Nous ne faisons plus de culture en Europe, nous gérons de la pathologie végétale

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EDIT : chaîne supprimée fin décembre 2017 faute de budget
 
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Les nanoparticules dans les sucreries et les gâteaux inquiètent « 60 Millions de consommateurs »

Sur dix-huit produits sucrés testés par le magazine, des nanoparticules de dioxyde de titane ont été retrouvé systématiquement, dans des proportions variées.

LE MONDE avec AFP

Temps de lecture : 3 min
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Sur dix-huit produits sucrés testés par le magazine, des nanoparticules de dioxyde de titane ont été retrouvé systématiquement, dans des proportions variées. JOËL SAGET / AFP
Potentiellement toxiques et surtout non signalés sur les emballages. Voici ce que reproche dans son édition de septembre 60 Millions de consommateurs aux additifs présents sous forme de nanoparticules dans 100 % des sucreries testées par le magazine. Un constat qui inquiète la publication quant à d’éventuels effets sur la santé.

http://mobile.lemonde.fr/sante/arti...-de-consommateurs_5176333_1651302.html?xtref=
 
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Rencontres, Trocs, Dons et Ventes de fruits et légumes du jardin
LePotiron.fr met en relation les particuliers et petits producteurs qui veulent écouler le surplus de production de leur potager ou ferme avec les familles qui cherchent à s’approvisionner en produits frais de la région. Où comment faire des économies, bien manger et rencontrer des gens sympas.

10 Mars 2017 : Nouveau départ pour LePotiron.fr !!! le site est entièrement refait. Il reste quelques adaptations et améliorations à faire, mais inscrivez-vous ! échangez ! troquez !
Nous avons perdu quelques jardins lors du changement de version. Désolé pour les personnes concernées, nous vous invitons à créer un compte et votre jardin à nouveau, c’est simple et rapide. A bientôt !

https://www.lepotiron.fr/
 
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Je comprends globalement la démarche mais ces produits sont ils utilisables dans l'UE qui a sanctionné l'association Kokopelli pour la même démarche l'obligeant dorénavant à faire passer ses semences par les même process d'homologation que les produits OGM de Mosanto et consorts. Grosso modo si j'ai bonne mémoire ils leur faut 300000€ d'investissement par produits pour commercialiser des graines de tomates pures souche....
Edit: En creusant un peu le site à l'origine germanique la réponse est oui. Cela explique la grosseur de leur catalogue une variété de tomates et une de blé.....Pas sur que la démarche soit bonne, cela cautionne le système en place qui est purement scandaleux. Bientôt on nous fera taxer pour avoir oser planter un chêne dans son jardin
Un lien vers leur site avec un sacré catalogue
Lien retiré
 
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Des manipulations génétiques pour « améliorer » les espèces


UN gène de poisson dans les fraises, un gène humain dans les pommes de terre, un brin d´ADN de scorpion dans les tomates... Rêve de savant fou ? Pas du tout. On sait que le soja et le maïs subissent déja couramment des transformations génétiques. On sait moins qu´au fond de laboratoires secrets les industriels craignent la concurrence des chercheurs s´affairent actuellement à nous préparer des cocktails pour le moins inquiétants. Un chiffre, un seul : l´organisation des Nations unies pour l´alimentation (FAO) estime qu´au début du XXIe siècle il ne restera que 5 % de la biodiversité agricole qui existait au début de ce siècle. A la place : des produits uniformisés, insipides, résistant à tout mais ne « souffrant » plus ni du chaud rayon de soleil, ni de la pluie odorante du printemps qui font pourtant la gloire des spécialités du terroir.
Aujourd´hui, le maître mot de l´agroalimentaire, c´est OGM (organisme génétiquement modifié). Avec trois impératifs : améliorer la qualité par exemple produire un maïs plus riche en huile , permettre aux cultures de résister à tout ce qui peut les détruire, comme le gel, la sécheresse ou les parasites. Et enfin la fabrication, à partir de ces végétaux aux vertus inédites, de médicaments pour l´homme. Tout cela en mariant allégrement les espèces entre elles, végétales et animales. Résultat, des recherches en laboratoire dignes d´apprentis sorciers, dont le biologiste Arnaud Apoteker dénonce les risques dans son livre « Du poisson dans les fraises »
. Ainsi introduit-on un gène de chien dans du maïs, dans l´espoir de trouver des médicaments contre les maladies du foie. Ou encore ce gène humain dans le tabac et dans le riz, afin de mettre au point une protéine l´interféron destinée à freiner chez l´homme la reproduction de virus.
Un premier pas vers un tel mode de fabrication à grande échelle vient d´être franchi par les chercheurs de l´institut Roslin d´Edimbourg, qui ne sont autres que les « pères » de Dolly, la brebis clonée. Leur projet : un troupeau de 10 000 brebis génétiquement modifiées pour donner dans leur lait la protéine hAAT (alpha-1-antitrypsine), susceptible de soigner l´hémophilie ou les affections respiratoires. Une expérience à laquelle Jacques Montagut, médecin biologiste à l´université de Montpellier et membre du Comité national d´éthique, ne trouve rien à redire, à condition qu´elles soient entourées de critères sanitaires très stricts. Or les exemples de manipulations pour le moins inquiétantes se multiplient, même si pour l´instant elles restent cantonnées dans les labos et ne trouveront peut-être jamais d´application : ici un gène de carrelet un poisson de l´Arctique pour aider les fraises à supporter le gel, là un gène de scorpion dans la tomate pour lui permettre de résister à des insectes, là encore un gène humain ( !) dans la pomme de terre, la tomate ou le tabac pour qu´elles résistent aux métaux lourds, des polluants très présents dans nos sols. D´où ce paradoxe de voir peut-être un jour des légumes chargés en produits toxiques devenir pour nous un mets de choix... Le Parisien

http://www.leparisien.fr/societe/des-genes-de-scorpion-dans-les-tomates-23-04-1999-2000587886.php
 
Des manipulations génétiques pour « améliorer » les espèces

UN gène de poisson dans les fraises, un gène humain dans les pommes de terre, un brin d´ADN de scorpion dans les tomates... Rêve de savant fou ? Pas du tout. On sait que le soja et le maïs subissent déja couramment des transformations génétiques. On sait moins qu´au fond de laboratoires secrets les industriels craignent la concurrence des chercheurs s´affairent actuellement à nous préparer des cocktails pour le moins inquiétants. Un chiffre, un seul : l´organisation des Nations unies pour l´alimentation (FAO) estime qu´au début du XXIe siècle il ne restera que 5 % de la biodiversité agricole qui existait au début de ce siècle. A la place : des produits uniformisés, insipides, résistant à tout mais ne « souffrant » plus ni du chaud rayon de soleil, ni de la pluie odorante du printemps qui font pourtant la gloire des spécialités du terroir.
Aujourd´hui, le maître mot de l´agroalimentaire, c´est OGM (organisme génétiquement modifié). Avec trois impératifs : améliorer la qualité par exemple produire un maïs plus riche en huile , permettre aux cultures de résister à tout ce qui peut les détruire, comme le gel, la sécheresse ou les parasites. Et enfin la fabrication, à partir de ces végétaux aux vertus inédites, de médicaments pour l´homme. Tout cela en mariant allégrement les espèces entre elles, végétales et animales. Résultat, des recherches en laboratoire dignes d´apprentis sorciers, dont le biologiste Arnaud Apoteker dénonce les risques dans son livre « Du poisson dans les fraises »
. Ainsi introduit-on un gène de chien dans du maïs, dans l´espoir de trouver des médicaments contre les maladies du foie. Ou encore ce gène humain dans le tabac et dans le riz, afin de mettre au point une protéine l´interféron destinée à freiner chez l´homme la reproduction de virus.
Un premier pas vers un tel mode de fabrication à grande échelle vient d´être franchi par les chercheurs de l´institut Roslin d´Edimbourg, qui ne sont autres que les « pères » de Dolly, la brebis clonée. Leur projet : un troupeau de 10 000 brebis génétiquement modifiées pour donner dans leur lait la protéine hAAT (alpha-1-antitrypsine), susceptible de soigner l´hémophilie ou les affections respiratoires. Une expérience à laquelle Jacques Montagut, médecin biologiste à l´université de Montpellier et membre du Comité national d´éthique, ne trouve rien à redire, à condition qu´elles soient entourées de critères sanitaires très stricts. Or les exemples de manipulations pour le moins inquiétantes se multiplient, même si pour l´instant elles restent cantonnées dans les labos et ne trouveront peut-être jamais d´application : ici un gène de carrelet un poisson de l´Arctique pour aider les fraises à supporter le gel, là un gène de scorpion dans la tomate pour lui permettre de résister à des insectes, là encore un gène humain ( !) dans la pomme de terre, la tomate ou le tabac pour qu´elles résistent aux métaux lourds, des polluants très présents dans nos sols. D´où ce paradoxe de voir peut-être un jour des légumes chargés en produits toxiques devenir pour nous un mets de choix... Le Parisien

http://www.leparisien.fr/societe/des-genes-de-scorpion-dans-les-tomates-23-04-1999-2000587886.php

Merci
Je ne sais pas pourquoi j'avais accès qu'à un seul paragraphe
 
Kokopelli est une association à but non lucratif, fondée en 1999 par Dominique et Sofy Guillet, qui a pris le relais de Terre de Semences et du Jardin Botanique de la Mhotte fondés, dans l'Allier, respectivement en 1992 et en 1994.

Les militants de l’association œuvrent pour la Libération de la Semence et de l’Humus et la Protection de la Biodiversité alimentaire, en rassemblant tous ceux et toutes celles qui souhaitent préserver le droit de semer librement des semences potagères et céréalières, de variétés anciennes ou modernes, libres de droits et reproductibles. Et en rassemblant aussi tous ceux et toutes celles qui souhaitent chuchoter, à l’oreille de leurs voisins, les recettes des purins de plantes (ortie, prêle...) et d'autres ingrédients naturels et peu onéreux, sans se voir accuser de concurrence déloyale envers les multinationales vendeuses de poisons, celles qui s'auto-qualifient de "sciences de la vie", celles-là même qui détruisent inexorablement et impunément la biosphère, incluant l'humanité, depuis des dizaines d'années, celles-là même qui ont fait de notre belle planète, la Terre, une poubelle génératrice de cancers.

https://kokopelli-semences.fr/qsn/presentation_de_kokopelli
 
Les tomates détestent les concombres: les secrets de la technique du compagnonnage + de multiples combinaisons de plantation


Le 8 Août 2017 image crédit :

Les tomates détestent les concombres: les secrets de la technique du compagnonnage + de multiples combinaisons de plantation
Association de plantes au jardin : la technique du compagnonnage

L’association de certaines plantes entre elles permet d’obtenir de belles récoltes et d’avoir un beau jardin potager en aidant le jardinier à ne pas utiliser d’engrais chimiques et pesticides.
http://www.sain-et-naturel.com/secrets-technique-compagnonnage.html
 
J'ai jamais essayé mais pour ceux qui ont un petit espace à jardiner, il parait que la tomate se greffe très bien sur les plant de patate ce qui est sommes toute assez logique vu que ce sont deux solanacée et leur feuillage très proche.
On obtient ainsi des patates en tubercule avec des tomates sur sa partie supérieure. On appelle ca des pomates ca marche très bien pour les tomates cerises moins sur des fruits plus gros d'après ce que j'ai lu.
 
Disparition des insectes en Europe : un déclin "surprenant par son ampleur, et grave"
Par franceinfo – Radio France

Mis à jour le 19/10/2017 | 14:45 – publié le 19/10/2017 | 14:45

En moins de 30 ans, les populations d'insectes volants ont chuté de près de 80 % en Europe, révèle une étude publiée dans la revue scientifique PLOSONE et dont le journal Le Monde se fait l'écho. Les chercheurs ont analysé les

http://mobile.francetvinfo.fr/anima...n-ampleur-et-grave_2427131.html#xtref=acc_dir
 
Filbing Distribution a été fondée en 2008.



Alsacien travaillant dans le secteur de l’élevage laitier, j'avais vu apparaître à nos frontières des solutions innovantes de commercialisation : les distributeurs automatique de lait cru en Suisse et les distributeurs automatiques à casiers en Allemagne.



Nous avons donc proposé ces machines en France et mon intuition était juste : en France aussi, il y avait des producteurs avec l'envie de diversifier leurs revenus et d'échapper au moins pour partie au diktat des acheteurs du circuit long, des paysans ravis d'être enfin simultanément aux champs et à la vente directe. D'ailleurs, la volatilité des cours des produits agricoles n'était un secret pour personne : notre mérite n'était que de présenter des outils qui permettent de s'en affranchir.
Lien retiré
 
Nous ne faisons plus de culture en Europe, nous gérons de la pathologie végétale

Je croyais qu'on parlait des Végans moi :hum:

:ptdr::ptdr:

(pour rester dans le sujet : de toute façon avec le Tafta à venir et les gestionnaires des multinationales/banques comme Macron y a plus grand chose à rajouter.)
 
Glyphosate. Une alternative voit le jour à Loudéac
Publié le 26 octobre 2017 à 17h00
FRÉDÉRIC JACQ
4VOIR LES COMMENTAIRES

image: http://www.letelegramme.fr/images/2...entreprise-osmobio-a_3663324_518x330p.jpg?v=1

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Jacques Le Verger, créateur de l'entreprise Osmobio, à Loudéac, a mis au point un herbicide qui s'avérerait sans dangers, selon les premières études réalisées. (Photo d'archives Didier Déniel)
Où en est rendu Jacques Le Verger, ce Loudéacien qui a inventé un désherbant "naturel" et jugé sans risque ? En plein débat sur le glyphosate, il compte déposer un nouveau dossier à l'Anses, au premier semestre 2018, afin de commercialiser son produit. Après moult années de combat pour convaincre.
Ce mercredi, à Bruxelles, la Commission européenne a décidé de remettre à plus tard son vote sur le renouvellement de l'autorisation du glyphosate, l'herbicide tant contesté. Ce mercredi, à Loudéac, Jacques Le Verger, patron de l'entreprise Osmobio, continue d'œuvrer pour que sa solution alternative - un désherbant prometteur - puisse être commercialisée.


© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/bretagne/desherbant-naturel-l-espoir-renait-a-loudeac-25-10-2017-11716271.php#lTFGsmBVBYTBfe0T.99

http://www.letelegramme.fr/bretagne...c-25-10-2017-11716271.php#M45CojAgaP3DS8lU.99
 
60 ans que l'agriculture a tout faux
Par Loïc Chauveau le 18.06.2015 à 12h05, mis à jour le 10.02.2016 à 11h47

Des chercheurs français démontrent que les rendements des cultures sont plus élevés quand différentes plantes sont mélangées et qu’elles possèdent un patrimoine génétique diversifié. L’exact contraire de ce que fait l’agriculture depuis 60 ans.
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D'après cette étude, les polycultures ont en moyenne un rendement meilleur que les monocultures, surtout en condition de sécheresse. © INRA




PARADIGME. "C'est un nouveau paradigme" s'enthousiasme Cyrille Violle, chercheur au Lien retiré (CEFE-CNRS/université de Montpellier). Dans le cadre du projet PRAISE sur l'amélioration génétique des prairies semées (financé par l'Agence nationale de la recherche), le CEFE et l'Inra de Lusignan dans la Vienne ont mené une expérimentation originale par sa démarche et totalement nouvelle pour la science. "Pendant un an, nous avons cultivé sur 120 mini-parcelles de 1,2 m sur 1,3 cinq espèces fourragères (luzerne, trèfle blanc, ray-grass, dactyle, fétuque), explique Cyrille Violle. Des parcelles ont accueilli une seule plante en monoculture, d'autres les 5 en polyculture, et nous avons également fait varier la diversité génétique, certaines parcelles n'abritant qu'un seul type, d'autres cinq ou dix génotypes". Certaines parcelles ont été irriguées d'autres pas, pour vérifier le comportement des plantes en situation de sécheresse.
https://www.sciencesetavenir.fr/nat...-faux_101275#xtor=EPR-1-[SEAActu17h]-20171028
 
La plus grosse ferme d’Allemagne (46000 hectares) a fait faillite !
Par Joagri | Publié le 26 Octobre 2017 à 00:10
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KTG Agrar c’est 46000 hectares de terre. En 2012 KTG avait créé KTG Energie une filiale 100% dédié à la production de méthane, c’était même le plus gros producteur de méthane en Allemagne. L’entreprise était même pionnière puisque que c’était la première exploitation de cette taille, à se convertir à 100% en BIO. Aujourd’hui tout ça c’est fini…
http://www.agriavis.com/news-9621-l...llemagne+46000+hectares+a+fait+faillite+.html
 
NOVATEUR La musique remplace les pesticides
Des plantes victimes de parasites retrouvent la forme en «écoutant» des mélodies spécifiques. Une étonnante alternative aux produits chimiques, qui n’a rien de farfelu.
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Comme aux humains, la musique fait du bien aux plantes. A petites doses, elle vient ainsi à bout de certaines maladies cryptogamiques et détruit même les virus.(Photo: Genodics/LMS)
Pascale Bieri
Il y a 14:13
  • 3
  • 1248

La musique adoucit les mœurs, dit-on. Mais elle ne fait pas qu’agir sur notre humeur et celle des animaux, elle soigne aussi les plantes. En choisissant scrupuleusement certaines mélodies, on peut en effet lutter contre les virus et champignons qui les détruisent. Et éviter les pesticides.
Lien retiré