Nos élus sont vraiment des merveilles!

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
à propos d'assedics, il me vient d'ailleurs une question qui pourrait me concerner.
à partir de combien de temps nos droits sont-ils périmés ?
je m'explique: si je suis partie en chine à la fin d'un contrat complété en france (ce qui m'ouvre logiquement des droits aux assedics). aurais-je ces droits à vie? ou se périment-t-ils au bout de 1, 2, 3, 10 ans si on ne les réclament pas?

ps les modos: peut-être faut-il délocaliser ma question!
 
"Plutôt que de retirer leur nationalité à certains, ce qui n'aura aucun effet sur les résultats de la politique de sécurité, pourquoi ne pas rappeler cette nationalité à ceux qui sont partis, et leur demander de payer quelque chose en France, pays où ils sont nés, où ils ont été soignés, où ils sont allés à l'école?", a détaillé M. Cahuzac devant des journalistes.

Je trouve ces propos effrayants de stupidité!
1)Rien que l'idée de retirer la nationalité de quelqu'un ne vivant pas dans son pays... C'est d'une connerie!!!
2)Si le seul moyen de "rappeler cette nationalité", c'est de taxer le revenu. Je suis sans voix!
3)... pays où ils sont nés = dès la naissance, les français doivent être redevables pour être nés en France...
4)... où ils ont été soignés, où ils sont allés à l'école. Pour palier à ces frais, le monsieur du PS oublie quand même que les parents ont cotisé et payé leurs impôts toute leur vie pour que l'Etat puisse financer tous ces avantages sociaux.

Je pense qu'un français voulant travailler à l'étranger n'est pas redevable de l'état de français pour quoique ce soit.
 
donnant/ donnant ! si on avait la même chose........

Aide médicale d'Etat : ces vérités qui dérangent


Depuis dix ans, les étrangers en situation irrégulière peuvent se faire soigner gratuitement en France grâce à l'Aide médicale d'Etat (AME). Mais le coût du dispositif explose. Afin de comprendre pourquoi, Le Figaro Magazine a enquêté auprès des médecins, des hôpitaux et des pharmaciens. Et fait réagir les associations.

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Une enquête sur l'Aide médicale d'Etat? Sauve qui peut! Dans les ministères, les administrations, les associations humanitaires, la simple évocation de ce dispositif qui permet aux étrangers en situation irrégulière de se faire soigner gratuitement déclenche une poussée d'adrénaline. «Le sujet est explosif! s'étrangle un haut fonctionnaire qui connaît bien le dossier. Vous voulez vraiment envoyer tout le monde chez Marine Le Pen?» La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a pris la mesure de l'hypersensibilité du dossier lorsqu'elle a timidement évoqué devant les parlementaires, en juillet, l'idée de faire acquitter aux bénéficiaires de l'AME une contribution forfaitaire de 15 à 30 euros par an. Les associations ont aussitôt accusé Mme Bachelot de vouloir grappiller quelques euros sur le dos des damnés de la terre.
Silence gêné à Bercy, où l'on prépare un tour de vis sans précédent sur le train de vie de la nation: «coup de rabot» sur les niches fiscales, suppressions de postes de fonctionnaires, déremboursements de médicaments... Mais toucher à l'AME n'est tout simplement pas prévu au programme de la rigueur. Le projet de budget pour 2011 prévoit même une augmentation de 10 % !
Depuis deux ans, la facture de la couverture médicale des sans-papiers s'envole. Son rythme de progression est trois à quatre fois supérieur à celui des dépenses de santé de tout le pays: + 13 % en 2009 (530 millions d'euros pour 210.000 bénéficiaires) et encore + 17 % au début de cette année. De toute évidence, l'enveloppe de 535 millions d'euros prévue en 2010 sera largement dépassée. Pour l'an prochain, ce sont 588 millions d'euros que Bercy a mis de côté pour l'AME. Soit, à peu de chose près, le montant des recettes fiscales que le gouvernement veut récupérer sur les mariés/pacsés/divorcés, ou encore le coût global du bouclier fiscal, qui fait tant couler d'encre.
Afin d'y voir plus clair, les ministères de la Santé et du Budget ont commandé un nouveau rapport à leurs services d'inspection. L'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l'Inspection générale des finances (IGF) ont déjà planché à deux reprises, en 2003 et en 2007, sur les nombreuses dérives de l'AME et ont émis des recommandations qui ont été partiellement suivies par les pouvoirs publics... des années plus tard. Ainsi, il a fallu attendre cette année pour que les attestations d'AME soient plastifiées et comportent la photo du titulaire.
Pourquoi tant de gêne? Echaudé par la séquence «identité nationale» et l'affaire des Roms, le gouvernement n'a visiblement aucune envie d'exacerber le ras-le-bol d'une opinion publique déjà exaspérée par la montée de la délinquance. Inutile non plus d'agiter un nouveau chiffon rouge sous le nez des associations, déjà très énervées par le projet de loi Besson sur l'immigration.
Ces dernières sont sur le pied de guerre, déterminées à défendre jusqu'au bout l'accès aux soins gratuit et sans restriction des sans-papiers. «Au nom d'une certaine idée de la France», martèle Pierre Henry, le président de France Terre d'asile, mais aussi parce qu'«il s'agit d'une question de santé publique» face à la recrudescence d'épidémies. Excédé qu'«on se serve de quelques cas particuliers pour faire des généralités» et jeter l'opprobre sur l'AME, Pierre Henry réfute toute idée de ticket modérateur: «Quand vous n'avez pas de ressources, chaque centime d'euro compte. Quand vous vivez dans une précarité extrême, il n'y a pas de médecine de confort.» La Cimade, association protestante très active auprès des sans-papiers, somme les pouvoirs publics de ne pas «stigmatiser encore un peu plus les étrangers».
Il n'empêche, les députés de droite, plusieurs fois lâchés en rase campagne sur l'AME par les gouvernements en place, ont l'intention de revenir à la charge. Au front, comme souvent sur les questions d'immigration, les députés UMP Claude Goasguen et Thierry Mariani n'entendent pas céder au «terrorisme intellectuel autour de ce dossier». A l'occasion de la discussion budgétaire, ces jours-ci, ils veulent ferrailler pour obtenir une «redéfinition des soins» éligibles à l'AME. En clair, réserver le dispositif aux soins d'urgence. «Il y a une vraie exaspération sur le terrain. Chacun doit maintenant prendre ses responsabilités», préviennent ces deux élus.
Pour la première fois, les parlementaires pourraient rencontrer le soutien de la communauté médicale. Car médecins, pharmaciens, infirmières et même certains militants associatifs commencent à dénoncer un système sans limite ni contrôle, parfois détourné de son objectif initial, voire carrément fraudé.
C'est Laurent Lantieri qui, le premier, a mis les pieds dans le plat. Dans un entretien à L'Express publié début septembre, le grand spécialiste français de la greffe du visage a confié son agacement de voir les principes du service public «dévoyés» avec l'AME. «Soigner les étrangers en cas d'urgence ou pour des maladies contagieuses qui pourraient se propager me paraît légitime et nécessaire, prend-il soin de préciser. En revanche, je vois arriver à ma consultation des patients qui abusent du système.» Et de raconter l'histoire de cet Egyptien qui avait eu le doigt coupé bien avant de s'installer en France et demandait «une opération de reconstruction», prétextant qu'il n'avait pas confiance dans la médecine de son pays. «En réalité, poursuit le chirurgien, ce monsieur s'était d'abord rendu en Allemagne, mais il jugeait bien trop élevée la facture qu'on lui avait présentée là-bas. Une fois en France, il avait obtenu l'AME et il estimait avoir droit à l'opération!» Ce que Laurent Lantieri lui refusa.
Du tourisme médical aux frais du contribuable? Claudine Blanchet-Bardon n'est pas loin de le penser. Cette éminente spécialiste des maladies génétiques de la peau voit parfois débarquer à sa consultation de l'hôpital Saint-Louis des patients AME venus du bout du monde exprès pour la voir. «Je vais vous dire comment ça se passe, confie-t-elle. Ils tapent le nom de leur maladie sur internet au fin fond de la Chine, tombent sur mon nom parmi d'autres et découvrent qu'en France, ils peuvent se faire soigner gratuitement. Ils arrivent clandestinement ici, restent tranquilles pendant trois mois et débarquent à ma consultation avec leur attestation AME, accompagnés d'un interprète. L'interprète, lui, ils le payent.» Le coût des traitements au long cours de ce type d'affection se chiffre en dizaines de milliers d'euros par an.
Avec certains pays proches comme l'Algérie, l'affaire est encore plus simple. Un cancérologue raconte, sous le couvert d'anonymat : «Nous avons des patients qui vivent en Algérie et qui ont l'AME. Ils viennent en France régulièrement pour leur traitement, puis repartent chez eux. Ils ne payent que l'avion...»
De plus en plus de médecins réclament un «véritable contrôle médical lors de l'attribution de l'AME». Ou, au moins, un accord de la Sécu avant d'engager certains soins. Car, à la différence de l'assuré social lambda, le bénéficiaire de l'AME n'a nul besoin d'obtenir une «entente préalable» avant d'engager des soins importants. C'est ainsi que des femmes sans-papiers peuvent faire valoir leurs droits à des traitements d'aide médicale à la procréation. «Pur fantasme!» s'insurgent les associations. «Elles ne sont pas très nombreuses, mais on en voit...» répond une infirmière d'une grande maternité de l'est de Paris, choquée que «la collectivité encourage des femmes vivant dans la clandestinité et la précarité à faire des enfants». Chaque tentative de fécondation in vitro (FIV) coûtant entre 8000 et 10.000 euros, la question mérite effectivement d'être posée.
Le député Thierry Mariani n'en finit pas de citer cet article paru il y a deux ans et demi dans Libération* qui raconte l'histoire incroyable d'un couple de Camerounais sans-papiers qui voulait un enfant. Monsieur est «séropositif, il a deux autres femmes et sept enfants au Cameroun». Suivi en France pour son sida, il vient de se marier pour la troisième fois, mais sa jeune femme «n'arrive pas à être enceinte» et «s'est installée dans la banlieue parisienne depuis qu'elle a décidé de tenter une FIV. (...) Sans papiers, elle est en attente de l'Aide médicale d'Etat». Les médecins étaient, paraît-il, «perplexes» face à cette demande, mais ils finiront par y accéder.
A l'heure où les hôpitaux croulent sous les déficits, «cette distribution aveugle de l'AME», selon le mot de Mme Blanchet-Bardon, finit par excéder les praticiens hospitaliers, «coincés entre leur devoir de soignant et les limites de la solidarité nationale».
Pierre Henry, de France Terre d'asile, balaie les allégations de tricheries : «S'il y a des abus, les premiers coupables sont les médecins.» Mais le corps médical renvoie, lui, vers la Caisse primaire d'assurance-maladie (CPAM) qui délivre le précieux sésame. «Nous, on est là pour soigner, pas pour vérifier les attestations AME», souligne un médecin urgentiste.
Le problème est que la CPAM ne fait elle-même qu'appliquer des textes d'une extrême légèreté, les seules conditions requises pour obtenir l'AME étant trois mois de résidence en France et des ressources inférieures à 634 euros par mois. Les demandeurs étant clandestins, le calcul des ressources relève de la fiction. «Nous prenons en compte les ressources au sens large: il s'agit plutôt des moyens de subsistance», explique un travailleur social, qui concède n'avoir aucun moyen de vérifier les dires du demandeur.
En l'absence de données fiables, la situation des bénéficiaires de l'aide médicale est l'objet de vastes débats. Pour les associations, «l'extrême précarité» des immigrés clandestins justifie pleinement leur prise en charge totale par la solidarité nationale. Une affirmation qui doit être quelque peu nuancée. Selon une enquête réalisée en 2008 par la Direction des études du ministère des Affaires sociales (Drees) auprès des bénéficiaires de l'AME résidant en Ile-de-France, «près de 8hommes et 6femmes sur 10 travaillent ou ont travaillé en France». Il s'agit essentiellement d'emplois dans le bâtiment, la restauration et la manutention pour les hommes, de ménage et de garde d'enfants pour les femmes.
L'hôpital représente un peu plus des deux tiers des dépenses AME, le solde relevant de la médecine de ville. Très souvent refusés par les praticiens libéraux en secteur II (honoraires libres), ces patients fréquentent assidûment les centres médicaux des grandes villes où toutes les spécialités sont regroupées. «Comme c'est gratuit, ils reviennent souvent», soupire une généraliste qui se souvient encore de la réaction indignée d'une de ses patientes, tout juste régularisée, à qui elle expliquait qu'«elle allait dorénavant payer un peu pour ses médicaments, et que pour (eux) aussi, c'était comme ça...».
Aucun soignant - ni aucun élu d'ailleurs - ne remet en cause l'existence de l'AME ni sa vocation dans la lutte contre la propagation des épidémies, notamment de la tuberculose, en pleine recrudescence. Dans l'est de Paris, une épidémie de gale qui avait frappé un camp d'exilés afghans l'an dernier a pu être éradiquée efficacement grâce à l'aide médicale. Mais c'est la gratuité généralisée des soins qui choque un nombre croissant de médecins et de pharmaciens.
Dans cette officine proche d'une gare parisienne, on voit défiler chaque jour une dizaine de clients avec une attestation AME. «Pour la plupart, c'est de la bobologie: aspirine, sirop...» raconte la pharmacienne, qui vérifie avec soin les documents présentés. «La paperasserie, c'est l'horreur. Les attestations papier sont tellement faciles à falsifier.»Parfois, la clientèle AME est plus nombreuse, comme dans ce quartier du Xe arrondissement de Paris où les bobos cohabitent avec une forte population immigrée. «Sur 60ordonnances par jour, je fais une vingtaine d'AME», raconte la gérante d'une pharmacie. Dans le lot figurent presque à chaque fois deux ou trois trithérapies (traitements anti-sida) et autant de Subutex (traitement de substitution à l'héroïne). «Le reste, poursuit-elle, ce sont généralement des traitements pour les petites maladies des enfants, des gouttes, des vitamines, car nous avons une forte communauté asiatique dans le quartier.»
Les pharmaciens sont particulièrement vigilants sur le Subutex, objet de tous les trafics. Même si la Sécu veille au grain, il est bien difficile d'empêcher un patient muni de son ordonnance de faire la tournée des pharmacies pour se fournir en Subutex avant de le revendre. Le tout sans débourser un euro. Il y a deux ans, un vaste trafic de Subutex, via l'AME, a été démantelé entre la France et la Géorgie. «L'AME, c'est une pompe aspirante», insiste un autre pharmacien, las de distribuer toute la journée gratuitement des médicaments de confort et des traitements coûteux à «des gens qui n'ont en principe pas de papiers en France, alors que les petites dames âgées du quartier n'arrivent pas à se soigner».
Sur le terrain, l'explosion des dépenses a été ressentie par tous. Et chacun a son explication. Pour les associations, c'est le résultat de la politique anti-immigration du gouvernement. Le durcissement du droit d'asile aurait rejeté dans la clandestinité un nombre plus élevé d'exilés. En outre, les sans-papiers, craignant plus que jamais d'être interpellés, attendraient la dernière minute pour aller se faire soigner. «De plus en plus de patients arrivent chez nous dans un état de santé extrêmement délabré», souligne-t-on à l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), dont les 45 établissements ont vu leur facture AME grimper de 16 % l'an dernier (à plus de 113 millions d'euros). Des soins plus complexes et des durées de séjour plus longues font flamber les coûts.
Les travailleurs sociaux ont aussi noté depuis le printemps 2009 un afflux d'immigrants d'Europe de l'Est et de l'ex-Union soviétique: des Roumains et des Bulgares (souvent des Roms), mais aussi des Tchétchènes, des Kirghiz, des Géorgiens, et même des Russes. Les associations sont débordées par ces arrivées de familles entières. «On ne va pas pouvoir accueillir tout le monde», soupire Geneviève, permanente dans un centre d'accueil pour étrangers, qui se souvient d'un Roumain arrivé en France il y a peu, avec pour seul bagage un petit bout de papier sur lequel son passeur avait écrit: «Ici boire manger dormir argent.»
 
«Sur 60 ordonnances par jour, je fais une vingtaine d'AME», raconte la gérante d'une pharmacie. Dans le lot figurent presque à chaque fois deux ou trois trithérapies (traitements anti-sida) et autant de Subutex (traitement de substitution à l'héroïne). «Le reste, poursuit-elle, ce sont généralement des traitements pour les petites maladies des enfants, des gouttes, des vitamines, car nous avons une forte communauté asiatique dans le quartier.»

J'ai pas compris le "car".
Ca voudrait dire que les asiatiques font pleins d'enfants ?

Sinon il me semble avoir attendu quelque part que chaque personne explusee recevait 30 000 euros, quelqu'un peut confirmer ?
 
J'ai pas compris le "car".
Ca voudrait dire que les asiatiques font pleins d'enfants ?

Sinon il me semble avoir attendu quelque part que chaque personne explusee recevait 30 000 euros, quelqu'un peut confirmer ?
bien sûr que non, il s'agit de 300 euros
 
Je trouve ces propos effrayants de stupidité!
1)Rien que l'idée de retirer la nationalité de quelqu'un ne vivant pas dans son pays... C'est d'une connerie!!!
2)Si le seul moyen de "rappeler cette nationalité", c'est de taxer le revenu. Je suis sans voix!
3)... pays où ils sont nés = dès la naissance, les français doivent être redevables pour être nés en France...
4)... où ils ont été soignés, où ils sont allés à l'école. Pour palier à ces frais, le monsieur du PS oublie quand même que les parents ont cotisé et payé leurs impôts toute leur vie pour que l'Etat puisse financer tous ces avantages sociaux.

Je pense qu'un français voulant travailler à l'étranger n'est pas redevable de l'état de français pour quoique ce soit.
La loi francaise spécifie bien qu'on ne peut pas rendre appatride une personne. Ils ne peuvent retirer la nationalité francaise qu'à ceux qui ont la double nationalité. Du coup cela fait pas beaucoup de monde.
Du coup, cette proposition sent plus de la pub qu'autres choses.

Il me semble, à confirmer, que les américains paient quelque chose aux USA, même en étant expat.
 
Je vous propose de lire et de signer cette pétition:

NON à l'impôt sur le revenu des Français qui travaillent à l'étranger.

http://www.mesopinions.com/NON-a-l-...titions-f6eacb38e1b4479a5cc94515e7136c2f.html

Il y en a qui ont pas honte... On paye des taxes (même parfois abusive) relativement à des droits et services rendu par le pays. Le jour ou tu reviens en France, tu n'aimerais pas qu'on te ferme la porte ou que l'ambassade/consulat te renie parce que tu n'as pas continué à payer tes taxes (surtout que si c’était pour un impôt sur le revenu, c'est que tu n'es pas le plus à plaindre). Alors soyons réaliste et rendons l'argent de césar à césar.
 
Dernière édition:
Il y en a qui ont pas honte... On paye des taxes (même parfois abusive) relativement à des droits et services rendu par le pays. Le jour ou tu reviens en France, tu n'aimerais pas qu'on te ferme la porte ou que l'ambassade/consulat te renie parce que tu n'as pas continué à payer tes taxes (surtout que si c’était pour un impôt sur le revenu, c'est que tu n'es pas le plus à plaindre). Alors soyons réaliste et rendons l'argent de césar à césar.

D'apres ce que je sais, on paie les impots sur le revenu dans le pays ou on passe plus de 50% de son temps dans l'annee. Et je crois que c'est un accord international entre pays.
Donc on paie deja des impots sur le revenu.
Donc Jeff2k, tu demandes aux expats de payer 2 fois leur impot sur le revenu, C'est un peu abuser il me semble.
D'utant plus qu'un expat detache de l'entreprise en France continue a payer ses differentes cotisations en France puisque contrat de travail francais. Donc, de toute facon, on paie des taxes.
Enfin, si j'ai bien tout compris...
 
Je suis totalement pour l'imposition à l'étranger, et quand on n'est pas imposable, alors on a droit au RSA et à la CMU-C !
 
Je suis totalement pour l'imposition à l'étranger, et quand on n'est pas imposable, alors on a droit au RSA et à la CMU-C !


Ca je me doute l'assistanat doit etre sans frontieres , ce devrait etre obligatoire ,mais il reste aussi la possibilité de rester en France ..

Ben oui 450 Euros mois a rien branler en Chine et se faire soigner sa flemme gratos , c'est bon a prendre ..

Et je m'excuse je n'ai pas a payer pour des parasites qui zonent a l'etranger , c'est triste pour certains de nos compatriotes dans la reelle misere en France , mais si on a foutu le camp ,dans mon cas il y a presque 20 ans de France ce n'est pas pour mettre la main a la poche aujourd'hui, .
 
Je vous propose de lire et de signer cette pétition:

NON à l'impôt sur le revenu des Français qui travaillent à l'étranger.

http://www.mesopinions.com/NON-a-l-...titions-f6eacb38e1b4479a5cc94515e7136c2f.html

Une petition ne suffira pas ,il faudra des actes et des contre mesures effectives ,ils s'en foutent de ta petition ...

On est des centaines de milliers hors CEE , on pese lourd ,et on est tous concernes .

Les Francais qui bossent en CEE on quasi les memes avantages que les Francais de France dans bien des domaines avec les accords europeens ,c'est un autre probleme a etudier au cas par cas suivant le pays de la CEE.
 
Dernière édition:
Tout à fait d'accord avec toi Lafoy... Et si je galère ici, c'est que j'ai une chance de pouvoir progresser sans me faire voler, attaquer, avoir une grève sur le dos, des employés qui pleurent parce qu'un jour ils ont fait une heure de plus etc.

Franchement quand je vois que ma marchandise était bloqué à cause de ces pleureuses d'assistés, ça me fou les boules. Qu'ils soient pas content c'est une chose mais qu'ils n'empêchent pas les autres de vouloir avancer. Alors ils ne verront même pas un euro franchement.
 
SAUF QUE, il existe des conventins bilatérales, nombreuses signées par la France, dont le but est notamment d'éviter la double imposition en cas de revenu généré ou engrangé à l'étranger.

Si Môssieur décide de nous taxer en France alors que l'on est à l'étranger, ça implique que, si l'on était sujet à imposition à l'étranger, cette imposition diminue (parce qu'il est hors de question de mettre en place une double imposition).
Allez expliquer cela aux pays hôtes, qui en feront alors de même.
 
SAUF QUE, il existe des conventins bilatérales, nombreuses signées par la France, dont le but est notamment d'éviter la double imposition en cas de revenu généré ou engrangé à l'étranger.

Si Môssieur décide de nous taxer en France alors que l'on est à l'étranger, ça implique que, si l'on était sujet à imposition à l'étranger, cette imposition diminue (parce qu'il est hors de question de mettre en place une double imposition).
Allez expliquer cela aux pays hôtes, qui en feront alors de même.

L'avenir nous le dira , mais vu le pactole possible pour les finances de l'etat Francais j'en doute ..
 
Je me doute bien qu'il n'y aura aucun avantage en cas de problème (pas d'Assedic, pas de RSA, pas de couverture sociale).

Mais je suis curieux de savoir comment l'Etat récupèrera ces impôts à l'étranger ?
Pression au niveau des ambassades et consulats pour faire invalider les passeports des récalcitrants ?
Saisie des biens en France ?
 
Mouais, j'attends de voir ici comment ils vont faire! Je donne pas de l'argent sans avoir quelque chose en retour, à part pour des associations ou des mendiants (n'y voyez pas là un signe, ce n'est qu'une coïncidence! lol).

Sérieusement, on a pas d'aide ni de l'Europe ni de la France ici. Pourquoi payer? Pour les diners réservés aux invités? Pour les réceptions? Pour la nouvelle ambassade? Si franchement l'administration faisait son boulot, pourquoi pas avoir une petite compensation. Ils ont pas les moyens de faire un 14 juillet mais ils ont les moyens de faire une ambassade "100% made in China" à 25 M€ et un pavillon à 40 M€. Faut pas déconner non plus. Lorsque tu achetes un produit détaxé, ils te prennent quand même de l'argent et quand on demande de l'aide à l'ambassade ou dans le services approprié on ne nous réponds même pas (enfin si on s'appelle AREVA, il y a soirée privée au Bar Rouge puis tapis rouge depuis People Square jusqu'à GuangDong Lu).

Je me rappelle de Mr Sarkozy, lors de son dernier passage en Chine: "Vous êtes la fierté de la France", il avait oublié qu'on était aussi les pigeons.
 
Mr Sarkozy, lors de son dernier passage en Chine: "Vous êtes la fierté de la France"

Tu sais il a probablement dit la même chose aux agriculteurs lors du saison de l'agriculture, aux fonctionnaires lors du salon des fonctionnaires et à peu près à tout le monde.

Sinon, sur tout ceux qui sont contre je me demande combien vont vraiment rester en Chine sans retourner en France. Parce que franchement je suis persuadé que l'immense majorité y retourneront en cas de pépin ou de maladie grave. C'est bien beau de dire là je suis en Chine je dois rien à la France, mais il ne faut pas oublier que c'est grâce à la France que vous avez ce niveau de vie en Chine et que vous allez très probablement retourner en France pour vos vieux jours. Je suis même à peu près certains que dans 10 ans 95% des membres de ce forum, voire plus, auront quitté la Chine. Qui vivra verra.
Quoi qu'il en soit je ne suis pas contre le fait de payer quelque chose à la France si la loi est bien faite et qu'il y a un réel échange(aides par exemple mais bien entendu en fonction du niveau de vie du pays où on habite).
 
Je me rappelle de Mr Sarkozy, lors de son dernier passage en Chine: "Vous êtes la fierté de la France", il avait oublié qu'on était aussi les pigeons.

Juste pour information, ta quel age ?
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.