traverser les frontières tous les jours, ce n’était pas conseillé si pas frontalier, sinon tu avais le droit de te faire désosser la voiture toutes les semaines si le douanier n’aimait pas tes réponses. Arrivé à un collègue, bon il travaillait au black, il fait son permis de travail après. Et du coup il n’était plus emmerdé.
 
L'économie européenne pourrait respirer après le mois de mai, selon DWS

PARIS (Reuters) - Les mesures de confinement paralysant l'économie européenne devraient commencer à être levées à partir du mois de mai, permettant un rebond au second semestre de l'année, selon le scénario de base retenu par DWS.

Extrait :
"Nous pensons que le gel actuel de larges pans de l'économie européenne durera tout au plus jusqu'en mai, date à laquelle les mesures de confinement devraient commencer à être progressivement levées", écrit Martin Moryson, chef économiste Europe pour la société de gestion allemande, dans une note publiée vendredi.
DWS table sur une récession économique brutale en Europe mais voit un rebond se dessiner sur la deuxième partie de l'année, tout en reconnaissant que de nombreuses incertitudes pèsent sur ce scénario.

 
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Nouvelle PAC : le Covid-19 nous oblige à refuser tout « Munich agricole »

TRIBUNE. La crise du coronavirus a mis en lumière la nécessité pour le pays d'avoir une filière de production alimentaire, ce dont a témoigné l'engagement des acteurs de cette filière. Mais pour garantir sa survie et sa résilience, il faudra relever le défi au niveau européen. Ce qui passe non par l'abandon de la PAC, mais, au contraire, par son renforcement. Par Sophie Primas (LR-Yvelines), présidente de la Commission des affaires économiques du Sénat, et Jean Bizet (LR- Manche), président de la Commission des affaires européennes du Sénat.

Extrait : L'agri-bashing, qui prévalait jusqu'à la crise du Covid 19, semble désormais bien loin ! Quelques jours auront suffi pour que chacun réalise le caractère stratégique de l'objectif premier de la Politique agricole commune (PAC), que beaucoup avaient manifestement oublié : notre sécurité alimentaire. Alors que nous manquons cruellement de masques pour protéger nos soignants et nos populations et que nous dépendons pour cela de l'arrivée des avions en provenance de Chine, remercions les agriculteurs français de nous épargner des angoisses supplémentaires. Nos agriculteurs et nos industries agroalimentaires en administrent quotidiennement la preuve à leurs détracteurs : sur le terrain, l'approvisionnement en temps de crise fonctionne et personne en France, à ce stade, n'est exposé à un risque de pénurie. C'est le résultat d'un engagement formidable de toute la filière qu'il convient de saluer. Ainsi donc, cette crise aura utilement rappelé que la vocation première de notre agriculture réside, avant tout, dans l'objectif de nourrir les Européens dans un monde incertain.

 
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En Europe, l'onde de choc du Covid-19 pourrait être dévastatrice Par Grégoire Normand

L'activité économique de la zone euro s'est effondrée en mars face aux mesures prises pour contenir la pandémie de coronavirus qui ont conduit les gouvernements de toute la région à fermer de vastes pans de leurs économies. L'indice composite PMI auprès des directeurs d'achat calculé par IHS Markit a chuté à un niveau record de 29,7 sur le mois, contre 51,6 en février.

Extrait :
Les dégâts causés par la pandémie de coronavirus dans une Europe confinée n'ont pas fini de se faire sentir. Au mois de mars, le secteur privé de l'union monétaire a enregistré un recul "sans précédent" pour s'établir à 29,7, selon les derniers indices Markit publiés ce vendredi 3 avril. Un record depuis que l'enquête existe (1998). Cette baisse de 21,9 points (51,6 en février) traduit l'ampleur de la crise économique provoquée par la propagation du virus à l'échelle du Vieux continent. Les économistes de l'institut ont même révisé à la baisse leurs projections par rapport à la précédente estimation flash (31,4).

Concrètement, pour les pays de la zone euro, une paralysie prolongée de l'économie pourrait provoquer des dégâts économiques et sociaux colossaux. S'il est encore trop tôt pour avoir des chiffres sur le produit intérieur brut européen du premier trimestre à ce stade, le repli des indices PMI, qui constituent des indicateurs avancés très observés par les milieux d'affaires et les économistes, est bien pire qu'en 2008. Interrogé récemment par La Tribune, l'économiste Eric Dor estimait que "la récession en Europe pourrait être hors-norme". De son côté, le Fonds monétaire international (FMI) a affirmé en début de semaine qu'une "profonde récession" en 2020 sur le continent européen était "un fait acquis" en raison des graves conséquences économiques de la pandémie due au coronavirus.

Suite de l'analyse >>>

 
UE : Démission du président du CER sur fond de controverse sur le coronavirus

BRUXELLES (Reuters) - Le président de la principale organisation scientifique de l'Union européenne a quitté son poste, a annoncé mercredi la Commission européenne, sur fond de controverse sur la réponse du bloc communautaire à la crise sanitaire actuelle liée au coronavirus.

Communique :
Mauro Ferrari, qui avait été nommé le 1er janvier dernier à la tête du Conseil européen de la recherche (CER) pour un mandat de quatre ans, a remis sa démission mardi, a indiqué la Commission, précisant que cette démission était à effet immédiat.
Un porte-parole a déclaré que la Commission regrettait la démission prématurée du professeur Ferrari.
Le départ du chercheur italien a été rapporté en premier lieu par le Financial Times, auprès duquel Mauro Ferrari s'était exprimé pour faire part de son immense déception à l'égard de la réponse apportée par l'Union à l'épidémie de coronavirus.
Ferrari a dit au FT regretter la résistance institutionnelle et les luttes bureaucratiques intestines devant sa proposition d'un vaste programme scientifique pour lutter contre le coronavirus.

"Je suis arrivé au CER en étant un fervent partisan de l'UE (...) Le COVID-19 a complètement modifié mon opinion", a-t-il dit dans le communiqué transmis au Financial Times.
L'ERC, qui a dit regretter ces déclarations de Ferrari, a déclaré avoir demandé à Ferrari de démissionner de son poste le 27 mars, lui reprochant un manque de compréhension de son rôle de président de l'organisation ainsi que des activités personnelles et extérieurs effectuées au détriment d'une implication totale dans les travaux de l'agence européenne.

 
Coronavirus: les Européens s'accordent sur un vaste plan de soutien de 500 milliards d'euros

Les Vingts-Sept sont parvenus à un accord, ce jeudi soir, sur un plan de soutien pour faire face aux conséquences économiques du coronavirus.

Communique :
Les ministres européens des Finances sont parvenus jeudi à un accord sur une réponse économique commune face au coronavirus après avoir trouvé un terrain d'entente avec les Pays-Bas qui bloquaient les discussions depuis mardi, a-t-on appris de sources concordantes. Un plan de soutien de 500 milliards d'euros a ainsi été décidé.
«La réunion s'est achevée sous les applaudissements des ministres», a annoncé sur Twitter le porte-parole du président de l'Eurogroupe. Le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a lui salué un «excellent accord» incluant «500 milliards d'euros disponibles immédiatement» et «un fonds de relance à venir».

Les pays européens se sont notamment entendus sur la question des conditions d'accès aux lignes de crédit du Mécanisme européen de stabilité (MES), les Pays-Bas ayant apparemment renoncé à imposer des critères économiques spécifiques. Le président de l'Eurogroupe, Mario Centeno, avait convoqué une nouvelle réunion par viséoconférence ce jeudi, à partir de 17h00 (15h00 GMT), après l'échec des discussions de mardi et mercredi.

 
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Coronavirus: les Européens s'accordent sur un vaste plan de soutien de 500 milliards d'euros

Les Vingts-Sept sont parvenus à un accord, ce jeudi soir, sur un plan de soutien pour faire face aux conséquences économiques du coronavirus.

Communique :
Les ministres européens des Finances sont parvenus jeudi à un accord sur une réponse économique commune face au coronavirus après avoir trouvé un terrain d'entente avec les Pays-Bas qui bloquaient les discussions depuis mardi, a-t-on appris de sources concordantes. Un plan de soutien de 500 milliards d'euros a ainsi été décidé.
«La réunion s'est achevée sous les applaudissements des ministres», a annoncé sur Twitter le porte-parole du président de l'Eurogroupe. Le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a lui salué un «excellent accord» incluant «500 milliards d'euros disponibles immédiatement» et «un fonds de relance à venir».

Les pays européens se sont notamment entendus sur la question des conditions d'accès aux lignes de crédit du Mécanisme européen de stabilité (MES), les Pays-Bas ayant apparemment renoncé à imposer des critères économiques spécifiques. Le président de l'Eurogroupe, Mario Centeno, avait convoqué une nouvelle réunion par viséoconférence ce jeudi, à partir de 17h00 (15h00 GMT), après l'échec des discussions de mardi et mercredi.

Si ce MES se met en oeuvre, cela voudra dire que nous sommes fin prêt pour une troika 2.0 qui va couler le moindre début de reprise pour cause d'austérité tout en retirant tout pouvoir démocratique au(x) pays concerné(s). Les scénarios à la grecque version 2015 se reproduiront en Italie, en Espagne et peut être ailleurs, tout cela augure des temps agités d'ici quelques temps.

En attendant la Grande Bretagne n'a pas eu besoin de ça (ni même de réunion décevante de 16 heures d'affilées..), puisqu'elle est maître de sa politique monétaire.
 
Si ce MES se met en oeuvre, cela voudra dire que nous sommes fin prêt pour une troika 2.0 qui va couler le moindre début de reprise pour cause d'austérité tout en retirant tout pouvoir démocratique au(x) pays concerné(s). Les scénarios à la grecque version 2015 se reproduiront en Italie, en Espagne et peut être ailleurs, tout cela augure des temps agités d'ici quelques temps.

En attendant la Grande Bretagne n'a pas eu besoin de ça (ni même de réunion décevante de 16 heures d'affilées..), puisqu'elle est maître de sa politique monétaire.
Bonjour Alplob
Oui j'ai vu ca au niveau du Royaume Uni ! Apres les etats n'ont pas le choix il n'y a plus un kopeck en caisse , ecroules sous le poids de la dette , assorti d'une recession pour toute l'Europe avec des nuages noirs a l'horizon , deja que c'etait peau de chagrin niveau croissance ! On peut comprendre l'Allemagne , les Pays Bas et quelques rares autres qui ont encore des reserves montaires !

Coronavirus : la Banque d'Angleterre va financer directement les dépenses du Royaume-Uni 09/04/2020

Ce financement monétaire doit permettre au gouvernement britannique de limiter le recours au marché obligataire pour financer les mesures extraordinaires de soutien à l'économie prises dans le contexte de la pandémie du Covid-19. Applaudi par certains, ce mécanisme reste synonyme de dépenses incontrôlées pour d'autres.

Extrait :
Au Royaume-Uni, un tabou vient de tomber. La banque centrale du pays a annoncé, ce jeudi 9 avril, qu'elle allait directement financer certaines dépenses de l'Etat. Un moyen pour le gouvernement britannique de limiter le recours au marché obligataire afin de financer les mesures extraordinaires prises dans le contexte de la pandémie du Covid-19, qui a fait plus de 6.000 morts sur son territoire et qui met à mal son économie.
Cette mesure extraordinaire, mais temporaire, doit permettre au gouvernement "de disposer suffisamment de liquidités pour relancer l'économie face au choc du coronavirus", ont indiqué dans un communiqué commun le Trésor et la Banque d'Angleterre (BoE), tout en aidant "au bon fonctionnement des marchés pendant la période de perturbations liée au Covid-19". Ils précisent, toutefois, que le gouvernement continuera à "utiliser les marchés comme sa principale source de financement".


11/03/2020
 
Dernière édition:
Bonjour Alplob
Oui j'ai vu ca au niveau du Royaume Uni ! Apres les etats n'ont pas le choix il n'y a plus un kopeck en caisse , ecroules sous le poids de la dette , assorti d'une recession pour toute l'Europe avec des nuages noirs a l'horizon , deja que c'etait peau de chagrin niveau croissance ! On peut comprendre l'Allemagne , les Pays Bas et quelques rares autres qui ont encore des reserves montaires !

Coronavirus : la Banque d'Angleterre va financer directement les dépenses du Royaume-Uni 09/04/2020

Ce financement monétaire doit permettre au gouvernement britannique de limiter le recours au marché obligataire pour financer les mesures extraordinaires de soutien à l'économie prises dans le contexte de la pandémie du Covid-19. Applaudi par certains, ce mécanisme reste synonyme de dépenses incontrôlées pour d'autres.

Extrait :
Au Royaume-Uni, un tabou vient de tomber. La banque centrale du pays a annoncé, ce jeudi 9 avril, qu'elle allait directement financer certaines dépenses de l'Etat. Un moyen pour le gouvernement britannique de limiter le recours au marché obligataire afin de financer les mesures extraordinaires prises dans le contexte de la pandémie du Covid-19, qui a fait plus de 6.000 morts sur son territoire et qui met à mal son économie.
Cette mesure extraordinaire, mais temporaire, doit permettre au gouvernement "de disposer suffisamment de liquidités pour relancer l'économie face au choc du coronavirus", ont indiqué dans un communiqué commun le Trésor et la Banque d'Angleterre (BoE), tout en aidant "au bon fonctionnement des marchés pendant la période de perturbations liée au Covid-19". Ils précisent, toutefois, que le gouvernement continuera à "utiliser les marchés comme sa principale source de financement".


11/03/2020
Bonjour Maitre,

Oui dans la situation actuelle, les états non pas beaucoup de choix. L'avantage de l'activation de ce MES est qu'il prouve à tout le monde que l'euro est irréaliste. Tous les européistes nous donnent régulièrement l'exemple des provinces de Chine ou les états des États-unis comme preuve de la faisabilité de l'euro entre les pays européens, mais ni les provinces de Chine, ni les états des États-unis ne se font de prêts entre elles, encore moins assortis de conditions de prise de contrôle... Il y a un état centralisateur qui fait les transferts nécessaires entre les zones économiques. C'est précisément ce que refusent les Allemands et les Hollandais qui sont pourtant les grands gagnants de l'euro, sous évalué pour eux. Et le consentement à l'impôt est à la base du concept de "nation".
 
Tous les européistes nous donnent régulièrement l'exemple des provinces de Chine ou les états des États-unis comme preuve de la faisabilité de l'euro entre les pays européens, mais ni les provinces de Chine, ni les états des États-unis ne se font de prêts entre elles, encore moins assortis de conditions de prise de contrôle... Il y a un état centralisateur qui fait les transferts nécessaires entre les zones économiques.

Ah donc tu reproches en fait à l'Europe de ne pas être fédérale à l'inverse des US... Bon a savoir, j'avais mal compris ta position avant :)
 
Ah donc tu reproches en fait à l'Europe de ne pas être fédérale à l'inverse des US... Bon a savoir, j'avais mal compris ta position avant :)
Je ne reproche rien, je constate.

Le fait que je deviendrai soudainement européiste ne changera sur au fait que l'Allemagne, la Hollande, et d'autre ne veulent pas faire de transferts. Par contre vous vous accrochez à cette direction qui ne menera nul part, si ce n'est à la paupérisation et à la sortie d'autres pays.

Si vous pouviez éviter à chaque fois prendre pour exemple les USA et la Chine, ce serait cool car manifestement, contrairement à vous, ces 2 pays ne sont pas deux référence s partagées par nos "partenaires" (je précise également que cette situation est complètement indépendante des résultats électoraux français).
 
Si vous pouviez éviter à chaque fois prendre pour exemple les USA et la Chine, ce serait cool car manifestement, contrairement à vous, ces 2 pays ne sont pas deux référence s partagées par nos "partenaires" (je précise également que cette situation est complètement indépendante des résultats électoraux français).

C'est toi qui en parlais dans ton post ci dessus, je découvrais donc avec surprise que tu étais pour une Europe fédérale !