Performances Economiques Françaises à l'etranger - Aeronautique - Industries - Luxe - Strategies

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Pour les économistes, la reprise de la croissance se pérennise

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COE Rexecode et l'OFCE ont publié leurs prévisions de croissance pour 2018, le PIB progresserait de 1,6% pour le premier et de 1,7% pour le second. COE Rexecode estime que la réforme du droit du travail et de la fiscalité va "booster" les créations d'emplois et la croissance potentielle mais que des freins demeurent, notamment le déficit de compétitivité-coût des entreprises françaises.

Extrait : La dynamique de l'économie française est positive et cela devrait perdurer... sauf accident conjoncturel. Ce pronostic émane, il faut le souligner, tant de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), d'obédience néo-keynésienne, que de l'institut COE-Rexecode, proche du patronat. Le ciel se dégagerait donc... mais certains facteurs continueraient de peser défavorablement.

Les deux organismes tablent sur une croissance du PIB plus soutenue en 2017 que ce qui était prévu : pour l'OFCE, elle atteindra 1,8%, contre 1,5% dans ses précédentes prévisions publiées en juillet. Cette prévision rejoint celles de l'Insee et de Bercy. En 2018, la croissance devrait atteindre 1,7% (contre 1,5% anticipé jusqu'alors) et 1,9% en 2019 (contre 1,7%).

Pour l'OFCE la politique de l'offre de Hollande a eu des effets positifs...
En effet, pour l'OFCE, "certains facteurs négatifs qui ont marqué 2016 (chute de la production agricole, impact des attentats sur le tourisme, conflits autour de la loi travail) ont disparu en 2017". En outre, "l'économie devrait désormais profiter pleinement des effets positifs des politiques d'offre instituées sous la présidence Hollande" en faveur des entreprises (avec, en particulier, le Crédit d'impôt compétitivité emploi). Façon de signifier à Emmanuel Macron que l'héritage dont il bénéficie n'est pas si négatif que cela...

Mais l'OFCE reconnait également des mérites à l'actuelle majorité en notant que pour 2018 et 2019, l'objectif du gouvernement n'est pas une "réduction à marche forcée du déficit public", via des politiques d'austérité, même si 60 milliards d'euros d'économies sont prévus sur cinq ans. De fait, selon les calculs de l'organisme, sur ces deux prochaines années, l'impact des mesures prévues par l'exécutif sur le PIB devrait être « seulement » de -0,2 point.

Résultat, la réduction du déficit public sera lente, l'OFCE table sur un déficit de 2,9% en 2017, de 2,6% en 2018 - soit la prévision gouvernementale - et de 2,9% en 2019, année où le CICE sera transformé en baisses pérennes des cotisations sociales patronales, ce qui va augmenter durant une année les dépenses de l'Etat.

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http://www.latribune.fr/economie/fr...ise-de-la-croissance-se-perennise-754827.html
Source : LA TRIBUNE
 
Airbus assure qu'il vendra des Bombardier C-Series "par milliers"

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Le président exécutif d'Airbus, Tom Enders, a déclaré ce vendredi qu'il pensait que les analystes sous-estimaient la demande d'avions Bombardier C-Series et qu'il s'attendait à ce que le groupe vende des "milliers" d'exemplaires de ce modèle.


Extrait : Des milliers de Bombardier C-Series. C'est ce que prétend vendre Airbus en mettant la main sur ce programme d'avions, qui affiche aujourd'hui 360 commandes au compteur depuis son lancement en 2008.

"Je pense que nous vendrons beaucoup plus de ces avions, a déclaré le président exécutif d'Airbus, Tom Enders, lors d'une conférence organisée par la Chambre de commerce de Montréal, en précisant qu'Airbus "sait comment vendre des monocouloirs".

Airbus prend le contrôle du C-Series
Mardi, Airbus et Bombardier ont signé un accord dans lequel le groupe européen va prendre une participation majoritaire dans le programme d'avions de 110 à 150 sièges (voire 160 en version monoclasse) du groupe canadien. Dans cet accord, Airbus sera notamment en charge de la commercialisation du C-Series. Pour certains observateurs, les équipes d'Airbus peuvent en effet faire un carton avec cet avion, complémentaire aux A320 et A321, lesquels couvrent le marché des 150-220 sièges.

Une consommation 20% inférieure aux avions de même catégorie
Car, de l'avis de plusieurs experts, l'avion canadien est un bon avion. Malgré une capacité inférieure à l'A320 ou au B737-800, il afficherait des coûts au siège à l'étape (par vol) identiques à ceux de l'A320 ou du B737, voire inférieurs, selon la direction de Bombardier. Une performance de taille dans la mesure où, en général, les avions plus petits ont des coûts au siège plus élevés. Grâce aux améliorations apportées sur le fuselage et à sa nouvelle motorisation, le C-Series est censé consommer 20% de moins que les avions actuels de la même catégorie.

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Source : LA TRIBUNE

L'optimisme c'est bien !
 
Douze Rafale en jeu lors de la venue du président égyptien à Paris

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L'Égypte souhaiterait lever l'option, qui porte sur l'achat de douze Rafale supplémentaires. Le président égyptien Abdel Fattah al Sissi sera à Paris à partir de lundi.

Extrait : Plus de deux ans après s'être offert 24 Rafale, l'Égypte du président Abdel Fattah al Sissi souhaiterait lever l'option, qui porte sur l'achat de douze Rafale supplémentaires. Les négociations, qui ont commencé depuis la fin du printemps 2016 entre Dassault Aviation et l'armée égyptienne, butteraient, selon nos informations, sur le financement de cette vente. Bercy ne souhaite pas accorder les mêmes garanties qu'il y a deux ans. Ce qui n'est pas une surprise. C'est pourtant ce que demande les Égyptiens.

La visite à partir de lundi à Paris d'Abdel Fattah al Sissi, qui rencontrera pour la première fois Emmanuel Macron lors d'une visite officielle de trois jours, pourrait dénouer cette opération... ou pas. La tendance n'était pas à l'optimisme ces derniers jours. Emmanuel Macron tordra-t-il le bras à Bercy? A suivre. En revanche, Paris et Le Caire seraient très proches de conclure un contrat d'environ 200 millions d'euros en vue de fournir à l'armée égyptienne le segment du sol du satellite de télécoms vendu en 2016 et dont la vente est estimée à environ 600 millions d'euros (Airbus Space Systems et Thales Alenia Space).

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http://www.latribune.fr/entreprises...nue-du-president-egyptien-a-paris-755043.html
Source : LA TRIBUNE
 
Neoline veut relancer la voile de travail dans l'industrie

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Avec la construction de deux cargos à voiles de 136 mètres de long, destinés à embarquer du fret industriel, la startup Neoline veut rendre le transport maritime écoresponsable compétitif.

Extrait : Ils ne sont pas là pour faire des ronds dans l'eau ! « C'est un projet d'armateurs, qui marie l'opérationnel et la R&D » précise d'emblée Jean Zanuttini, co-fondateur et directeur général de la startup nantaise Neoline, à l'origine du Neoliner : un cargo de 136 mètres de long pour 24 mètres de large, surmonté de deux gréements duplex rabattables, d'une structure couverte de plus de 7,40 mètres de haut, d'une propulsion auxiliaire diesel électrique utilisée pour les manœuvres portuaires, et conçu pour embarquer du fret hors normes comme des tronçons d'avions, des morceaux d'usine, des bateaux... avec pour promesse une diminution de la consommation de carburant de 90% !

Inspiré de la course au large
Doté d'une voilure de 3.850 m², ce navire du futur pourra atteindre un rythme de croisière de 11 nœuds. Une vitesse légèrement inférieure aux 15 à 17 nœuds pratiqués par un cargo classique, mais voulue pour tirer parti au maximum des voiles lors de traversées océaniques.

« Neoline n'a pas vocation a développé des briques technologiques, mais de combiner entre-elles des technologies éprouvées pour avoir quelques choses qui fonctionne. La vraie innovation, c'est la capacité à utiliser les outils météorologiques disponibles, inspirés de ce qui se pratique dans la course au large. Les navires seront aussi des plateformes d'innovation qui offriront un retour d'expérience », explique le DG de Neoline, qui s'est appuyé sur les savoir-faire du bureau d'architecture et d'ingénierie navale Mauric et de la société Mer Forte, créée par le navigateur Michel Desjoyaux pour « valoriser l'expérience de la voile en compétition et jeter des passerelles vers le monde maritime.»

La carène aura la finesse d'un voilier. L'hélice est optimisée pour réduire la trainée sous les voiles. La coque est équipée d'ailerons anti-dérives rétractables, le gréement, efficient au près et en vent arrière a été conçu pour ne pas impacter le tirant d'air et l'espace de chargement. L'hybridation voile-moteur permettra de garantir les heures d'arrivée, si la pertinence du routage « Météo » faisait défaut.

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http://www.latribune.fr/regions/pay...voile-de-travail-dans-l-industrie-754732.html
Source : LA TRIBUNE
 
Neoline veut relancer la voile de travail dans l'industrie


Avec la construction de deux cargos à voiles de 136 mètres de long, destinés à embarquer du fret industriel, la startup Neoline veut rendre le transport maritime écoresponsable compétitif.

Extrait : Ils ne sont pas là pour faire des ronds dans l'eau ! « C'est un projet d'armateurs, qui marie l'opérationnel et la R&D » précise d'emblée Jean Zanuttini, co-fondateur et directeur général de la startup nantaise Neoline, à l'origine du Neoliner : un cargo de 136 mètres de long pour 24 mètres de large, surmonté de deux gréements duplex rabattables, d'une structure couverte de plus de 7,40 mètres de haut, d'une propulsion auxiliaire diesel électrique utilisée pour les manœuvres portuaires, et conçu pour embarquer du fret hors normes comme des tronçons d'avions, des morceaux d'usine, des bateaux... avec pour promesse une diminution de la consommation de carburant de 90% !

Inspiré de la course au large
Doté d'une voilure de 3.850 m², ce navire du futur pourra atteindre un rythme de croisière de 11 nœuds. Une vitesse légèrement inférieure aux 15 à 17 nœuds pratiqués par un cargo classique, mais voulue pour tirer parti au maximum des voiles lors de traversées océaniques.

« Neoline n'a pas vocation a développé des briques technologiques, mais de combiner entre-elles des technologies éprouvées pour avoir quelques choses qui fonctionne. La vraie innovation, c'est la capacité à utiliser les outils météorologiques disponibles, inspirés de ce qui se pratique dans la course au large. Les navires seront aussi des plateformes d'innovation qui offriront un retour d'expérience », explique le DG de Neoline, qui s'est appuyé sur les savoir-faire du bureau d'architecture et d'ingénierie navale Mauric et de la société Mer Forte, créée par le navigateur Michel Desjoyaux pour « valoriser l'expérience de la voile en compétition et jeter des passerelles vers le monde maritime.»

La carène aura la finesse d'un voilier. L'hélice est optimisée pour réduire la trainée sous les voiles. La coque est équipée d'ailerons anti-dérives rétractables, le gréement, efficient au près et en vent arrière a été conçu pour ne pas impacter le tirant d'air et l'espace de chargement. L'hybridation voile-moteur permettra de garantir les heures d'arrivée, si la pertinence du routage « Météo » faisait défaut.

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Source : LA TRIBUNE
Projet passionant qui n'en est encore a qu'a ses debuts apparement.
Curieux de savoir qui est interessé car a part de dire qu'ils vont consommer moins de carburant, aucune mention de la capacite de fret qu'ils peuvent transporter, ce qui me semble etre une info primordiale avant de savoir si c'est viable.
On assiste vraiment a une evolution des alternatives dans le monde du transport (multimodal/OBOR, camions qui se conduisent tous seuls...), vivement la suite :)
 
Un incubateur de startups Fintech à La Défense pour rivaliser avec Londres

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Une trentaine de jeunes pousses de la finance et l’assurance seront hébergées au Swave, à la Grande Arche dans cette structure animée par l’agence de développement économique Paris&Co et financée par des partenaires, en premier lieu la Société Générale.

Extrait : A l'heure du Brexit, le quartier de La Défense se rêve en capitale de la Fintech, ces startups qui réinventent la finance par la technologie. L'agence de développement économique Paris&Co a lancé ce vendredi l'appel à candidatures de son nouvel incubateur consacré à la Fintech et l'Insurtech (assurance), le Swave, qui ouvrira ses portes en décembre à la Grande Arche. Une trentaine de startups seront hébergées dans ce lieu de 2.500 m2 qui occupera deux étages pleins. Ce sont les services de l'Etat, plus particulièrement ceux du préfet des Hauts-de-Seine, qui sont à l'origine de l'initiative, destinée à faire de « La Défense une alternative crédible, en termes d'attractivité et d'écosystème, aux meilleurs incubateurs européens. » Ils ont convaincu la Société Générale, dont le siège est à quelques mètres de la Grande Arche, de devenir le premier partenaire.

D'autres acteurs, le gérant d'actifs New Alpha AM (filiale de La Française), le Crédit Municipal de Paris et le cabinet Exton Consulting, se sont associés au projet qui a vocation à s'ouvrir à d'autres. Parmi les pressentis : l'opérateur de marchés Euronext, l'assureur Axa, l'université Dauphine ou l'Inria. L'institut Louis Bachelier est un partenaire côté recherche, l'association professionnelle France Fintech, l'organisation de lobbying de la place Paris Europlace, l'initiative Finance for Tomorrow et le pôle de compétitivité Finance Innovation sont aussi partenaires.

« La Défense est le centre historique de la banque et la finance, nous voulons lui donner la capacité de devenir le centre international de la finance de demain, et ainsi stimuler l'attractivité du territoire et la création d'emplois », a déclaré la sous-préfète des Hauts-de-Seine, Isabelle Herrero, lors de la présentation à la presse vendredi.

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Source : LA TRIBUNE
 
Les défaillances d'entreprises au plus bas depuis l'avant-crise

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Le nombre de défaillances d'entreprises a continué de refluer au troisième trimestre 2017, passant sous le seuil des 11.000 procédures pour la première fois depuis l'été 2007, selon des données du cabinet d'études Altares parues mardi.


Extrait :
C'est la première fois que le nombre passe sous la barre de 11.000 depuis 2007. Les défaillances d'entreprises ont baissé de 5,2% sur un an au troisième trimestre, à 10.830 contre 11.422 un an auparavant, atteignant ainsi leur plus bas niveau depuis dix ans, selon une étude du cabinet Altares publiée mardi.

En données glissées sur douze mois, septembre signe par ailleurs "la 34e baisse mensuelle consécutive du nombre de défaillances d'entreprises, exception faite de trois mois en 2015, où la hausse était de l'épaisseur du trait", précise Thierry Millon.

Réduction sensible pour les PME de plus de 100 personnes
Dans le détail, la "sinistralité" des PME de 50 à 99 salariés s'est stabilisée au 3e trimestre à un niveau bas, pendant que celle des PME de taille plus importante, à partir de 100 salariés, s'est sensiblement réduite (-23%). Les entreprises de 3 à 9 salariés sont pour leur part parvenues à stabiliser leur situation, après de fortes baisses de défaillance au cours des derniers trimestres.

Côté secteurs professionnels, l'industrie continue d'être bien orientée (défaillances en baisse de 4,3%), tout comme la construction (-10,9%), le commerce (-2,2%) offrant pour sa part des tendances hétérogènes.

Le monde agricole a pour sa part "bénéficié d'une fenêtre de respiration", avec un nombre de défaillances en recul de 9,3%, précise par ailleurs Altarès. Sur neuf mois, il reste toutefois en hausse de 9,3%.

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Source : LA TRIBUNE
 
« Souvent dénigrée, la recherche française n'a pas à rougir ! »

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La quatrième édition du Hello Tomorrow Global Summit se tient les 26 et 27 octobre à Paris. Plus de 3.000 personnes sont attendues pour découvrir 500 innovations qui pourraient changer le monde dans les prochaines années. Rencontre avec Guillaume Vandenesch, le directeur général de l'ONG Hello Tomorrow, organisateur du sommet, dont La Tribune est l'un des partenaires médias.

Extrait : LA TRIBUNE - Pourquoi créer un événement autour des deep tech, ces startups à très haute valeur ajoutée technologique focalisées sur l'innovation de rupture ?

GUILLAUME VANDENESCH - La révolution numérique, la transition énergétique et l'arrivée à maturité de nouvelles technologies comme l'intelligence artificielle, sont amenées à changer drastiquement la société et l'économie. Cela donne l'opportunité à des entrepreneurs, partout dans le monde, de créer des solutions totalement inédites, sur la base d'innovations scientifiques et techniques dites « de rupture », capables de répondre à ces nouveaux défis dans tous les domaines, de l'industrie à la santé, en passant par l'agriculture, l'environnement, l'énergie, l'aérospatial, le bienêtre, les mobilités... Le Hello Tomorrow Global Summit vise donc à rassembler tous les ans la crème de la crème des innovateurs du monde entier. Ces entrepreneurs, qui travaillent souvent dans leur labo de manière isolée, ont besoin de se connecter à leur écosystème, car le transfert de ces innovations scientifiques et technologiques en produits sur le marché reste encore peu fréquent, particulièrement en France. Les entrepreneurs de la deep tech ont besoin de beaucoup d'investissements en capital et de beaucoup plus de temps avant de commercialiser un produit. Ils viennent donc au Hello Tomorrow Global Summit pour échanger avec d'autres entrepreneurs, qui travaillent sur des technologies similaires dans des domaines complètement différents. Mais aussi et surtout pour rencontrer des investisseurs qui leur permettront de se développer, et pour tisser des liens avec des grands groupes qui ont vocation à se transformer avec eux. 3 000 personnes, dont 50 % d'étrangers, sont attendues pour découvrir des innovations qui pourraient changer le monde.

Suite de l’interview >>>

Source : LA TRIBUNE
 
Compétitivité : quand les industriels français expliquent l'écart avec l'Allemagne

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48% des entreprises industrielles françaises estiment que leurs homologues allemandes sont plus compétitives, selon une enquête Opinionway réalisée pour Randstad Inhouse Services. Mais les critères pour "booster" la compétitivité varient entre les deux rives du Rhin.


Extrait : Réforme de l'apprentissage et de la formation professionnelle, vaste plan de 15 milliards d'euros en faveur de la formation, plan pour faire "grandir" les entreprises, mesures fiscales - avec notamment le calendrier de la baisse progressive de 33,3% à 25% de l'impôt sur les sociétés - dans le projet de loi de finances 2018... En cette période d'amélioration sensible de la croissance, le gouvernement essaie par tous les moyens de relancer la machine industrielle et d'améliorer la compétitivité du « made in France ». Comme bien souvent, c'est le modèle allemand, qui est présenté comme un objectif à atteindre, avec notamment son fameux, « mittlestand », ce tissu de PME très dense aux performances enviées.

Une opportune enquête réalisée par Opinion Way pour Randstad Inhouse Services*, filiale du géant mondial de l'intérim et des ressources humaines, montre à cet égard que les entreprises françaises se considèrent globalement comme moins compétitives que leurs homologues allemandes.... Mais, finalement, pas dans des proportions si importantes que cela. Surtout, l'étude s'attache à en trouver les raisons.

48% des entreprises industrielles françaises se considèrent moins compétitives que leurs homologues allemandes
Opinion Way a interrogé en septembre 200 dirigeants d'entreprises industrielles françaises et autant en Allemagne. Il en ressort que, en France, 48% des entreprises industrielles se jugent moins compétitives que les entreprises industrielles allemandes. Mais une part presque équivalente (45%) se juge être autant compétitive, ce qui est plutôt rassurant. Elles ne sont que 7%, en revanche, à se considérer comme plus compétitives. En Allemagne... seules 5% des entreprises industrielles se jugent moins compétitives que les Françaises. Tout est dit...

Mais ce qui est intéressant c'est de voir ce que les Français « envient » aux Allemands. Ainsi, les critères jugés « très favorables » à la compétitivité des industriels allemands par les Français sont le système de formation (47% des industriels Français le citent), avec notamment la pratique très répandue de l'apprentissage. Viennent ensuite « la capacité d'innovation » (39%) et le « dialogue social » (38%). A l'inverse, en Allemagne, le critère réputé « très favorable » à la France est la « capacité d'approvisionnement en énergie », certes une des grandes force de la France, mais il convient tout de suite de relativiser car il n'est mis en avant que par... 11% des industriels allemands.

D'ailleurs, globalement, sur les douze critères sur lesquels les industriels devaient se prononcer, onze sont jugés « plus favorables » à l'Allemagne auprès d'une majorité d'industriels français, tandis qu'en Allemagne, aucun critère n'est jugé « plus favorable » à la France par une majorité...

Suite de l'analyse >>>

Source : LA TRIBUNE
 
«Sommet de l'attractivité» à Versailles : l'opération séduction de Macron

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140 patrons en route pour Davos font une halte en France ce lundi à l'invitation du chef de l'État.

Extrait : Aussi bien que Vladimir Poutine! C'est sous les ors du château de Versailles que quelque 140 dirigeants de firmes étrangères, et des grands noms français, seront accueillis ce lundi par Emmanuel Macron, Édouard Philippe et 15 ministres pour un «sommet sur l'attractivité» inédit baptisé «Choose France». La date ne doit rien au hasard. C'est en effet ce lundi que débute le Forum de Davos, où la quasi-totalité d'entre eux se rend. Paris est une halte opportune. «On visait 100 invités, ils seront 140, en quasi-totalité des numéros un», se réjouit l'Élysée. Et pas des moindres: des patrons de l'industrie (Coca-Cola, Novartis, etc.), des services (SAP, Manpower…) ou des nouvelles technologies (Facebook, Google, mais aussi les chinois Alibaba et JD.com) ainsi que quatre banquiers anglo-saxons (JPMorgan, Goldman Sachs, Bank of America et HSBC).

Mais pas question pour l'Élysée que ce sommet ne soit qu'une rencontre de plus pour vanter la France, à l'image des «conseils stratégiques de l'attractivité» relancés par François Hollande qui s'étaient vite essoufflés. Le but est d'aboutir à des avancées concrètes. Il y aura bien des conférences, comme celle du député LREM (et médaille Fields en mathématiques) Cédric Villani sur l'intelligence artificielle, de John Chambers, l'ancien PDG de Cisco, et des ministres Bruno Le Maire (finances), Muriel Pénicaud (Travail) et Mounir Mahjoubi (numérique) sur les réformes menées depuis neuf mois.

Suite de l'article >>> :francais:

Source : LE FIGARO

Bonne journee et semaine a toutes et a tous
 
Il aime bien Versailles notre président... Il pense peut etre s y installer un jour..? (Symbole fort, dans la continuité de son anniv')
Sinon, vendre la France ou encourager l investissement en France? that is the question...
 
Dassault Aviation lance son nouveau jet Falcon 6X

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Dassault Aviation rebondit après l'arrêt de son programme d'avion d'affaires Falcon 5X, cloué au sol par des problèmes de moteurs. L'avionneur a présenté ce matin le Falcon 6X qui prendra la relève. Une bonne nouvelle pour la Nouvelle-Aquitaine et notamment pour la ville de Mérignac, où l'assemblage final des Falcon est réalisé.


Extrait : Dassault Aviation tourne la page du 5X. En décembre dernier, après avoir précédemment annoncé trois ans de retard au total pour l'envol de son appareil, l'avionneur mettait fin à l'aventure, se disant engagé dans un "processus de résiliation du contrat Silvercrest conduisant à l'arrêt du programme Falcon 5X (...) au vu de l'ampleur des risques techniques et calendaires" de ce moteur devant équiper le futur avion d'affaires. Dassault Aviation préférait alors renoncer devant les difficultés successives rencontrées dans le développement du moteur Silvercrest de Safran Aircraft Engines.

Pour mémoire, équipé de moteurs provisoires non conformes aux spécifications, le Falcon 5X avait réalisé son 1er vol le 5 juillet 2017 et entamé une campagne d'essais préliminaire limitée par les capacités du moteur. Le comportement de l'avion s'est révélé conforme aux attentes mais à l'automne 2017, Safran avait rencontré de nouveaux problèmes sur le compresseur haute pression, signifiant un nouveau retard. Et Dassault Aviation avait préféré jeter l'éponge en se tournant vers un nouveau programme, le Falcon 6X, équipé cette fois de moteurs Pratt & Whitney Canada.

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Source : LA TRIBUNE
 
Le chantier naval Fountaine Pajot brille à Singapour

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Fountaine Pajot poursuit sa trajectoire ascendante et vient de lancer deux nouveaux catamarans qui se font remarquer.

Article : Le chantier naval Fountaine Pajot, à Aigrefeuille-d'Aunis (Charente-Maritime), coté en Bourse, vient de boucler un premier semestre 2016-2017 (1e septembre 2016 au 28 février 2017) en croissance de +19,3 %, avec un chiffre d'affaires de 29,1 M€. Fountaine Pajot, numéro deux mondial du catamaran de plaisance, emploie 400 salariés sur ses sites d'Aigrefeuille-d'Aunis et de La Rochelle. Pour assurer son plan de développement à 2020 (Sail & Power 2020), le chantier naval a recruté 60 salariés au cours de ce premier semestre.

68 M€ de commandes
Fountaine Pajot se félicite, pendant ce semestre, du lancement réussi de deux nouveaux modèles : le My 44, catamaran à moteur de 44 pieds (13,4 mètres) de la gamme Fountaine Pajot Motor Yacht, primé comme meilleur yacht motorisé multicoques (Best Multihull Motor Yacht) au salon nautique de Singapour 2017, qui s'est tenu début avril, et le New 47, catamaran à voile de 47 pieds (13,9 mètres) de la gamme Fountaine Pajot Sailing Catamarans, qui est présenté jusqu'au 23 avril au Salon du multicoque de la Grande Motte (Héraut).

Le chantier naval, qui réalise 90 % de son chiffre d'affaires à l'export, continue à développer son activité à l'international et en particulier en Amérique du nord, qui pèse 38 % du CA de l'entreprise. Les Caraïbes occupent la seconde place, avec 25 % du chiffre d'affaires global, devant l'Europe (15 %), et le reste du monde (12 %). A la suite des salons nautiques de l'automne 2016 Fountaine Pajot affichait un carnet de commandes de 68 M€ à fin février, dont 43 M€ au titre de l'exercice 2016-2017.

Source : LA TRIBUNE
 
La croissance révisée à 2% en 2017, du jamais-vu depuis 6 ans

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C'est une première depuis six ans : la croissance a atteint l'an dernier le seuil symbolique des 2% grâce à une accélération de l'investissement. Dans une première estimation publiée fin janvier, l'Insee avait estimé à 1,9% le rythme de croissance enregistré par l'économie tricolore en 2017. Mais mercredi, l'organisme public a revu ce chiffre à la hausse, à 2% tout rond.

Extrait : L'embellie se confirme pour 2017. Selon les dernières données de l'Insee publiées ce mercredi 28 février, la croissance du PIB a atteint 2% en France l'an dernier, soit 0,1 point de plus que ce qui avait été préalablement annoncé. Cette annonce est une bonne nouvelle pour l'exécutif qui multiplie les réformes à grand pas alors que les tensions sociales s'aggravent dans la fonction publique et chez les cheminots. L'économie tricolore reste néanmoins à la traîne de la zone euro qui a connu en 2017 une croissance de 2,5%, du jamais vu depuis dix ans, selon l'Office européen de statistiques Eurostat.

Une révision favorable
Les derniers chiffres de l'institut de statistiques "correspondent à une croissance forte", explique Hélène Baudchon, économiste chez BNP-Paribas interrogée par La Tribune. Mais "il faut être conscient que ce chiffre peut être révisé dans les années à venir" précise la spécialiste de la conjoncture française. Pour retrouver ce niveau de croissance, il faut revenir à 2011 (2,1%) même si ce taux s'inscrit dans une période de reprise éphémère, dans le contexte de la crise des dettes souveraines en Europe. Selon elle, il faut remonter à 2007 ou 2006 pour retrouver des taux comparables.

"Ce que l'on observe par rapport aux années récentes, c'est que 2017 met fin à plusieurs années de croissance molle autour de 1%", ajoute Mme Baudchon.

Dans sa dernière loi de finances, l'exécutif avait parié sur une croissance de 1,7%. Mais le ministre de l'Économie Bruno Le Maire avait laissé entendre, début janvier, que le résultat pourrait être supérieur aux attentes et "approcher les 2%".

Ce rebond de l'activité repose sur plusieurs facteurs. "L'investissement des entreprises et des ménages a été particulièrement dynamique en 2017 avec un petit effet des exportations". Pour les ménages, "c'est principalement un effet de rattrapage après plusieurs années de baisse [...] Un accès favorable aux crédits a également permis aux ménages d'investir plus facilement".

Du côté des entreprises, "la mesure de suramortissement (dispositif qui a pris fin en avril 2017 ; NDLR) et le redressement des taux de marge des entreprises ont contribué au dynamisme de l'investissement [...] Mais on se demande si ça va continuer". Elle évoque également un environnement international favorable.

En ce qui concerne 2018, l'économiste de l'institution bancaire annonce "des prévisions résolument optimistes avec un taux de 2,4% [...] Avec ce chiffre, on se situe tout en haut du consensus". Pour expliquer ces projections favorables, l'experte évoque notamment "une marge d'accélération possible pour la consommation des ménages et des exportations". En revanche, elle se montre plus prudente sur "l'investissement des ménages et des entreprises qui pourraient ralentir légèrement en 2018 par rapport à 2017".

Suite de la bonne nouvelle >>>

Source : LA TRIBUNE
 
La croissance révisée à 2% en 2017, du jamais-vu depuis 6 ans


C'est une première depuis six ans : la croissance a atteint l'an dernier le seuil symbolique des 2% grâce à une accélération de l'investissement. Dans une première estimation publiée fin janvier, l'Insee avait estimé à 1,9% le rythme de croissance enregistré par l'économie tricolore en 2017. Mais mercredi, l'organisme public a revu ce chiffre à la hausse, à 2% tout rond.

Extrait : L'embellie se confirme pour 2017. Selon les dernières données de l'Insee publiées ce mercredi 28 février, la croissance du PIB a atteint 2% en France l'an dernier, soit 0,1 point de plus que ce qui avait été préalablement annoncé. Cette annonce est une bonne nouvelle pour l'exécutif qui multiplie les réformes à grand pas alors que les tensions sociales s'aggravent dans la fonction publique et chez les cheminots. L'économie tricolore reste néanmoins à la traîne de la zone euro qui a connu en 2017 une croissance de 2,5%, du jamais vu depuis dix ans, selon l'Office européen de statistiques Eurostat.

Une révision favorable
Les derniers chiffres de l'institut de statistiques "correspondent à une croissance forte", explique Hélène Baudchon, économiste chez BNP-Paribas interrogée par La Tribune. Mais "il faut être conscient que ce chiffre peut être révisé dans les années à venir" précise la spécialiste de la conjoncture française. Pour retrouver ce niveau de croissance, il faut revenir à 2011 (2,1%) même si ce taux s'inscrit dans une période de reprise éphémère, dans le contexte de la crise des dettes souveraines en Europe. Selon elle, il faut remonter à 2007 ou 2006 pour retrouver des taux comparables.

"Ce que l'on observe par rapport aux années récentes, c'est que 2017 met fin à plusieurs années de croissance molle autour de 1%", ajoute Mme Baudchon.

Dans sa dernière loi de finances, l'exécutif avait parié sur une croissance de 1,7%. Mais le ministre de l'Économie Bruno Le Maire avait laissé entendre, début janvier, que le résultat pourrait être supérieur aux attentes et "approcher les 2%".

Ce rebond de l'activité repose sur plusieurs facteurs. "L'investissement des entreprises et des ménages a été particulièrement dynamique en 2017 avec un petit effet des exportations". Pour les ménages, "c'est principalement un effet de rattrapage après plusieurs années de baisse [...] Un accès favorable aux crédits a également permis aux ménages d'investir plus facilement".

Du côté des entreprises, "la mesure de suramortissement (dispositif qui a pris fin en avril 2017 ; NDLR) et le redressement des taux de marge des entreprises ont contribué au dynamisme de l'investissement [...] Mais on se demande si ça va continuer". Elle évoque également un environnement international favorable.

En ce qui concerne 2018, l'économiste de l'institution bancaire annonce "des prévisions résolument optimistes avec un taux de 2,4% [...] Avec ce chiffre, on se situe tout en haut du consensus". Pour expliquer ces projections favorables, l'experte évoque notamment "une marge d'accélération possible pour la consommation des ménages et des exportations". En revanche, elle se montre plus prudente sur "l'investissement des ménages et des entreprises qui pourraient ralentir légèrement en 2018 par rapport à 2017".

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Source : LA TRIBUNE
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Axa s'offre XL Group pour 12,4 milliards d'euros

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Le groupe français a confirmé ce lundi le rachat de son concurrent basé aux Bermudes. Une méga-acquisition qui en fera le numéro un mondial de l'assurance dommages des entreprises mais est fraîchement accueillie par les investisseurs.

Extrait : L'opération devrait être la plus grosse acquisition du secteur de l'assurance depuis 2015 et la plus importante jamais réalisée par un européen sur un assureur américain. Le français Axa a annoncé ce lundi matin avoir conclu un accord en vue du rachat du groupe d'assurance et de réassurance XL, dont le siège est aux Bermudes, pour 15,3 milliards de dollars, soit 12,4 milliards d'euros, en cash, confirmant une information du week-end de l'agence Bloomberg. Axa lui-même vaut 60,7 milliards d'euros au cours de vendredi soir. L'accord a reçu le feu vert des conseils d'administration des deux groupes.

"Cette opération est une opportunité stratégique unique qui permet à Axa de faire évoluer son profil d'activité d'une entreprise majoritairement présente sur la vie, épargne, retraite vers un acteur dont l'assurance dommages devient le métier principal. Avec cette transaction, le groupe Axa va devenir le numéro 1 mondial de l'assurance dommages des entreprises en termes de primes" déclare Thomas Buberl, le directeur général, dans un communiqué publié ce lundi.

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Source : LA TRIBUNE
 
Rafale, Falcon : les trois défis de Dassault Aviation pour 2018

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Trois défis pour le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier : vendre des Falcon pour regonfler le carnet de commande des avions d'affaires aujourd'hui à plat, trouver de nouveaux pays clients pour le Rafale et réussir le décollage du 6X.

Extrait : Face à un marché de l'aviation d'affaires déprimé, Dassault Aviation continue de faire le dos rond. Et l'avionneur tricolore le fait bien mais ce n'est pas nouveau. Car à l'exception du carnet de commandes qui se réduit comme peau de chagrin dans l'aviation d'affaires, les fondamentaux économiques et financiers du constructeur des avions d'affaires Falcon et du Rafale restent très positifs. Mieux, Dassault Aviation améliore ses résultats par rapport à 2016 : 4,8 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2017 (3,58 milliard en 2016), 489 millions de résultat net ajusté (384 millions) et 4,1 milliards de trésorerie grâce à une baisse des stocks (3,1 milliards).

Pour 2018, le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier, en présence de son actionnaire majoritaire Serge Dassault, est resté optimiste. Alors que Dassault Aviation prévoit de livrer moins de Falcon (40 appareils) en 2018 qu'en 2017 pour tenir compte de la faiblesse des commandes, l'avionneur estime que son chiffre d'affaires sera proche de celui de 2017. Pourquoi une telle stabilité? Il livrera trois Rafale de plus (12 contre 9 en 2017), dont trois à l'armée de l'air française, et un mix plus favorable dans les livraisons de Falcon. Surtout, Dassault Aviation va encaisser en 2018 un gros chèque avec la livraison du nouveau standard du Rafale à la France, le F3R, armé par le missile air-air Meteor, a expliqué Eric Trappier, lors de la conférence de présentation des résultats 2017. Cette version doit être qualifiée cette année.

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Source : LA TRIBUNE

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Nucléaire : EDF pourrait signer la vente de 6 EPR à l'Inde d'ici à la fin de l'année (Elysée)

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Au premier jour de la visite en Inde d'Emmanuel Macron, EDF et son homologue indien NPCIL ont signé un accord industriel pour la mise en oeuvre de 6 EPR dans l'ouest du pays. En négociations depuis une dévernie, ce projet pourrait aboutir d'ici à la fin de l'année selon l'Elysée.

Extrait : En négociations depuis près de 10 ans, la vente de six réacteurs nucléaires français de type EPR à l'Inde pourrait enfin aboutir d'ici à la fin de l'année.

"Nous espérons une signature définitive d'accord avant la fin de l'année", a indiqué ce samedi à l'Élysée, dans la foulée de la signature d'un "accord industriel" entre EDF et son homologue indien Nuclear Power Corporation of India (NPCIL), lors du premier jour de la visite en Inde d'Emmanuel Macron.

Ce projet qui avait fait l'objet d'un protocole d'accord lors de la visite en Inde de François Hollande en janvier 2016, est le plus gros projet de centrale nucléaire au monde, avec une puissance totale avoisinant 10 GW. Il vise à la construction de six réacteurs nucléaires" à Jaitapur, dans l'ouest de l'Inde, ce qui suscite une contestation locale en raison de craintes environnementales.

L'accord signé ce samedi définit "le schéma industriel du projet, les rôles et responsabilités des partenaires ainsi que le calendrier prévisionnel pour les prochaines étapes", a précisé EDF dans son communiqué. EDF interviendra en tant que "fournisseur de technologie EPR" et assurera pour les deux premiers réacteurs "l'ensemble des études d'ingénierie ainsi que l'achat de composants". Pour les quatre autres, "une partie de la responsabilité des achats et des études pourra être confiée à des entreprises locales".

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Source : LA TRIBUNE
 
Constellation O3b (SES) : nouveau succès de Soyuz à Kourou

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Arianespace a lancé avec succès quatre satellites supplémentaires O3b de la constellation opérée par SES Networks.


Extrait : Après le couac du premier vol de l'année avec Ariane 5, Arianespace a repris le chemin du succès. La société de services de lancement européenne a lancé ce vendredi depuis le Centre Spatial Guyanais (CSG), quatre satellites supplémentaires O3b de la constellation opérée par SES Networks. Premier tir de l'année avec un lanceur Soyuz, le vol VS18 signe également la seconde mission au service de l'opérateur de satellites luxembourgeois SES en 2018.

"Arianespace est fière de servir pour la seconde fois en 2018 les ambitions de son client de longue date SES, a expliqué Stéphane Israël, PDG d'Arianespace, cité dans le communiqué. Nous sommes honorés de la confiance renouvelée de SES, pour qui nous avons mis 57 satellites en orbite depuis 1988, dont l'intégralité des satellites de la constellation O3b".


Avec ce quatrième lancement réalisé pour O3b depuis 2013, l'intégralité des 16 satellites de la constellation O3b ont été mis en orbite par Arianespace. En 2019, la société européenne mettra quatre nouveaux satellites en orbite terrestre moyenne pour le compte de la constellation O3b.

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Source : LA TRIBUNE
 
Le Qatar s'offre enfin 28 NH90 pour trois milliards d'euros

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Doha commande 16 NH90 dans la version transport tactique (TTH) et 12 dans la version navale (NFH). Les appareils seront livrés à partir de juin 2022 jusqu'en 2025.


Extrait : Il aura fallu au consortium NHIndustries quatre ans pour concrétiser au Qatar la vente de 28 NH90 et 16 Ecureuil (H125) pour un montant total de plus de 3 milliards d'euros, dont un peu plus de 1,5 milliard pour Airbus Helicopters, comme La Tribune le révélait lundi. Pour Airbus Helicopters (62,5% de NHI) et ses partenaires Leonardo (32%), maître d'oeuvre du contrat, et le néerlandais Fokker (5,5%), c'est une très bonne nouvelle car il y avait des années que le NH90 n'avait pas été exporté. La Belgique en 2008 et la Nouvelle-Zélande en 2007 ont été les derniers pays à s'offrir le NH90.
Dans le détail, Doha commande 16 NH90 dans la version transport tactique (TTH) et 12 dans la version navale (NFH), qui seront livrés à partir de juin 2022 jusqu'en 2025. Les Ecureuil, qui seront exploités par la Qatar Armed Forces Air Academy, serviront à l'entrainement des pilotes qataris.
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Source : LA TRIBUNE