Bonjour, j'ai ouvert un restaurant francais a Songjiang il y a moins de 2 mois et j'aimerais pouvoir echanger avec d'autres restaurateurs francais qui comme moi se sont lancer dans l'aventure. Voici mon msn fred.beys@hotmail.fr
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- Auteur de la discussion ChezNous
- Date de début
restaurant
bonjour
Pour mon expérience, j'ai ouvert un petit restaurant en 2005, a pékin, auprès de la cité interdite, rue meishuguan.
Voulant m'attaquer a la clientèle chinoise directement, j'ai essaye de faire des plats adapté au marche chinois sans grand succès.
Ayant analyse le marche chinois et sachant comment le captiver, je me suis tourné vers le marche des expatries sur pékin.
J'ai vite fais le plein du petit restaurant que j'ai revendu en ayant d'autre projets
J'ai donc repris un restaurant français appartenant a des chinois en difficulté fin 2005, signe un partenariat.
J'ai vite fait le plein de ce restaurant puis j' ai signe un autre partenariat en mars 2006 avec un café restaurant a un endroit stratégique.
Je me suis confronté a des problèmes de mise aux normes de ce restaurant, puis a l'obligation de verser des pots de vin avec le manager.
Pourtant mis 2006, cette place était en grosse progression, mais j'ai laissé tombe ce partenariat peu rentable.
Un malheur ne venant jamais seul, j'ai appris que mon autre restaurant ne voulait plus travailler avec moi, préférant travailler directement avec le cuisinier français que j'avais mis en place.
Ils m'ont déchire le contrat que j'avais fais avec mon avocat et rendu l'argent que j'avais engage dans ce restaurant.
Je refusait d'aller en justice pour ce contrat, préférant regarder vers d'autre projets.
Je pestais surtout par rapport a ce cuisinier français peu recommandable et le plus gros problème fut que le restaurant faisans son beurre grâce a un menu que j'avais élabore dans mon premier restaurant.
Je suis sur d'autre projet pourtant je garde toujours une partie de mon équipe dans un de ces restaurants, et j'ai toujours contact avec eux.
Surtout Xu, une femme de ménage dynamique et qui avait bien évoluée et m'avait bien secondé, je l'adorais et malgré son sale caractère,je pouvais lui faire confiance.
Je me rappelle qu'a chaque fois, mon ami Philippe, un autre breton, et qui l'avait formé a faire des crêpes, il lui demandait toujours une crêpes complète et la désirait toujours comme il lui avait appris.
Bonne chance
bonjour
Pour mon expérience, j'ai ouvert un petit restaurant en 2005, a pékin, auprès de la cité interdite, rue meishuguan.
Voulant m'attaquer a la clientèle chinoise directement, j'ai essaye de faire des plats adapté au marche chinois sans grand succès.
Ayant analyse le marche chinois et sachant comment le captiver, je me suis tourné vers le marche des expatries sur pékin.
J'ai vite fais le plein du petit restaurant que j'ai revendu en ayant d'autre projets
J'ai donc repris un restaurant français appartenant a des chinois en difficulté fin 2005, signe un partenariat.
J'ai vite fait le plein de ce restaurant puis j' ai signe un autre partenariat en mars 2006 avec un café restaurant a un endroit stratégique.
Je me suis confronté a des problèmes de mise aux normes de ce restaurant, puis a l'obligation de verser des pots de vin avec le manager.
Pourtant mis 2006, cette place était en grosse progression, mais j'ai laissé tombe ce partenariat peu rentable.
Un malheur ne venant jamais seul, j'ai appris que mon autre restaurant ne voulait plus travailler avec moi, préférant travailler directement avec le cuisinier français que j'avais mis en place.
Ils m'ont déchire le contrat que j'avais fais avec mon avocat et rendu l'argent que j'avais engage dans ce restaurant.
Je refusait d'aller en justice pour ce contrat, préférant regarder vers d'autre projets.
Je pestais surtout par rapport a ce cuisinier français peu recommandable et le plus gros problème fut que le restaurant faisans son beurre grâce a un menu que j'avais élabore dans mon premier restaurant.
Je suis sur d'autre projet pourtant je garde toujours une partie de mon équipe dans un de ces restaurants, et j'ai toujours contact avec eux.
Surtout Xu, une femme de ménage dynamique et qui avait bien évoluée et m'avait bien secondé, je l'adorais et malgré son sale caractère,je pouvais lui faire confiance.
Je me rappelle qu'a chaque fois, mon ami Philippe, un autre breton, et qui l'avait formé a faire des crêpes, il lui demandait toujours une crêpes complète et la désirait toujours comme il lui avait appris.
Bonne chance
Fichiers joints
Dernière édition:
Bien triste mais classique
Vous n'avez pas de famille en chine par alliance (epouse) ? .
Car dans ces cas la suivant la notoriete de la famile de votre epouse tout s'arrange assez vite .
Les gratifications financieres de donnent a des gens ayant pouvoir ,c'est la securite pour vous , mais c'est un processus irrealisable concretement sans famille ou amis chinois introduits dans les places .
Pour les actes juridiques preferez les notaires locaux a des avocats non reconnus et sans pouvoirs.
Un dernier point si vous avez de la famille en chine ,dans votre future affaire interressez les dans la ste en leur donnant des actions ,la vous verrez leurs reactions si un cas similaire se presente ,c'est delirant de facilite de depouiller un occidental ,mais entre eux ,nos amis Chinois c'est different .
Et ne prennez jamais un inconnu pour utiliser son nom pour creer ou reprendre une societe ,c'est le principal conseil .
Dernière édition:
Axel, c'est une histoire bien triste que tu nous racontes la... mais tellement banale en Chine 
Le seul moyen pour qu'un association chinois/expat soit viable est de placer une personne chinoise de sa famille a la gestion de l'affaire. C'est a dire qu'il faut maitriser/controler les flux financiers. Si cette condition n'est pas remplie, dans 90% des cas, le laowai se fait rouler en beaute...
Le seul moyen pour qu'un association chinois/expat soit viable est de placer une personne chinoise de sa famille a la gestion de l'affaire. C'est a dire qu'il faut maitriser/controler les flux financiers. Si cette condition n'est pas remplie, dans 90% des cas, le laowai se fait rouler en beaute...
banal
Oui, pour moi, qui es l'auteur du premier article, le problème n'est pas le contrôle du flux de monnaie et ironie de l'histoire c'est ces 2 histoires se passent a Pékin et sont plus ou moins lié.
A qui profite le crime et qui tire les ficelles derrières?
Essayons en anglais:
[FONT="]Mr. Cui were looking for a new manager and started negotiations with a young French guy working in a French restaurant in Beijing…….
Maybe the french guy working in a french restaurant is the same man who give some problems in 2006; can you give me the name of this french guy, please?
Thank
[/FONT]
Oui, pour moi, qui es l'auteur du premier article, le problème n'est pas le contrôle du flux de monnaie et ironie de l'histoire c'est ces 2 histoires se passent a Pékin et sont plus ou moins lié.
A qui profite le crime et qui tire les ficelles derrières?
Essayons en anglais:
[FONT="]Mr. Cui were looking for a new manager and started negotiations with a young French guy working in a French restaurant in Beijing…….
Maybe the french guy working in a french restaurant is the same man who give some problems in 2006; can you give me the name of this french guy, please?
Thank
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